Bla bla de Mélo :

Pour bien comprendre cette fic et surtout pour que vous n'apelliez pas tout de suite les urgences psycatrique, il faut que je vous raconte la génése de cette fic. Tout à commencé par un MEME sur le LJ de Owlie. Il s'agissait de donner un numéros à plusieurs personnage afin d'obtenir des situations inimaginable entre personnage. L'une de ces questions proposait un sénario de fic et comme une idiote, j'ai relevé le défi ! En fait je me suis franchement amusée à écrire cette fic qui avouons le part en cacahouette complète ! Il s'agit donc juste d'un petit délire, il n'y aura aucune suite. Je travaille ardument à mes deux autre fic, ne vous inquiétez pas.

Je dédicace entiérement cette fic à Owlie, celle par qui tout arriva.

Disclaimer : pardon JKR pour ce que j'ai fait subir à vos personnage qui, comme chacun le sait ne m'appartienne pas.

note : je n'ai pas vraimment bien relu, il risque d'y avoir pas mal de fautes d'orthographe, pardon !


Tout ça pour ça, ou comment chercher durant des années ce qui était pourtant à portée de balai

Chapitre 1 : Il y a des portes à ne pas fermer... et d'autre à ne pas ouvrir

Harry marchait en sifflotant, la vie lui souriait… pour une fois!

Pour une fois, un secret ne lui pesait pas, l'amour pouvait faire des miracles.

Il se rendait dans les vestiaires de Quidditch pour y retrouver la personne qui faisait battre son cœur.

Quoi de plus discret pour un joueur que de se rendre là-bas,

quoi de plus normal, qu'il y trouve son capitaine.

Parce que oui, celui qui faisait battre son cœur était le gardien et capitaine des Griffondor, Olivier Dubois.

Ron l'avait mal pris au début, il avait fallu toute la patience et la ténacité d'Hermione pour qu'il cesse de le regarder d'un air dégoûté. Et encore aujourd'hui, il refusait de prendre sa douche avec lui. Cela blessait Harry, mais si c'était le prix pour être heureux, il était prêt, il avait donné plus que sa part en douleur et souffrance. Cette relation était son jardin secret, sa bulle d'oxygène, Ron avait tout de même compris c'a et refuser de ne rien révélé. Mais Harry se doutait que c'était plus par peur d'être compris dans le lot des rumeurs que par charité. Tant pis, il s'en moquait. Tout ce qui importait en ce moment, s'était Lui.

Il poussa la porte des vestiaires doucement. Personne. Mais des vêtements jonchait le sol et dans le fond, lui parvenait le bruit de la douche. En souriant, il se déshabilla également. S'il avait été plus attentif, il aurait remarqué que le tas d'affaire qui traînait par terre constituait l'uniforme de deux et non d'un seul élève. Mais l'amour rend aveugle …et sourd …et idiot …bref l'afflux sanguin de son cerveau diminuant au profit d'une autre partit de son corps, Harry ne vit que la buée qui s'échappait de la douche.

Dans le plus simple appareil (et quel appareil…….hum pardon), il se dirigea vers ce bain de vapeur. Il ne distinguait pas grand chose dans ce brouillard, d'autant plus qu'il avait quitter ses lunettes. Il repéra une forme couleur chair et se dirigea dans sa direction. S'il nota qu'elle était plus volumineuse que d'habitude, il n'y prêta guère attention.

Ce n'est qu'a quelques centimètres qu'il compris qu'il n'y avait pas un mais deux garçons sous la douche. Et a en jugé par leur proximité, il ne faisait pas QUE se laver.

Tout s'embrouilla dans sa tête. "Je me suis trompé ce n'est pas Olivier." Se fut sa première réaction. Mais une petite voix insidieuse continuait à réfléchir clairement, et à lui dévoilé des vérités qui le glaçait.

"Il n'y a qu'Olivier qui a la clé du vestiaire, et il ne l'aurait prêté à personne puisqu'il t'avait donné rendez-vous"

"peut-être me suis-je trompé? Que ce n'est pas aujourd'hui ou pas à cette heure?"

"Il te l'a dit ce matin au déjeuné quand tu lui a demandé si vous aviez entraînement aujourd'hui, "16h au vestiaires Potter, on doit revoir la tactique de Wonsherberg", c'est le mot de code"

"…"

tout en bataillant intérieurement pour y comprendre quelques chose, il avait fait demi-tour et revenait vers les bancs pour y chercher ses "saletés de lunettes, mais bon sang qu'est-ce que j'en ai fait?"

