Chapitre 18 :

Draco fut réveillé par la lueur du soleil mais surtout par une absence de chaleur qu'il avait appris à apprécier. Il s'étira tel un chat puis ouvrit les yeux. A sa gauche, un jeune homme se baignait nu.

« Bonjour, petit ange ! » dit-il en allant le rejoindre

« Salut, beau blond ! Tu viens, elle est géniale. » dit Harry. Il passa au-dessus du « petit » bien que cela le fasse encore grincher des dents.

Draco entra doucement dans l'eau, craignant l'écart de température. Mais très vite, il se délassa sous la cascade d'eau. En dessous d'elle, une grande pierre plate leur servait pour s'allonger, se laissant masser par les jets d'eau chaude. Ils auraient pu rester indéfiniment là, mais toute chose à une fin et celle-ci arriva trop vite à leur goût.

« J'espère que vous ne faites rien de compromettant car je rentre ! » dit Godric

Il eut l'air déçu de ne pas les avoir surpris en train de se faire des câlins

« On arrive ! Tu sors et tu nous attends ! On doit s'habiller ! »

Godric obtempéra.

« Je rêve où il voulait nous surprendre en train de … » dit Harry, rouge

« Oui ! » dit Draco, stupéfait

« Quel pervers ! Heureusement que tous les griffons ne sont pas comme ça ! »

« Ah non ? Et toi ? » demanda ironiquement Draco

« Ben, on est ensemble donc.. »

« Mais avant ? »

« On doit s'habiller, là, non ? Si, si, allons on se dépêcher. »

« Harry, réponds à la question ! »

« Mm, tu regarder, nu sous la douche des vestiaires, moi ? Non, pas du tout ! » dit Harry d'une mauvaise foi évidente.

« Conclusion, la perversité est un critère de sélection chez les griffons ! »

Harry, pour seule réponse, lui tira la langue.

« On se dépêche, les mômes ! Sal' n'aime pas attendre et vous devez encore mangez§ » hurla Godric derrière la porte ;

« Merde, potion ! Finalement, je crois que je vais rester ici ! » dit Harry

« Me dit pas que tu as peur ! Où est le célèbre courage des griffondors ? » railla le blond

« Noyé dans une abjecte potion par un sinistre personnage ! » dit très sérieusement Harry.

« Le sinistre personnage ne serait-il pas Snape ? » dit Draco d'un ton ironique

« Si, comment tu as deviné ? » lui répondit Harry sur le même ton.

« Non, pitié, Dray, sauve-moi de là ! Je te promets tout ce que tu veux ! Sauve-moi, pitié… » hurlait Harry

Mais Draco ne l'aidait pas, au contraire, il le tirait par le bras.

« Enfin, voyons ! Où es passé le grand et courageux Harry Potter ? Où est le célèbre courage des griffondors ? »

« Aux oubliettes dès le moment où tu as prononcé le mot… »

« Ah, tu veux dire… le mot 'Potions' ! »

Un frisson parcouru le dos d'Harry. Le garçon eut une grimace assez éloquente. Draco soupira mais ne céda pas et continua à le tira vers les sous-sols. La porte était ouverte et une chaleur un peu trop grande s'en échappait. Dray fut le premier à y entrer mais il eut beaucoup de mal à faire rentrer Harry. Il du même demander de l'aide à Sal'.

« Et puis on dit que se sont les serpentards qui sont lâches ! » rouspéta Salazar.

« Justement, le choixpeau voulait m'y mettre ! » bouda Harry

« Merlin soit béni » s'exclamèrent Dray et Sal'

« Mais eeuh ! »

« Suffit ! Votre potion est là » dit Salazar en montrant le tableau. « Vous me la faites et à la fin, je veux un parchemin sur votre méthode que vous ayez réussi ou non ! »

Harry déglutit. Il avait l'impression que Salazar serait bien plus sévère que Snape. Draco avait déjà commencé contrairement à Harry qui tentait vainement de comprendre les instructions mises au tableau.

« Harry, ça ne va pas ? » demanda Salazar au bout d'une demi-heure

« Je ne comprends rien, c'est du chinois pour moi » soupira-t-il.

