Coucou tout le monde !
Je vous présente le troisième chapitre de cette histoire comme je pars après demain en vacances (voir profil), je vous poste ce chapitre aujourd'hui ;).
Un grand merci à Sahada, ewiliane et Jully Reed pour vos trois reviews ! Comme toujours, une petite réponse rapide aux reviews en bas du chapitre :). Encore merci...
Petite précision : le chapitre est sous un autre point de vue que celui de Harry, vous le découvrirez bien assez tôt...
Bonne lecture...
Je dédie ce chapitre à mon neveu dequatre ans, même si il est un peu chiant sur les bords, je l'aime bien quand même... Il ne sait pas encore lire mais je le lui dédie...
Chapitre 3
3. Une Moldue comme les autres ?
Devant l'une des nombreuses portes pour enregistrements de l'aéroport principal de Toronto, une jeune femme de vingt trois ans, qui allait sur ses vingt-quatre, faisait ses adieux à sa famille adoptive.
Adoptive, oui, car cette femme était orpheline depuis l'âge de ses deux ans. Elle n'avait pratiquement jamais connu ses parents biologiques, sa réelle famille. On lui avait raconté que sa mère avait immigrée d'Angleterre pour une obscure raison lors de son premier anniversaire et pour ce qui était de son père, elle n'en savait rien du tout, tout bonnement comme si ce dernier n'avait jamais existé. Elle aurait tellement désirée en savoir un peu plus sur l'identité de ses parents.
Tout ce qu'elle avait était son nom de famille, son vrai, elle avait quasiment refusé de prendre le nom de famille de sa famille adoptive lors de sa majorité. Après tout, c'était le seul souvenir qu'il lui restait de ses parents, elle ne voulait pour rien au monde le laisser disparaître ainsi.
Non, ce n'était pas vraiment le seul souvenir de son passé oublié, elle possédait également un étrange pendentif, c'était un cristal émeraude aux reflets rubis mais parfois ces reflets laissaient entrevoir un dessin qui ressemblait vaguement à un sablier et d'étranges écritures qui n'avaient aucun sens pour elle. Une fois, elle était allée se renseigner chez un vieil antiquaire de la ville, mais ce dernier avait dit qu'il n'avait jamais vu ce genre de cristal, surtout de cette couleur et que les écritures n'en étaient pas. Autant dire qu'elle avait été déçue de sa réponse, elle croyait qu'elle y trouverait quelque chose mais non…
Revenons au présent, l'horloge de l'aéroport indiquait à présent onze heures du matin. Son avion était prévu pour midi moins cinq mais il valait mieux embarquer à l'avance pour ne pas le manquer. La jeune femme se demandait souvent s'il y avait parfois des retardataires qui manquaient leur avion et ne pouvaient embarquer à temps, sûrement, pensa-t-elle. C'était une pensée absurde à faire lorsque l'on faisait ses adieux à sa famille.
Une famille qu'elle ne considérait pas comme en étant vraiment une d'ailleurs. Pour une quelconque raison, ses parents adoptifs ne la portaient pas tellement dans leurs cœurs, ce qui était vraiment insolite, étant donné qu'ils l'avaient adopté à l'orphelinat à ses trois ans. Parfois, elle surprenait des regards qui ressemblaient à de la peur, chose qu'elle trouvait totalement aberrant, pourquoi ferrait-elle peur ? Totalement illogique. A y réfléchir, seuls deux membres de sa famille ne semblaient pas la craindre, son jeune frère et sa jeune sœur. Tout deux enfants biologiques de ses parents adoptifs, l'un avait huit ans et l'autre cinq ans, mais contrairement à leurs parents, ils n'avaient pas de la peur dans leurs yeux quand ils la regardaient mais plutôt de l'admiration, semblait-il. Un jour, ils lui avaient même dit qu'elle était une fée avec des pouvoirs magiques et qu'elle était étrange.
Etrange. Oui, c'était le mot. En y songeant plus, il y avait parfois des choses vraiment étranges, irrationnelles, qui se déroulaient tout autour d'elle, plus particulièrement quand elle ressentait de fortes émotions telle la colère, la peur, ou d'autres… Elle ne pouvait l'expliquer tellement cela était inexplicable, même les sciences dans lesquelles elle se plongeait ne pouvaient traduire ses évènements. Pour dire, c'était tout à fait embêtant pour l'esprit scientifique qu'elle était.
