Titre : C'est mon subordonné !

Auteur : lunny

Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à Masashi Kishimoto.

Yami appartient à moi de même pour Ikari ! Ils paieront pour les autres !

Résumé : Kabuto a osé quitter Orochimaru, que va faire notre serpent préféré pour le récupérer ? KabutoxOrochimaru

Genre : yaoi, lemon et OOC

Avertissement : Les anti-yaoistes sont priés de faire demi-tour, merci ! Quelques sous entendu lemonistique alors si vous n'aimez pas : Bye !

Note : Chapitre 13 enfin ! Après tous ces rebondissements pas rebondissant et plutôt nul nous voilà à la fin… (sniff) Je tiens à remercier mes revieweurs et aussi ce qui lisent mais qui envoit pas de review (allez soyez pas timide !) Alors, que deviennent nos bishonens préférés ?

Bonne lecture!

Quelque part dans… (pff pas d'idée panne sèche, je peux pas vous raconter ce qui m'est arrivé hier ? Non… ?)

Donc quelque part dans une pièce qui nous rappelait étrangement un endroit bien précis. Genre la pièce du début de cette aventure. Mais l'ambiance avait changé. Subtilité et attention ne servait à rien pour le voir. Le sourire sur les deux visages le montrait bien. Peut-être même plus que la proximité des deux corps. Mais peut-être moins que cette main sur une fesse et deux bras noués autour d'un cou.

Un baiser dans la pièce silencieuse. Doux et chaud. Amour ? Quelle importance, est-ce que l'on a le droit de juger et de déterminer cette relation ? Non, ça ne nous concerne pas le moins du monde. Ses mains possessives sur des fesses, les malaxant avec lenteur et sensualité… ses deux mains autour d'un cou désespérément accrochés pour ne pas perdre pied… Ses baisers silencieux dans la semi pénombre. Ne soyons pas bête et ne jugeons pas. Observons juste ce qui se déroule nous spectateurs voyeurs et silencieux…

La main s'égare dans un pantalon, un gémissement…

Ça aurait pu continuer quand soudain, ils entendirent :

-Maître Orochimaru-sama !

Les deux corps poussèrent un soupir de concret. Ils se tournèrent vers l'arrivant. Ce dernier ne semblait se soucier de la proximité de deux corps. De toutes les façons, tous savaient ce qui se passait entre les deux individus. Ils ne s'en souciaient pas le monde. Petits soldats insignifiants qu'ils étaient.

Orochimaru fronça les sourcils avisant d'un regard noir l'homme qui les avait interrompus. Homme qui pensa un instant à sa famille et proches qu'il avait du quitter pour se joindre à ce psychopathe. Mais faisant preuve d'un courage ou d'inconscience, il tendit un rouleau et lança :

-On a reçu ceci à l'instant…

Orochimaru réfléchit rapidement. Qui pourrait lui écrire ? Il n'avait pas encore préparé de coup tordu… Donc pas une alliance ou une plainte… Bizarre. Il s'empara du rouleau.

L'homme qui avait apporté le rouleau, resta droit et silencieux. Quand Orochimaru le regarda, il baissa les yeux mais ne bougea pas. Orochimaru à bout de nerfs et surtout de patience, c'est vrai quoi ! On peut même plus s'envoyer en l'air avec son subordonné tranquille, gueula :

-T'attends quoi pour te barrer !

L'homme s'enfuit rapidement de la pièce. Il avait à défaut d'intelligence de la vitesse. Orochimaru soupira en pestant contre les ninjas de basse catégorie. Il enleva curieux le sceau entourant le rouleau. Le sceau tomba à terre. Il défit le parchemin curieux et pressé aussi. Ça ne rend vraiment pas patient d'avoir un subordonné prêt à déguster dans les bras. D'ailleurs ce dernier lisant la lettre avec son maître commença à rougir de honte. Effectivement dans la lettre était écrit :

Alors, ça roule pour vous ?

Mon cher Orochimaru,

J'ai le regret de t'annoncer que je ne pourrai pas prouver que tu es d'une nullité merdique en te battant à plate couture. J'espère que tu t'amuses bien avec ton subordonné, Kabuto d'après mon petit Ikari, et que tu ne passes pas trop ta journée au lit. Même si j'ai remarqué que tu étais tout terrain (pas mal le coup de l'échoppe).

Amicalement Yami !

Hello Kabut-chan !

Tu vas mieux ? Si je t'écris, c'est pour t'annoncer que nous sommes tous les deux définitivement poursuivi par l'Akatsuki ! Ça ne doit pas te poser trop de problème de ton côté. Moi, j'ai décidé de me barrer avec Yami. En clair on va voyager prendre l'air ! Pour ne pas trahir notre position, c'est la dernière lettre que je t'envoierai. C'est triste…Mais bon, je suis heureux que le serpent avec lequel tu dors ne soit plus en peluche !