« Tu sais cuisiner ? Enfin, bien, je veux dire ? »

« Oui, bien sûr ! »

« Prends les instructions comme une recette d'un plat un peu spécial. »

Harry eut l'air septique mais se mit au boulot.

« Il vous reste que dix minutes pour finir votre potion et me rendre votre compte-rendu. » dit Salazar.

Quand Harry sortit de là, il avait l'air satisfait de lui mais heureux d'être sortit de là.

« Alors ? Ca était si dur que ça ? » ricana Draco

« Une horreur au début mais Sal' m'a bien aidé. Aie ! »

Harry venait de recevoir un avion en parchemin et le lut à haute voix.

« Je vous attends dans la salle de méditation. Godric Griffondor. »

Harry frémit, cette salle avait un certain pouvoir sur lui. Il n'aimait pas ça, pourtant il suivit Draco

« Alors ce maudit serpent de Salazar ne vous a pas trop empoisonner l'esprit ? »

Draco eut un sourire narquois et lui tira la langue avant de s'asseoir.

« Ah, ces serpentards de vrais gamin ! » soupira Godric.

« Harry, tu t'assis ? Bien, aujourd'hui, je fais vous aider à vous ouvrir à la magie sans baguette. Pour cela, il faut savoir où est votre source de magie. »

« Une question, Godric. Cette salle est-elle très vaste ? »

« Mm, je n'en sais rien. Je ne crois pas ! ». Godric secoua la tête et reprit. « Bon, on va commencer. Fermez les yeux. Respirez à fond et cherchez en vous votre source. »

Draco et Harry, bercés par la musique de la pièce, ne tardèrent pas à plonger en eux et à trouver cette source.

Celle de Draco sortait d'une fontaine en cristal, pas mal abîmée. L'eau était semblable à de l'argent liquide. Harry y retrouva une ancienne connaissance : Baguera.

« Joli, ta source, enfin, notre source. Une magnifique cascade quoique la végétation la un petit peu détruite. Bon, ce n'est pas tout ça, mais une visite des lieux ne te plairait pas ? »

« Pourquoi es-tu là ? Aller visiter quoi ? »

« Ne te fais pas plus bête que tu n'es ! Tu sais de quoi je parle. »

« Bon, maintenant que vous l'avez trouvé, essayez grâce à la magie de votre esprit de canaliser votre source. » dit la voix lointaine de Godric.

« Hein ? Peu pas être plus clair ? » râla Harry.

« Il veut dire que tu dois rendre à cette endroit sa beauté. Attends, je vais t'aider mais après on va promener. D'acc ? »

« Ok, ça marche. »

La panthère entra en Harry. Ils conjuguèrent leurs forces et la cascade ne tarda pas à resplendir. Un flot régulier et surtout énorme s'écoulait dans un lac aux reflets mauves et vert clair. Harry sourit. C'était magnifique. Une légère brise remua l'eau créant d'autres reflets.

« Maintenant on va se promener ! » le ton de Baguera fut sans appel.

Harry revint brusquement à lui. Il ressentit l'attraction de la pièce mais elle était beaucoup plus puissante qu'avant. L'odeur de la forêt l'enivra, tel un parfum. Il ouvrit les yeux et fut submergé par la beauté de la forêt. Il se leva et avança jusqu'à disparaître dans son ombre.

« Harry ? Tu as terminé ? Mais… Mais où vas-tu ? Harry ! »

Celui-ci ne répondit pas et continua à s'enfoncer dans les lieux. Doucement, ses membres se firent pattes et son corps se recouvra d'un pelage noir à la douceur du velour.

« Merde, il recommence ! » s'exclama Draco.

« Comment cela ? Il recommence quoi ? »

« Lors de la visite, Harry a semblé comme envoûté par cette salle. J'ai même dû le secoué pour qu'il avance. » répondit Draco.

« Merde ! Pas de panique. Je vais chercher les autres ! »

Godric sortit en courant de la salle et alla trois salles plus loin. Il entra, brusquement dans la pièce bleue.