Le temps qu'il les trouve, les deux garçons interrompu pendant leur frasque l'avait suivis dans le vestiaire.

Harry se retourna, maintenant apte à distinguer son environnement et eu le souffle coupé.

Devant lui se tenait Olivier Dubois, son amant, et Victor Krum, ruisselant d'eau.

Son cerveau retrouva toute son irrigation. La vérité lui sautait au visage, et le figeait sur place mieux que n'importe quel claque.

Si une autre personne était entré à ce moment là, elle aurait trouvé la scène très … insolite. Imaginez, trois joueurs de Quidditch, nu comme des vers, au milieu des vestiaires se dévisageant les uns les autres.

Rompant le silence et l'immobilité de la scène, Olivier se passa une main dans les cheveux et demanda embarrassé:

"Qu'est-ce que tu fait là?" d'une voix encore un peu rauque.

certes ce n'etait pas là chose à dire, mais comprenons le.

Il était, il y a deux minutes à peine, dans un monde fait de jouissances et de volupté, déconnecté de la réalité et le voilà maintenant dans une situation on ne peut plus gênante et perturbant. Son cerveau, pas totalement redescendu des limbes du plaisir, refusait de fonctionner correctement.

"Tu m'avais donné rendez vous tu te rappel? Harry aurait voulu que se voix soit sarcastique ou froide, mais elle n'était que geignarde.

-Merde! Autre main dans les cheveux, son intellect descendant encore d'un étage, mais pas suffisamment pour faire attention à ses paroles. Il avait dit c'a sur le ton des personne qui réalise quelques choses qu'elle avait complètement oublié.

-Ye né comprrrend pas? Tou lui avé donnai rendez-vous, issi! Alorrrs qué nous défions nous voirrrr?

Olivier se tourna vers Krum en lui jetant un regard qui a peut de chose près signifiait "soit gentil, tais-toi"

Durant cette échange, Harry avait entrepris de se rhabiller, les mains tremblantes.

"Je…Harry laisse moi t'expliqué..

-Il n'y a rien a expliquer hurla-t-il tu aime simplement te farcir tout ce qui vole sur un balais. Si tu veux un conseil, farcit toi carrément un balais, au moins tu ne lui briseras pas le cœur.

On se serait cru dans une mauvaise série sur les adolescents.

Olivier se tu. On aurait pu croire qu'il méditait ces paroles et cherchait ce qu'il aurait pu dire pour le convaincre du contraire. En fait non, il essayait juste de se rappeler s'il était effectivement sorti uniquement avec des joueurs de Quidditch et en passant se dit que non ce ne serait pas une si mauvaise idée que de voir si son balais….

Seule le bruit de la porte sortant de ses gonds et s'étalant parterre sous l'effet de la violente poussé d'Harry afin de la fermé pour passer ses nerfs le sortie de ses réflexions. Par l'ouverture, il pouvait voire Harry s'enfuire droit devant lui. D'un coup de baguette il remis la pauvre porte en place.

"Vient dit-il au bulgare qui décidément n'y comprenait rien"

il le pris par le bras et l'entraîna de nouveaux sous les douches afin de poursuivre ce qui avait été si violemment interrompu.

Alors qu'ils disparaissaient dans les limbes de la vapeur d'eau on entendit Olivier:

"T'a quoi comme balais toi? C'a te dirais pas de…."

Les yeux brouillé par les larmes, Harry courait aussi vite qu'il pouvait aussi loin que possible de cet insensible au cœur de pierre. Essoufflé il s'arrêta enfin à proximité du lac. Avec l'espoir de voir son preux chevalier le poursuivre pour se réconcilier il se retourna. Mais il ne vit que le soir qui commençait doucement à tomber. Achevé par cette constatation il s'écroula en sanglot.

Quand il revint à lui, il faisait nuit. Il regarda sa montre : 11h16. Zut il s'était endormi et avait loupé le repas. Finalement ce n'était pas plus mal, il n'avait aucune envie d'affronter le regard des autres maintenant.

Un énorme gargouillis provenant de son ventre le fit revenir sur cette réflexion.

Une descente au cuisine s'imposait.

Il prit donc le chemin qu'il finissait par connaître par cœur. Arrivé devant le tableau, il chatouilla la poire et ouvrit la porte.

Bien sûr à cette heure tardive, les elfes de maison étaient en train de faire un peu de ménages dans les salles de classe.

"Hermione hurlerait si elle voyait c'a! pensa-t-il surpris lui-même d'évoquer sa meilleure amie dans des circonstances pareilles.