La jeune femme revint à la réalité et fit ses embrassades à ses frères – deux petits blonds aux yeux d'un bleu marron magnifiques - qui ne voulaient vraisemblablement pas la laisser partir loin de chez eux.
- Marraine la fée, ne part pas s'il te plait, dit la benjamine, des larmes coulant sur ses joues.
L'aînée sourit au surnom que sa petite sœur lui avait donné, puis elle lui dit doucement, se baissant à sa hauteur et lui essuyant les larmes de la main :
- Mais il va bien falloir que je parte, ma petite Mary. Tu sais, tout le monde finit par partir habiter un jour loin de chez soi pendant un long moment pour apprendre de nouvelles choses, en découvrir et puis voyager à travers le monde. Je suis sûre qu'un jour tu feras pareil.
- Tu vas me manquer, murmura la dénommée Mary, pleurant désormais à l'épaule de la jeune femme accroupit à sa taille.
- Je sais, toi aussi, tu vas me manquer, répondit-elle, émue.
Elle était sur le point de fondre en larmes, elle aussi. Cette vie à Toronto n'allait pas spécialement lui manquer mais c'était surtout ses frères cadets qui lui manqueraient le plus dans sa prochaine vie. Ces derniers temps, elle s'était énormément attaché à ses petits bouts de chou et les avaient pris sous son aile, leurs vrais parents n'ayant pas réellement le temps de s'occuper d'eux.
Elle se reprit lentement, essayant de réprimer se larmes sans y arriver, puis déclara à la petite fille :
- Maintenant, écoutes-moi, tu me promets d'être sage avec tes parents et de prendre soin de toi en mon absence, promets le.
Mary hocha la tête de haut en bas pour approuver son consentement.
Ensuite, l'aînée des enfants se tourna vers le jeune garçon qui semblait attendre qu'elle ait fini. Elle ébouriffa les cheveux du garçon – contrairement à sa sœur cadette, il ne pleurait pas mais semblait triste – qui lui dit alors :
- Je veux que tu restes, grande sœur. Je ne veux pas que tu partes longtemps à Vancouver.
- Je suis désolée, Théo, s'excusa la susnommée. Je ne peux pas rester ici, je suis tellement désolée…
Elle ne pu en dire plus et serra le garçon dans ses bras d'une étreinte fraternelle.
- Comme ta petite sœur, je veux que tu me promettes quelque chose.
Théo cligna des yeux.
- Promets-moi également d'être sage, de prendre soin de ta petite sœur en cas de besoin, quand je serais parti, c'est toi qui seras l'aîné, c'est toi qui devras t'occuper de ta petite sœur pendant que je ne serais pas là. Je te demande aussi de prendre soin de toi. Promis ?
- Promis.
Ils firent un geste avec leurs mains comme pour conclure le pacte qu'ils venaient de faire. La benjamine s'approcha d'eux et la jeune femme les serra tout deux dans une énorme étreinte.
Ils restèrent ainsi pendant de longues minutes, puis elle desserra son accolade en regardant ses jeunes frères jusqu'à ce qu'une voix n'interrompt cet échange :
- Ca suffit ! Théo, Mary, laissez votre grande sœur tranquille maintenant, elle doit prendre son avion et vous allez la lui faire rater si vous continuez.
L'aînée se tourna vers la provenance de la voix en remarquant qu'elle n'appartenait à personne d'autre que sa mère adoptive. Elle lui lança au passage un furtif regard noir – d'avoir interrompu ce moment de paix - à cette dernière qui pâlît soudainement. Sans y faire plus attention, elle retourna son attention à Théo et à Mary, ces deux-là regardaient la scène avec une curiosité naissante.
- Bon, dit la jeune femme à l'adresse des deux petits. J'ai quelque chose pour vous.
