Titre : C'est mon subordonné !
Auteur : lunny
Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à Masashi Kishimoto.
J'ai essayé de soudoyer les personnages, mais ils ont préféré retourner avec ce sadique ! Pff la vie est injuste.
Résumé : Kabuto a osé quitter Orochimaru, que va faire notre serpent préféré pour le récupérer ? KabutoxOrochimaru
Genre : yaoi, lemon et OOC
Avertissement : Les anti-yaoistes sont priés de faire demi-tour, merci ! Bon ben je crois que ça sera tout… Ah si, cramage d'un bâtiment tranquille.
Note : Je commence le chapitre 10 ! Ouah ! Le chiffre tout rond ! Je croyais pas que ça durerait si longtemps ! Courage, il ne reste plus que trois chapitres après ! Euh, ça fait treize… Ouinnn ! Ça porte malheur ! Allez ! Courage !
Bonne lecture!
Dans la chambre de Kabuto, ce dernier semblait s'être endormi dans les bras de son ex-maître. Il somnolait comme un bien heureux. Il attendait son réveil. Ça ne pouvait pas être vrai. Orochimaru ne pouvait pas le serrer dans ses bras. Orochimaru ne pouvait pas être venu le chercher. Orochimaru n'était pas ici. Alors, il profitait de cet instant de tranquillité. Mais il pleurerait à son réveil. Il ne pourrait s'en empêcher. Il respira profondément dans le pull de son maître. Cette odeur, elle semblait être la vraie. Ce parfum si envoûtant et si étrange qui appartenait à son maître. Mais ce n'était qu'un rêve… un stupide rêve.
Dans la chambre d'Ikari, ce dernier dormait. Il ne s'agitait plus, il restait immobile, il semblait doucement se réveiller. Il cligna des paupières. Il scruta la pénombre dans sa chambre. Il tomba sur deux yeux rouges qui le fixaient. Il tendit la main et caressa un visage. Puis il retira vivement sa main et se redressa et cria presque :
-Yami ?
Mas il ne pu rien ajouté car dans la pénombre de la nuit, des cris retentirent et une odeur de fumée s'éleva.
Kabuto se détacha vivement d'Orochimaru. Son rêve se mouvait en cauchemar. Il lança un regard à Orochimaru. Ce dernier s'était éloigné, il regardait par la fenêtre quand il murmura :
-Une attaque de civils…
Kabuto se précipita à la fenêtre. Il regarda à son tour. Des hommes armés entouraient la façade de l'auberge. Kabuto trembla. Ils voulaient se venger, ils voulaient le tuer… Il vit certains porter des flambeaux. Il les entendait hurler et il trembla. Il ressentit la peur, aussi étrange soit-il, il avait peur. Pourtant il avait affronté bien des ninjas, il avait combattu des hommes plus que raison. Ce soir même, il avait éliminé une famille. Alors pourquoi ce frisson ? Peut-être que simplement, il venait de croiser le regard d'un enfant. Et la rage dans ses yeux n'aurait pas du exister. Le poids de la culpabilité s'abattait sur lui en même temps que cet enfant le regardait. Et il recula pour ne plus voir ce visage. Il percuta son maître.
-Tu devrais partir, je ne crois pas qu'ils sont là pour prendre le thé… murmura Orochimaru.
-Je… e peux bien les battre ! Ce ne sont que des civils ! répliqua vivement Kabuto.
- Tu n'as pas dormi de la nuit, et puis tu as assez tué de personne pour une nuit. Rétorqua doucement Orochimaru.
Kabuto regarda son maître, comment savait-il ? Est ce qu'il l'avait vu ? Et quand il avait… avec cette femme… Il l'avait vu ? Quand il avait égorgé un garçon, il l'avait vu ? Mais ces questions furent sans réponses car Orochimaru lui ordonna :
-Je suis ton maître, tu me dois obéissance ! Et je te dis de fuir !
Kabuto se dirigea alors vers la fenêtre comme un automate pendant que Orochimaru, plus civilisé ouvrait la porte. Kabuto se retourna et demanda timidement :
-Vous me retrouverez, hein ?
Orochimaru le regarda un moment puis eu un petit sourire sadique avant de répondre :
-Je ne t'ai pas encore puni pour être parti que je sache.
