Blabla bête des auteurs : Chapitre 2 ! Et oui, ça fait un mois aujourd'hui ! Dans ce chapitre l'intrigue prend forme (je crois lol) et on retrouve d'autres persos. On espère que leur transposition dans la Rome Antique vous plaira, à part ça ben…

Bonne Lecture et à la prochaine !

Disclaimer : Non, les Gboys ne sont pas à nous ! Malgré Ritsuko qui travaille sur les droits d'auteurs et qui a cherché une faille dans le système de protection juridique, décidément, rien à faire…Ils ne sont toujours pas à nous ! Mais qui sait…un jour…

oOoOo Lâche-moi la toge ! oOoOo

Chapitre 1

Comment un fils d'Empereur, ça peut souffrir aussi

Relenae, princesse impériale, observait depuis quelques temps à la dérobée son demi-frère aîné, Quatre, le fils aîné de l'Empereur Treize Kushrenadar ; le garçon était issu du premier mariage de l'Empereur avec une princesse carthaginoise blonde et frêle, d'une grande beauté, mais d'une santé très fragile et qui était morte en mettant au monde son premier fils, l'héritier du trône de l'empire romain. Il lui semblait que Quatre, qui avait un peu moins d'un an de plus qu'elle, semblait perturbé ces derniers temps. Le jeune homme, qui venait de fêter ses dix-neuf ans, semblait souvent soucieux et tracassé, comme s'il avait la tête ailleurs. Comme si quelque chose le taraudait sans relâche. La jeune fille vouait une grande estime à son grand frère, même si physiquement, elle semblait être l'aînée, et se sentit investie de la mission de le protéger, malgré les récriminations furieuses de sa mère, l'Impératrice Una, qui détestait ce jeune homme si blond et si frêle qui ressemblant tant à sa défunte mère.

Depuis quelques temps, le prince impérial semblait complètement à côté de ses caligae dès les premières heures du jour, comme si la nuit ne lui apportait aucune espèce de répit. Ce matin-là, Relenae l'aperçut déambuler dans un corridor, l'air totalement désœuvré, encore vêtu de sa toge de nuit, ses cheveux dorés en bataille, sans même le bandeau d'or fin pour les retenir sur son front qu'il portait habituellement ; elle parvint à l'intercepter au détour d'un coude du couloir, et l'attira derrière une énorme tenture de velours pourpre, à l'abri des regards.

« Eh bin, p'tit frère, qu'est ce qu'y t'arrive en ce moment ? T'en fais une tête, on dirait que t'as avalé ta fibule de travers ! »

Quatre baissa les yeux :

« Je t'assure, c'est rien du tout. Je suis juste un peu fatigué. S'il te plaît, Relenae, n'empire pas les choses. Ne vas pas inquiéter papa pour rien, je suis juste un peu fatigué, c'est tout. »

« Tu es fatigué alors que tu viens de te lever ! Et tu ne vas jamais à aucune orgie ! », protesta la blonde.

Quatre secoua la tête :

« Ça va je te dis. C'est juste que je suis préoccupé par mes devoirs de futur empereur, tout ça…Les précepteurs me donnent beaucoup de travail, tu comprends…Ne t'inquiète plus, d'accord ? Et si ça n'est pas suffisant, considère que c'est un ordre venant du futur Empereur de l'Empire romain. »

La princesse impériale eut une moue : on ne pouvait effectivement nier que Quatre avait l'air mal en point. Ses yeux étaient rougis par le manque de sommeil et cernés de noir, ses joues cireuses et creuses, et surtout, la belle couleur vert translucide de ses iris ne pétillaient plus comme avant. La jeune femme fronça les sourcils. La seule fois dernièrement qu'elle avait vu une lueur s'allumer au fond des yeux éteints de son demi-frère, c'était la semaine dernière. Au Colisée. Pour les jeux du cirque avec les gladiateurs. Là seulement, le petit Quatre avait paru libéré de ce poids qui semblait lui peser depuis un peu plus d'un mois. Mais comme il lui avait demandé de ne rien dire, Relenae n'osait désobéir à son grand frère, qui serait après tout Empereur à la mort de leur père.

