Blabla bête des auteurs : Et voilà, encore en retard ! On a pas d'excuse, on a juste totalement oublié de publier avec tous les partiels et tout le reste ! Mea culpa ! On publie donc le chapitre 3, en espérant qu'il vous plaira ! En tous cas, nous il nous a fait bien rigoler quand on l'a écrit !

Explication : Il s'agit d'un Univers Alternatif alors surtout ne cherchez pas trop de ressemblance avec la version 'normale' de GWing…Pas de Gundam Suit ou de trucs électronique…

Nous avons choisi la Rome antique à cause de…euh…de ses orgies ! Et pour ceux qui font du latin, rassurez-vous a priori c'est pas trop traumatisant (dixit les deux co-autrices qui ont fait du latin au collège et qui ont été depuis lourdement traumatisées…).

Disclaimer : Non, les Gboys ne sont pas à nous ! Malgré Ritsuko qui travaille sur les droits d'auteurs et qui a cherché une faille dans le système de protection juridique, décidément, rien à faire…Ils ne sont toujours pas à nous ! Mais qui sait…un jour…

Réponses aux reviews anonymes : Merci beaucoup à Arala pour sa gentille review, on est bien contentes que tu aies aimé leurs noms en latin…

Kikunosuke, euh, on pense que Trowa a quitté le coffre à jouet de ton frère…Maintenant, il est dans notre fic ! Merci pour ta review, et on espère que la suite te plaira :D


oOoOo Lâche-moi la toge ! oOoOo

Chapitre 3

Comment lion qui louche amène luxure

La petite vingtaine d'esclaves achetée par Milliardus arrivèrent enfin au Colisée. Là, ils furent répartis dans différentes cellules avec des gladiateurs plus expérimentés, qui seraient leurs tuteurs. Heero, qui ne parlait pas, fut collé dans une cage où il n'y avait curieusement personne d'autre qu'un gringalet gaulois qui était aussi bavard que lui, et qui possédait un lion albinos qui louchait et qui s'appelait Gulus. En plus, visiblement, il avait dû ingurgiter la veille une caisse de pruneaux pourris, car il faisait caca partout. Mou. Heero leva un sourcil, et se boucha le nez :

« Ton lion, y pue. », dit le Japonais en guise d'introduction.

« Ta gueule ! », répondit le Gaulois. « Tu parles pas à mon lion comme ça. » Il se tourna vers la bête malade : « Ça va mon Gugu ? T'inquiète pas, Trotro te protège. »

« Quoi tu t'appelles Trotro ? Mais c'est complètement con comme nom ! »

« Tu veux mourir toi ? »

« Graow. », dit Gulus avant d'avoir un problème gastrique majeur.

« C'est dégueu merde ! », râla Heero. « Pas étonnant qu'il y ait personne dans ta cellule, ils sont tous tous morts d'asphyxie, ceux qui étaient avec toi. »

« T'insulte pas mon Gulus ! », beugla Trotro.

« Du calme Trotro. Je l'insulte pas, je dis juste qu'y pue. »

« On s'y fait à force ! »

Milliardus faisait une tournée d'inspection des nouveaux gladiateurs, et prit soin de mettre devant son nez un pan de sa toge parfumée à la lavande avant d'arriver devant la cellule de Trowa. Il regarda dans la cage :

« Tiens, il est pas encore mort, le Chinois ? »

En fait, Heero n'était pas mort, il se battait comme deux chiens avec le Gaulois, à même le sol, et tous deux étaient, hum, pas très propres. Milliardus fronça les sourcils :

« C'est bien de vous entraîner déjà, mais là, franchement, vous m'épatez, un tel sens du sacrifice… »

Un entraîneur intervint :

« Et si on leur donnait un terrain plus approprié ? Je veux dire : propre ? Ils ont l'air assez doués… »

« Je me sépare pas de Gulus ! », protesta le Gaulois.