« Laissez tomber « La » recherche pour l'instant ! On a un problème. »

« Quoi, Godric ? » demanda Salazar. « Tu sais pas avoir à l'œil deux gamins ? »

« Harry a disparu dans la forêt de la salle de méditation et selon Draco, il est envoûté par cette pièce. »

« Impossible ! La salle ne possède aucune magie ! » s'exclama Rowena.

« Ou Harry nous a caché quelque chose. » dit Helga

Les trois fondateurs se tournèrent vers elle. Elle avait l'air d'en savoir plus qu'eux.

« Bien voilà, quand ils ont revenus, après avoir disparus pendant deux jours, Harry m'a dit… »


Enfin, il était libre ! Cette forêt était son domaine, son territoire de jeu. Et quel territoire ! Il semblait être infini. Seule ennui, aucune bestiole à sa portée. Par contre de l'eau, il n'en manquait pas. Mais pas une seule proie. Il s'arrêta et ferma les yeux, humant l'air. Des chants d'oiseaux (trop loin à son goût), un air délicieusement humide venant de la terre et une odeur inconnue. Non, elle a une signification mais reste trop vague. Peut-être, l'odeur d'une proie qu'il déjà rencontré. Il s'élança vers cette odeur. La végétation lui fouettait le museau mais cela faisait partie de la chasse. Même, cela lui faisait tout son charme. Ca et l'excitation, l'adrénaline qui parcourait ses veines. Pareil à une soirée à faire l'amour. Il ralentit. Il ne fallait pas effrayer la proie. Il huma pour savoir où était le sens du vent. C'est bon, il était dans le sens contraire, la proie ne pourrait pas le sentir. Pas qu'il sent mauvais mais bon on ne sait jamais !

Lentement il se rapprocha de la proie autant que possible, tout en restant dans l'ombre. Il ne lui restait plus qu'à attendre le bon moment pour sauter sur cette proie, plutôt étrange.


« Harry, où peux-tu bien être ? » soupira Draco en s'asseyant sur un rocher.

Il tournait en rond dans cette forêt depuis un moment maintenant mais toujours pas de tignasse noir ou d'éclats émeraude à l'horizon. Pourtant son instinct de Veela lui disait que son âme sœur n'était pas loin. Il frissonna. Quelque chose n'allait pas ! Peut-être ai-ce du au silence du lieu ou à cette sensation d'être épié. Il se leva et regarda autour de lui.

C'est le moment où Bagueradécida de passer à l'attaque. Sa proie lui tournait le dos. Pourquoi rêvé d'une autre occasion ? Il se ramassa sur ses pattes arrière et sauta. Il tomba pile sur le dos de sa proie qui, face à son impulsion, s'écroula face contre terre. Il descendit du dos mais ne s'en alla pas. Il laissa à la créature assez de place pour se tourner, pour qu'il puisse voir la mort en face.

Pourtant quand il plongea ses yeux dans ceux bleu-gris de la créature, toutes envies de meurtres avaient disparus. Seule une profonde tendresse palpitait en son cœur.

« Harry ? » dit Draco d'une voix tremblante.

La panthère pencha la tête sur le côté. Ce nom lui disait vaguement quelque chose. Il sursauta au contact de la main de Draco mais se relaxa bien vite sous ses caresses.

« Bon sang, Harry, il n'y a que toi pour faire des trucs pareils ! » dit Draco en rigolant.

Il ne savait pas pourquoi mais il était sûr que cette panthère qui ronronnait sur ses genoux était Harry.


Les fondateurs cherchaient depuis plus d'une heure les deux enfants mais toujours rien.

« Nom de dieu ! Je ne savais pas que cette forêt était si grande. » râla Salazar.

« Je pense plutôt qu'on sait perdu et qu'on tourne en rond. »

« Merci, chérie, tu sais comment motiver les troupes, toi ! » dit Salazar.

Sa femme le fusilla du regard avant de sortir une dague.

« Heu ! Je rigolais, ma puce ! » dit Salazar en reculant, de peur de recevoir un coup de dague.

« Crétin ! » dit Rowena avant de dessiner une croix sur un arbre.

« Moi aussi, je t'aime ! »

« Rowena, peux-tu indiquer d'un point ou d'autre chose la direction qu'on va prendre ? » demanda Helga.