Un peu soucieuse, elle laissa le blondinet repartir, et s'éloigna. En chemin, elle croisa l'intendant du Colisée, le beau Milliardus Peacecratis, qui se dirigeait vers la sortie. Elle lui adressa un sourire et un salut, qu'il lui rendit, mais la jeune fille ne put s'empêcher de se demander ce qu'un dresseur de gladiateurs (bon, d'accord, un peu plus que ça) faisait toujours fourré au palais impérial. Certes, il y avait des jeux du cirque toutes les semaines, et lors de l'anniversaire d'un membre de la famille, il y avait des festivités pendant plus de trois jours sans interruption, mais cela justifiait-il sa présence quasi-quotidienne au palais ? D'autant plus qu'aucun membre de la famille impériale ne voyait son anniversaire tomber en ce moment, alors… ?

Toutes à ses réflexions, la princesse n'avait pas remarqué le regard un peu triomphant du jeune intendant. De fait, elle ne remarqua pas non plus qu'il semblait venir de la direction où se trouvaient les appartements princiers. Tout ce qu'elle avait remarqué, c'était que c'était huit heures du matin, et que visiblement Milliardus quittait le palais, ce qui signifiait qu'il était arrivé soit super tôt ce matin, soit super tard hier soir. Dans les deux sens, ça n'expliquait pas sa présence au palais à cette heure-là. Relenae se promit d'en toucher deux mots à sa mère.

Elle gagna les appartements de sa mère. L'Impératrice (sa mère quoi) était une femme un peu sévère, surtout envers Quatre qui n'était pas son fils, mais qu'elle avait quand même dû élever. Elle avait très mauvais caractère, et il ne faisait aucun doute que la petite Marimeïa, sa deuxième fille, qui avait dix ans, avait hérité de son caractère. Des fois, Relenae se demandait si Una était vraiment sa mère…Quand elle arriva dans les appartements maternels, les hurlements de sa petite sœur la mirent au parfum. La petite garce faisait encore une de ses crises d'hystérie parce que son peigne en nacre était tombé par terre et s'était fait une éraflure ; du coup, elle en voulait un nouveau, et sa mère bien entendu, n'allait pas tarder à céder.

Relenae écarta prudemment la tenture et faillit se prendre un petit miroir de bronze en pleine poire ; elle baissa la tête au dernier moment.

« Euh, mater… », commença-t-elle.

« Tu vois pas que chuis occupée ? Me dis pas que t'as cassé ton peigne en nacre toi aussi ? », brailla Una, les macarons en folie.

« Si pater te voyait ! », murmura Relenae. « Au moins, peut-être qu'il te ferait pas encore un autre gamin…Ceci dit, vu la dernière, ça a dû le calmer. »

Heureusement, Marimeïa venait de briser un vase étrusque, ce qui couvrit la remarque acerbe, et mit Una dans un état proche de l'apoplexie :

« Petite bécasse ! T'as cassé le vase de grand-pater ! »(1)

« Aux latrines le grand-pater ! », beugla Marimeïa, avant de se prendre une tarte.

Heureusement, alertées par le vacarme, les gouvernantes arrivèrent pour s'occuper de la petite capricieuse, et l'amenèrent loin, laissant une Una au bord du suicide.

« J'aurais dû avorter. », se lamentait-elle.

« Sympa. », dit Relenae.