« Tu feras ce qu'on te dit, Trowa Bartonix, car depuis que la Gaule est conquise, t'es rien de plus qu'un esclave, même si ton père était le grand Triton Bartonix. »

Le gladiateur se releva, laissant le Japonais limite agonisant à terre (l'odeur, pas les coups). Milliardus approuva :

« Oui, amenez cette bête chez le vétérinaire, et surtout, éloignez toute trace de pruneaux de ce lion…hier le cuisinier a constaté la disparition d'un container en provenance d'Agen, je devine où ils sont passés…Quant aux deux, là, allez vous laver, on va vous trouver un terrain d'entraînement. »

Les deux jeunes hommes furent amenés dans une salle d'eau, une sorte de thermes miniatures à l'intérieur du Colisée ; dans la petite salle, il n'y avait qu'un bassin.

« Je me lave pas avec lui ! », cria Heero. « Y pue à mort ! »

« Toi aussi tu pues, t'étais dessous, et tu t'es bien roulé dedans, dégueu ! »

« C'est toi qui me traite de dégueu avec ton lion scato ? »

« T'en as sur ton pagne je te signale ! »

Le dresseur de gladiateur se mit à rigoler :

« Comme c'est mignon, une dispute de couple. Bon allez, les chéries, on me donne ses pagnes et on va se laver comme deux grands garçons. »

Du coup, les deux apprentis gladiateurs se retrouvèrent à poil dans un bain, sans un seul sujet de conversation, puisqu'à présent, aucun des deux ne dégageait plus d'odeur malsaine. Milliardus les regarda par l'œilleton ; bon, il ne voyait des deux garçons que ce qui dépassait de l'eau et des vapeurs brûlantes du bain, c'est-à-dire la tête et le haut du torse, alors qu'Heero se débarbouillait en faisant la gueule et Trowa se brushait la mèche sans prêter attention à son camarade.

« Mmmh, pas mal, ces deux petites recrues. », songea l'intendant. « Décidément, ce petit prince Quatre a très bon goût…en plus d'être lui-même indéniablement très mignon…Ils pourraient quand même me donner un peu plus de divertissement, ces deux-là… »

Du coup, Milliardus décida d'user de son arme secrète lorsqu'il voulait relancer l'ambiance dans une orgie où vers cinq heures du mat', les gens s'endormaient : un encensoir d'ambiance au jasmin et au gingembre, et hop, ça repartait. Une trappe s'ouvrit au plafond, et un petit encensoir descendit. Heero consentit à prononcer les premiers mots depuis qu'il était dans la salle de bains :

« C'est quoi ce truc ? »

Trowa lâcha son peigne et fixa d'un œil vert et dubitatif l'encensoir en cuivre.

« Un truc qui fait de la fumée. »

« Ça pue, ce truc, c'est limite pire que toi. »

« Ta gueule pov'con ! »

« C'est qui le pov'c…Oooooh c'est quoi je me sens tout bizarre tout d'un coup… »

Heero était soudainement devenu tout rouge, alors que la fumée l'enveloppait.

« Hum. », dit Trowa. « C'est encore un des trucs au gingembre de Milliardus, ça. »

« Hmmm…Je me sens archi bizarre… », geignit Heero en s'épongeant le front avec un petite serviette blanche. « J'ai très chaud tout d'un coup, hmpf… »

Trowa, qui avait entendu parler de ce genre de procédés par d'autres gladiateurs, posa une serviette sur son nez. L'ancien fils de chef gaulois savait que ce taré d'intendant du Colisée s'adonnait quand il le pouvait au voyeurisme, mais jamais Trowa n'avait songé y passer lui-même. Il allait continuer à lisser sa mèche consciencieusement, la petite serviette blanche sur le visage tel un terroriste corse en plein attentat à Ajaccio, quand un gémissement lui fit lever l'œil (l'autre étant caché justement par sa mèche).

