Titre : C'est mon subordonné !

Auteur : lunny

Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à Masashi Kishimoto. Mais le serpent à peluche est… la propriété de Kabuto…Ouinnn !

Résumé : Kabuto a osé quitter Orochimaru, que va faire notre serpent préféré pour le récupérer ? KabutoxOrochimaru

Genre : yaoi, lemon et OOC

Avertissement : Les anti-yaoistes sont priés de faire demi-tour, merci ! Et nous avons une sorte de lemon dans ce chapitre, donc ceux que ça pourrait choquer… ben y connaissent la sortie !

Note : Ouais ! chapitre cinq ! Désolé pour ce retard de… (Ravale sa salive en comptant sur ses doigts) deux semaines… Mais je faisait d'autres fics puis j'étais crevé ! Mais là c'est les vacances ! Et vu que je ne pars nul part et que je suis encore malade ! J'essaierai de me rattraper ! J'ai remarqué un truc, vous n'aimez pas trop Ikari ! Mais il est mignon ! Puis il donne un peu de vie au récit ! En plus son passé et franchement traumatisant que demander de plus ! (Ikari : Au secours !) Bon, Ok, il est chiant mais moi l'aime bien ! (Ikari : Rhaa ! pourquoi ?) Dans ce chapitre, je crois que vous allez l'aimer ! Je crois… (L'abus de point d'exclamation nuit gravement à ma santé mentale…)

Bonne lecture!

Kabuto ouvrit les yeux, il observa la salle d'un œil morne. La commode sur laquelle trônait un réveil indiquant trois heures du matin, enfin c'est ce qu'il vit de sa vue floue, ou du moins à déterminer. Il chercha à tâtons ses lunettes. Il ne les trouva pas, il tâtonna plus vite énervé par cette perte de temps, le réveil toba. Kabuto se tînt la tête dans les mains en soupirant, il était très énervé, il respira lentement. Il sentit un regard sur lui. Les mots dits la veille lui revinrent à l'esprit, il fronça les sourcils, il finit par lancer d'une voix froide :

-Ikari, dégage !

Une voix qu'il connaissait trop bien pour avoir regretté de ne plus l'avoir entendu depuis un moment lui répondit tranquillement :

-Je ne suis pas Ikari…

Il écarquilla les yeux en se tournant vers l'homme qui l'observait. Devant lui, se tenait un homme aux cheveux longs et noirs de part et d'autres d'un visage mince. Un regard envoûtant, comme toujours. Pas rempli de haine pour une fois, du moins, sans ses lunettes elle ne la distinguait pas. Comme saisissant ses pensées, l'homme lui plaça ses lunettes sur le nez. Un silence s'installa dans la pièce, Kabuto saisit le vêtement de l'autre pour s'assurer que ce n'était pas une illusion. Quand il sentit le tissu doux sous sa main, il ne pu que murmurer, ébahi et heureux, les larmes aux coins des yeux :

-Orochimaru-sama…

L'autre se contenta de sourire sans prononcer une parole, il saisit le visage de Kabuto, et se penchant vers l'autre lentement, avec une grâce considérable, l'hypnotisant complètement, et Kabuto n'aurait détourné la tête pour rien au monde. Il avait l'impression de ne plus être perdu, parfaitement à sa place, il n'avait pas envie de le repousser, pas comme avec Ikari…

Des lèvres sensuelles frôlèrent les siennes, doucement comme de peur de ne rencontrer que le vide. Un deuxième assaut, plus un frôlement, une bouche contre une autre. Et un doux gémissement de bien être qui s'échappe se répercutant dans la salle où régnait maintenant une étrange atmosphère. La langue de l'homme pénétrant facilement dans la bouche de Kabuto. Qui explore cette bouche entièrement à sa merci, entièrement pour lui. La langue qui caresse sensuellement, doucement, essayant de réveiller sa partenaire, pour passer à un jeu plus amusant.

Les mains de Kabuto se promènent dans las cheveux de son homologue, fiévreusement, comme pour ne pas oublier ce toucher avant que l'illusion disparaisse. Il sent sur ses hanches deux mains près de son boxer, seul tissu qu'il porte la nuit. Deux souffles se séparent, un haletant, submergé par des sensations jusqu'alors inconnu, cet étrange bien-être… L'autre se promène déjà dans le cou de Kabuto, appliquant des légers suçons bien agréables. La tête descend doucement, parcourant le torse imberbe, le léchant avec délectation, le propriétaire du torse gémit à n'en plus finir, il sent une partie de son anatomie se réveiller. Et il soulève ses hanches suppliant l'autre d'aller plus vite et plus loin accessoirement.

