Titre : C'est mon subordonné !

Auteur : lunny

Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à Masashi Kishimoto.

J'ai essayé de soudoyer les personnages, mais ils ont préféré retourner avec ce sadique ! Pff la vie est injuste.

Résumé : Kabuto a osé quitter Orochimaru, que va faire notre serpent préféré pour le récupérer ? KabutoxOrochimaru

Genre : yaoi, lemon et OOC

Avertissement : Les anti-yaoistes sont priés de faire demi-tour, merci ! Nous avons aussi dans ce chapitre du lemon, non nous n'avons plus d'orange sanguine, j'espère ne pas vous décevoir.

Note : Je commence le chapitre 12 ! Et c'est l'avant dernier chapitre ! j'arrive bientôt à la fin ! Bon, il y a encore un lemon dans ce chapitre ! De l'approfondissement de Yami et Ikari ! Bon, je vais essayer de pas passer en mode sadique… essayer…

Bonne lecture!

Sur un toit, deux hommes discutaient doucement. Du moins, un parlait tandis que l'autre tenant dans ses mains un parapluie l'écoutait. Le jeune blond au parapluie se nommait Ikari, mais nous le savions déjà. Mais peut-être que vous aviez oublié ? Oublié le petit garçon pleurant dans sa chambre dans les habits de son père. Ou peut-être celui qui avait vu sa mère mourir et son village être détruit par un garçon légèrement plus âgé. D'ailleurs, ce même garçon qui avait grandi depuis le temps se tenait assis à ses côtés. Tout deux protégés des gouttes d'eau par le parapluie. Le garçon cité tenait dans ses mains des jumelles. Il regardait attentivement une scène dans une petite échoppe abandonnée avec deux hommes comme résidants. L'homme qu se nommait Yami s'exclama :

-Wahou ! On dirait que le petit Kabuto va passer à la casserole ! Je ne savais pas qu'on pouvait être aussi persuasif ! Il se débrouille pas mal le vieux ! J'aimerai bien être à sa pla…

Yami ressentit les gouttes d'eau contre sa peau. Etonné, il tourna sa tête pour tomber sur le regard furieux d'Ikari rougissant, qui avait amené le parapluie, loin de ce qu'il considérait comme un voyeur. Yami se releva en se frottant l'arrière de la tête il dit :

-Désolé, je me suis laissé emporté…

-Vous êtes un pervers, répondit le blond avec un regard censé fusiller son interlocuteur.

-Mais non, mais en tout cas, je peux t'assurer que Kabuto va très bien…certifia Yami, avec un petit sourire.

-Ah… tant mieux, murmura Ikari regardant au loin.

-Bien, je crois qu'il est temps de se quitter. Déclara Yami.

Il passa à côté d'Ikari. Il voulait atteindre la sortie du toit plat entouré de béton. Il descendait déjà une marche de l'escalier de secours. Mais il s'arrêta car Ikari lui cria :

-Attendez !

Ikari se précipita vers lui et s'arrêta. Il était de la même taille que Yami car celui ci se tenait sur une marche inférieure à la sienne. Il tendit le parapluie à Yami en murmurant :

-Tenez, vous allez attraper froid…

L'homme regarda le parapluie un moment tandis que les joues rougissantes, le blond avait détourné le regard. L'homme secoua négativement la tête et se pencha doucement vers l'oreille du blond pour lui avouer :

-Je n'aurai pas froid pur la simple raison que penser à toi me réchauffe…

Ikari qui déjà rougissait de la proximité des deux corps reçu le coup de grâce. Il bégaya un instant avant de lâcher :

-Vous êtes un pervers…

L'homme mit sa main sur son cœur et expliqua :

-C'est ici que j'ai chaud…

Ikari ne su quoi répliquer mais Yami devant son hébétement ne pu s'empêcher d'ajouter :

-Puis ce n'est pas ma faute si tu es si excitant…

-Vraiment un obsédé… soupira Ikari en secouant la tête.

