Auteur : Yami Aku (Harue Y.A)
Genre : Slash HPDM et autres couples. POV d'Harry. Délire constant avec tout de même un scénario. Cette histoire est un mélange de tout ce qui me passe par la tête et surtout c'est sur ces pages là que je me permets de mettre ce dont j'ai envie. La base est tout de même un rêve, il ne faut pas l'oublier.
Disclamers : Aucun des persos relatifs au monde de Harry Potter ne m'appartient, les autres ainsi que le déroulement de l'histoire, si.
Note : Première histoire que j'ai écrite sur le monde d'Harry Potter. Ne tient pas compte des tomes à partir du 5.
Remerciement : Merci à Popodange pour le titre.
Et grand et énorme merci à Louvegrise, ma bêta qui est repassée sur tous les chapitres pour que cette nouvelle édition voit le jour.
Remarque : C'est une nouvelle édition que voila. J'ai décidé de refaire un tour sur cette histoire que vous semblez apprécier pour beaucoup. Je ne sais pas pourquoi mais bon. Donc une relecture, correction et présentation a été fait. Merci à tout ceux qui soutiennent cette histoire.
Remarque 2 : J'ai décidé d'utiliser Draco Malfoy et non Drago Malefoy ainsi que Severus Snape et non Severus Rogue.
Merci pour vos reviews.
L'ombre Maléfique d'Harry Potter
Chapitre 10 : Les vacances arrivent
Après la plus discrète entrée que Charlie nous ait faite depuis le début de l'année, Maxime l'oblige à s'asseoir sur un lit à côté du nôtre.
- Rrrrrrrrrrrrrrooooooooooooo ! Vous êtes tout mimi les garçons quoique vous rivalisez avec Max chou quand il s'est fait cramer par un dragon.
- Charlie ?
- Oui !
- Ta gueule !
- Humm… Je vous présente Sirius Black.
- Le parrain de Harry, enchanté !
Sirius sourit avant de reporter son attention sur nous. Ma tête est posée sur son épaule et la sienne sur ma tête. Je baille.
- Vous devriez dormir !
- On dort depuis trois jours Sirius ! Lâchai-je.
- Et puis ça fait plaisir à Harry de vous voir.
- Je suis là pour un moment.
La porte s'ouvre et Madame Pomfresh entre.
- Pffffff ! J'avais dit chacun dans son lit !
- Madame, faut pas leur en vouloir !
- Monsieur Weasley, dois-je vous faire remarquer que vous devriez être au lit aussi !
Maxime lui donne une tape sur la tête et se tourne vers l'infirmière.
- Nous venions juste prendre des aspirines et autre médicaments.
- Je vous prépare ceci Monsieur Lander.
- Merci.
Elle prépare le tout, Sirius regarde les deux amants.
- Alors vous êtes ensembles ?
- Oui Monsieur Black depuis bien longtemps. Je me demande même parfois comment j'en suis arrivé là.
- C'est parce que tu m'aimes Max et puis je te manquerais.
- Ta bêtise certainement pas ! Fred et George doivent tenir de toi.
- C'est bas ça.
- Et vous aussi alors ?
Sirius laisse les deux professeurs s'engueuler.
- Depuis le mois d'octobre.
- Et tu ne m'as rien dit ?
- Personne ne doit le savoir même si je doute que le directeur ne le sache pas encore, nous préférons que cela reste en petite communauté.
- Je vois mais Monsieur Harry Potter, je vous retiens de ce genre de cachotterie. Je vous signale que vous êtes mon unique neveu et ma seule famille et donc que je tiens à être informé de vos amours quelque peu bizarres certes mais informé quand même.
Maxime et Charlie sourient à cette remarque plus que paternelle.
- Bon reposez-vous un peu maintenant.
Draco rejoint son lit aidé par Sirius et l'infirmière nous donne une potion. Ce n'est pas bon mais plutôt efficace. Draco me tend sa main, je l'attrape et sombre ainsi sa présence en moi.
