Auteur : Yami Aku (Harue Y.A)
Genre : Slash HPDM et autres couples. POV d'Harry. Délire constant avec tout de même un scénario. Cette histoire est un mélange de tout ce qui me passe par la tête et surtout c'est sur ces pages là que je me permets de mettre ce dont j'ai envie. La base est tout de même un rêve, il ne faut pas l'oublier.
Disclamers : Aucun des persos relatifs au monde de Harry Potter ne m'appartient, les autres ainsi que le déroulement de l'histoire, si.
Note : Première histoire que j'ai écrite sur le monde d'Harry Potter. Ne tient pas compte des tomes à partir du 5.
Remerciement : Merci à Popodange pour le titre.
Et grand et énorme merci à Louvegrise, ma bêta qui est repassée sur tous les chapitres pour que cette nouvelle édition voit le jour.
Remarque : C'est une nouvelle édition que voila. J'ai décidé de refaire un tour sur cette histoire que vous semblez apprécier pour beaucoup. Je ne sais pas pourquoi mais bon. Donc une relecture, correction et présentation a été fait. Merci à tout ceux qui soutiennent cette histoire.
Remarque 2 : J'ai décidé d'utiliser Draco Malfoy et non Drago Malefoy ainsi que Severus Snape et non Severus Rogue.
Merci pour vos reviews.
L'ombre maléfique d'Harry Potter.
Chapitre 8 : Rencontre au clair de lune.
Un grand cri aigu me fait sursauter, Draco est déjà debout prêt à descendre. Je le rejoins et on dévale les escaliers, si bien que je me prends les pieds dans un truc au milieu du chemin, j'ai juste le temps de crier et d'attraper Draco par la taille pour lui éviter un atterrissage sans douceur. On arrive en bas sur le cul, tout le monde est mal réveillé dans la salle commune.
- Harry, ça va ? Demande Draco.
- Hai ! Mais y a un truc dans l'escalier.
- C'était ça !
Je fais face à Vincent qui tient un pavé du parc. Je regarde mon pied nu légèrement rouge. Gregory arrive avec une bande et me la donne, je le remercie, fais le pansement rapidement et me lève aidé par Draco.
- Qu'est-ce qu'il se passe ? Questionne mon amour.
- Draco, Harry, venez voir !
On retrouve Pansy devant la table, il y a une lettre et à côté une mini-tombe avec gravé dessus en lettres d'argent.
« Serpentard, votre mort est proche. Le premier sera Malfoy »
Ayant lu ça, j'attrape la lettre et la décachette. Elle s'envole comme une beuglante et se met à parler.
- Serpentards, vous allez payer pour votre arrogance. Vous nous avez toujours humiliés, maltraités, insultés, cette fois c'est votre tour. Nous espérons que vous aurez apprécié cette petite mise en scène bien que macabre.
La salle se glace d'un coup, plus personne ne parle, beaucoup se sont pris les pavés dans les escaliers mais la question qui persiste, c'est comment sont-ils entrés ? Et surtout pourquoi se sont-ils arrêtés avant les dortoirs ?
Draco me soutient toujours à cause de mon pied, je le sens trembler, je crois qu'il en a marre de ces trucs de fou. Avant le mangemort, maintenant les élèves, ça devient géant. Je le sens me lâcher petit à petit et glisser au sol en se tenant la tête.
- Pansy, je te laisse !
Je prends Draco dans mes bras.
- C'est sa migraine, t'inquiète, je suis pas Préfète pour rien.
Je lui souris et ramène Draco à la chambre, je l'allonge sur le lit et reviens avec une serviette humide.
- Merci.
- De rien Koi ! (Amour)
- Va prendre ta douche, on va finir par être en retard.
- Moui.
Je le laisse à regret, prends ma douche. Lorsque je ressors, Vincent et Gregory sont là. Dès que je me retrouve seul, j'appelle Admy.
- Hai !
- Tu étais où ?
- Je suivais les deux Gryffondors jusqu'à la volière.
