Titre : C'est mon subordonné !

Auteur : lunny

Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à Masashi Kishimoto.

Vu ce qu'il en fait, je n'aimerai pas être à leur place !

Résumé : Kabuto a osé quitter Orochimaru, que va faire notre serpent préféré pour le récupérer ? KabutoxOrochimaru

Genre : yaoi, lemon et OOC

Avertissement : Les anti-yaoistes sont priés de faire demi-tour, merci ! Bon ben je crois que ça sera tout… Ah oui ! un petit massacre prévu dans ce chapitre !

Note : Je commence le chapitre 8 ! Point de vue de notre petit Kabuto, notre vierge effarouchée préférée ! Que dire ? Simplement que ce chapitre est un massacre autant mettre un seau à côté de vous car je vais essayer d'aller dans la pire horreur possible !

Bonne lecture!

Kabuto enfila ses vêtements attitrés pour ses missions. Un masque noir lui recouvrant le visage, laissant entrevoir ses yeux perplexes. Il ne comprenait pas bien la réaction d'Ikari. Mais, de toutes façons, il n'était même pas capable de comprendre ses propres réactions… Il enfila son pantalon. Noir lui aussi, le noir qui permettait de se fondre dans la nuit. Cela permettait d'attaquer dans la tranquillité absolue. Du moins tant qu'il n'avait pas de lumière. Il sortit de sa chambre, paré à sa mission. Des kunai glissés dans sa jambière ainsi que des lames. Il remonta ses lunettes, nerveux. Dans le couloir, il attendit Ikari, faisant attention que personne ne sorte de sa chambre, car dans ce cas, on le verrait. Et on se poserait sûrement des questions. Il attendit alors sur ses gardes que son compagnon arrive.

Ikari sortit un peu plus tard de sa chambre, il était vêtu de la même façon que Kabuto, seuls les cheveux blonds du premier les différenciaient. Effectivement, il ne les avait pas cachés. Mais ce n'était pas important, si on les reconnaissait ce n'était pas si grave. Il n'aurait qu'à tuer quelques personnes de plus. Ils se dirigèrent tous deux vers la fenêtre et sautèrent. Ils disparurent dans le manteau de la nuit. Ils ne virent pas et n'entendirent pas un petit garçon qui demandait à son père :

-Dis, pourquoi les messieurs, ils étaient déguisés ? Je pourrai avoir le même ?

Ils n'entendraient jamais le père répondre :

-J'espère que tu ne le porteras jamais… Il faut aller prévenir les autres avant qu'il ne soit trop tard… Vas-y !

Le petit garçon s'exécuta, ne comprenant pas très bien. Il disparut dans les escaliers. Il ne vit pas son père tomber à genoux au sol, une lame traversant sa tête. Sortant entre ses deux yeux. Il ne vit pas la lame sortir faisant tomber le père complètement au sol. Il ne vit pas le sang se répandre sur le sol et il n'entendit pas quelqu'un dire :

-Je t'offre un troisième œil. Ça t'apprendra à te servir trop des deux autres…

L'homme essuya sa lame. Il jeta un regard par la fenêtre. Sa silhouette semblait fantomatique, ses longs cheveux noirs voltaient doucement. Il sortit lui aussi par la fenêtre. Il ne vit pas une deuxième ombre le suivre, ombre qui avait assisté au spectacle sans rien dire. Il ne la vit pas, mais la sentit. (Non, ils sont pas tous aveugles ! juste un peu timbré ! Puis la preuve qu'ils ne sont pas aveugles ! Kabuto a vu que Orochimaru était Ahooouuuuuuu (bave) !)