Les deux jours suivants, on a eu le droit à la visite du directeur mais pas longtemps, en fait on était vite fatigué mais ils avaient besoin de réponses. On leur en a fournis du moins ce qu'on se souvient, ce qui est plutôt confus. Je ne peux pas dire ce que j'ai vu pendant ma période d'inconscience et le cratère, je ne savais pas trop quoi dire mais je peux pas leur dire que c'est parce que j'avais peur que Draco ne meurt, que je ne voulais pas et que c'est ma magie tirée de mon amour pour Draco qui a formé cette rafle magique. Non sérieux, je ne me voyais pas leur raconter ça. J'ai donc dit que ma magie avait rencontré celle du mangemort et que la rencontre des deux sorts avait fait quelque chose de zarb et voilà. Mais je ne suis pas calé dans les sortilèges et leurs conséquences donc j'ai eu le droit aux doutes de ma sincérité par le directeur sûrement mais il commence à avoir l'habitude. Toutefois je pense qu'il place plus d'espoir en Charlie et Maxime, ce sont des adultes et sont plus conscients de l'enjeu des batailles.
Sirius a remis à plus tard les explications, il sait que ça nous fatigue un peu plus, il attend qu'on aille mieux.
La fin de la semaine arrive vite. Normalement on doit pouvoir recevoir de la visite aujourd'hui et on sortira sûrement mardi du moins nos blessures seront cicatrisées.
Je me tourne vers Draco qui fait des exercices de marche pour réadapter ses deux jambes qui avaient été bien amochées. Il fait des aller-retour entre la porte et la fenêtre.
- Draco, j'ai mal à la tête !
- Regarde ailleurs !
- Peux pas t'es trop kawaï ! (mignon)
Il s'arrête devant la porte et me regarde une légère rougeur sur ses joues, kawaï, kawaï, kawaï ! La porte s'ouvre, Draco sursaute.
- Harry ! Draco ! Vous allez bien ?
Pansy entre suivie de Blaise, Cindy, Kevin, Vincent et Gregory.
- Vi comme tu le vois à part que Draco va me filer la migraine à force de faire ses aller-retour.
- On n'est pas venu pour vous voir vous disputer !
Draco s'assoit sur son lit et on commence à discuter. Pansy et Cindy nous racontent les cours et comment Snape remplace Charlie et Maxime. Les Gryffondors sont mal à ce qu'il paraît, ils ne supportent plus du tout Snape et leur points ont diminué de moitié.
Ensuite les garçons nous parlent du reste, de la salle commune, du dortoir toujours en réparation et des rumeurs de ce qu'il s'est passé. On passe un chouette moment, de plus ils nous ont amené le courrier.
Une fois la porte fermée, chacun lit ses lettres.
J'en ai deux de mes amis fantômes prévenus par Admy qui est là-bas en ce moment d'ailleurs tandis que Draco s'énerve sur les siennes. Je le prends dans mes bras.
- Qu'il y a-t-il watashi no kokoro ? (Mon coeur)
- Mon père, sa lettre date du lendemain de l'attaque.
- Et ?
- Il veut que je rentre au manoir et que je réfléchisse à une réponse pour la marque.
- On le savait déjà.
- Oui mais après ce qu'il s'est passé...
- Ne t'en fais pas.
Je l'embrasse dans le cou.
- N'y pense plus.
Il se relâche et m'embrasse.
- Je t'aime Harry.