Yami le regarda un instant puis soupira en se retournant :

-Je devrai me crever les yeux. Chaque fois que je te regarde, je te trouve encore plus mignon…

Ikari resta muet. Ses joues étaient maintenant d'un rouge prononcé mais, il attrapa le bras de Yami et demanda ne pouvant se résoudre à le laisser partir :

-Pourquoi ?

Yami le regarda les sourcils froncés. Ikari lui n'en menait pas large. Pourquoi le retenait-il ? Mais au fond il le savait. Tout au fond… Yami lui lança un regard interrogateur. Ikari le fixa droit dans les yeux et questionna voulant cette réponse qu'il l'avait animé toute sa vie :

-Pourquoi ne pas m'avoir tué ?

L'homme aux cheveux rouges le fixa pendant un long moment. Puis avec un petit sourire, il répondit simplement :

-Je te l'ai déjà dit : parce que tu me plaît…

-Parce que tu me plaisait, plutôt non ? demanda Ikari regardant toujours l'homme dans les yeux.

Yami secoua la tête négativement et rétorqua :

-Tu me plais encore…

Ikari le jugea du regard un moment et questionna l'autre :

-Je vous plais vraiment ?

Un hochement de tête affirmatif lui répondit.

-Vous êtes sûr? demanda Ikari.

-Assurément, se contenta de répondre le tueur.

-Mais vous ne me connaissez pas…

-Le peu que je connais, je l'aime infiniment, chuchota Yami comme un aveu.

Ikari regarda le bras de Yami qu'il tenait toujours. Il releva les yeux vers ce dernier et demanda franchement, aucune gène ou rougeur sur son visage :

-Alors, faîtes moi l'amour…

(ah ! toujours rêvez de mettre ça dans une fic…)

Yami regarda un long moment Ikari, il ne s'attendait pas qu'on lui dise ça un jour. D'ailleurs on disait plutôt le contraire dans son cas… Mais bon c'est rarement qu'il écoutait ses supplices. Rarement qu'il ne s'envoyait pas en l'air… Mais là, c'était différent, pas que l'envie qui lui en manquait. Mais la personne en face de lui était différente des autres. Cette personne, il n'y tenait pas vraiment. Mais peut-être que si. Il ne savait pas. Mais en tout cas, il ne se voyait pas s'envoyer en l'air comme ça avec lui. Un peu de romantisme ? Un peu de sensualité ? Un peu plus de volonté ? Un peu de douceur ? C'est ça qu'il voulait lui faire. Pas juste lui foutre son sexe dans le cul et oublier le sang qu'il avait versé… Il n'avait pas envie de ça, pas avec lui… S'envoyer en l'air ? Non… Lui faire l'amour ? Peut-être…

Yami articula ses mots, la voix rauque :

-Tu es sûr ?

Un regard décidé lui répondit. Mais il voulait vraiment son consentement alors il se répéta :

-Tu es vraiment…

Le reste de sa phrase mourut dans un baiser. Ikari lui avait tout simplement coupé la parole en l'embrassant… Des fois, les gestes parlent mieux que les mots. Un baiser torride en est le meilleur exemple. Un baiser presque impatient du plus jeune. Les mains derrière la nuque de son aîné. Son corps frôlait le corps de celui-ci.

Reprenant ses esprits, l'aîné attrapa les hanches du blond. Il les rapprocha violement de siennes. Ikari pencha sa tête en arrière en poussant un gémissement. Son érection avait percuté celle de Yami. Yami eut un sourire carnassier voyant la gorge du blond offerte. Il s'approcha de celle ci et la lécha. Il sentit la peau frissonner sous sa langue. Il entendit les halètements d'Ikari. Et il le sentit pencher la tête encore plus en arrière pour lui laisser encore plus de peau. Yami se demanda si il s'en rendait compte… Mais il pensait que non… De la part d'Ikari c'était sûrement le fait qu'il était complètement dans une autre planète à ce moment.

