Titre : C'est mon subordonné !

Auteur : lunny

Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à Masashi Kishimoto. Enfin si ils m'appartenaient, je crois que la moitié des filles crèveraient et que les mecs se sauteraient dessus comme des lapins…

Résumé : Kabuto a osé quitter Orochimaru, que va faire notre serpent préféré pour le récupérer ? KabutoxOrochimaru

Genre : yaoi et pour le reste je sais pas encore… Et OOC peut-être (maintenant c'est sûr !…)

Avertissement : Les anti-yaoistes sont priés de faire demi-tour, merci ! Rien d'autre pour ce chapitre.

Note : Ben voici le deuxième chapitre… (Yes! Quelle introduction ! C'est vraiment pourri…) Je remercie tous mes revieweurs, parce que ça fait plaisir de pas se sentir seul ! Surtout les revieweurs anonymes auquel j'ai pas pu répondre… Sinon, pour le perso qui se tape la convers avec Orochimaru : Et ben, personne a trouvé… Enfin, si vous aviez trouvé, j'aurai vraiment été surpris ! Mais, il fait toujours une apparition minime dans mes fics OrochixKabuto. Et dans ce chapitre, Orochimaru est complètement dans les vapes et totalement OOC (enfin, c'est l'impression que j'ai) et commence à réfléchir (un miracle !)

Bonne lecture !

Orochimaru soupira et répliqua simplement :

-Je n'aurai pas souhaité t'avoir vu.

Aucune haine ou joie dans sa voix. Une voix de celui qui a passé sa soirée à regarder son verre au lieu de s'amuser, une voix emplie de mélancolie et de tristesse, une voix qui ne parlait plus beaucoup, faute de quelqu'un à qui parler. L'autre homme rit doucement, un rire sarcastique, empreint d'une légère joie, fausse ou vraie, on ne saurait le dire. Puis Orochimaru, observa l'autre, les yeux légèrement brumeux, combien de verre avait-il bu ? Pas assez pour l'oublier…Il demanda alors :

-Ton coéquipier est absent ?

L'autre rit encore, pourtant, il n'avait pas encore bu… Il était d'humeur joyeuse ou simplement sucidaire vu le regard que lui lança Orochimaru. Regard perdant de sa splendeur à cause de l'air légèrement perdu de son possesseur, air du encore une fois à l'alcool. Finissant de rire, il adressa un sourire, un sourire empreint de moquerie et répondit :

-Il est très fatigué.

La façon dont il insista sur le très, prit un léger sens pervers dans l'esprit étourdi par l'alcool et l'ennui dans la tête de Orochimaru, mais peut-être qu'il ne s'imaginait rien, et au fond, il ne voulait absolument, mais absolument pas savoir pourquoi l'autre était fatigué. L'autre homme agrandit son sourire et lorgnant la place à la droite de l'homme au serpent, il interrogea :

-Et ton chien, il n'est pas là ?

Au mot chien, Orochimaru ressortit son regard de tueur. Regard qu'il perdit quand le sens de la question arriva à son esprit. Il soupira et répondit, du reproche dans la voix :

-Tu sais très bien où il est.

L'autre ne s'en formalisa pas et prenant un air faussement contrit, il enfonça un peu plus le clou :

-Ah oui ! Je me rappelle maintenant ! Ça fait un mois qu'il est dans nos rangs, non ? Un excellent élément ! Il se débrouille bien avec Ikari ! Franchement, je me demande pourquoi il a quitté tes rangs ! T'étais si mauvais que ça au lit ?

Orochimaru recracha l'alcool qui avait commencer à ingurgiter, manquant de s'étouffer, il lança un regard surpris à l'autre qui continuait de sourire, il se foutait clairement de sa gueule. Orochimaru bégaya quelque chose, puis se reprenant, parce que c'était comme même un des trois ninjas de la légende, et que un ninja de la légende n'est pas sensé bégayer comme une collégienne en bataille contre ses hormones, il lança un regard froid à l'autre qui souriait encore de manière cruelle. Il articula d'une voix froide :

-Je suis pas un animal rempli d'hormones comme toi, je me tape pas tout ce qui bouge.