Il farfouilla un peu et trouva quelques parts de quiche. Il allait emporter son butin dans la tour quand il entendit un bruit étrange: une sorte de gargouillis.

Ce que beaucoup nomme courage et d'autre inconscience mais qui n'est rien d'autre que de la curiosité poussa Harry à aller examiner l'origine de ce bruit douteux.

Il progressa donc dans l'enfilade des cuisines pour arriver tout au fond devant un pièce fermé d'une porte en bois entrebaîllé portant l'inscription "réserve". Une faible lumière tremblotante s'en échappait. Il semblait bien que la chose émettant ce borborygme soit dans cette pièce. Bien qu'a y réfléchir, ce ne soit pas vraiment un gargouillis mais plutôt un genre de baragouinement incompréhensible fortement tinté d'accent écossais.

Curieux de rencontré un elfe écossais Harry ouvrit la porte en grand (en réalité, il voulait seulement demander où était cacher les dernières portions de tarte aux potirons). Et là ce fut un choc.

Il en avait vu des choses horribles dans sa vie, mais il su à cette instant que cette vision là serait graver dans sa mémoires jusqu'à la fin de ces jours. Cédric tombant raide mort, Voldemort tout nu dans un chaudron, Pansy en maillot, Rogue en train de rire, même la vision d'Olivier et Krum (bon faut avouer aussi qu'il n'y voyait rien !) s'ébattant sous la douche ne pouvait rivaliser avec le spectacle de son professeur de métamorphose et directrice de Griffondor avachi par terre, un bonnet de nuit rouge, orné de chardon et pourvu d'un pompom déplumé, posé de travers sur son chignon plus défait, portant une chemise de nuit en flanelle à carreau écossais, bien sur, rouge et vert; et pire que tout bourrée comme un coin en train de raconter ce qui semble être une blague écossaise à vocation salace.

-Professeur !

Sa voix avait dangereusement grimpé dans les aiguës.

-gné gma … Miss Patpil ? demanda-t-en en redressant ses lunettes posé de travers au bout de son nez, lui donnant l'air d'une institutrice échappé de la section maladie mental de Sainte Mangouste.

-heu .. Non

-Ah Potter, que faite vous dans mon bureau par une heure aussi matinal ?

Bien sur pour la facilité de compréhension du lecteur nous rétablissons la phonétique et éliminons le prononcé accent écossais propre à rendre ces paroles incompréhensibles pour le commun des mortels.

-Mais nous ne sommes pas dans votre bureau professeur, et il est 11h30 du soir.

Tel une poule qui a trouver un couteau, Macgonagal ouvrit des yeux aussi grands que des soupières avant de regarder autour d'elle. Constatant qu'elle n'était effectivement pas dans ces appartements

c'est beaucoup plus jolie ici, je vais peut être déménagée elle se gratta la tête essayant probablement de se souvenir pourquoi elle avait atterri ici.

-c'est exact, 5 points à Griffondor pour votre perspicacité.

Voulant probablement rejoindre ses véritables appartements, la vénérable de dames, qui soyons franc n'avait plus rien de vénérable essaya de se mettre debout. C'est là qu'Harry vit la dizaine de bouteilles de ce qui semblait être du whisky pur feu, vide à ses pieds chaussés d'innommables mules vertes à pompons.

Je paris qu'elle a aussi une culotte aux couleurs de l'écosse

Ses efforts pour atteindre la station debout se révélant infructueux, Minerva décida de rester assise sur le sol pour le moment, pleine d'une compassion soudaine pour les australopithèques qui eux au moins avait réussi cet exploit.

Tapotant le sol à coté d'elle, elle invita son élève à prendre place à ses cotés.

-Que vous arrive-t-il Potter, racontez moi tout ?

Toute personne normalement constitué aurait déguerpie à toute vitesse, sûr de faire des cauchemars pour la décennie à venir et prévoyant déjà un abonnement chez un psy. Mais Potter n'est pas une personne normalement constitués et, certaines connexions de son cerveau ne se réalisant pas de la même manières que chez le commun des mortels, il resta et s'assit. Encore un contre coups de sa rencontre avec Voldemort. Ne rigolez pas, c'est extrêmement gênant. C'a le pousse à chaque fois à prendre les décisions les plus débiles que la terre ai porté au lieu d'agir de façon normale, c'a a ses conséquences dans sa vie.


PS : chaque fois que je lis c'a, je trouve que Krum à un accent portugais !

comme d'ab, pour commanter, c'est en bas à gauche