Son amie fit même plus. Elle indiqua d'un point d'où ils venaient et d'une croix où ils allaient.

« Bon, trouvons ces enfants. La vasque ne restera pas allumée indéfiniment. »

Ils repassèrent au moins deux fois devant la croix avant de trouver les enfants, enfin, Draco et une énorme panthère. Le jeune homme bond ne les avait pas vu. Godric et Salazar sortirent leur baguette et avancèrent prudemment. Ils ne voulaient pas que, par peur, la panthère ne s'attaque à Draco. Arrivés à un mètre, ils pointèrent leur baguette sur le félin et crièrent un sort d'assommement. La panthère et Draco relevèrent la tête mais c'était déjà trop tard. La panthère se prit les deux sorts de plein fouet et vola sur plusieurs mètres. Elle ne du qu'à une pierre son arrêt. Draco se précipita sur elle, paniqué.

« Non, Harry ! »

Les deux fondateurs comprirent leur erreur. Apparemment Harry était un animagus mais il ne contrôlait pas ses transformations d'où l'attrait pour la forêt. Ils rejoignirent Draco, Helga et Rowena. Là, sous leurs yeux, Harry reprit sa forme humaine. Il était toujours dans les vapes et saignait d'une plaie à la tête. Draco le secoua doucement et puis de plus en plus fort mais Harry resta inconscient. Godric du le tirer par les épaules pour qu'il ne blesse pas plus Harry. Le jeune homme se dégagea vivement.

« Vous l'avez tué ! Assassin, montres ! » hurla-t-il en tapant sur Godric.

Celui-ci ne broncha pas, conscient que le blond avait sûrement raison.

« Dray ? » dit une voix plutôt faible.

Le blond se précipita auprès d'Harry qui luttait pour rester conscient.

« Il me semblait bien que j'avais entendu ta douce voix, si agréable à l'oreille. » plaisanta le survivant.

Draco rigola d'un rire triste. » Chut, petit ange, chut, dors ! »

« Eh ! Je ne suis pas à l'article de la mort ! J'ai juste très mal à la tête et ma vision est trouble amis ou sinon, ça va ! » dit péniblement Harry avant de s'endormir.

« Mais oui, petit ange, mais oui ! » dit Draco en caressant ses cheveux.

Rowena le soigna rapidement. Godric voulut le porte mais Draco le devança. Il ne faisait plus confiance aux deux fondateurs au grand damne de ceux-ci. Il demanda à Helga de l'aider à mettre Harry sur son dos. Ce qu'elle fit avant de lancé un sort d'allégement car même si Harry était léger, ils s'étaient enfoncés loin dans la forêt. Rowena prit la tête du cortége et ils partirent. Ils mirent plus d'une heure à revenir dans la clairière.

« Finalement, elle est profonde cette forêt » dit Godric.

Draco ne lui répondit pas. Il sortit de la pièce et monta déposer Harry dans leur chambre, sans un bruit.

« Tu crois qu'il va nous en vouloir pendant longtemps ? »

« Seule le temps nous le dira ! »

« Si seulement les hommes n'étaient pas que des grosses brutes qui sortent leur baguette à tout va ! » Soupira Helga.

« Tu rêves en couleur. En route ! » dit Rowena.


« Un jeune homme, âgé de dix-huit, errait dans une rue assez sombre. Sur un trottoir, des putes de bas étages vendaient leurs charmes à des ouvriers de classe moyenne. Elles n'était pas vraiment belles mais aidaient à satisfaire une envie pressante. De l'autre côté, il y avait un ramassis de mendiants mais aussi et surtout des toxico, venus là pour se droguer où vendre leur came. Le jeune homme fut abordé par un d'eux. Un homme, d'une trentaine d'année, vêtu d'un long manteau noir de maigre facture et d'un pantalon en jean tout aussi usé que le manteau, sortit un paquet assez petit et qui contenait des gélules bleues. Le jeune homme de dix-huit hocha la tête et se rapprocha de l'homme. Il lui murmura quelque chose à l'oreille. Le vendeur hocha la tête et le conduisit dans une ruelle toute proche et encore plus sombre et glauque que la rue en elle-même. Ils y pénétrèrent.

