Rewiews !

Rebecca-Black : Tu veux un crochet du droit ? Tu vas avoir un crochet du droit. Et sur le prof... Ca qui va mettre Alexandra dans une très mauvaise posture...

Virg05 : Ce prof t'est anthipatique, mais imagine que je vais le faire de pire en pire !

corbeau angélique : J'ai lu ta rewiew attentivement, et j'ai rajouter juste deux trois petites choses qui peuvent peut-être expliquer certaines choses... Mais ce n'est vraiment rien, et si tu ne comprends toujours pas, dis-le moi, je me ferais un plaisir de t'expliquer ! Je crois savoir ce que tu ne comprends pas, mais je n'en suis pas sûre. Alors dis-le moi si tu ne comprends vraiment pas, dis-le moi !

Voilà, j'espère que la suite de cette histoire va vous plaire. Cette fois-ci, on va parler d'Adrien qui est parti pour faire le point une fois qu'il a retrouver son corp, comme vous vous en souvenez. Et oui, désolé Rebecca, mais le crochet du droit, ce sera pour le prochain chapitre ! Bon, sinon, on va parler de Léonard, et si vous vous en souvenez pas, allez au chapitre 11.

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Il marchait vite, très vite. Il voulait s'éloigner d'eux, ceux qui venaient de lui apprendre qu'il était seul. Oh, il n'en voulait pas à Hermione. Il n'en voulait même pas au blond qu'il identifiait comme Drago Malefoy, Harry lui en avait énormément parler. Mais il devait s'éloigner d'elle. Alexandra... Et Lily qui était toujours dans son corp ! Il devait parler à quelqu'un. Et il devait revoir Léonard. Lorsqu'il était dans le corp de James, il n'avait presque pas penser à lui. Trop occuper à s'occuper d'Alex qui ne voulait toujours pas sortir avec lui. En ce temps là, il était persuadé, comme tout le monde, qu'ils devaient sortir ensemble pour rentrer chacun dans leur corps. Et pourtant non. Maintenant qu'il était revenu, il devait aller le voir. Il savait qu'il devait avoir disparu depuis quelques jours, mais il savait aussi que ses parents n'étaient pas inquiets. Qu'ils savaient que c'était pour sa mission. Alors, lorsqu'il arriva en France, après avoir transplaner, il se dirigea directement vers la maison de léonard, pas très loin de la sienne.

- CHERIIIIIIIIIE ! LE LAVE VAISSELLE A ENCORE PETER ! entendit-il directement lorsqu'il arriva devant le portail du jardin.

Il sourit. En ce mois de juillet et avec cette chaleur, toute les fenêtres étaient ouvertes. On entendait de la rue tout les bruits de la maison. La personne qui venait de crier était assurément le père de Léonard, Henri, qui ne savait vraiment pas quoi faire avec les machines. A chaque fois qu'il en approchait une, il voulait se prouver qu'il pouvait bricoler, et il n'arrivait qu'à casser ces pauvres tas de férailles. C'est d'ailleur pour ça que le bricoleur de la maison, c'était Adrien, bien qu'il ne vive pas ici. Combien de fois Henri avait mis H.S le lave vaisselle on ne savait comment et qu'il avait dut venir pour tout réparer !

- ROOOO ! NON ! NE ME DIS PAS QUE TU AS ENCORE APPUYER SUR LE BOUTON DE DROITE ! SI ADRIEN ETAIT LA, IL RIRAIT BIEN, TIENS ! TU N'ARRIVES DONC PAS A TE SOUVENIR DE TOUT CE QU'IL T'A APPRIS ?

Ca, c'était Alice, la mère de Léonard, qui, à chaque fois que son mari cassait quelque chose, ne pouvait s'empêcher de lui dire qu'Adrien rirait de lui s'il le voyait.

- ALICE, DESCEND, ON NE VA PAS CONTINUER A SE PARLER COMME CA ! ET LES VOISINS, TU Y A PENSER ?

Adrien était maintenant dans le jardin et il voyait Alice qui descendait, des éponges dans ses mains, gantées de gants jaunes. (NA : je sais pas si ça se dit, mais bon.) Visiblement, on était Samedi. Le samedi, tout le monde se met au ménage.

- Amour, dit-elle quand elle s'adossa au mur juste en face de lui, regardant dans le jardin, mais ne l'appercevant pas encore. Je crois que j'ai fait une bétise en parlant d'Adrien. Tu sais que Léonard est bouleversé de ne pas savoir où...

Elle venait de l'appercevoir, souriant, au milieu de son par-terre de fleur.

- ... il se trouve. finit-elle dans un souffle.

Elle lâcha ses éponges et se précipita vers la porte, qu'elle ouvrit brusquement.

- Chérie ? fit la voix de Henri. Chérie, qu'est-ce que tu fais ? Je n'ai pas...

Lui aussi venait de le voir, et il eut la même réaction que sa femme, il se précipita dans le jardin, mais s'arrêta à quelques pas de lui, osant y croire.

- A...Adrien ? C'est bien toi ? N'est-ce pas ?

Adrien sourit à Alice, qui visiblement venait de faire un effort surhumain pour réussir à parler. Pourquoi ils avaient cette réaction ? Il avait dut partir quelques jours... à peine...

- Oui, c'est moi ! Pourquoi vous faites ces têtes là ? Je sais que je me suis absenter, mais ça m'est déjà arriver, non ?

Il avait un faux air de sérénité sur le visage. En réalité, il était très inquiet. Combien de temps était-il parti ? Il ne le savait pas. Mais il pensait que ça n'était pas très long... Peut-être une semaine, grand maximum. Mais visiblement, c'était plus.

- Tu es déjà parti quelques jours pour faire je ne sais quoi... Mais là, tu es parti un mois et demi... articula Henri. Léonard pensait que tu...

Oh non. Mais comment il allait expliquer une absence pareille ?

- Je vais faire du thé, et on va te laisser avec Léo. Je vais l'appeler. dit Alice, comprenant qu'il fallait laisser les amis seuls.

Alice retourna chez elle après avoir dit celà, mais elle revint presque aussitôt.

- Tu sais que tu es le bien venu.

Alice l'attira à elle et le serra très fort.

- J'espère juste que tu n'as pas fait de bétise... ajouta-t-elle.

Et elle s'en alla. Mais comment allait-il faire pour expliquer tout ça ? Il se tourna vers Henri, rester près de lui à l'observer.

- Je vais voir mes parents. Je reviens tout de suite après. Disons... dans une demi heure ?

Henri hocha la tête et retourna chez lui, lui disant un : "Je suis content que tu sois revenu."

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