Elle sortit de son sac deux paquets rectangulaires et les fourra dans les mains des propriétaires respectifs. Sans attendre plus longtemps, les deux enfants déchirèrent avec frénésie le papier qui enveloppait les cadeaux. Ils découvrirent chacun un livre de format poche, « La fée Zoé » pour l'une, « Les neuf vies du magicien » (1) pour l'autre.
- J'ai appris que vous saviez déjà lire donc j'ai pris la liberté de vous les acheter, expliqua-t-elle.
Pour tout remerciement, les benjamins se jetèrent sur leur sœur pour lui faire la bise, ce qui eu pour effet de la faire sourire intérieurement.
Elle jeta un coup d'œil à la grande horloge et vit qu'il était d'ors et déjà onze heures vingt. C'était effrayant de voir à quel point le temps passait vite.
- Mes petits, appela-t-elle alors. Je suis désolée mais je dois partir, il est bientôt l'heure. Je vous appellerais dès que je serais là bas ne vous inquiétez pas, je vous envoierais des cartes postales et des emails, Théo sait se servir d'un ordinateur.
Elle les serra une dernière fois, leur murmurant un « Je vous aime » au creux de l'oreille, serra brièvement ses parents adoptifs – qui adoptèrent un air gêné – puis poussa son chariot à bagages vers la porte des enregistrements des valises en les saluant de la main.
La jeune femme fit enregistrer ses bagages au comptoir, passa les contrôles pour finalement embarquer dans l'avion à destination de Vancouver. Elle chercha tant bien que mal le numéro de place indiqué par le billet d'avion dans le couloir de seconde classe.
Au bout de quelques minutes, elle finit par trouver son siège – qui était côté fenêtre – et s'assit en soupirant bruyamment, ces adieux l'avaient vraiment effrénée. Et lança un rapide regard à sa montre en s'apercevant que l'avion allait décollé dans un quart d'heure.
A midi moins cinq, l'avion décolla enfin pour quelques heures de vol. La place à aux côtés d'elle était désormais occupée par un jeune homme aux cheveux blonds, style « Brice de Nice » (2), qui lui lançait quelques fois des clins d'œil aguicheurs suivis de sourires charmeurs. Non, mais de quoi se mêlait-il celui-là ?
Elle poussa un autre profond soupir puis se décala légèrement vers la fenêtre en sortant un livre qui avait été écrit par Stephen King (3), un célèbre écrivain connu pour ses romans fantastiques et d'horreurs.
La demi-heure se passa ainsi jusqu'à ce que les hôtesses de l'air apportent les repas du déjeuner. Elle mangea rapidement puis repris sa lecture là où elle s'était arrêtée.
Tout en lisant, la jeune femme songeait à sa vie à Toronto.
Son enfance avait été des plus banales qui soit si l'on omettait le fait qu'elle était orpheline dès son plus jeune âge. Sortie du lycée, elle était allée suivre des études scientifiques, son domaine de prédilection, c'était comme cela qu'elle avait décidé d'aller à Vancouver qui avait de très bonnes universités disait-on.
Elle n'avait pas vraiment eu des amis, les autres étudiants la trouvaient bizarre car elle était presque tout son temps plongée dans les études et les livres. Pourtant, elle aurait aimé parfois rire et discuter simplement entre amis mais comme ils ne voulaient pas la fréquenter, c'était peut-être dû aux choses étranges qui se passaient autour d'elle ? Non, c'est absurde, pensa-t-elle tout en tournant la page du roman.
En y resongeant, elle n'avait eu qu'une seule et réelle amie, c'était en primaire, mais lorsqu'elle était rentrée au collège, cette dernière avait disparue du paysage, ne laissant aucune adresse derrière elle, ne lui donnant pas de nouvelles, on aurait dit qu'elle n'existait plus du tout.
La jeune femme avait eu une vie qu'on pouvait qualifier de très normale, voir ennuyante, sans compter les évènements étranges se déroulant près de sa présence, cependant, ce n'était pas le cas.