Dans la nuit, deux autres silhouettes sautaient de toit en toit. Celle aux cheveux blonds, cheveux le suivant faisant penser à une traînée d'étoiles (non pas cette traîné là !), parlait doucement, semblant donner des ordres bien précis et important. L'autre se contentait de hocher la tête de temps à autre, montrant qu'il ne se foutait pas royalement de son coéquipier. Ils finirent par s'arrêter. Ils se tenaient sur un toit en face de la villa qu'ils allaient attaquer. Ikari semblait un chat, du moins sa position le faisait penser. Il se tenait sur la pointe des pieds, appuyé sur ses deux mains au sol entre ses cuisses. Il ne lui manquait plus que une queue (pas celle là bande de perverses !) et deux oreilles et on aurait pu le prendre pour un vrai chat, un chat en chasse assurément. Kabuto lui se tenait debout, sa silhouette se découpant dans la nuit, comme un mauvais présage. Les deux hommes se regardèrent. Avec un hochement de tête l'un et l'autre, ils disparurent. Du moins, ils partirent tellement vite que l'on ne les distinguait plus. Mais sur le toit en bois clair de la maison, on pouvait distinguer deux ombres allant vers deux côtés opposés à une vitesse hallucinante. Mais personne ne regardait sur le toit, trop occupé à regarder vers le sol sans voir le ciel.

Kabuto frôlait à peine le toit en courant. Il ne faisait aucun bruit pour ne pas être perçu des gardes. Il se retrouva bientôt au dessus d'un couloir extérieur faisant le tour de la maison. Il se trouvait à son extrémité dans un angle mort. Il eut un petit sourire de vainqueur en sortant quelques armes et un lame. Cela promettait d'être facile. Il malaxa son chakra et doucement sans un bruit, il se retrouva la tête en bas, accroché par les pieds au revers du toit. Il regarda les hommes au sol. Des gardes, le plan était simple, les tuer sans faire un bruit pour ne pas alerter les gens dans la maison. Il les compta rapidement, dix ou onze. Ça serait sûrement facile, aucun ninja ne serait dans le rang. Du moins, il ne le ressentait pas. Il sourit sadiquement en se rendant compte que malgré qu'il soit à découvert personne ne l'avait remarqué. Pourtant la lumière dans le couloir extérieur découpait sa silhouette le rendant bien visible. Mas personne ne regardait vers le haut, les yeux rivés sur le jardin C'était trop facile, franchement ça en devenait chiant. Juste en dessous de lui, un homme. Il ne le voyait pas. Alors que lui aurait pu compter ses cheveux… Affligeant, ça en était affligeant. Kabuto lui planta simplement sa lame dans la tête, perpendiculairement au sol. Il était légèrement fier de lui. Il enleva rapidement la lame et se précipita toujours à l'envers vers le prochain gardien. Quand il planta un kunai avec précision dans un point vital de celui ci. Il entendit le premier corps tomber. Il devait faire vite, il ne fallait pas faire de bruit. Il lança une lame sur le troisième et courut. En quelques secondes, les onze gardiens, Kabuto les avait comptés, avaient péri. Kabuto retomba lestement sur le sol. Il avait traversé le couloir en entier. Il se retourna. Il vit les corps sans vies, pour la plupart, il n'y avait qu'une arme qui les traversait, d'autres, Kabuto avait récupéré ses armes pour les relancer. Il regarda le dernier cadavre. Sa dernière victime. Un visage jeune mais mature. Des yeux vides, le visage entier figé de surprise et d'horreur. Une lame plantée dans l'estomac. Kabuto retira la lame, le corps eut un dernier spasme. Puis plus rien. Le sang coula sans aucune barrière.

Kabuto soupira, c'était presque ennuyeux. Il allait passer par dessus la barrière entourant le couloir quand il entendit le corps pousser un dernier râle :

-Maman…

Kabuto sauta et se retrouva dans le jardin. Il sentait l'odeur de mort sur lui, l'odeur du sang. Il se sentait sale, mais il n'ignorait pas que ça ne faisait que commencer. Il se dirigea lentement vers le devant de la bâtisse. Il n'y avait que deux gardes, à chaque extrémité, on n'attaquait jamais par devant, alors ça ne servait pas à grand chose. Il se faufila jusqu'au premier garde. Les yeux vides, il semblait une marionnette, la marionnette de l'Akatsuki. Il se glissa derrière le garde, une femme, ça le ferait presque sourire, il n'avait jamais eu de pitié, ce n'était pas ainsi que ça allait changer. Il plaqua la femme contre lui et lui enfonça vivement une lame dans son estomac, la femme aurait hurlé si Kabuto ne lui coupait pas la respiration avec son avant bras. Il retourna vivement la lame cherchant à perforer l'estomac. Puis il ne bougea plus attendant que le corps se vide de son sang. Il sentait le corps chaud de sang de la femme contre lui. Mais il n'avait aucun désir, aucune chaleur, à part ce sang. Il ferma les yeux, il devait vraiment être atteint pour penser à ça un moment pareil. Il resserra pourtant le corps de la femme contre le sien. Il n'était pas homo ! Il aimait les femmes ! Il en était sûr. Mais même comme ça, même en fermant les yeux, il ne ressentait aucun désir, aucune chaleur, aucun bonheur, pas envie de plus. Il défit son étreinte et des larmes coulèrent le long de ses joues. Merde et merde… Pourquoi fallait-il que ce soit ainsi ? Pourquoi il n'était pas normal ! C'était foutu, il désirait le seul homme qu'il ne pouvait avoir…