« Oui, pour toi aussi d'ailleurs. Les enfants c'est vraiment une plaie. Et ton père ne s'occupe pas d'elle en plus. Et ce petit imbécile de Quatre ! Ah celui-là… »

Relenae leva les yeux au ciel ; il suffisait de mentionner Quatre pour que sa mère en oublie totalement sa peste de fille. La jeune fille décida de calmer sa mère –croyait-elle :

« Non, je viens te voir au sujet de quelque chose qui me préoccupe…C'est l'intendant du Colisée…Milliardus Peacecratis… »

Sa mère stoppa net, comme si elle avait été congelée sur place :

« Bin quoi, Milliardus Peacecratis ? Qu'est ce qu'il a, Milliardus ? T'as un problème ? Les derniers jeux du cirque t'ont pas plu ? Les gladiateurs étaient pas frais ? Les lions puaient de la gueule ? »

« Euh…non. », fit Relenae qui ne comprenait pas pourquoi tant de haine tout d'un coup. « En fait, c'est juste qu'on le croise souvent par ici, et je me demandais si c'était toi qui le sollicitait, ou le pater ? »

L'Impératrice sembla se calmer :

« Non. Mais il a beaucoup de travail en ce moment, tu sais…S'occuper du Colisée c'est très prenant tu sais, ça nécessite souvent sa présence ici, pour organiser les jeux selon le bon vouloir de ton pater et tout ça… »

« Mais pater a vraiment besoin de lui en plein milieu de la nuit ? », s'étonna Relenae.

« Bien sûr chérie, quand veux-tu qu'il le voie autrement ? Ton père est tellement occupé…Enfin, Relenae, occupe-toi donc de choses de ton âge au lieu d'espionner les gens, c'est tellement pénible, on a l'impression qu'on ne peut plus aller aux latrines sans que tu nous observes… »

Un peu déçue, Relenae rentra dans ses appartements pour graver des tablettes que ses précepteurs lui avaient demandé. Elle avait cours à dix heures, et comme d'hab', elle s'y prenait à la dernière minute. Cependant, elle parvint à terminer à temps, et lâcha son petit burin à pointe d'argent, ramassa ses cinq kilos de tablettes de marbre, et galopa dans la salle de perception, avec déjà dix minutes de retard. Maître O l'attendait déjà de pied ferme, en tortillant ses moustaches, et semblait pas de très bonne humeur.

« Eh bien, vous voilà enfin, princesse ? Où est le prince ? »

Relenae zyeuta tout autour, mais pas de trace du petit blond.

« Mince alors, le frater est pas encore là ? D'habitude c'est toujours moi la dernière à arriver ! »

« Merci de le préciser ! », aboya Maître O. « Alors, où est passé votre frater ? »

« Bin, je sais pas, je l'ai croisé ce matin vers huit heures, je ne comprends pas… », commença la jeune femme. « Si vous voulez je vais le chercher ? »

N'attendant même pas la réponse, Relenae s'éclipsa, tout en laissant quand même ses tablettes derrière elle. Elle atteignit les appartements de son frère, qui étaient contigus à ceux de leur père, et frappa à la porte en bois peint.

« Quatre ! Quatre ! T'es là ? T'es pas réveillé ? »

Voyant qu'aucune réponse ne venait, la princesse ouvrit la porte et pénétra dans l'appartement. Elle traversa une demi douzaine de pièces avant d'arriver à la chambre de Quatre ; en fait, il n'y avait aucune chance que son frère l'entende frapper à la porte de sa chambre, mais c'était une formalité, Relenae n'entrerait jamais quelque part sans frapper au préalable. Les lourds rideaux de velours rouge étaient fermés.

« Quatre ? », hasarda Relenae.

Elle se rapprocha du lit entouré de quatre colonnes de bois sculpté, débordant de gros coussins moelleux ; au milieu, Relenae distingua la petite forme de son frère, littéralement en train de se noyer dans lesdits coussins. Elle s'approcha, et secoua l'épaule du blondinet :

« Quatre ! Quatre ! Debout ! »

À sa grande surprise, son demi-frère ne se réveilla pas, mais repoussa la main, et se retourna de l'autre côté, dormant désormais à plat ventre. Relenae n'abandonna pas pour autant, et secoua plus fort le blond amorphe.

« Oh non pas encore ! Je suis fatigué, zzzzz…fait mal…zzz…cours à dix zzzzeures… »

« Quoi, fait mal ? Tu t'fiches de moi, je t'ai à peine touché ! », gronda sa sœur.

« Mmmh…mal à la tête…sens pas bien… »

Relenae grommela quelque chose.