En face de lui, dans le petit bassin, le Japonais n'avait visiblement pas compris les effets secondaires de la fumée dégagée par l'encens, et était vautré sur la petite banquette, les bras en croix étendus sur le rebord, la tête rejetée en arrière, geignant et gigotant comme une poule en chaleur. Trowa secoua la tête pour chasser cette vision et entreprit de continuer sa coiffure méticuleuse. Malgré son tempérament de balais à chiottes, il dut admettre que l'Asiatique était probablement le mec le plus mignon qu'il n'ait jamais croisé. Hormis le fils de l'Empereur, bien sûr, ce petit dieu grec, blond et délicat. Mais le problème était que Quatre Kushrenadar – Winnum, héritier légitime de l'Empire, était définitivement inaccessible à un misérable prisonnier de guerre réduit en esclavage tel que lui, et d'ailleurs, il ne devait même pas connaître l'existence du jeune gladiateur. Même si celui-ci redoublait d'efforts à chaque fois qu'il combattait dans l'arène pour attirer l'attention du Fils royal. Alors, puisque son fantasme de toujours serait à jamais inabordable, songea dubitativement Trowa, toujours en se lissant consciencieusement la mèche, pourquoi ne pas faire avec ce qu'on avait sous la main ? Il jeta un œil à son compagnon de bain.

Le Japonais paraissait au dernier stade de l'apoplexie orgasmique auto infligée. En clair : il ne savait plus trop ce qu'il faisait, les sens rendus fous par le gingembre et le jasmin, deux armes de débauche massive (1). Et visiblement, il ne savait pas trop quoi faire face à ce qui lui arrivait. Trowa, en bon latin lover,élevé comme un bon mâle gaulois de base, à coups de revues gravées sur marbre représentant de jolies Gauloises dénudées, fronça le sourcil sous la mèche. Le garçon marmonnait des mots dans sa langue asiatique énigmatique, où les mots ''Oh, hmmm, Kami-sama, oooh'' semblaient particulièrement récurrents. Trowa était particulièrement stupéfait ; le jeune esclave ne cherchait même pas à se soulager lui-même comme chacun le ferait en pareille situation (euh…non ?) ; apparemment, il ne savait pas exactement s'y prendre, remarqua le Gaulois.

« Par Toutatis (2), t'es complètement débile ou quoi ? », marmonna le jeune guerrier sous sa serviette blanche.

Tout le monde ne pouvait pas venir d'un pays qui s'appelait la Gaule, non plus. Chez Trowa, la gaule, c'était quand même une sorte de sport national, après refuser de faire la guerre pour protester contre le non-respect de la pause de midi ou arrêter le char à bœufs en double file en plein milieu de la rue.

À la phrase du Gaulois, le Japonais ouvrit les yeux, semblant se rendre compte de la présence d'une tierce personne. Ses joues aux pommettes hautes, typiques d'un beau faciès asiatique, d'habitude blanches, avaient viré au rouge vif, et sa bouche aux lèvres minces était entr'ouverte. Trowa déglutit :

« Mets ta serviette sur ton nez et calme-toi, autrement je réponds plus de mes actes. », prévint-il.

Il n'eut pour réponse qu'une paire d'yeux d'un bleu sombre complètement voilés par une émotion indéfinissable. Enfin, si. De la luxure en fait.

« Bon. Tu l'auras voulu. », dit Trowa en plaçant posément sa petite serviette sur le rebord du bassin. « Je crois qu'il va falloir que je prenne les choses en main, et tant pis pour toi si l'intendant nous mate ou si je t'abîmes l'arrière-train. »

Le jeune Gaulois gagna d'un coup de brasse l'autre bord de la piscine, et s'installa tranquillement à côté du Japonais qui se tortillait comme un asticot. Contrairement à ce dernier, Trowa semblait totalement impavide, comme insensible à la fumée insidieusement distillée par le brûle-parfum. Cependant, dès que le petit Asiatique sentit une présence à ses côtés, il se rapprocha instinctivement du grand brun, et alla se coller contre lui, telle une sangsue neurasthénique en mal d'affection (très sexy donc).