Le corps au sol répandait son sang, des yeux vides encore, et sur ses joues, des larmes coulaient. Mais c'était celle d'un jeune homme désespéré, ses larmes tombaient sur le corps sans vie, qui a dit que c'est le bonheur d'aimer ?

Kabuto se reprit. Il se dégoûtait. Penser à ça en pleine mission. Et en plus, il chialait. Il essuya vivement ses larmes, s'en voulant d'un tel laisser aller. Si Orochimaru avait vu ça il aurait sûrement subi milles et une tortures. Mais justement le problème était là : Orochimaru n'était pas là…

Il redescendit le jardin et longea le couloir extérieur. Il se faufila vers le deuxième garde. Il se glissa comme pour l'autre derrière lui. Il sortit un fil de pêche de sa poche. Il entoura vivement le cou du gardien de ce dernier et tira. Il tira jusqu'à que l'homme s'étouffa et gis sur le sol. Pas de sang cette fois, pas de chaleur non plus. Kabuto de rendit vers le milieu du couloir le plus discrètement possible. Il ferma alors la grande porte et la scella même rapidement. Puis il s'éloigna. Il avait pour mission d'intercepter les survivants. Ikari lui avait sûrement tué les autres gardes. Il montrait alors sur le toit et le ferrait brûler. D'ailleurs les âpres de fumée parvenait déjà à lui. Ceux qui réussiraient à s'enfuir, il devra les tuer, il ne devrait avoir aucun survivant, tels étaient les ordres. Ikari l'aiderait quand il aurait fini de tout faire brûler.

Des cris se firent entendre perçant le silence de la nuit. A travers les fenêtres des salles éclairés par le feux au pouvait deviner la panique. Kabuto entendit des gens essayer de passer la porte. Aucune utilité bien sûr, elle était fermée. Des pleurs d'enfants se joignirent bientôt aux cris perçant des femmes. Kabuto voyait maintenant les flammes s'élever. Dramatique tableau parmi les cris et pleurs. Il sentit quelqu'un près de lui. Il se tourna et dit à Ikari :

-Alors ?

-Restes un passage secret… pas pu bloquer… pas le temps… faillit me faire prendre… répondit un Ikari essoufflé.

Kabuto hocha la tête. Ikari et lui se placèrent près de cette sortie sur les indications de ce premier. Ils entendirent des gens marcher sous leurs pieds. Ils virent une trappe se soulever. Bientôt une première tête sortie, bientôt suivit d'une deuxième. Les têtes se retrouvèrent quelques secondes après à quelques mètres de leurs corps d'origine. Du sang se répandit encore. Un cri, une exclamation puis dans un dernier sursaut de courage ou de folie, des hommes, des femmes et mêmes des enfants se précipitèrent hors du souterrain.

Un bain de sang eut lieu. Ikari plus souvent dans les airs que sur le sol envoyait des kunai et quelques techniques ninja sur les corps élancés dans leurs fuite. Les corps tombaient encore et encore et les cris, les pleurs et l'odeur de la fumée et du sang se mélangeaient dans l'esprit de Kabuto. Esprit qui ne faisait et ne réfléchissait qu'à une chose à cet instant : tuer !