« Encore une excuse à deux balles pour sécher les cours de Maître O, ça. T'as de la chance, quand je t'ai croisé ce matin, t'avais vraiment l'air défoncé… »

Elle n'avait pas terminé de dire le dernier mot que son frère se redressa sur son séant, encore haletant :

« Non, non, pas défoncer encore ! »

« Uh ? », fit Relenae.

Les yeux turquoise de son frère se posèrent sur elle, et il sembla enfin sortir de son cauchemar :

« R…Relenae ? C'est quelle heure ? »

« Euh, t'sais quoi, tu vas rester au lit, je vais aller te faire une tisane et chercher les médecins de pater, t'as vraiment pas l'air en forme…Je t'excuserai auprès de Maître O pour ce matin. »

Quelques minutes après, les médecins particuliers de l'empereur Treize débarquaient dans la chambre de l'héritier impérial, accompagnés par Relenae. Un jeune esclave ouvrit les tentures rouges, pour permettre d'y voir mieux. Quatre était encore enfoui sous ses coussins, vêtu de sa toge de nuit de lin blanc, brodée d'or à l'encolure, et semblait totalement dans la semoule. Le premier des deux docteurs, M, qui portait toujours un cache-nez même en été à Rome, se pencha sur le jeune homme :

« Majesté, il faudrait vous déshabiller pour vous ausculter… »

Bien qu'il soit réveillé, Quatre ouvrit des grands yeux effarés :

« Non, je veux pas qu'on m'ausculte, qui vous a appelés ? »

« Enfin, majesté, vous êtes l'héritier du trône, il faut que nous soyons sûrs de votre santé ! », fit le second médecin, S, qui arborait de jolies moustaches enroulées. « Nous devons vous ausculter, ne soyez pas stupide, enlevez votre chemise de nuit… »

« Nan ! », dit Quatre.

« Quatre ! », intervint Relenae. « Tu me fais penser à Marimeïa… »

« M'en fous ! Ma toge, je l'enlèverai pas. »

Finalement, il fallut le concours de trois gros esclaves pour pouvoir le maîtriser, l'immobiliser, et qu'enfin le docteur M puisse lui retirer sa chemise de nuit. Relenae se rapprocha. Bon, comme d'hab', Quatre ne portait rien sous sa toge(2), mais ce qui différenciait des autres fois –oui, Relenae avait quand même déjà vu son frère tout nu, on est sous la Rome antique, pas au 19ème siècle– c'était que son corps était couvert de bleus et de traces de griffures. La jeune fille blêmit. Les deux médecins semblaient perplexes :

« Qu'est ce que… », commença la princesse.

Et sur ce entra dans la pièce Maître O.

« Ah, je comprends mieux pourquoi il ne vient pas à sa perception. Il semblerait que son éminence le prince Quatre fasse quelque chose de plus intéressant durant ses nuits. Peut-être devrions-nous déplacer nos horaires en fin d'après-midi pour satisfaire vos petites sauteries nocturnes ? »

« Mais, euh, je…non… », balbutia Quatre.

« Mon devoir est d'en parler à votre père… »

Durant ce temps-là, le docteur S avait commencé à ausculter son patient comme si de rien n'était, et notait son diagnostic au fur et à mesure, sur une tablette d'argile.

« Non, s'il vous plait, le dites pas au pater… », supplia Quatre, ne sachant que faire.

Maître O prenait son air stoïque mais Relenae savait qu'il finirait par craquer, car au fond il aimait beaucoup le petit blondinet ; et la jeune fille ne savait pas comment le pater réagirait si on lui disait que son propre fils se livrait à ce genre de choses –le mieux pour le moment était qu'il ne soit pas au courant.

« Mais qu'est ce qui se passe ? », demanda Relenae. « T'as quelqu'un ? Pourquoi tu veux pas nous le dire ? »

« Quatre, mon p'tit Quatre, est ce que tu veux bien te tourner un instant sur le ventre ? », intervient S qui avait finalement terminé d'ausculter le devant.