- Itsumademo, watashi no kokoro!! (Pour toujours/ éternellement, mon coeur)
Il sourit et reprend ses exercices.
o
Ça y est, demain on sort, on va devoir affronter les foules, les professeurs et les devoirs. Sirius entre, on le salue. Aujourd'hui c'est le jour qu'on avait fixé pour lui raconter du moins ce qu'il a besoin de savoir. Et je suis surpris malgré la tirade de la dernière fois, je m'attendais à de la réticence face à mon homosexualité et non nada, rien, vais pas me plaindre quand même. Je lui explique tout, le cas Hermione et Ron qui n'arrêtent pas de se bécoter sans me voir, mon mal-être à cause de Voldemort et mon amour pour Draco. Comment j'ai rencontré Charlie puis les moeurs de sa famille, la peur de subir la même chose en lui disant et enfin Maxime, la cérémonie de répartition et mon arrivée à Serpentard. Draco prend le relais et raconte notre déclaration puis nos journées passées avec les deux tourtereaux, le premier accident avec le mangemort et dont Dumbledore ne voulait pas que ça sorte de l'école puis les matchs de Quidditch et l'incident. Je finis le récit par la guerre Serpentard/Gryffondor, la discussion avec mes ex-amis, la découverte des corps par Hagrid en omettant de dire bien sûr que c'est moi, le deuxième match et enfin le mangemort.
- Voilà tu sais tout !
- Année chargée. Rigole-t-il.
- Ca tu peux le dire.
- Bon ben puisque de toute manière je n'ai guère le choix, bienvenue dans la famille entre un parrain en cavale et un neveu en attire merde, te voilà servi.
Fou-rire.
- Tu oublies une chouette morfale Sirius.
Re fou-rire.
- J'aimerais bien en dire autant pour ma famille mais...
Je le prends dans mes bras et le câline.
- Watashi no kokoro, itsumademo ai shiteru. (Mon coeur, je t'aime pour toujours)
- Merci.
Il m'embrasse, je vois Sirius détourner les yeux en souriant. J'ai de la chance d'être entouré par des personnes si gentilles : Draco, Sirius, Charlie, Maxime et puis le reste du groupe et il ne faut pas oublier ma famille du cimetière. J'ai des personnes sur qui compter.
o
Aujourd'hui on retourne en cours. On quitte l'infirmerie encore couvert par quelques pansements mais rien de bien terrible. Maxime et Charlie on reprit les cours hier, on les a aujourd'hui et j'ai hâte de voir la tête de McGonagall quand elle verra les progrès qu'on a fait en métamorphose. On s'est un peu entraîné avec Sirius pour s'occuper et puis entre nous aussi.
On entre dans la Grande Salle, le silence se fait, c'est une manie de se taire ici quand les gens arrivent, ce n'est pas possible. On s'assoit à notre table et nous mangeons. Les questions fusent et on répond calmement sans donner de détail puis Pansy et Blaise font taire tout le monde pour nous permettre de respirer.
Les cours se passent mal, on est en retard partout et on nage dans les matières comme botanique, histoire de la magie mais bon ça, ce n'est pas nouveau. Il n'y a que la pratique qui est potable avec les sortilèges et surtout la métamorphose où on excelle.
On s'est éclaté à changer sa pauvre souris en bougie puis en bougeoir et enfin en chandelier et on a même été jusqu'au lustre pour faire mumuse lorsqu'elle avait le dos tourné.
Quand elle a vu ça, elle a failli faire un arrêt cardiaque. Elle nous a accordé 30 points chacun cette fois. En défense, les garçons s'adaptent au fait que Snape soit passé par là pour expliquer et corriger les lacunes dans les sorts qu'il leur a appris rapidement. Nous, on suit grâce à Maxime qui est un peu plus sur nous.
Le soir, on se retrouve à table et pour une fois j'ai super faim. Dumbledore se lève.
- Un peu de silence s'il vous plaît !
Tout le monde se tourne vers lui.
- Maintenant que tout le monde est là, je tenais à vous prévenir que cette année il n'y aura pas de Noël à Poudlard. Toutes les familles ont été averties de cet arrangement, moldu ou pas. Chaque élève rentrera donc chez lui pour les vacances.
Il y a un mouvement de protestation dans la salle mais le silence se réinstalle tout de suite.
