Titre : C'est mon subordonné !

Auteur : lunny

Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à Masashi Kishimoto.

J'ai essayé de soudoyer les personnages, mais ils ont préféré retourner avec ce sadique ! Pff la vie est injuste.

Résumé : Kabuto a osé quitter Orochimaru, que va faire notre serpent préféré pour le récupérer ? KabutoxOrochimaru

Genre : yaoi, lemon et OOC

Avertissement : Les anti-yaoistes sont priés de faire demi-tour, merci ! Nous avons aussi dans ce chapitre du lemon, non nous n'avons plus d'orange sanguine, j'espère ne pas vous décevoir.

Note : Je commence le chapitre 11! Ah, je plaisantais pour le lemon seulement si j'avais des reviews ! J'ai comme même été impressionné par le nombre de review ! Je devrai faire du chantage plus souvent… Non, je plaisante. Merci ! Je suis touché ! les réponses arriveront surement demain!Bon sinon, je vois que certains me connaisse bien, ou sont perspicaces, eh oui, la punition d'Orochimaru c'est… et c'est dans… Mais trêve de bavardages, le lemon nous appelle !

Bonne lecture!

La phrase résonnait dans sa tête. Mais, fuir c'est ce qu'il faisait le mieux ! Il déglutit quand il vit les yeux furieux d'Orochimaru. Il pu sentir son cœur s'accélérer tandis qu'Orochimaru s'approchait de son oreille. Il pu sentir son souffle quand il murmura :

-Et d'ailleurs, je ne t'ai pas encore puni…

Kabuto frissonna, il aurait voulu n'importe quelle autre punition. Celle qu'il voyait se profiler ne lui plaisait pas. Peut-être parce que ça lui ferait plus mal que n'importe quelle torture. Car il savait qu'à la fin, Orochimaru murmurerait près de son oreille : Sentiments non partagés. Et il savait que la chose la plus dure à faire serait d'essuyer cette humiliation. Un ninja n'aurait jamais du avoir de sentiments…

Alors comme seule défense, il résista, il ne pouvait faire que ça, il se débattit tandis qu'Orochimaru au dessus de lui essayait de le déshabiller. Alors, Orochimaru changea de tactique. Doucement, il l'effleura, il le caressa. Et Kabuto sentit le désir se faire plus présent. Une par de lui voulait crier pour en avoir plus. Mais l'autre ne voulait pas, cette partie ne voulait pas se faire humilier, cette partie ne voulait pas repenser à ce moment en se disant que c'était la dernière fois. Mais cette partie se dispersa tandis qu'une langue avide pénétrait la bouche de Kabuto lui faisant oublier l'humiliation qu'il devra subir.

Orochimaru sentait le corps chaud de Kabuto onduler sous lui. Sensuellement, le faisant presque frémir. Il sentait une langue rejoindre la sienne timidement. Un ballet étrange commença, seulement des frôlements timides tout d'abord puis doucement un peu plus appuyés, ensuite la danse commença. Orochimaru appuya ses avant-bras à proximité de la tête de Kabuto. Il se frotta doucement à lui. Orochimaru voulu s'éloigner de la bouche de son subordonné mais ce dernier ne semblait pas d'accord. D'ailleurs, il venait de s'emparer de ses lèvres une nouvelle fois comme signe de protestation. Il sentit deux mains agripper ses cheveux et l'obliger s'approcher. Kabuto était d'humeur hormonale aujourd'hui.

Kabuto sentit une nouvelle fois les lèvres de son maître s'éloigner, mais il ne fit aucun geste cette fois. Il avait honte, il prenait du plaisir à ça. Il prenait du plaisir à cette punition qu'il recevrait. Mais il oublia ses pensées quand il sentit la bouche de son maître parcourir son cou et se laissa aller à gémir.

Orochimaru se délectait de la peau sous sa bouche, il passa sa langue doucement dessus. Il sourit contre la peau quand il entendit les gémissements de Kabuto, il n'y avait plus aucun obstacle. Il suçota la peau avec douceur. Puis il la mordit violement jusqu'à sentir le goût acre du sang dans sa bouche. Il lécha la plaie avec ferveur. Kabuto semblait partagé entre la douleur et le plaisir. Mais le dernier l'emporta quand Orochimaru laissa sa main glisser le long de son flanc avec une lenteur calculé. Kabuto aurait voulu sentir ses doigts directement sur sa peau.