« Oh oh ! », ricana Milliardus à l'extérieur. « Ça promet d'être intéressant…Ce petit Asiatique me semble particulièrement réceptif. » Il se tourna vers son second, qui matait par un autre œilleton : « Je pensais envoyer ce joli Gaulois dans la prochaine orgie que je vais organiser, mais…peut-être que je devrais d'abord essayer ce petit brun. »

Son second se tourna vers lui :

« Rien ne vous empêche de les amener tous les deux à la fois… »

Le grand blond soupira et eut un vague sourire :

« Peu importe. Pour le moment, c'est pas encore à l'ordre du jour, nous avons le temps. Et j'ai déjà quelqu'un dans ma vie qui me comble…au-delà de mes espérances. »

« Un nouvel amant ? », fit le lanista (3), soudainement intéressé.

Milliardus hocha la tête, visiblement très fier :

« Oui, depuis le mois dernier. Il n'aime pas que je parle de lui, mais il est parfait, à tout point de vue, vraiment, Lucius, c'est une merveille, je… »

Il fut interrompu par des hurlements provenant de la salle d'eau. Qui aurait pu croire que le petit Japonais avait de telles ressources vocales ? C'en était impressionnant. À moins que ce ne fut le gingembre ? Décidément, ces Chinois y étaient particulièrement sensibles. À ses côtés, Lucius soupira :

« Et dire qu'il y a même pas deux heures ils se battaient dans de la crotte de lion comme deux enragés et que maintenant, ils vont nous faire déborder le bain parfumé… »

Milliardus fronça les sourcils. La salle d'eau ressemblait désormais à un vrai champ de bataille navale. Dommage que Trafalgar n'ait pas encore eu lieu, parce que le grand blond platine aurait pu faire une comparaison. Et remarquer que contrairement à l'amiral Nelson, Trowa n'était pas manchot –et Heero, pas muet, mais rien à voir avec l'amiral Nelson.

Heero ressortit de la salle d'eau rouge comme un homard, se planquant dans la silhouette du grand Gaulois qui le précédait et qui le tenait par le poignet, car le petit Asiatique était encore totalement sous le choc de ce qui s'était produit. Il ne savait pas ce qui lui avait pris, mais il s'était sentit très mal, comme s'il avait posé ses fesses sur une plaque chauffante. Et maintenant il était là, dans ce couloir sous la scène du Colisée, la main de Trowa si chaude autour de son avant-bras, avec la voix enrouée à force d'avoir crié. Et le pire fut probablement le moment où les deux jeunes hommes et leurs geôliers croisèrent l'intendant du cirque Peacecratis et son adjoint, et que ces deux-ci lui adressèrent un rictus grivois. Le petit brun s'agrippa à la main du Gaulois ; heureusement, ils arrivèrent bientôt à leur cellule, entièrement nettoyé de toute trace malodorante de lion et de pneu pendant l'interlude de la salle d'eau.

Une fois au calme dans leur cellule, Heero s'assit par terre, totalement accablé. Au Japon, il ne lui était jamais rien arrivé de pareil ; même chez les Tatars qui l'avaient capturé sur la route de la soie. Cela le troublait, et il ne savait pas quoi dire après ce qui s'était passé, et de toutes façons, il n'avait jamais été d'un naturel bavard. Fort heureusement, son amant du jacuzzi n'avait pas l'air plus doué que lui dans la communication. Heero se rendit compte avec étonnement que le jeune Gaulois n'avait pas lâché son poignet, et s'était assis à côté de lui sur le sol, caressant pensivement ses doigts. Le jeune homme leva ses yeux bleus glacés vers l'autre, qui sourit :

« T'aimes peut-être pas mon lion, mais t'es quand même un bon coup quand t'es drogué au gingembre, malgré tes airs de glaçon hautain. Je pense qu'on pourrait faire une chouette équipe tous les trois. »

« Euh, quand même, on va pas faire…hum, ce qu'on a fait dans le bassin…avec ton lion diarrhéique ? »

« Non, bien sûr. J'fais pas dans le scato. On attendra qu'il soit guéri ! »

Aussitôt le Japonais lâcha la main du Gaulois et recula contre le mur, totalement effaré.