Il sentit un sourire contre son ventre, il sentit une main descendre tranquillement le faisant languir. Cette même main qui s'arrêta à la lisière de son boxer le narguant. Caressant la peau doucement, à un rythme régulier. Kabuto pousse un gémissement de protestation, n'arrivant pas articuler quoi que ce soit. Soudain, il se retrouve allongé sur le lit, le dos plaqué contre les draps frais. Et la bouche qui s'était arrêté au nombril continue son trajet. Cette fois, elle ne s'arrête pas, la main qui reposait toujours près de son boxer l'enlève enfin. Libérant son sexe déjà dur. Et la bouche qui descend toujours. Il sent son sexe être englobé dans la bouche humide de son partenaire, et il gémit, le plaisir le prenant.

Il ferme les yeux, se laissant porter par les sensations, par cette bouche qui va et vient sur son sexe. Il murmure le nom de son partenaire, une si étrange litanie, mais ce nom est si doux à dire dans sa bouche… Mais au milieu de ces murmures de joie, au milieu de ces sensations prenantes, il entend :

-Kabuto…

Cette voix, ça ne pouvait pas être lui qui l'avait appelé. La raison était que sa bouche était pleine, de plus ce n'était pas sa voix, un timbre plus clair, moins grave…

Kabuto ouvre soudainement les yeux… Pour les refermer aussitôt. La lumière l'ayant aveuglé. Il les ouvre plus doucement essayant à s'habituer à la lumière du…soleil ? Il y a quelques minutes il était trois heures du matin ! Il se saisit précipitamment de ses lunettes... sur la commode. Il regarda le réveil qu'il était sûr d'avoir fait tombé, sur la commode lui aussi, il indiquai neuf heures dix. Il déglutit, c'était un rêve ?

Il entendit alors la voix d'Ikari à ses côtés, tranquille et amusée :

-Salut Kabuto !

Kabuto se retourna vivement vers Ikari, qui d'autre ? Il lui lança un regard noir mais finit par répondre :

-Salut Ikari…

Ikari sourit, il était debout près du lit, il observait Kabuto à moitié levé appuyé sur le montant du lit. Il dit sa voix toujours aussi enjoué :

-Désolé de te déranger, mai je voulais juste te dire que j'allais en repérage vers leur maison.

-Je t'accompagne. Déclara Kabuto se souvenant de sa promesse de la veille.

Ikari se retenait tant bien que mal pour éviter d'éclater de rire, c'est pourquoi, il dit un sourire énorme sur ses lèvres :

-Je ne doute pas de tes capacités, mais je sois partir tout de suite, et je ne vois pas comment tu pourrais calmer « ça » aussi rapidement.

Kabuto fronça les sourcils ne comprenant pas. Ikari lui désigna du doigt une partie de son anatomie reposant sous la couverture. Une bosse se distinguait parmi les plis du drap… Kabuto prit une belle teinte pomme et recouvrit la bosse de ses mains, très gêné. Ikari n'en pouvant plus éclata de rire. Kabuto lui lança un regard noir. Ikari se repris tant qu'il pu et réussit à articuler :

-Désolé ! Mais franchement, t'es réveillé dés le matin !

Kabuto, les joues brûlantes, lui lança un autre regard noir en sifflant :

-C'est de ta faute ! C'est à cause de tes sous entendu barges !

Ikari ne fut pas choqué ou blessé de ces reproches. Il sourit encore plus et demanda innocemment :

-Oh ! Dois je comprendre que tu as fais des rêves érotiques par rapport à un serpent en peluche ?

Kabuto se demanda un instant ce qui l'empêchait de tuer Ikari. Premièrement sa belle érection qui réduirait ses mouvements. Deuxièmement, le fait que tuer son coéquipier doit être très mal prit même par des mercenaires, et surtout par l'Akatsuki. Troisièmement, Ikari même si à cet instant n'en avait pas l'air, était comme même assez fort, assez pour entrer dans l'Akatuski du moins. Malgré cela, le fait de tuer Ikari demeurait aussi plaisant… Kabuto finit par répliquer :

-Tu sais très bien que ce n'était pas sur un serpent en peluche ! Je suis pas comme toi, moi !