Orochimaru se releva quelque peu. Il se tenait à califourchon sur son subordonné, il examina ce dernier, sa main se promenant sur son flanc en une douce caresse. Il l'observa. Il avait les yeux fermés et Orochimaru pouvait distinguer malgré la pénombre les joues rouges de l'homme. Il entendait sa respiration haletante. Il sentait sous ses doigts la peau frissonner sous le pull. Un gémissement franchit de nouveau les lèvres de l'homme accompagné d'un murmure :

-Orochimaru-sama…

L'homme, entendant cette supplication, eut un sourire prédateur. Il dirigea sa main qui se promenait sur le flanc vers le bas du pull. Il effleura volontairement la bosse qui déformait le pantalon. Le grondement qui en suivit en disait long sur ce qu'en pensait Kabuto. Mais ils avaient tout leur temps. Il remonta le pull avec soin, prenant le temps d'explorer chaque parcelle du torse d'une blancheur envoûtante. Des yeux, il dévorait le torse du regard. Des mains, il l'effleurait, le caressait et le pinçait. Le pull rejoignit bientôt le sol. Orochimaru laissa place à ses lèvres. Il goûtait chaque parcelle de peau du torse imberbe. Il semblait ne vouloir pas laisser une parcelle inexplorée. Il s'amusa à faire rougir la peau qui marquait facilement. Il lécha avec délectation le contour d'un des deux tétons. Puis il le lécha avant de le mordiller doucement. Sa main rejoignit l'autre téton et lui fit subir le même traitement. Le souffle de Kabuto s'accélérait.

Les tétons durcirent sous ses assauts répétés. Orochimaru les considérant assez durs les abandonna. Il posa sa main tranquillement à plat sur le sol et commença doucement sa descente. Il s'arrêta au niveau du nombril et mima avec sa langue le geste de pénétration.

Kabuto haletait, ses lunettes étaient embuées et son torse se soulevait au rythme de sa respiration effréné. Mais il semblait aimer cette sensation, car seuls des râles et des gémissements sortaient de sa bouche.

Orochimaru délaissa le nombril de sa victime. Il remonta vers la bouche et recommença à l'embrasser. Il semblait ignorer volontairement la bosse d'un certain pantalon. Il profita du baiser pour se placer correctement. Il souleva légèrement Kabuto. Kabuto qui les mains accrochés derrière la nuque de son maître essayait de prendre l'avantage sur le baiser. Il le plaça sur ses propres jambes. Ils se trouvaient ainsi assis. Kabuto face à Orochimaru assis sur les genoux de ce dernier. Orochimaru les jambes allongés et les fesses de son subordonné tranquillement placé sur genoux. Orochimaru le rapprocha. Leurs deux érections se rencontrèrent provoquant un gémissement des deux partis. Orochimaru observa d'un œil intéressé Kabuto, qui semblait ne plus pouvoir contrôler ses pulsions, partir dans son cou est y déposé de petits baisers tout en lui enlevant sa chemise. La chemise rejoignit bientôt le pull. Les deux hommes étaient torses nus.

Kabuto qui n'avait cessé de chercher le contact de la peau de son maître avec sa bouche s'arrêta et le fixa. Il déglutit quand il vit que les deux yeux d'Orochimaru s'étaient dilatés et qu'il semblait prêt à le violer sur place. Mais pour un viol, c'était déjà bien avancé. Sans qu'il comprenne comment, Kabuto vit son pantalon partir en mille morceaux le laissant nu. Un frisson le parcourut entièrement. Mais ce n'était pas à cause du froid…

Il vit aussi que son pantalon n'était pas le seul à être parti en promenade. Un autre gisait à quelques mètres, encore entier. Il ne pu réfléchir plus longtemps qu'Orochimaru l'embrassait à pleine bouche. Il se laissa aller à ce baiser, mais il ne sentit même pas deux doigts s'immiscer dans cet échange des plus intéressant. Les deux doigts repartir vite le long de sa colonne vertébrale, il le savait bien, pour violer son intimité. Il sentit un premier doigt s'introduire en lui, doucement avec une extrême douceur. Il ferma les yeux essayant d'ignorer la douleur, il essaya de se concentrer sur son baiser. Il commença à s'habituer au doigt en lui. Il le sentit bouger, par réflexe, il se contracta mais il se détendit et bientôt, Orochimaru exécuta des va et vient avec son doigt. Des gémissements sortaient de la bouche du plus jeune. L'autre commençait à sentir son sexe se durcir encore plus à l'entente de ses gémissements. Il ne devait pas le prendre tout de suite, il devait faire attention, la punition en serait des plus plaisantes.

