Titre : C'est mon subordonné !

Auteur : lunny

Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à Masashi Kishimoto. Mais Ikari m'appartient ! (Ikari essaye de fuir, se cogne contre l'auteur, repart en sens inverse…)

Résumé : Kabuto a osé quitter Orochimaru, que va faire notre serpent préféré pour le récupérer ? KabutoxOrochimaru

Genre : yaoi et OOC

Avertissement : Les anti-yaoistes sont priés de faire demi-tour, merci !

Note : Ouais ! chap quatre, je crois… C'était prêt depuis mercredi mais mon ordi déconne (ouinn!)Bon sinon: alors moi qui croyais que Kabuto ne pouvait pas aller plus haut dans les sommets vierges effarouchée je crois que j'ai atteint l'Himalaya là… En espérant ne pas aller plus haut… Enfin un peu d'action ! Enfin pas comme vous le pensez…

Bonne lecture !

Le dit Ikari soupira et répliqua :

-J'aimerai pouvoir en dire autant mais malheureusement, tu m'as été assigné comme coéquipier. Et vois tu, je voudrai bien arrêter de repérer les lieux pendant que monsieur se la coule douce. Ça fait un mois qu'on est ici, et tu ne fous absolument rien !

Kabuto se tourna vers Ikari le regard vide, comme si son âme s'était barrée. Il l'observa de bas en haut, l'analysant, l'autre perdait de sa superbe tandis qu'il était objet d'un examen minutieux. Le jeune homme portait des bottes noires, en cuir, Le haut de celle ci était caché par son pantalon noir lui aussi. Il portait un pull bleu clair lui arrivant jusqu'au genou lui donnant un air débraillé. L'épaule droite dénudée laissant voir une longue cicatrice commençant à la base de son cou et se terminant à l'extrémité de son épaule. L'épaule gauche recouverte par son pull épinglé de sorte que l'épaule droite reste dénudée et la gauche recouverte. Ses cheveux blonds comme les blés, étaient attachés en une queue basse. Ils arrivaient jusqu'à la moitié de son dos. Des lèvres pâles ainsi que la peau, des yeux en amandes presque noirs. La manière dont il se tenait laissé supposer un léger agacement ainsi que de la gêne. Ikari demanda l'énervement présent dans sa voix :

-Et pourrai tu arrêter de me regarder comme si j'étais un alien débarqué de je sais pas où ? C'est franchement gênant.

Kabuto sembla enfin émerger, il détourna son regard vers la fenêtre, il observa les rues, de rares passants s'y promenaient maintenant, il avait d s'assoupir, il faisait nuit. Observant sans la voir la rue, il finit par répondre :

-Désolé, je t'aiderai, demain.

Ikari observa Kabuto. Ikari semblait partagé entre le fait de sauter de joie et celui de savoir pourquoi l'homme observait la rue comme si il s'attendait à voir surgir quelqu'un. Ikari était d'un naturel curieux, très curieux, c'est pourquoi il demanda :

-Tu attends quelqu'un ?

Kabuto se tourna surpris, Ikari lui expliqua :

-Tu n'as pas quitté cette fenêtre depuis ce matin, et c'est comme ça tous les jours depuis qu'on est arrivé.

Kabuto baissa les yeux. Il ne s'en rendait même pas compte, ça ne lui semblait pas si bizarre de rester ainsi près de la fenêtre. Il ne s'était pas rendu compte que son attitude pouvait faire penser qu'il attendait quelqu'un… Il n'attendait personne, personne ne viendrait, pourtant, il ne pouvait pas s'empêcher d'espérer la venue de quelqu'un, espérer et attendre… Son attitude lui faisait penser aux princesses attendant le retour de leurs preuxs chevaliers qui leur avait promis de revenir... La plupart ne reviendront pas, morts à la guerre ou lassés de leurs compagnes et les autres, ils devront supporter leurs compagnes jusqu'à un nouveau départ faisant des parties de jambes en l'air de temps à autres, pas forcément avec leurs compagnes…Mais c'était différent car lui n'était pas une princesse, car personne ne lui avait promis de revenir, car personne ne reviendra faute de pas être parti et si quelqu'un revenait, il n'aurait pas à le supporter, car si il revenait lui fera tout pour qu'il ne reparte pas, puis il n'y aura pas de parties de jambes en l'air car il n'y en avait jamais eu. Mais de toutes façons, c'était lui qui était parti…

Puis qui il attendrait ? Personne à sa mémoire, mais les mots sortirent seuls de sa bouche, lui ne comprenant pas véritablement, de ce fait, il chuchota :

-Orochimaru…

-C'est qui lui ?

Et oui, Ikari avait une très bonne oreille. Et il ne s'était pas gêné pour poser sa question. Kabuto vira rouge très rapidement, comprenant ce qu'imaginait, ou commençait à imaginer son partenaire, il voulu se rattraper, mais cela le fit encore plus couler, il réussit à articuler :

-Personne !

Sa voix était tellement forte qu'elle laissait entendre son trouble. Ikari fit un grand sourire de prédateur, il demanda d'une voix innocente :

-Mais, dis moi, ça serait pas ton ancien maître ? Pour l'attendre comme ça pendant un mois tu dois vraiment être fou de lui !

Kabuto vira encore plus rouge, il avait l'impression qu'une voix dans sa tête répétait sans cesse : « Bourde ! Bourde ! » Et qu'on avait déclenché une sirène d'alarme. Ikari continuait ses suppositions à voix haute entre la relation reliant Kabuto et son maître. Kabuto bégayait très gêné puis se reprenant il lança très fort coupant Ikari dans son monologue :

-C'est pas du tout ça !