- Tu as vu la salle commune ?
- Non. Pourquoi ? Oh non, ne me dit pas qu'ils l'ont déjà fait.
- Si.
- Je croyais qu'ils avaient abandonné l'idée. Mais j'ai chopé une discussion ce matin et justement, Draco est en danger.
- Expliques-toi.
- Ils vont lui envoyer une lettre en faisant croire que c'est Maxime qui veut lui parler et ils l'attendront là-bas.
- Très bien et la salle c'est donc eux aussi.
- Oui mais je suis vraiment désolé.
- Pas grave, tu as bien travaillé quand même.
- Arigatô Kyô-sama. (Merci Maître Kyô)
- Je m'occupe du reste.
Les trois garçons sortent et on va manger. La salle est silencieuse de notre côté, la mise en scène de ce matin a refroidi tout le monde. Moi je me prépare à l'arrivée des hiboux. Enfin, je repère celui qui vient vers Draco.
- Accio lettre.
La lettre apparaît dans ma main, j'en sors une autre écrite à la va-vite et lui fait prendre la place de l'autre, personne ne remarque rien. Draco reçoit son courrier et le range.
Les cours sont d'un ennui mortel bien plus qu'à l'ordinaire. J'attends patiemment la dernière heure de l'après-midi où selon la lettre, Draco devrait rejoindre Maxime près de la forêt interdite pour travailler un sort de défense. Mais hélas comme c'est dommage, à ce moment-là il se trouvera en compagnie de Charlie et Maxime, pour réviser les cours qu'il a loupés.
Au déjeuner, les Serpentards ont repris du poil de la bête et autant vous dire que les Gryffondors dégustent.
La dernière heure arrive, je suis paré. Je laisse Draco aller à son rendez-vous seul, il ne m'a pas demandé pourquoi, mais il m'a vu prendre le chemin de la volière. Je bifurque et sors du château, j'ai laissé mes affaires cachées près d'un arbre. La nuit est déjà là, dommage que la pleine lune ne soit que dans deux jours, j'aurais pu décompresser.
J'approche de la forêt, j'aime le noir, je vois parfaitement bien, le froid me fouette le visage et me réveille. J'arrive au lieu-dit, je fais style d'attendre. Qui pourrait être assez con pour s'aventurer ici même pour un cours de défense ? Ils ont vraiment un grain ceux-là. Une main se plaque sur ma bouche et me rabat contre un arbre.
- Alors Malfoy…
- Tu t'es fait piéger comme un enfant !
Une voix masculine et une féminine, Louis et Catherine, Admy a bien bossé.
- Tu vas mourir de la faute de ton père !
- Ce salaud a tué ma mère, ce sale mangemort, les Serpentards.
Elle crache par terre en disant ces mots.
- Et mon frère, il n'avait que dix ans, je suis sûr que tu ne vaux pas mieux que ton père, Malfoy ! Continue t-il.
- Ne t'inquiète pas ensuite ce sera les autres.
Il y a un court silence et je reçois un coup de poing dans le ventre, je me baisse, Kuso (merde/putain) ça fait mal !
- Tu ne parles pas beaucoup Malfoy.
- Tu fais moins le malin lorsque tes sbires ne sont pas là.
- Amis… Soufflai-je.
- Quoi ? Je n'ai pas entendu.
- Ce sont mes amis, tous des amis.
- Mais oui et moi je suis le professeur McGonagall !
- Oh ça non, toi tu es Catherine Gregg et le connard là-bas c'est Louis Backet, je ne me trompe pas ?
- Non, comme ça les présentations sont faites.
- Je ne crois pas, je ne me suis pas présenté.
- Quoi ? Te fous pas de nous, tu es Draco Malfoy.
- Non.
Je descelle tous les sceaux, la colère grandit en moi, je la sens brûler, je souris sadiquement. J'entends "lumos" et deux lumières apparaissent.
- Arg !
- C'est quoi ce bins ! T'es qui ? Un mangemort ?