- Je sais que des explications s'imposent, celles fournies aux parents ne seront pas la même que pour vous. Vous savez qu'après la première attaque nous avons mis en place de nouvelles règles de sécurité ainsi que des barrières qui ont été passées la seconde fois par la même personne. Il a donc été décidé que toutes les défenses de Poudlard seraient revues et corrigées pendant que vous ne serez pas là. Vos familles ne doivent en aucun cas savoir ceci pour éviter que l'ennemi en prenne connaissance. De toute manière, pour vous éviter tout problème ou envie de parler, un sort de secret vous empêchera de parler de certaines choses. Y a-t-il des questions ?
Personne ne réplique, tout est très clair.
- Bien bon appétit !
Tout le monde se met à manger et parler rapidement. Moi, je suis totalement déconnecté, retourné à Privet Drive durant deux semaines, c'est la mort assurée. Draco prend ma main sous la table, je lui souris, il est vraiment toujours là pour moi. Il ne me reste plus qu'à profiter un maximum du monde sorcier avant samedi et de Draco.
Aujourd'hui on n'a pas cours de l'aprèm enfin c'est une façon de parler, Dumbledore a décidé qu'on récupèrerait les cours. Du coup, on récupère dès qu'un prof est libre, il nous fait bosser sa matière et ce n'est pas la joie mais alors pas du tout. On se farcit du grattage jusqu'à sept heures du soir.
On a bien dormi cette nuit, en plus le feu de la cheminée est agréable. Lorsqu'on a su qu'on dormirait dans la salle commune, on a tout de suite mis au point un système pour nous réveiller dès qu'une personne arrive mais pour l'instant tout le monde a été gentil et personne n'entre sans crier avant, surtout les filles donc nos douces nuits se font devant le feu.
Vendredi, on est à la bibliothèque, Maxime et Charlie veulent nous voir, ils avaient l'air inquiet. D'ailleurs quand on parle du loup, Charlie entre en pétard suivi de Maxime guère mieux. Ils se laissent tomber sur une chaise avant de nous faire lire une lettre.
« Ron poussin, on viendra vous chercher toi et ta soeur, seulement tu m'as parlé du fait que Charlie était professeur à Poudlard ainsi qu'un certain Maxime Lander, j'aimerais que tu lui remettes la lettre jointe. Bisous Ta mère.
Je lis la suite que me tend le roux.
« Charlie, puisque Ron et Ginny rentrent à Noël, tu as intérêt à faire de même, si le directeur ne veut pas, je m'en chargerai. Toi et ce garçon, on doit parler et rapidement. Ta mère. »
Je laisse tomber la lettre et Draco finit de la lire, je comprends mieux leur réaction. Draco les lui rend assez surpris.
- Ton frère est vraiment un chien, Charlie. Désolé pour l'expression mais...
- Ne t'excuse pas Draco.
- Weasley no baka! (Imbécile de Weasley)
- Il a fallu qu'il rapporte tout à sa mère, c'était prévisible.
- Je sais Max mais je ne suis plus un ado.
- Dis-le lui.
- Hein ?
- Dites-lui ce que vous avez sur le coeur et puis si elle ne le comprend pas, laisse-la et continuez votre vie comme maintenant. Ici tu as des amis, des frères.
Il sourit, Draco hoche la tête pour donner son approbation.
- Vous êtes vraiment des amours tous les deux.
- C'est vrai qu'ici on n'a pas de juge.
- Pensez à nous quand vous serez là-bas et pitié donnez-nous les réactions.
Je fais des yeux de petit enfant implorant son biberon. Ils explosent de rire, voilà comment on défait une atmosphère tendue en un rien de temps.
- Promis, on pensera à vous !
- Demain, c'est le grand retour.
- N'en parle pas, deux semaines sans Harry.
- Je dis de même, on va être séparé trop longtemps.
- Passez une bonne nuit, on prendra un compartiment pour quatre.