Le sang chaud se répandait sur ses mains, alors qu'une énième fois il enfonçait sa lame dans l'estomac d'une personne. Quand il retira la lame, il se rendit compte du ventre légèrement rond, qu'il venait de tuer une femme porteuse d'un enfant. Mais dans son esprit devenu presque fou, cela ne lui fit rien. Il esquissa même un petit sourire. Et les cris venant de la maison continuaient mais c'était trop tard pour ceux là car dans un dernier crépitement, la maison s'écroulait sur leurs corps terrifiés. Et dehors dans le jardin, les derniers survivants avaient cessé de courir, fixant sans la voir la maison réduite en cendre. Il ne restait que peu de survivants. Kabuto saisit un enfant et lui trancha la tête sans plus de cérémonie. Il tenait la tête encore dans sa main quand il vit le visage figé d'Ikari plus loin éclairé par le feu. Il vit le masque tomber comme au ralenti, il ne lui semblait plus rien entendre. Et malgré les crépitements du feu, il sembla entendre le masque quand il rencontra le sol. Et alors, il réentendit les crépitements du feu et entendit aussi l'enfant, dont Ikari tenait la main pour l'empêcher de s'enfuir, dire :

-Mademoiselle ?

Les yeux de Kabuto s'agrandirent quand il reconnu Shakyo, le petit garçon au ballon. De toutes évidence, il avait reconnut Ikari. Ikari se figea un instant, Kabuto pu lire l'horreur dans ses yeux et l'hésitation. Mais bientôt la lame d'Ikari fendit l'air, et le petit corps fut transpercé par la lame.

Kabuto se rendant compte de son inactivité envoya un dernier kunai dans le dernier survivant de cette tuerie. Il lâcha la tête de l'enfant dégoûté. Il vit ses deux mains complètement rouges malgré la pénombre seul des petites flammes crépitaient encore. Il s'approcha d'Ikari qui fixait le corps à ses pieds. Le corps d'un petit garçon, il s'appelait Shakyo…

D'un commun accord, bien silencieux, ils rentrèrent tous deux à l'auberge. Sautant de toit en toit comme à leur habitude. Ils ne virent pas la dernière flamme s'éteindre et une bande d'homme armé regardant le spectacle. Au milieu de ces homme, un petit garçon, les yeux encore gonflés de l'assassinat de son père.

Dans la chambre de l'auberge, Kabuto assit sur le lit fixait ses mains gantés. Le tissu malgré sa noirceur laissait apercevoir des légères teintes rougeâtres. Il se rappelait de la nuit qu'il venait d'avoir. Il doutait pouvoir trouver le sommeil ce soir. Pas après ça, mais pourtant, il l'avait fait aux côtés de son maître. Alors pourquoi il se dégoûtait ? Il mit sa tête dans ses mains, il sentit le liquide maintenant poisseux sur son visage. Il enleva ses gants, dégoûté. Il les lança au loin. Puis il aperçut la peluche de serpent sur la commode. Il la caressa du bout des doigts. Puis doucement, il la prit et violemment il la serra contre lui. Des larmes franchirent ses paupières qu'il maintenait obstinément closes. Il sanglotait doucement comme un petit garçon. Puis au milieu de ces pleurs, il appelait indéfiniment :

-Orochimaru-sama…

-T'as bientôt fini de m'appeler ? répondit une voix des moins douces.

Kabuto ouvrit les yeux et tomba nez à nez sur Orochimaru. Ce dernier se tenait à quelques centimètres de lui. Puis il s'éloigna et le regarda et lança :

-Et bien, je ne croirai pas te retrouver ainsi, tu fais franchement pitié…

Kabuto ne répondit rien. Il regarda son maître, ou plutôt son ex-maître et accessoirement l'homme qu'avait choisi son putain de cœur. C'était peut-être encore un rêve. Kabuto renifla et observa l'homme. Homme qui énervé lui demanda :

-Qu'est ce que tu as ?

-C'est vraiment vous ? demanda Kabuto.

-Ils t'ont fait quoi exactement ? Parce que moi je n'ai pas envie de me retrouver avec un subordonné à moitié lobotomisé… Bien sûr que c'est moi abruti !

-C'est pas encore un rêve ? demanda naïvement un Kabuto les yeux rouges d'avoir pleuré.