C'est sur ces pensés qu'il introduisit un deuxième doigt dans l'intimité de sa victime préféré du moment. Il sentit autour de ses doigts les parois se durcir. Il avait cessé de l'embrasser et suçotait la plaie qu'il avait ouverte quelques minutes plus tôt. Il sentit les parois se relâcher doucement. Il effectua avec précaution un mouvement de ciseaux à l'intérieur de l'homme. Quand il le sentit prêt, il retira ses doigts et plaça convenablement Kabuto. Orochimaru lui tenait les hanches et l'amena avec précaution au dessus de son sexe dressé. Kabuto commença à sentir le sexe le pénétrer. Il se crispa légèrement mais aucune plainte ne sortit de ses lèvres.

Bientôt le sexe fut entièrement en lui, Kabuto, les mains sur les épaules d'Orochimaru, allaitait. Il avait les yeux dans ceux d'Orochimaru. Il sentit le sexe se retirer doucement et sentit la poigne ferme d'Orochimaru le soulevant. Le sexe était presque entièrement sorti quand Orochimaru s'arrêta. Kabuto vit la fureur dans les yeux de son maître. Quelques secondes après, il sentit la douleur se propager violement à l'intérieur de lui. Il hurla. Un cri de pure douleur. La punition avait commencé.

Kabuto, perdu, regarda son maître. Il ne comprenait pas, pourquoi ses yeux brillaient de colère ? Pourquoi, alors qu'il était si doux il y a quelques instants, venait-il de le pénétrer violement ? Mais les réponses de ses questions arrivèrent quand Orochimaru dit d'une voix emplie de haine :

-Dis moi Kabuto, tu avais l'air de bien t'amuser avec cette femme !

Kabuto déglutit. Il espérait avoir mal entendu mais il fallait se faire une raison. Orochimaru l'avait vu en train de… cette femme. Il n'arrivait pas à qualifier son acte. Pourtant, c'était simple : Orochimaru l'avait vu se frotter contre cette femme en train d'essayer d'avoir du plaisir avec cette même femme. Mais bon, ce n'était pas très glorieux. Mais sûrement le pire, c'était qu'Orochimaru croyait qu'il avait réussit à avoir du plaisir. Kabuto pensa vaguement qu'un quelconque dieu lui en voulait vraiment pour qu'autant de merde lui tombe dessus. Il essaya de se défendre en lui expliquant la situation mais Orochimaru le fit taire d'un baiser. Un baiser violent, un baiser sous la colère…

Kabuto frissonna de tout son être, son maître allait le punir. Il sentit le sang chaud couler de ses lèvres meurtries. Orochimaru continuait de l'embrasser avec violence. Kabuto comprit qu'il devrait subir en silence. Mais malgré cette violence, malgré cette douleur, il ressentit un peu de joie. Si il avait si mal, ça ne pouvait pas être un rêve. Une larme perla sur sa joue, il aurait tant voulu murmurer : Merci d'être venu me chercher…

Orochimaru cessa d'embrasser son subordonné. Il le fit basculer sur le dos sans aucun scrupule. Kabuto sentit le sol sale et poussiéreux sur son dos. Il leva les yeux. Orochimaru était là, il se trouvait au nouveau de ses genoux. Il vit son maître l'observer, il se sentit honteux car malgré la douleur. Il s'aperçut qu'il bandait encore. Mais il oublia vite ça quand la douleur le traversa une nouvelle fois. Orochimaru venait une nouvelle fois de pénétrer en lui.

Kabuto entendit son maître murmurer à son oreille qui se retirait encre une fois pour le pénétrer aussi violemment qu'il y a quelques secondes :

-Tu m'appartiens, je t'interdis de refaire ça… Tu es à moi… Ton âme et ton corps m'appartiennent…

Un hurlement de douleur franchit les lèvres de Kabuto. Il avait mal horriblement mal. Et il se sentait coupable aussi, c'était sa faute si il était dans cette situation. Pourquoi avait-il cherché à prouver qu'il était hétéro ? Et en plus, il avait juste réussi à prouver que l'homme, lui faisant du mal à cet instant, était la personne qu'il aimait le plus. Pitoyable…

Plongé dans la douleur, il n'arriva qu'à murmurer :