- Iie (non)
Je relève ma frange et montre ma cicatrice, mes lunettes arrangent le tout.
- Harry Potter !
Ils reculent de peur, je sors sous la lune dévoilant mes cheveux voletant aux grés du vent, mes yeux rouges, mes oreilles, Shelsy sur mon épaule.
- Im... impossible !
- Tss… Vous vous attendiez à voir Draco, vous êtes servis !
J'avance félinement et dangereusement, je sens leur peur mais ce sont quand même des Gryffondors.
- Que... que...
- Moui tu disais ?
- Tu vas faire quoi ? Lâche Louis
Je souris dévoilant mes deux jolies canines.
- Je ne sais pas. Vous torturez, vous blessez comme vous avez fait à Draco, à mon Draco.
- Un vampire ?
- Tss… Je sors le jour.
Ils sont désespérants, je passe à la vitesse supérieure et me retrouve derrière eux, mes griffes surs leurs jolies petites gorges. Je coupe doucement pour ne pas les faire crever, le sang coule.
- … vas nous... tuer ? Catherine déglutit.
- Peut-être que oui ?
Je repasse devant eux.
- Peut-être que non ?
- Stupefix !
J'évite le sort de justesse et me tourne vers la personne venant d'arriver. Il est adulte, les cheveux mi-longs, un corps musclé et beaucoup de courage.
- Un démon ici, moi qui croyais trouver ce bâtard de Malfoy !
- Je ne dirais pas ça si j'étais vous.
- Pourquoi cela, ce n'est qu'un chien !
Je lui envoie un uppercut suivi d'un crochet et d'un coup de pied rotatif. Il va s'écraser contre l'arbre.
- Impedimenta !
Kuso mais il m'attaque de partout, je me baisse de justesse, je lui fais face et lui écrase la tronche au sol, finissons-en. Je me retourne vers la fille.
- A toi ma chérie.
- Que vas-tu me faire ?
- Ceci.
Je baisse mes lunettes et la fixe en murmurant l'incantation de Mei. Deux fois en trois mois même pas, je fais fort cette année même si celle-là sera bien plus puissante que celle utilisée sur le tableau. Elle s'effondre, morte de peur, elle tremble comme une feuille. Je me tourne vers les deux garçons inconscients au sol. Je m'agenouille près de Louis ma main sur son front, je récite un tout petit sortilège de mon cru et fais de même pour l'autre. Avec ça, ils ne risquent pas de se souvenir de moi mais ils sont bons pour Ste Mangouste.
Je souris et pousse un cri aigu, plusieurs chauves-souris arrivent.
- Buvez tant qu'il n'y a personne, buvez mais ne les tuez pas.
Je déplie mes ailes et m'envole, récupérant au passage mes affaires, je monte à la volière, personne, parfait. Je scelle et descends en me léchant les doigts, au moins leur sang était buvable. J'arrive dans le hall, il y a du monde, dites-moi. Je m'approche doucement.
- Merlin ! On a l'impression qu'elle a vu la mort en face.
- Que s'est-il passé Professeur ? Demande Hermione.
- Hagrid vient de les trouver, ils se sont fait agresser par plus fort, nous étions à leur recherche pour attentat sur Monsieur Malfoy et autres Serpentards et voyez le résultat. Ah Monsieur Potter justement vous étiez au courant de ça ?
Elle sort un bout de parchemin, shit ! Kuso ! C'est la lettre.
- A ce que je vois oui. Apparemment, Monsieur Malfoy n'y a pas été grâce à vous qui l'avez subtilisée.
Je me tais.
- Ne dites rien, vous avez bien fait mais pourquoi n'avoir rien dit ? Regardez dans quel état ils sont… ils ont dû tomber sur une créature de la forêt. Ils auraient pu mourir vidés de leur sang, je devrais vous emmener dans mon bureau…
- Je vous stoppe ici Professeur, je ne suis plus Gryffondor et ce spectacle ne m'attriste en rien, j'ai vu des cas pires que cela. De plus, Draco aurait pu mourir et c'est à cela que je songe.