Yami prit les fesses d'Ikari à pleine main en continuant à lécher son cou. Il sentit le sexe d'Ikari gonfler à travers le pantalon. Il sentit sa propre érection s'intensifier. Il ne réfléchit plus. Il prit les cuisses d'Ikari et les souleva. Ikari enroula ses jambes autour de la taille de l'assassin de sa mère.(L'auteur : pourquoi je mets ça un moment pareil… Ikari : tu trouvai que répéter Yami ça le faisait pas…) L'espace entre les deux corps n'existait plus… Yami plaqua Ikari contre le mur en béton entourant la structure du toit. Il le sentait onduler contre lui. Yami prit les lèvres de l'autre sauvagement. Ikari lâcha le parapluie. Le parapluie tomba à terre. La pluie se déversait sur les deux hommes. Mais aucun ne s'en souciait. Ils avaient horriblement chaud…

Les bouches se séparèrent. Ikari rougissant enfoui sa tête dans le cou de son aîné. Il appliqua un léger suçon sur ce dernier. Yami gémit sous cette manœuvre. Ikari surpris par le bruit retenta sa manœuvre. Un gémissement plus prononcé accompagné d'un Ikari chuchoté atteignit les oreilles du plus chaste. Une main identifiée comme celle du ninja errant se faufila entre les deux corps. Elle trouva la fermeture d'un pantalon identifié comme celle du membre de l'Akatsuki. Membre qui se laissa faire regardant à présent dans les yeux son équivalant. La main défit la fermeture et s'aventura dans le pantalon. Un cri de surprise fut la confirmation que Yami avait trouvé l'objet de sa recherche. Il glissa sa main dans le vêtement qu'il identifia comme un boxer. Sa main froide et mouillée pris en main le membre chaud et sec. Ikari avait fermé les yeux et la tête reposant sur le mur en béton, il gémissait. Une légère caresse sur son membre le fit trembler. Yami, amusé par la sensibilité de l'homme refit passer sa main sur le membre de son compagnon. Un gémissement retenu du mieux qu'il pouvait sortit de la bouche d'Ikari. Yami se pencha alors pour lui murmurer au creux de l'oreille avec une voix bizarrement haletante :

-Je ne veux pas que tu te retiennes… Hurles, cries, pleures, ris… Laisse-toi vivre.

L'homme fit glisser le pantalon de son autre main. Il maintenait toujours Ikari contre le mur enroulé à lui. Le pantalon glissa jusqu'au semi cuisse accompagné du boxer. Yami pu observer avec plaisir le sexe gonflé d'Ikari. Il posa sa main sous la cuisse de ce dernier. Il attrapa fermement le sexe arrachement un énième gémissement à Ikari et commença à faire glisser sa main le long du sexe. Doucement d'abord puis de plus en plus vite. Les cris d'Ikari l'excitaient affreusement. Il sourit doucement quand il vit le corps de son amant se cambrer en un soubresaut. Il sentit le liquide blanc s'imprégner sur sa main. Il entendit le cri inarticulé d'Ikari ressemblant étrangement à un Yami…

Un frisson parcourut Yami. Il regarda dans les yeux ceux embués d'un plaisir encore présent d'Ikari. Yami murmura sa voix rauque envoyant des frissons à son interlocuteur :

-On va jusqu'au bout ?

Un hochement de tête timide mais décidé lui répondit. Malgré l'aspect quelque peu torride de la scène. Il ne pu s'empêcher de trouver le blond mignon ainsi mouillé par la pluie. Il laissa sa main imprégnée de sperme rejoindre l'intimité du blond. Il caressa cette partie sensible doucement. Tout aussi doucement, il entra un doigt lubrifié par le sperme dans l'intimité d'Ikari. Un cri étonné et de douleur mêlé échappa des lèvres rouges de baisers. Le doigt s'enfonça plus profondément. Ikari respirait avec difficulté. Yami embrassa avec douceur le blond. Il essayait de lui faire oublier sa douleur. Il malaxait d'une main ferme les fesses de l'homme. Yami sentait les parois étroites contre son doigt. Ikari finit par se détendre. Il enfonça un deuxième doigt dans l'intimité du blond. Il recommença la même opération. Il en enfonça un troisième doigt le sentant prêt. Avec douceur, il s'occupa à le relaxer essayant de lui faire oublier la douleur. Après qu'un gémissement eut franchi les lèvres d'Ikari, Yami retira ses doigts.