(Notez qu'il est vraiment con, c'est sûr qu'Orochi-chan (ah quel surnom !) va lui répondre : Ouais c'est un rêve alors tu te grouilles parce que j'a aussi Kimimaro (l'ortho pas sûr là) à aller voir!)

-C'est quoi cette question ? Interrogea Orochimaru surpris. Tu rêves de moi maintenant ?

Kabuto rougit à ce souvenir et ne répondit rien. Il regarda Orochimaru, il hésitait de l'attitude à prendre. Ce dernier légèrement énervé lança :

-Quel accueil, franchement si j'avais su je serai resté chez moiaaaaahhh !

Cette fin de phrase fut du au fait que Kabuto avait proprement dit, sauté sur son maître, et vous aurez beau dire, un Orochimaru peut crier de surprise. Kabuto enfouit sa tête dans le torse de son maître paralysé. Il serra le pull de ce dernier et se mit à pleurer doucement. Orochimaru hésita un moment puis le serra dans ses bras en soupirant :

-Raah ! Pas possible ! Je te laisse quelque temps en liberté et je te retrouve en fillette pleurnicharde !

Mais malgré ce qu'il disait, il était un peu rassuré. Orochimaru voyait dans les gestes de Kabuto qu'il lui avait manqué. Il resserra la prise de son subordonné. Pas un rêve cette fois, pitié, pas un rêve… ça l'avait fort troublé quand Kabuto avait fait l'allusion qu'il avait rêvé de lui. Mais il doutait que ce soit le même rêve. Non, Kabuto était gentil et innocent, hein ? D'ailleurs cette impression se confirma quand Kabuto leva les yeux larmoyants vers lui et qu'il murmura :

-Pardon Orochimaru-sama !

Orochimaru faillit reculé, autour de Kabuto il aurait presque pu voir des clignotants indiquer : mignon ! Mignon ! … Il soupira et posant sa main sur la tête de Kabuto pour qu'il la remette comme il y a quelques secondes, il soupira :

-Pas grave…

Il sentait le souffle de Kabuto à travers son pull, il l'entendit murmurer dans son pull :

-Je le referai plus Orochimaru-sama ! Je vous le jure ! Je partirai plus… Alors laissez moi rester avec vous… S'il vous plait, je veux rester avec vous…Je serai votre objet si vous voulez !

Orochimaru releva du bout des doigts le visage de Kabuto. Il attrapa son menton et murmura comme une confession des paroles qui firent rougir Kabuto :

-Kabuto, tu m'appartiens déjà, tu es entièrement à moi… à moi seul…

à suivre…

L'auteur (petits cœurs autour de lui) :

-Ah ! Ils se sont retrouvés ! Que c'est mignon ! Ce chapitre est trop mignon !

Ikari (air très sérieux) :

-Ouais, si on enlève le massacre, le meurtre d'un mec, le blues de Kabuto… Ouais, c'est peut-être mignon…

L'auteur (poids des remords ) :

-Tu m'en veux ?

Ikari (air furieux) :

-Mais bien sur espèce de malade ! J'ai tué un pauvre gosse que j'ai rencontré sans pitié ! Puis c'est sans compter les femmes, les hommes et les autres enfants sans défense !

Kabuto (arrivé avec aura meurtrière)

-Et moi, tu me fais essayer d'avoir du plaisir en tuant une femme pour au final me rendre compte que j'aime Orochimaru ! Qui d'ailleurs n'est toujours pas au courant ! C'est quoi cet auteur !

Orochimaru (petits cœurs le retour) :

-Mais je sais que tu m'aimes mon Kabut-chan d'amour !

Kabuto (sort une massue et frappes Orochimaru) :

-Mais dans la fic crétin ! Elle t'as contaminé ou quoi !

Yami (toussote) :

-Et moi, je suis là quand ?

L'auteur (feuilletant ses notes) :

-Ben le prochain chapitre est centré sur toi et Ikari…

Yami (souriant et volltant avec de petits coeurs) :

-Ouais mon Ika-chan d'amooouuur !

Ikari (air blasé) :

-Rien ne stipule que l'on est ensemble… Ou qu'on le sera…

L'auteur (se tapant la tête contre le mur) :

-merde j'avais oublié ! Vous voulez du IkarixYami ? Envoyez des reviews pour voter !