« Je plaisante. Tu me prends pour qui ? Allez, toi…D'ailleurs, c'est quoi ton nom ? »

Heero sentit une boule se former au creux de son estomac, rassembla toute sa dignité pour répondre d'un ton très James Bond :

« Yuy. Heero Yuy. »

Mais au fond de lui, il était affligé. Si sa mère, Yuy Toshiko–sama, qui dirigeait leur clan, savait ça, elle aurait probablement dit que son fils n'était plus digne de la famille Yuy et l'aurait envoyé creuser son Kofun ailleurs que chez eux. Du coup, il en oublia d'écouter ce que disait le grand brun, qui avait repris sa main :

« …c'est ça ? »

« Hnn ? »

« T'es Chinois aussi, c'est ça ? T'es arrivé avec la caravane d'Extrême-Orient de J&G ? »

Heero secoua la tête :

« Non. Je suis pas Chinois. Je viens d'un tout petit pays un archipel encore plus à l'Est de la Chine, qu'on appelle Japon. »

Trowa eut l'air perplexe.

« Jamais entendu parler de ce bled. De toutes façons, j'étais nul en géographie, en classe, le druide arrêtait pas de me crier dessus. Mais au moins je savais bien grimper aux arbres, je lui récoltais tout le gui dont il avait besoin pour ses potions bizarres, donc ça allait, y gueulait pas trop en définitive. »

Finalement, les deux jeunes gladiateurs finirent par se taire totalement, laissant le silence retomber dans leur geôle sombre, et s'abîmant dans leurs souvenirs de leur mère patrie perdue. Après tel excès de stupre mouillé, le calme faisait du bien. Heero songeait à sa petite bourgade provinciale de l'Est du Yamato, patrie du clan Yuy, que par dérision les habitants avaient appelée ''la Capitale de l'Est'' tellement c'était un trou paumé où il ne se passait jamais rien, et où probablement, il ne se passerait jamais rien. Trowa pensait quant à lui à la tour Eiffelix, un truc en bois imaginé par un artiste farfelu qui justement s'appelait Gustavio Eiffelix, et qu'il avait planté sur la rive gauche, en face de Lutèce, située sur l'île entre les deux bras du fleuve. Comme il l'avait réalisée au mois de mars, il avait appelé le terrain en jachère devant sa tour « le champs de mars ». Y en avait vraiment qui avaient des petits pois concassés à la place du cerveau, songea Trowa, tout en resserrant sans s'en rendre compte son étreinte sur le corps du jeune Japonais.

Il se prit à rêver qu'un jour, il serrerait contre lui celui du petit prince impérial blond et fluet. En attendant, le corps mince et musclé qu'il étreignait, celui de ce mignon et mystérieux euh…Jopanais, là, le comblait largement. Le prince Quatre, après tout, était trop parfait pour lui. Le jeune homme referma ses yeux de jade clair, trouva une meilleure position pour dormir, l'Asiatique endormi agrippé à lui comme un bébé panda à son bambou, et sombra enfin dans le sommeil.

oOoOoOoOoOo

Notes

(1) George Bush aurait déclaré la guerre pour moins que ça.

(2) Note de Lilulle : Eh oui, une enfance passée à lire les Astérix paternels, on a beau dire ce qu'on veut, euh, bin, ça laisse des traces… -.-°

(3) Toujours de Lilulle : Dresseur de gladiateurs…Et, euh, bin, toujours les Astérix de papa pour référence…On a la culture qu'on peut aussi !

Le sondage de Ritsuko

À votre avis, Trowa et Heero vont-ils rester ensemble ?

A/ Non. Ils sont dans la merde…(Nan, ce n'est pas un jeu de mot !)

B/ Si ça porte bonheur de se rouler dans la merde au début d'une relation, alors ils resteront ensemble.

C/ Ça durera pas sauf si y a un gaz aphrodisiaque diffusé en permanence dans leur cellule.

D/ Oui, oui, ça va très bien marcher entre eux, même que Milliardus et Gulus viendront se joindre à eux !