Il dirigea ses derniers vers son propre pantalon essayant de libérer son érection pulsante. Mais, ses doigts furent retenus. Il releva les yeux vers son amant qui lui demanda d'une petite voix :

-Je peux ?

Yami hocha la tête, un sourire pervers s'installant malgré lui sur ses lèvres. Il vit les doigts hésitant d'Ikari frôler la fermeture. Il vit la lèvre inférieure d'Ikari se faire mordre. Ikari concentré défit doucement la fermeture du pantalon. Il le fit glisser ainsi que le sous vêtement. Ikari remua doucement pour faire passer le pantalon car ses jambes entouraient toujours les hanches de Yami. Le pantalon glissa le long es jambes fines ainsi que le boxer. Ikari regarda avec intérêt le sexe de Yami. Il rougit en pensant à ce que cet organe allait lui faire subir. Il sentit deux mains fermes sur ses fesses le soulevant légèrement. Le sexe disparut de son champ de vision. Il regarda Yami. Il vit que celui ci, l'air concentré, faisait de même. Il sentit quelque chose de dur contre son intimité. Il ferma les yeux. Il sentit la douleur le traverser tandis que l'organe entrait en lui. Doucement, avec lenteur, pour ne pas le blesser. Il entrait doucement en lui…

Un cri retentit, Ikari avait mal mais en même temps…. Un autre cri suivit le premier… Moins de douleur et plus de… Puis un autre et encore un autre. La douleur disparut bientôt laissant place à du plaisir. Yami accélérait le rythme, il s'enfonçait de plus en plus profondément. Quand à Ikari, son vocabulaire semblait se limiter à oh oui ! ou encore ! Il perdit pied une nouvelle fois et hurla le nom de son amant en se libérant entre les deux corps. Yami sentant la pression sur son sexe, éjacula à son tour. Ils glissèrent tout deux au sol, épuisés…

Yami se retira de l'homme blond. Il se laissa tomber doucement sur ce même homme. Timidement, Ikari enserra les épaules de son aîné en rougissant. Il entendit une espèce de grognement de contentement. Il sourit doucement serrant l'homme encore plus fort. Le silence s'installa doucement. Mais Yami ne pu s'empêcher de le briser :

-Et maintenant ?

-Je ne sais pas… répondit Ikari.

Yami se défit à regret de son compagnon. Il le regarda longuement dans les yeux puis murmura :

-Viens avec moi, je te protégerai d'eux…

Ikari resta silencieux. Rester avec lui ? Mais ils seraient sans cesse pourchassés… Le protéger ? Ça sera dur…

-M'importe tant que je suis près de toi…continua Yami.

C'était si bizarre, comme si il lisait dans ses pensés…mais Ikari n'y réfléchit pas et détournant le regard, il répondit :

-Ok, c'est ouAtchoum !

Yami éclata de rire. Ikari lui tira la langue en murmurant :

-J'ai attrapé froid…

Yami eut un sourire qualifié de lubrique et se rapprochant, il chuchota :

-Je connais bien des façons de se réchauffer…

Ikari laissant Yami l'embrasser murmura tout de même :

-Vous êtes un pervers…

A suivre…

L'auteur (relisant le chapitre) :

-Bon, au moins, ça a le mérite de pas être sadique…

Ikari (hurlant) :

-Ahhh ! Pourquoi c'est moi qui lui demande ! C'est quoi ça ! J'appelle mon avocat, c'est de la diffamation !

Yami (souriant d'un air niais) :

-Moi, je le trouve bien ce chapitre… ahhhh ! Trop mignon quand il me le demande !

Ikari (hurlant sur Yami) :

-Espèce de psychopathe pervers ! Je te hais !

Yami (regardant Ikari étonné) :

-Mais, on dirait plutôt le contraire dans la fic…

L'auteur (relisant le chapitre en buvant du coca) :

-Tu connais le proverbe : Qui aime bien, châtie bien… Bon, sinon vous auriez pas de petites reviews pour un auteur en train de finir sa fic ? Encore un chapitre et c'est fini ! Alors ? Et n'oubliez pas :

Tant qui y a du sexe,

Il y a de l'espoir !