Le jeune homme sortit quelques minutes après, seul. Ses vêtements étaient débraillés et ses lèvres rouges de quoi, ça rien ne nous l'indiquait. Il ramena les quelques cheveux noirs qui s'étaient échappés de sa longue tresse et partit sans un regard derrière lui. »


Les fondateurs se regardèrent. Ils avaient peur de mal comprendre. Est-ce que Thomas serait devenu un drogué ? Est-ce qu'il se vendait pour s'acheter sa came. Non, c'est impensable. Comment un de leur descendant pouvait tournait aussi mal ? Impossible ! Il doit y avoir une erreur quelque part. Décidé pour en savoir plus, ils se replongèrent dans la vie de Thomas.


« Le jeune homme était maintenant affalé en travers d'un fauteuil en velours rouge beaucoup plus luxueux que la rue où il avait été. Face à lui, une autre personne âgée au maximum de dix-sept ans. On ne voyait que son dos mais on pouvait lire dans sa posture que ce gamin était beaucoup plus âgé que son physique. Apparemment, une discussion houleuse était en train de se dérouler entre eux. Thomas, le jeune homme de dix-huit ans semblait en colère mais aussi prendre cela par-dessus la tête comme s'il s'en foutait. Il ne cessait de jouer avec ses cheveux noirs aux reflets bleuâtres et ne regardait jamais son interlocuteur. Il gardait ses yeux bleu nuit sur la mèche qu'il enroulait autour de son doigt. L'autre personne, fatigué par ce comportement se leva et lui tapa sur la main comme si il était un enfant qui voulait piquer un gâteau alors que c'était bientôt l'heure de manger. Thomas se leva brusquement et lui montra ses dents de manière agressive. L'autre personne réagit très rapidement et sans rien comprendre, Thomas se retrouva, sa carotide sous les canines du vampire. Il avait de longs cheveux, légèrement ondulé, de couleur fauve et des yeux de couleur bleu mais beaucoup plus pâles que ceux de Thomas. Celui-ci du capituler car l'autre le relâcha. Il lui tapota la joue et sortit de la pièce. Thomas sortit alors une très vieille photo aux bords écornés. Cette photo représentait Harry, Draco, l'autre et une jeune fille au regard un peu éteint mais avec un grand sourire sur les lèvres. Derrière eux, un vieil homme à la longue barbe blanche et deux hommes aux cheveux noirs. L'un était taciturne et l'autre beaucoup plus enjoué. En fait la fille leur ressemblait étrangement. Le plus bizarre avec cette photo, c'est l'âge d'Harry et de Draco. Sur la photo, ils avaient vingt ans à peu près. »


Les fondateurs soufflèrent. Ils s'étaient bien trompé sur le compte de Thomas. Il n'était allé se drogué ou vendre son corps dans la ruelle mais se nourrir de son sang quotidien. C'est là qu'il tiltèrent. Thomas, un vampire. L'effarement se lurent sur leurs visages. Comment pouvaient-ils dire à Harry qu'il avait un frère et que celui-ci est vivant mais seulement grâce au sang qu'il ingurgite tous les jours ? Non, ils ne peuvent quand même pas dire à Harry que son grand frère est un vampire. Ce serait un bien trop grand choc pour lui. Salazar eut quand même un sourire.

« C'est étrange, non ? James et Lily ont donné naissance à deux êtres qui sont normalement totalement opposés : un ange et un démon ! Quelle famille ! »


Je suis de retour. Désolé pour avoir mis autant de temps mais bon, c'est de la faute de la grippe et de la mienne aussi. Mea culpa.

Sinon, je vous remercie pour vos rewiews, elles me font extrémement plaisir. Je remercie particulièrement Lilyunatat pour son idée de Thomas en vampire. C'est vraiment une bonne idée. Gros bisou et à la semaine prochaine pour la triste réalitè d'un ange déchu et dans deux semaines pour quand imagination devient réalité, enfin si j'ai le temps car je commence les bac blanc et autres trucs de cette joyeuseté.