L'autre le regarda perplexe et d'une voix faussement offensé et innocente, il répliqua :

-Moi ! Sauter sur tout ce qui bouge ? Puis affichant un sourire vengeur. Enfin moi, au moins ma libido est satisfaite !

Orochimaru lança un regard de tueur, ce qu'il était de toutes façons, et demanda d'une voix acide :

-Qu'est ce que tu insinues ?

-Moi, je n'insinues rien ! s'exclama l'autre. Mais si tu traînes dans une boîte de nuit, seul et accoudé au bar avec l'air d'un profond ennui. Je pourrai penser que tu viens de te faire plaquer.

Orochimaru ne réagit pas, il observa son verre vide. Il venait de tout finir, il se dit intérieurement que il devrait en commander un autre pour pouvoir soutenir cette conversation surnaturelle avec l'autre homme. Habituellement, il aurait essayé de tuer l'homme en face de lui, mais les batailles étaient interdites et de plus, il venait de s'enfiler une bonne dizaine de verres, ça ne l'aurait pas aidé à se débarrasser de l'homme, il se demanda vaguement si il arriverait à au moins trouver la sortie dans son état. Il leva enfin les yeux et demanda, l'alcool n'arrangeant pas ses pensées désordonnées :

-Comment je pourrai m'être faire plaquer alors que j'ai personne ?

Une expression de exaspération passa sur le visage de l'autre, il soupira et passa une main fatiguée sur son visage, Orochimaru était vraiment un imbécile fini, ou alors l'alcool ne lui réussissait pas. Puis sentant qu'il avait assez joué les agences matrimoniales pour la soirée, il se leva, paya le verre qu'il avait pris, se retourna, jeta un dernier coup d'œil à Orochimaru, vit le ci-dessus nommé le fixant encore les yeux légèrement dans le vague, pensa que l'abus d'alcool était dangereux pour un serpent en manque, eut légèrement pitié et finalement lança avant de s'éloigner :

-Pourtant, il y a une place vide à ta droite…

Orochimaru ne se tourna pas vers la place désignée, il la savait vide, sans l'avoir regardé, il le sentait car dans son cœur, il n'y avait aucune chaleur. Il trouva comme même la force de murmurer :

-Au revoir, Kisame.

Orochimaru détourna son regard vers la place à sa droite. Ses pensées s'emmêlaient à cause de l'alcool, Il posa son verre sur le bar et s'avachissant dessus, il posa son front contre le métal froid et ferma les yeux.

Est-ce qu'il semblait si triste pour que même Kisame l'ait remarqué ? Est-ce qu'il l'était triste ? Est-ce qu'il se sentait seul ? Pourquoi ? Pourquoi il avait froid ? Pourquoi le simple fait que la place à sa droite soit vide le rendait tellement triste ? Pourquoi le simple rappel que cette place devait être occupé le rendait encore plus triste ? Pourquoi à cet instant, il aurait souhaité qu'elle ne soit jamais vide ? Pourquoi ? Pourquoi tout ça ? Que souhaitait-il vraiment ?