-Pardon, pardon, pardon…

Des larmes s'échappèrent après un énième coup de buttoir. Il pleurait mais arriva à murmurer :

-Pardon Orochimaru-sama…

La douleur s'estompa doucement. Résigné, Kabuto attendit le prochain coup de buttoir. Il ne vint pas. A la place, il sentit des petits baisers le long de sa joue. Kabuto ouvrit les yeux. Il vit le sourire maintenant prédateur d'Orochimaru. Aucune haine, aucune colère… Il sentit plus qu'il ne vit les lèvres d'Orochimaru l'embrasser à pleine bouche. Comme pour se faire pardonner du saignement des lèvres, une langue en traça les contours. Il sentit de légères caresses près de ses cuisses. Il se demanda si il avait rêvé, mais il oublia vite sa question, Orochimaru venait de le pénétrer à nouveau.

Il cria encore une fois, mais ce fut de plaisir. Il sentait qu'Orochimaru allait plus doucement. Mais le rythme s'accéléra bientôt et Orochimaru prit à pleine main le sexe de Kabuto et y imprima des va et vient au rythme de ses poussés. Bientôt Kabuto se cambra et hurla se délivrant dans la main de son maître. Celui-ci sentant la pression subite des parois sur son sexe, éjacula à son tour dans un râle à l'intérieur de son objet…

Ils avaient la respiration sifflante et rapide. Kabuto sentait son cœur battre à la chamade. Il avait les joues rouges et il regardait le plafond de l'échoppe sans sembler le voir. Orochimaru se retira de Kabuto. Il tomba presque épuisé au côté de celui ci. Regardant le plafond tout les deux.

Kabuto avait reprit une respiration normale. Les paroles de son maître résonnaient dans sa tête. Il se releva doucement, il était en position assise. Il regarda Orochimaru qui se tenait maintenant assis appuyé sur le mur. Kabuto n'osa pas croiser son regard, il murmura en totale sous mission mettant sa main sur son cœur :

-Ceci aussi vous appartient…

Orochimaru s'approcha de lui avec un sourire des plus maléfiques et murmura :

Alors, je le briserai…

A suivre…

(Non, je rigole ! Ahh ! Rangez ces tomates ! Bon la suite) 

Il aurait du répondre ça…Mais à la place, il murmura :

-Alors, je le garderai comme le plus précieux des trésors…

A suivre…

L'auteur (relisant le chapitre) :

-C'est la première fois que je fais un lemon avec relation sadique et limite maso… C'est bizarre, au début, ça devait être « normal » mais… je suis parti dans mon trip de punition et d'Orochimaru vachement possessif… ça me plait encore moins que mes lemons habituels…

Kabuto (hurlant) :

-Pourquoi ! Pourquoi ! Rahh ! Pourquoi !

L'auteur (inquiet) :

-Ben, parce que j'aimais bien la relation objet et que t'as désobéi puis ça faisait une punition…

Kabuto (hurlant encore) :

-Mais je m'en fous de ça ! Pourquoi j'ai couché avec Orochimaru pour la première fois dans une échoppe pleine de poussière ?

L'auteur (haussant les épaules) :

-Bah, au début c'était dans une cabine téléphonique quand j'ai commencé la fic, mais j'arrivai pas à expliquer la présence d'une cabine téléphonique dans le monde de Naruto… Puis aussi ta présence dedans…

Ikari (regardant sortir Kabuto qui gesticule) :

-Et moi ? J'aurai un lemon ?

L'auteur (souriant) :

-Dans le prochain chapitre, je dirai qu'un mot : Parapluie…

Ikari (pleurant) :

-Je veux pas coucher avec Yami ! L'es méchant et con !

L'auteur (sourire pervers) :

-Mais, tu sais j'ai jamais dit que c'était Yami ! Mais vu que tu l'as proposé toi même !

Yami (air pervers) :

-Hihihi ! Je vais enfin pouvoir le violer… Hahaha !

L'auteur (fronçant les sourcils) :

-J'ai jamais dit que tu serai au dessus…

Yami (souriant) :

-Mais tu l'as pensé très fort…

L'auteur (petits cœurs dans les yeux) :

-T'es vraiment mon perso ! On est sur la même longueur d'onde !

Yami (souriant à son tour) :

-Tout ce que tu voudras du moment que je me tape Ikari !

L'auteur (larmes aux yeux) :

-Ah ça fait du bien quelqu'un qui vous comprend ! Bon des reviews please !