Ikari pris un air faussement choqué et dit d'une voix tremblante :

-Mais Kabuto ! Ça me choque que tu penses ça de moi ! Je suis blessé au plus profond de mon âme ! Tu ne peux pas comprendre la douleur qui me lacère ! Non ce…

Ikari fut coupé dans sa tirade par un Kabuto tenant un réveil dans ses mains et se préparant à lui lancer dans la gueule. Ikari dirigea d'un pas pressé vers la sortie sous la menace d'un réveil. Mais avant de sortir, il ne pu s'empêcher de lancer :

-Si t'as besoin d'aide, je suis à ta disposition !

Un réveil rencontra une porte fermée vite fait et une voix hurla :

-Obsédé !

Personne ne lui répondit, c'était mieux comme ça. Kabuto se laissa tomber dans les draps. Ikari avait malgré lui raison, il devait « s'occuper » de « ça ». Kabuto soupira, est-ce qu'il aimait Orochimaru ? Dans son rêve, il ne l'avait pas repoussé. Dans son rêve, il l'avait laissé faire. Dans son rêve, il avait trouvé sa place…

La main de Kabuto se dirigea dans son boxer.

Il se souvenait du bonheur qui l'avait rempli quand il l'avait reconnu, quand il avait eut l'impression que c'était vrai. Et quand il l'avait embrassé, il avait l'impression d'avoir eut tous ce qu'il voulait.

Il saisit son sexe dans sa main.

Il se souvenait des sensations, elles l'avaient remplies, elles lui avaient fait du bien. L'impression de chaleur qui l'avait si bien empli… Si douce cette chaleur…

Il fit aller et venir sa main doucement comme l'autre avait fait aller et venir sa bouche dans son rêve.

Il se souvenait de ces caresses si douces, de simples caresses, mais il les adorait. Cette bouche contre sa peau.

Sa mains allait plus vite comme doté d'une volonté propre.

Les souvenirs se mélangeaient, tous emplis de douceur, de joie, de sensualité, de sensations, de caresses… de tous qu'il désirait de lui.

Il jouit enfin.

Mais, malgré qu'il se soit délivré, il ne ressentait aucun bonheur, aucune ivresse, aucune joie. Il se sentait las et épuisé. Il regarda sur le lit à ses côtés deux petits yeux noirs le fixant. Il regarda la peluche en forme de serpent… Il tendit la main et se blottit contre elle. Des larmes perlèrent de ses yeux tendis qu'il appelait désespérément :

-Orochimaru-sama…

à suivre…

L'auteur (souriant) :

-J'ai fini ! Enfin ! Merde ! J'ai cru que je commencerai jamais ce chapitre ! J'ai fait le lemon en cours d'anglais. J'ai eu 3 sur 10 à la dernière interro, faut que j'arrête de faire ça en cours, en plus l'es pas terrible.

Kabuto (air traumatisé sur le visage) :

-T'as pas osé faire ça ! Je te déteste ! Comment as tu osé ?

L'auteur (rétrécit à vue d'œil) :

-Mais fallait bien que je le commence quelque part, et la prof fait pas attention. En plus je m'ennuie…

Kabuto (gueulant sur le pauvre auteur qui fait son boulot, lui !) :

-Mais je m'en fous de ça ! Comment t'as osé me faire faire un rêve porno ! Je dors très bien la nuit !

L'auteur (je vise personne en particulier, je pense juste à moi même) :

-Tu dors la nuit ? Tu fais rien avec ton Orochi-chan ? Je croyais pourtant qu'il était actif, moi ! A part si vous faîtes ça en journée…

Kabuto (le retour de l'écrevisse version 2 !)

-Ah ! T'es aussi obsédé que l'autre ou quoi !

Orochimaru (qui s'amène de temps en temps c'est pas plus mal) :

-Euh, c'est quand mon tour ?

L'auteur (gagatise devant Orochimaru) :

-Au prochain chap ! Et j'ai aucune idée de ce qui va se passer !

Orochimaru (qui s'éloigne le plus possible de l'auteur) :

-Je crains le pire…

L'auteur (prenant un air pas du tout rassurant) :

-Mais non, mais non ! Allez des reviews pour un auteur complètement malade ! Ayez pitié !