Kabuto sourit, pour résumer, Orochimaru le retrouverait, mais il se demandait bien quel genre de punition il recevrait. Il sortit par la fenêtre et sauta sur un toit. Personne en bas ne le remarqua. Il ne servait à rien de regarder le ciel. Mais si il l'avait regardé, ils auraient vu que les étoiles étaient bien belles ce soir…Ou peut-être que le temps se couvrait.
Kabuto courait dans une des rues du village quand le tonnerre retentit presque aussitôt la pluie commença à tomber. Il hésita de la démarche à suivre. Il aperçut alors une échoppe vide au loin. Le vendeur était sûrement parti vers l'hôtel dans le dessin de venger les morts. Il s'y réfugia, côté vendeur pour ne pas se faire apercevoir. Le stand était vide de nourriture et de chaleur. Il se tassa dans un coin et attendit. Il serrait ses genoux dans ses bras tandis que le froid se faisait plus intense et que la pluie tombait plus fort. Il l'entendait tomber seul bruit dans cette rue si vide qu'elle semblait abandonnée. Il fixa le petit mur de bois lui faisant face. Ses pensées divaguaient doucement. Revenant constamment à son maître qu'il venait de retrouver. Il lui causait sans cesse des soucis. Si il n'était pas parti, Orochimaru n'aurait pas perdu du temps à le retrouver. Si il n'avait pas tué ces gens, il ne perdrait pas du temps à tuer leurs vengeurs à ce moment. Mais Kabuto, lui ne pouvait voir qu'à aucun moment Orochimaru n'avait été obligé de faire quoi que ce soit. Mais peut-être qu'il le voulait, simplement… Mais ça Kabuto ne voulait pas y penser. Car ça ne pouvait pas être vrai.
-Pardon Orochimaru-sama, murmura le jeune homme serrant ses poings.
-Tu as fini de t'excuser ? demanda le concerné.
Kabuto releva les yeux, devant lui se tenait Orochimaru. Orochimaru couvert de sang, pas du sien heureusement. Kabuto remarqua qu'il tenait quelque chose dans sa main. Orochimaru suivant son regard grimaça. Il lui tendit la peluche maugréant :
-Je crois que cela t'appartient…
Kabuto prend doucement la peluche et la serre contre lui en rougissant. Orochimaru le fixe. Il relève doucement ses yeux. Il serre la peluche fort contre lui. Il observe les deux orbes, qui le fixent, timidement. Il se relève un peu et se tient debout. Il murmure merci. Orochimaru le fixe toujours. Il finit par demander :
-Bon ! Qu'est ce que t'as ?
Kabuto ne répondit rien, il détourna les yeux et fixa la rue qu'il apercevait depuis la petite échoppe. Il pleuvait toujours. Il sentit son menton se faire prendre. Il sentit qu'on l'obligeait à tourner le visage. Il rencontra les yeux furieux de son maître. Il trembla, il était si proche. Il entendit Orochimaru lui parler. Mais il ne comprenait plus un espèce de bourdonnement dans sa tête l'empêchait de comprendre. Il était si proche. Et Kabuto prit d'une impulsion l'embrassa.
Il se dégagea rapidement et essaya de partir. Mais il se retrouva au sol. Orochimaru au dessus de lui dans un échoppe. Il l'entendit murmurer :
-Je ne me souviens pas t'avoir dit de fuir…
A suivre
L'auteur (se marrant) :
-Ahahaha ! C'est trop marrant ! Le pauvre Kabuto !
Kabuto (pleurant dans son coin) :
-Maieuh ! Pourquoi ça arrive qu'à moi ! Pourquoi !
L'auteur (tapotant l'épaule de Kabuto) :
-Mais t'inquiète ! Il va pas te tuer !
Orochimaru (figé) :
-Il m'a embrassé…
L'auteur (inquiet) :
-Orochimaru ?
Orochimaru (sautant partout) :
-Il m'aimeuh ! Il a fait le premier pas ! Y va avoir du lemon ahahaha !
L'auteur (réfléchissant) :
-Je sais pas… Si j'ai plus de deux reviews peut-être !
Orochimaru (hurlant) :
-C'est du chantage !
L'auteur (haussant les épaules) :
-J'en ai marre, j'ai l'impression d'écrire pour des prunes…
Orochimaru (hurlant) :
-AH ! Reviewez ! Mon Kabut-chan ! Je veux mon Kabut-chan !
