Titre : C'est mon subordonné !
Auteur : lunny
Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à Masashi Kishimoto. Mais j'ai reçu le droit de maltraiter un peu !
Résumé : Kabuto a osé quitter Orochimaru, que va faire notre serpent préféré pour le récupérer ? KabutoxOrochimaru
Genre : yaoi et pour le reste je sais pas encore… Et OOC peut-être…
Avertissement : Les anti-yaoistes sont priés de faire demi-tour, merci ! Rien d'autre pour ce chapitre.
Note : Et voilà le 1er chapitre (celui d'avant c'est le prologue) J'espère que ça va durer encore longtemps ! Par contre Kabuto ressemble à une vierge effarouchée… Et le texte est pas très compréhensible… (commence à regretter d'avoir publié)
Bonne lecture !
La fête battait son plein. Les plus jeunes se déhanchaient sur la piste sur un air de rock. Les plus âgés avaient plus de réserve et se contentaient d'observer, guettant le plus souvent une proie avec laquelle elle pourrait passer la nuit, préparant une approche lente et sensuelle. La musique dominait le soupir d'un homme. Homme qui observait la piste d'un air désabusé, assit près du bar, un verre d'alcool à la main. (Orochimaru : Tu veux me tuer ou quoi ? L'auteur : Mais un verre de limonade ça le fait moins !) Le liquide tournoyait au rythme des légers cercles que décrivait son poignet. Il regardait le liquide formé un sorte de siphon à mesure qu'il accélérait son mouvement. Il ne s'amusait pas, pourtant toutes les conditions étaient réunies pour qu'il en soit ainsi. Quand il venait ici, il s'amusait toujours, il observait d'un œil moqueur les lamentables tentatives d'approche de certaines personnes, il en riait parfois, discrètement, jamais à gorge déployée. Il regardait aussi, les corps se mouvoir aux rythmes de la musique, d'un œil appréciateur ou moqueur. Mais, il ne s'amusait pas aujourd'hui. Sa journée avait été lamentable, son nouveau bras droit s'était fait repéré par un ennemi d'un village quelconque. Il avait du intervenir pour tuer cet ennemi, l'autre n'étant pas assez fort. Avant, il n'aurait pas eu à faire ça, car son ancien bras droit ne ce serait jamais fait repérer, de plus, il était assez fort pour se débarrasser de l'ennemi. Il avait l'impression d'être entouré d'incapables, ou était ce seulement qu'il avait connu meilleur ? Cette journée terminée, il avait décidé de venir ici pour se détendre. Mais, il ne se détendait pas car aujourd'hui, il n'y avait personne sur la chaise à ses côtés.
Avant, il aurait commenté ce spectacle, mais maintenant à quoi servirait de parler au vide ? Il n'y avait personne pour lui reprocher d'être injuste, personne pour ajouter une réplique, personne pour parler avec lui. Tout était là sauf lui, et son monde s'effondrait. Il se rappela de toutes ces fois où ils étaient venus ensemble. Il l'accompagnait toujours, c'était ainsi. Il le suivait à travers cette foule pour rejoindre ce bar. Il l'appelait quand il se faisait entraîné par la foule mouvante, rougissait quand une personne inconnue le frôlait dans une caresse sensuelle, le suppliait toujours des yeux pour faire fuir la femme ou l'homme bien souvent (Kabuto : C'est quoi cette remarque ? T'insinues quoi ? L'auteur : Que t'attire les bishonens ? Kabuto : Je me disait bien…) et lui s'exécutait avec un léger sourire, se disant que personne n'emportera son subordonné loin de lui. Et cette pensée, bien que bizarre le rassurait. Avait-il peur d'être seul ou de ne plus l'avoir lui ? Partageant cette complicité bizarre, au dessus de celle d'un maître et son serviteur, mais en dessous de celle qu'il faisait croire quand il saisissait la main de Kabuto pour marquer son territoire aux yeux des dragueurs. Et ils finissaient par arriver à proximité du bar. Ils s'asseyaient, et il se plaçait toujours à sa droite, comme un habitude, c'était une habitude. Il commandait alors pour les deux. De l'alcool fort pour lui, un peu moins fort pour son subordonné, il ne supportait pas bien l'alcool. Ils se tournaient vers la piste, s'accoudant au bar. Il commençait à parler, de tout et n'importe quoi. Combien de fois, il lui avait avoué ses peurs, ses craintes ? Combien de fois il avait sourit à ses paroles ? Combien de fois avaient-ils ris ensemble ? Combien de fois avaient-ils trinqués à une réussite future ? Combien de fois étaient-ils sortis de cet endroit le cœur léger et avec une impression de bien être ? Combien de fois avait-il du porter le plus jeune dans ses bras car il s'était endormi ? Combien de fois avait-il sourit en le déposant dans son lit ? Combien de fois avait-il souhaité un bonne nuit à l'autre ? Combien de fois ces instants l'avaient rendus heureux ? Pas assez, car le vide dans sa tête aussi bien que dans son cœur ne semblaient vouloir se remplir par ses souvenirs, pire encore, il semblait s'intensifier ce vide si froid… Il porta le liquide à ses lèvres et but doucement. Le liquide ne combla pas ce vide, il ne le réchauffa même pas.
Il en comprenait pas, ses pensés étaient si diffuses, la seule chose dont il avait conscience c'était qu'il se sentait horriblement seul, depuis un mois, il était seul, depuis qu'il avait franchi cette porte. Sans se retourner, sans faire demi-tour, sans trembler, en le laissant seul, horriblement seul dans la grande pièce vide, vide de sa chaleur. Il sentit que quelqu'un s'installait à sa gauche. Il ne cilla pas, il laissa son regard se perdre dans son verre. Il sentit le regard insistant de l'autre, il ne le releva pas. Il sentit qu'on l'observait méticuleusement, il osa un regard vers l'autre. Quand il se rendit compte de qui il était, il eut un faible sourire. L'autre se contenta de lui dire :
-Je ne m'attendais pas à te voir là, Orochimaru.
A suivre…
L'auteur (sautant partout) :
-Ai fini ! Ai fini !
Orochimaru (un verre de lait (?) à la main) :
-Tu sais que tu vas te faire tuer si tu t'arrêtes là ? Pas que ça me dérange mais je veux mon Kabuto, moi !
L'auteur (faisant le V de la victoire avec ses doigts) :
-C'est pas grave ! Je voulais finir comme ça, ça donne du suspens ! Et comme ça ils ont qu'à deviner !
Orochimaru (relisant le chapitre) :
-C'est moi, ou dans tout ça, compris le prologue, c'est la première fois que l'on prononce mon nom ?
L'auteur (grosse goutte de sueur) :
-Je sais, mais je savais pas comment t'introduire !
Orochimaru (relisant le prologue) :
-Et pas une seule fois, tu as écrit le nom de Kabuto… ça veut dire que c'est peut-être pas Kabuto le mec qui s'est barré ?
L'auteur (fait la position de Lee avec étoiles dans les yeux) :
-Jamais je ne ferai un coup comme ça ! Je suis pour la sincérité et l'amour dans le monde !
Orochimaru (qui commence à s'éloigner) :
-C'est surtout que c'est absolument pas vrai et que tu trouves que c'est compliqué de faire ça…
L'auteur (tombant à terre) :
-Je suis découvert... Fuyons !
L'auteur se barre en courant. Orochimaru boit son verre de lait.
Orochimaru (se léchant les lèvres parce que c'est bon le lait !) :
-Laissez comme même des reviews, ça lui fera plaisir !