Adieu, Ikari…

Le moment de silence qui suivit serait à marquer dans les annales. Le regard étonné d'Orochimaru et celui désespéré de Kabuto en disaient long sur ce qu'ils en pensaient. Orochimaru balança la lettre à travers la pièce sous le regard surpris de Kabuto. Orochimaru haussa les épaules et reprit ses activités interrompues. Kabuto le repoussa un instant en demandant :

-Vous croyez qu'ils sont ensembles ?

Orochimaru reprit ses activités en murmurant tout de même :

-Aucune idée, puis ça ne nous concerne pas.

Les gémissements reprirent dans la pièce.

Quelque part très loin du repère d'Orochimaru.

Deux hommes mangeaient un sorbet sur une terrasse au soleil. Un, ayant les cheveux rouges siffla doucement avant de dire :

-Wahoo ! Mais regardes moi ce cul qu'elle a ! Puis ses jambes ! Et sa poitrine ! Tu as vu sa poi… Aïe !

Yami maquait sans conteste de diplomatie avec son cadet. Et décrire à celui ci le corps de cette femme ne semblait pas la meilleure idée. Faut dire aussi qu'elle était bien foutue comme il dirait. Mais bon, décrire à celui qui était son compagnon la superbe poitrine de rêve de cette femme, alors que lui n'en avait pas, était sans conteste une tentative pour se tuer. Mais bon, Yami aimait le Ikari jaloux, c'était d'après ses propos : trop mignon. Il frotta comme même sa jambe douloureuse, un Ikari jaloux faisait mal.

-Puis-je vous rappeler que si nous sommes ici, ce n'est pas pour mater cette femme, mais pour l'espionner, rappela Ikari le fusillant du regard.

Yami eut un petit sourire et répondit l'air innocent :

-Mais on peut toujours associer les deux !

Autre coup de pied sous la table. Yami ignorant la douleur, Ikari tapait vraiment fort, remarqua, l'air vicieux ancré sur son visage :

-Je ne te savais pas si pervers ! Allons ! Me faire du pied sur la table !

Rougissement fulgurant de la part d'Ikari, il murmura :

-Vous êtes un pervers, vicieux et obsédé…

-Je sais, affirma sans gêne Yami, c'est pour ça que tu cries autant au lit…

La couleur qu'abordait Ikari était d'un rouge tomate. Yami eut un sourire des plus pervers. Il avala une cuillère du sorbet. Il remarqua qu'Ikari observait à son tour la femme qu'il avait décrite. Un air concentré plaqué sur le visage, il ne la matait pas, mais Yami ne pu s'empêcher de se moqué en chuchotant :

-Alors, tu vois qu'elle est bien foutue !

-Je ne la mate pas, répondit Ikari sans détourner le regard de la femme.

-Alors, que fais tu ? demanda Yami curieux.

-Je regarde ce qui vous plaît chez elle.

-Et pourquoi donc ? interrogea Yami intéressé.

-Pour savoir ce qu'elle a de plus que moi…

Yami eut un sourire amusé, il expliqua en riant :

-Mais elle n'a rien ! Absolument rien !

Devant l'air étonné d'Ikari, il se pencha vers Ikari en murmurant :

-J'ai déjà tout à porté de main…

Et devant toutes les personnes présentes, il l'embrassa.

Fin !

L'auteur (hurlant de joie) :

-Ouais ! finish ! Yes ! Enfin !

Ikari (regardant l'auteur sauter partout) :

-T'as l'air heureux de te débarrasser de nous !

L'auteur (larmes aux yeux) :

-C'est pas vrai ! Je vous adore mais j'ai enfin fini cette fic ! enfin !

Kabuto (souriant comme un demeuré et commençant à sauter partout) :

-Ouais ! Il en a finit avec nous !

L'auteur (s'arrêtant de sauter) :

-Mais non ! T'inquiètes pas ! Je finirai bien par refaire une fic sur toi et Orochi-chan !

Kabuto (goutte de sueur) :

-Je suis sensé être heureux ?

Orochimaru (sourire pervers) :

-Ben ouais !

Yami (regardant l'auteur désespéré) :

-Mais nous on va devenir quoi ?

L'auteur (serrant Yami dans ses bras) :

-On a devoir se quitter…

Yami (embarquant Ikari) :

-Ben, A plus alors !

Kabuto (embarquant Orochimaru) :

-Nous laissez pas seul avec cet auteur de bippp !

L'auteur (seul, abandonné) :

-Un review, svp ?