Il était triste ou du moins, il avait mal, mal à en crier, mais il n'avait pas assez de force, il n'avait plus assez de force. La solitude, il l'avait ressenti, mais jamais avec une telle puissance, cette impression de ne plus rien être, que si l'on disparaissait personne ne s'en rendrait compte, pourtant, il y avait du monde autour de lui, il y avait des gens qui suivaient ses projets aussi… Il n'aurait pas du ressentir cette solitude, pourtant, elle était là, criant sa présence comme jamais. Tout ça parce qu'il n'était pas là pour le regarder, pas là pour lui parler, il était seul sans lui, parce que lui… C'était son monde. La chaleur avait quitté son cœur depuis qu'il était parti, depuis qu'il avait quitté cette pièce un froid mordant l'avait pris dans un région dont il ignorait même l'existence, un région qui se situait près de son cœur…dans son cœur. La place à sa droite aurait du être occupé. Et si le simple fait qu'il ne soit pas à ses côtés, le tailladait de l'intérieur, c'était simplement que son monde était parti, et qu'il savait que cette place serait vide autant de fois qu'il y porterait les yeux. Si la place n'était pas vide peut-être qu'il ne ressentirait plus le froid, peut-être ressentirait-il de nouveau cette chaleur, peut-être qu'il n'aurait plus mal, peut-être qu'il se sentirait moins triste… Peut-être que son monde reviendrait… Ce qu'il souhaitait, il ne voulait plus ressentir cette douleur, cette tristesse, ce manque, cette froideur, cette solitude… Il voulait que la place maintenant vide soit occupée par lui, uniquement par lui, qu'il ressente de nouveau de la chaleur dans cet endroit plein de froideur, que son monde revienne… Qu'il revienne, qu'il revienne pour ne plus jamais le quitter…

Orochimaru se leva, les effets de l'alcool avaient disparu, on pouvait lire dans ses yeux une détermination farouche. Il paya sa note et murmura se dirigeant vers la sortie, plus pour lui même que pour les autres :

-Cette place, tu l'occuperas de nouveau, Kabuto…

Quelqu'un sortit de l'ombre de la salle, il regarda la sortie par laquelle Orochimaru venait de quitter la salle, ses yeux brillaient de satisfaction, il sourit et dit tranquillement d'une voix amusée :

-Ça promet d'être intéressant.

A suivre

L'auteur (baillant parce qu'il est fatigué) :

-J'étais sensé m'arrêter quand Kisame part, mais me suis dit que ça faisait pas avancer l'histoire alors j'ai écrit une petit truc.

Kisame (regardant la fic d'un air de quelqu'un qui annonce une mauvaise nouvelle) :

-T'as vraiment un grain, t'es obligé de mettre mon nom quand je pars et seulement là et pas avant ! Et puis qu'est ce que je fous exactement dans cette fic ?

L'auteur (grand sourire d'aliéné mental) :

-Maieuh ! Moi, je t'aime bien ! Puis je te vois bien bidouiller des trucs pour faire des KabutoxOrochimaru, comme ça t'a plus de temps pour ton Itachi ! Vu qu'ils seront occupés

Kisame (porté disparu):

-…

L'auteur (cherche partout) :

-Ben l'es passé où ?

Kabuto (arrive l'air vraiment furieux) :

-Pas possible faut te faire une statue ! Je suis un des persos principaux et tu fous mon nom dans le chap2 seulement en comptant dans le prologue ! Et l'autre dauphin, tu le nommes avant moi !

L'auteur (recule parce que Kabuto, l'air de rien y peut faire peur) :

-C'est pas toi que je cherchais ! Puis, au moins, c'est sûr maintenant que c'est toi !

Kabuto (toujours fâché) :

-Y a intérêt que ce soit moi ! D'ailleurs, tu nous sors deux nouveaux persos de nul part ! C'est quoi ça ? Tu veux encore jouer aux devinettes.

L'auteur (il ne mord pas au moins) :

-Non, parce que ça sera deux nouveaux persos rien qu'à moi ! Mais qui ils sont ? Je dirai rien !

Kabuto (de toute façon, l'est vacciné contre la rage) :

-Comme si j'avais envie de savoir ! Puis d'ailleurs, on sait très bien que pour l'instant t'en sait absolument rien !

L'auteur (sinon, on n'a qu'à le piquer) :

-Merde ! Encore découvert !

L'auteur rampe pour rejoindre la sortie vivant et éviter que Kabuto le massacre en le mordant sauvagement.

Kisame (revenu de nul part) :

-Bon, le temps qu'il finisse de fuir, laissez des reviews, parce que l'air de rien l'auteur est pas très satisfait du chapitre (pour ne pas dire pas du tout) Alors : review, review, review !