Je cache mes mains derrière mon dos, il y a encore du sang.
- Monsieur Potter vous...
- Maxime !
Je coupe la prof en me jetant sur le garçon.
- Ils ont dû tomber sur le pire monstre de Poudlard.
- Cette jeune fille n'arrête pas de pleurer en dormant.
- Elle cauchemarde. Lâchai-je.
- Harry ?
- Elle cauchemarde, vous savez, ces trucs que vous faites la nuit et qui vous réveillent en sueur, le corps qui tremble, le ventre serré, la peur, elle a peur.
- Emmenez-les vite à l'infirmerie, Monsieur Weasley.
Charlie qui venait d'arriver repart avec les trois corps et McGonagall, Hermione reste troublée.
- Je me demande sur quoi ils sont tombés ?
- Tu ne le trouveras pas dans les livres, Granger.
- Hein ? !
- Rien, bon je vais allez voir Draco, il va être content d'apprendre qu'il peut dormir tranquillement mais peut-être moins qu'un mangemort a fait deux victimes de plus.
- Harry, tu savais tout ?
- Que Backet et Gregg avaient perdu un frère et une mère parce que Lucius a tué, moui.
- Mais ?
- Mais je t'avais dit de les retrouver avant moi.
Je pars en sautillant.
- Harry !
- Oui mon chou.
- Non rien, va voir Draco.
- Bye Maxime, Granger !
A partir de là, tout reprit son cours normalement, les Gryffondors furent envoyés à Ste Mangouste et Draco va nettement mieux même si le fait de savoir que son père est la cause de tous ses malheurs lui fend le coeur, je tâche de lui faire oublier.
La guerre est finie bien qu'on continue à lancer des piques aux autres maisons après tout, n'est pas Serpentard qui veut.
Le rythme a repris, on se lève ensemble, on va en cours et on se couche ensemble. Etre loin l'un de l'autre est intolérable. Le week-end, quand on va voir Charlie et Maxime et qu'on tente de percer le mystère qui plane autour de notre amour, la réponse reste la même, "vous le découvrirez tout seul". Et ça on le découvre, on a même plus besoin de mot pour se comprendre, un simple sentiment, une simple impression et chacun est prêt pour l'autre, avec l'autre, c'en est presque flippant. Le seul truc qu'ils nous ont expliqué, c'est qu'il ne faut pas qu'on le sache. Ce lien qui nous lie est unique, ce qui nous entoure, ce flux magique, sinon les autres pourraient s'en servir à leur fin car un couple lié d'un amour si fort peut vaincre facilement en combinant les attaques et même inventer des sorts sans le savoir. L'exemple est ma mère qui par son amour m'a protégé.
J'ai eu des nouvelles de Sirius, il va bientôt venir. Dumbledore va le cacher quelques temps ici, parce que ça bouge trop à l'extérieur et ça je le sais, mes rêves redoublent d'intensité. Le nombre de nuits où je me retrouve dans les bras de Draco en pleurant et ne voulant plus le lâcher. Comme il est insomniaque ça ne le gène pas mais ça l'inquiète et moi je ne peux rien dire.
Pour le Quidditch, on a qu'un balai pour deux. L'école a voulu lui en prêter un mais Draco a refusé et puis mon amour n'a pas osé envoyer un courrier à son père pour éviter la question de mangemort. Mon balai fera donc l'affaire pour le moment et puis Draco est si heureux quand il est dessus et qu'il peut faire de superbes acrobaties, je ne peux pas m'empêcher de lui laisser. Je l'aime trop pour ça.
Le match précédent le nôtre a été Serdaigle/Gryffondor, je vous laisse devinez qui a gagné même avec leur joueur trouvé à la va-vite. Le dernier match du trimestre est donc le nôtre : Pouffsoufle/Serpentard, et on bosse dur avec l'équipe. Il est à la fin de la semaine, ensuite dans trois semaines, c'est les vacances. Quand j'y pense, j'ai mal rien qu'à l'idée de me savoir seul loin de lui. Mardi il y a une sortie à Pré-au-lard, on y va à quatre, en couple quoi.