De son côté, Relenae était prise d'une sorte de transe (genre ''Mais pourquoi tant de haine ?''), le docteur M posait des questions grivoises, et Maître O faisait la morale, comme quoi il le dirait pas à l'Empereur, mais que ça ne se reproduise plus hein. Du coup, Quatre, noyé dans le brouhaha, se retourna sans poser de questions.

« Alors comme ça t'aimes souffrir pendant l'acte ? C'est intéressant ça, moi j'ai connu une femme qui… »

« Mais tu penses à ce que pater dira en sachant ça, remarque, il s'est bien remarié, mais jamais… »

« Je ne dirais rien à sa Majesté votre père, mais il va falloir faire des efforts en rhétorique… »

« …si tu veux je te donne son adresse, elle, sa spécialité c'est le fouet à clous… »

« …vos résultats ont chuté… »

« …Elle s'appelle Ritsuko(3), tu verras, une pro, elle te fait bien mal… »

« Mais pourquoi tu m'as dit que t'avais une maîtresse ? », beugla Relenae, se sentant trahie.

« À vue de nez, je dirais : un maître. », intervint le docteur S en se relevant de son examen clinique (pas gynéco, mais presque).

Les trois se figèrent sur place. Relenae ne semblait plus parvenir à trouver d'autre voix que celle d'un couinement de souris, et maître O avait la mâchoire pendante de stupéfaction. Le docteur M semblait le moins surpris :

« C'est vrai que proportionnellement, quand on a ce genre de goûts…bin, les hommes, ça fait plus mal que les femmes…Même Ritsuko y arrive pas…à moins d'avoir un manche à balais sous la main. »

Quatre sembla atterré et était passé du rouge brique au blanc linceul en un temps record. Le docteur S lui posa la main sur l'épaule :

« Va falloir qu'on parle, mon p'tit Quatre. » Il jeta un œil aux autres. « Je veux dire : seul à seul. »

Après maintes tergiversations, les trois autres finirent par sortir. Le docteur S scruta Quatre :

« Bien. Raconte-moi ce que c'est que cette histoire, Quatre. Je te connais depuis que tu es tout petit et ça ne colle pas vraiment avec l'image que j'ai de toi, alors à moins que je me plante sur toute la ligne…t'es quand même pas maso à ce point-là ? »

Quatre baissa les yeux.

« Euh, est ce qu'avant, je peux remettre ma chemise de nuit ? »

Après avoir remis sa jolie petite toge de nuit, le docteur S se lança dans un interrogatoire du jeune futur empereur.

« Alors, qu'est ce que ça veut dire ? Depuis quand ça dure ? D'après tes plaies et tes lésions, je dirais à peu près un mois… »

« Non, je…peux pas… »

« …continuer comme ça ? J'ai bien vu, Quatre. Il faut prévenir ton père l'Empereur ; il pourra ordonner des perquisitions et l'arrestation de celui qui fait ça… »

Mais Quatre secoua la tête. Visiblement, il ne dirait rien, et plus d'une demi-heure passée avec S n'y changea rien. Au final, sa sœur en fut d'autant plus inquiète. Cela ne ressemblait pas à son frère ; aussi résolut-elle d'envoyer une missive (de vingt-trois kilos) à Duo Maxellus, un ami d'enfance à eux deux, afin de lui faire part de ses inquiétudes, et de lui demander s'il pouvait visiter Quatre, et essayer de lui tirer les vers du nez.

Notes

(1) La famille de Una était donc d'origine étrusque –une très vieille famille romaine quoi.

(2) Un grand merci à papa Lilulle pour cette info si précieuse… .

(3) Note de Ritsuko : Lilulle aime raconter n'importe quoi… vous l'aurez remarqué… TT

Le sondage de Ritsuko

Que pensez-vous de Réléna dans cette fic ?

A/ Trop forte la sister !

B/ Elle est beaucoup moins cruche que d'habitude, ça change !

C/ J'attends de voir la suite pour juger...

D/ C'est vraiment Réléna ça ?