Ikari stoppa net, il observa Kabuto de haut en bas d'un œil surpris puis lâcha tranquillement :

-Je blaguais ! T'inquiètes…

Kabuto lança un regard noir à Ikari, celui ci fit un grand sourire et rajouta :

-Mais pour que tu réagisses comme ça, tu dois vraiment tenir à lui…

Kabuto revira rouge sous l'œil oh combien équivoque d'Ikari, l'alarme se déclancha une fois encore dans sa tête, en dernier recours, il cria :

-Mais je suis pas homo ! (L'auteur : J'espère que tu mens parce que ça me ferai mal de t'obliger… Kabuto : T'es pas très sincère là…)

Ikari scruta Kabuto, Kabuto qui avait fermé les yeux essayant d'arrêter cette foutue alarme, il allait s'effondrer en sanglots si ça continuait, pourquoi ? Aucune idée…(Kabuto : cette phrase ne sert absolument à rien…) Il sentit une main relever son menton. Il ouvrit les yeux, il tomba sur des yeux marron, presque noirs. Des yeux très proches, trop proches… Il entendit Ikari murmurer sa voix lui semblant lointaine :

-Comment peux tu en être si sûr ?

Kabuto ne bougea pas, il avait mal horriblement mal, et il ignorait pourquoi. Il ne voulait pas répondre, il ne pouvait pas non plus. Il avait l'impression de ne plus rien contrôler, mais avait-il déjà contrôlé quelque chose ? Ce n'était pas important car à cet instant, il lui semblait que son cerveau était parti en vacances. Ikari s'approchait de plus en plus, son souffle se mélangeait à celui de Kabuto, Kabuto qui avait les yeux grands ouverts, il était paralysé. Ikari murmura doucement :

-Peut-être que tu as tout simplement peur…

Ikari se pencha en avant pour embrasser Kabuto.

(J'avais très envie d'arrêter là, mais bon…)

Il reçut un violent coup de poing dans le ventre. Les derniers instincts de Kabuto s'étaient réveillés et il avait donné un coup pour éviter le pire. Ikari se retrouva propulsé. Il fit un salto arrière pour se repositionner tranquillement. Il observa d'un air détaché Kabuto comme si l'instant d'avant, il n'avait essayé de rien faire d'anormal. Il prit un air songeur puis finalement lâcha :

-Non, finalement t'es pas homo.

Kabuto regardait Ikari terrorisé dans un état proche de la crise cardiaque. Il soupira de soulagement quand il entendit la phrase, mais ça ne dura pas longtemps car Ikari continua :

-Mais par contre tu dois être Orochimaruphile …(Orochimaru:ça existe ça? L'auteur: je sais pas...)

-Quoi ! Fut la seule chose que parvient à dire Kabuto.

-Attiré par les Orochimaru voyons ! Expliqua Ikari comme si il annonçait une vérité connue par la terre entière, puis il reprit. A moins que tu sois serpentophile ?

Kabuto était proche de l'énervement à moins qu'il l'était déjà et puis cela faisait longtemps que ses neurones n'avaient pas étaient mis à contribution, c'est pourquoi il demanda :

-Mais qu'est-ce que tu racontes ?

Ikari pour seule réponse se dirigea vers le seul lit de la pièce, la chambre appartenant à Kabuto. Il chercha quelque chose sous les draps. Il ressortit enfin des draps sa main, dans laquelle il tenait un petit serpent en peluche. Kabuto sentit ses joues s'enflammer, il hurla courant vers Ikari :

-Argh ! Rends moi ça !

Ikari serra le petit serpent dans ses bras et dit avec une moue enfantine :

-Mais il est très mignon…

Puis prenant un air pervers il souffla d'une voix innocente :

-Dis moi, tu dors avec ?

Kabuto reprit immédiatement son serpent en peluche lançant un regard noir à Ikari qui lui souriait innocemment. Ikari se dirigea vers la sortie ne voulant pas se faire tuer par un Kabuto à peluche, mais en sortant avant que Kabuto lui balance son serpent à la gueule à cause de ses propos :

-Réfléchis bien à ce que je t'ai dis, et fais attention, un serpent ça mord…

A suivre

L'auteur (relisant le chapitre) :

-C'est encore plus bizarre mais bon… Sinon, j'ai une grande nouvelle ! Il y aura un petit lemon dans le prochain chapitre !

Kabuto (air dégoûté) :

-Et dans ma partie en plus…

L'auteur (étonné) :

-T'es pas sensé être content ?

Kabuto (regard noir vers l'auteur) :

-Tu sais très bien pourquoi je suis pas content…

L'auteur (sort le regard de chien battu) :

-Maaiiieuh ! Je suis désolé !

Orochimaru (qui tombe du ciel) :

-C'est pas pour vous déranger, mais moi, quand c'est ma partie ?

L'auteur (Allez Orochimaru vooolllle coommmme l'oiseauuuuu !)

-Après le chapitre prochain…

Orochimaru (des tempêtes sont annoncées en France, quelqu'un aurait chanté trop faux…) :

-Et quand est ce que je retrouve mon subordonné ?

L'auteur (Les autorités le recherche, il porterait un entonnoir sue la tête et serait déjà recherché auparavant…) :

-Ben ça dépendra de mon envie… puis je voudrai faire quelque chose de long…

Orochimaru et Kabuto (Veuillez nous le signaler si vous le voyez) :

-Et merde !

L'auteur (Attention il est très dangereux..) :

-Bon ben laissez des reviews. Et merci à ceux qui me lisent, surtout mes délires à la con...