Là je suis devant le feu, la tête sur les genoux de Draco, j'ai encore cauchemardé et on a trouvé qu'on serait mieux devant la cheminée que dans la chambre avec les ronflements des deux autres comme fond sonore.
- Harry ?
- Hum Koi.
- Je t'aime.
- Moi aussi, watashi no kokoro, ai shiteru ! (Mon coeur, je t'aime)
On s'embrasse, j'aime quand nos langues se cherchent, se touchent, jouent ensemble.
- Demain on va à Pré-au-lard.
- Tu veux dire aujourd'hui Koi. (amour)
- Moui.
- Tu veux quelque chose ?
- Oui, enfin, j'aimerais des photos, moldues aussi pour toi dans ton monde.
- Avec plaisir.
Et sur ce, on remonte se coucher.
La journée à Pré-au-lard a bien commencé, Charlie et Maxime ont accepté de faire des photos avec nous. Dès qu'on arrive, Charlie nous emmène à la boutique spécialisée et le mieux, c'est qu'il n'y a pas de photographe, ce qui veut dire photo intime et compagnie. Après on dévalise les boutiques de bonbons et de farces et attrapes avant d'échouer à la taverne pour une bonne bièraubeurre. On discute de tout, de rien, du temps, des cours et du match. Il ne fait pas particulièrement beau, ni chaud mais nos simples présences nous réchauffent et tous les élèves nous regardent rire et parler comme si on était des vieux potes de toujours. Mais toutes les bonnes choses ont une fin et le retour à Poudlard se fait dans la joie et la bonne humeur.
Enfin le match, aujourd'hui on va gagner et nous serons en finale. Draco se prépare, je le regarde dans sa belle robe verte, il est incroyablement sexy et le pire, c'est qu'il le sait et profite de la chose pour me tenter. Arg ! Non, pas le sourire de vainqueur, je vais lui sauter dessus. Maxime et Charlie entrent et me retiennent par les épaules.
- Harry !
- Nani ? Il le fait exprès ! (Quoi)
Les autres nous regardent comme si on était des fous, ils comprennent rien.
- Bon ben si vous ne gagnez pas, je vous tue tous !
Sur ce je pars avant de réellement lui sauter dessus. Je m'installe dans les tribunes avec Pansy, Cindy et Kevin, cette fois il n'y aura aucun problème de balai, tout a été vérifié. Le match commence, l'équipe de Poufsouffle ne se débrouille pas mal mais ils sont loin de l'équipe des Gryffondors et de la nôtre. L'écart se creuse, j'observe mon ange sur mon ballet, tous ont été surpris de le voir dessus mais ont vu qu'il le maniait bien. Ça y est, les deux attrapeurs partent en piquet, Draco est confiant, je le sens, je lui fais parvenir mes encouragements par sentiments. Il accélère, ils font du rase motte, attention au manche. Il remonte, Draco tend le bras. Vas-y, vas-y, ça y est. Je me lève en criant suivi de la tribune des Serpentards. 190/70, beau match.
On envahit la pelouse, Draco me saute dans les bras, Pansy et Cindy s'y mettent à deux pour nous enlacer et tout le monde félicite Draco. Cho à côté fait la tête, et dire que j'avais flashé sur cette fille l'année dernière, elle ne vaudra jamais mon Draco.
On a fait la fête le soir même, tout le monde était content, Vincent et Gregory ont abusé de l'alcool et on en a profité pour roucouler dans la chambre ensuite. Je m'endors dans les bras de mon Amour, cette nuit, aucun cauchemar ne m'enlèvera mon bonheur.
A suivre…
Un chapitre avec un peu d'action, légère mais présente quand même. J'espère que ça vous aura plu.
Kisu