- Arigatô Max-chan !
- Normal qu'on s'entraide entre ami.
- Hai c'est vrai.
La nuit est délicieuse, on reste éveillé un bon bout de temps à roucouler devant l'âtre, le feu c'est romantique. On se dit des mots tendres, des promesses d'amour ainsi que de s'écrire chaque jour ou du moins le plus possible. On s'endort, chacun enlacé dans les bras l'un de l'autre.
o
Les valises sont faites et on est dans le hall du château. Sirius reste ici pour aider, il m'a fait ses adieux ce matin après le petit-dèj'. On prend le carrosse pour aller au train, puis on prend place avec nos deux professeurs dans un compartiment.
- On va se changer de suite comme ça on n'aura pas à le faire après.
- Bonne idée.
Je les regarde se changer pour une tenue plus sobre mais qui reste importable pour un moldu normal.
- Tu ne te changes pas ? Me demande Charlie.
Maxime lui donne un coup de coude.
- Pardon on sort.
Il me laisse seul, j'enlève l'uniforme pour enfiler un T-shirt à manches longues orange suivi d'un mi-bras blanc et d'un à manches courtes noires et d'un pull rouge sans manche. Un vieux jean trop grand et des baskets aussi usées et pour finir un chapeau qui me cache les oreilles lui aussi en jean. Le seul truc que j'aime, c'est mon collier avec pendentif croix qui repose sur ma poitrine.
- Vous pouvez entrer.
La porte s'ouvre, il reste un instant à me regarder avant de s'asseoir, Draco me prend dans ses bras.
- Tu as vraiment des fringues chelou ! Remarque Maxime.
- C'est celles de mon cousin, je fais avec ce que j'ai.
- Je ne dis pas le contraire.
- Moi je trouve ça mignon, mais dis-moi tu as un collier ?
- Hai !
- Je ne l'avais même pas remarqué mais ça te va bien.
- Pas touche, tu as le tien Charlie.
Draco ressert sa prise sur moi, on éclate de rire.
- T'inquiète pas le mien me suffit.
Il l'embrasse. Y a pas à dire ils sont adorables.
On reste tout le voyage comme ça, enlacé à parler de chose et d'autre ou à regarder la neige tomber sur le paysage de l'Angleterre. Un Noël blanc seul dans ce monde qui n'est plus le mien. J'irai au cimetière ou à la bibliothèque, la bibliothécaire m'aime bien.
On frappe à la porte. Branle-bas de combat, tout le monde bouge. Charlie ouvre la porte, c'est Ron et Hermione.
- Je vous cherchais, on ne va pas tarder à arriver, maman nous attendra sous l'horloge.
- Bien.
Il s'apprête à refermer la porte quand Draco la bloque du pied.
- Que veux-tu Malfoy ?
- Weasley, la prochaine fois, évite de tout rapporter à maman et grandis un peu.
Draco lui claque la porte au nez avant de tourner le verrou.
- Ca m'a échappé !
- Pas grave.
La gare est en vue, on ferme le rideau pour un dernier et langoureux baiser, je pose mon front contre le sien.
- Koi, si tu reçois des lettres signées K.H c'est moi, ne cherche pas à savoir.
- Je t'aime.
- Koi, ai shiteru.
Je le laisse sortir avant moi et j'y vais. Fait froid, je traîne mes bagages enfin le peu qu'il me reste jusqu'au hall de gare moldu. L'oncle Vernon est là. Je le salue et on y va. Il ne semble pas joyeux à l'idée de me revoir mais alors pas du tout. Ben c'est comme d'habitude.
Deux semaines avec eux, ça va être long.
A suivre…
Dès que je retrouve le chapitre 11 je le poste… ça m'apprendra à écrire des chapitres dans le désordre. Et puis l'oral blanc est stressant. Enfin j'espère que ce chapitre vous aura plu.
Kisu