Quand elle était entrée au collège, elle avait à ce moment-là ressentit un étrange vide, comme s'il lui manquait quelque chose dans sa vie, c'était très inexpliqué… Ce vide ne l'avait désormais plus quitté depuis cet âge-là, elle pensa que c'était parce qu'elle n'avait plus ses vrais parents mais son cœur lui dictait une autre raison qu'elle n'arrivait pas à comprendre. C'était complètement déraisonnable…
Le voyage se passa sans encombres, si l'on oubliait le fait que l'homme assis à côté d'elle ne cessait de la fixer. La jeune femme vérifiait parfois si son chat, qu'elle avait amené, se tenait correctement dans la cage prévue à cet effet derrière son siège.
Les circonstances dans lesquelles elle avait trouvé ce chat étaient des plus étonnantes. Alors qu'un jour, pendant ses seize ans, elle s'était promenée machinalement dans son quartier, un chaton était apparu au beau milieu de la rue et elle avait assisté avec horreur la scène suivante : une voiture était arrivée à ce moment-là à toute vitesse, fonçant sur le chaton qui restait immobile jusqu'à que l'automobile le frappe de plein fouet, elle l'avait alors accouru vers le petit chat étendu sur la chaussée, en remarquant à son plus grand étonnement que celui-ci était toujours en vie. Depuis, il ne l'avait plus jamais quitté, le suivant presque à tout moment.
Elle l'avait alors appelé Procyon sans se demander pourquoi avait-elle choisi ce prénom si spécial, après tout, c'était le premier prénom qui lui était venu à l'esprit et elle l'avait gardé tel quel. Procyon avait un pelage gris clair presque blanc aux rayures bleues noires – ce qui était très surprenant pour un chat – et était pourvu de deux grands yeux jaunes avec un léger dégradé de bleu saphir.
La jeune femme pensa que son chat avait vraiment quelque chose de spécial, c'était un pressentiment. Elle songea par la suite que Cyon – son diminutif – avait parfois des réactions qui pouvaient être qualifiées de très anormales pour un chat, par exemple, il ne se laissait jamais approcher par ses parents adoptifs pour on ne sait quelle raison alors qu'il donnait une totale confiance à ses frères cadets.
Puis ensuite, elle avait décidé de partir à Vancouver pour ses études. Le plus compliqué avait été de savoir si oui ou non allait-elle emporter Cyon. Le choix s'était vite fait en voyant la réaction de ce dernier, dès lors, il ne l'avait plus quitté d'une semelle. Exaspérée, la jeune femme avait fini par céder au caprice de son animal, se demandant cependant si cela était une réaction normale pour un familier.
Après quelques heures de vol, traversant tout le Canada entier d'un bout à l'autre, l'avion atterrit enfin à l'aéroport international de Vancouver. Le temps était estival, aucun nuage ne filait à l'horizon.
Elle poussa un soupir de soulagement à l'idée de pouvoir se dégourdir les jambes après toutes ces heures de vol. Elle descendit alors de l'avion, prenant ses bagages à main et le panier de son chat, qui s'était tenu parfaitement pendant tout le voyage, puis récupéra ses autres bagages qui avaient voyagé dans la soute de l'avion.
La jeune femme sortit finalement de l'aéroport après avoir passé les contrôles douaniers. Elle monta dans un taxi libre en disant au chauffeur l'adresse de son nouvel appartement qu'elle allait partagé avec des colocataires, dont elle en avait déjà rencontré une.
Il y a quatre semaines de cela, lorsqu'elle était venue s'inscrire en avance à l'université de Vancouver, elle avait cherché un appartement avec l'aide de son oncle, adoptif bien évidemment, ce dernier vivait dans un village pas loin de la grande ville. La jeune femme avait séjourné pendant une semaine chez celui-ci quand elle avait enfin trouvé un appartement qui lui convienne.
Ce logis se situait dans le centre ville, assez proche de sa nouvelle université dans laquelle elle allait étudier. Elle avait rencontré l'une des colocataires, cette dernière s'appelait Sofia Laurel, une jeune espagnole qui avait apparemment pratiquement le même âge qu'elle.
Cette dénommée Sofia lui avait notamment dit qu'en temps normal il y avait deux autres colocataires logeant là, mais qui n'avaient pas été là lorsqu'elle était venue lui rendre visite.
- Nous sommes arrivés, dit le chauffeur, arrachant ainsi la jeune femme de ses pensées.
- Merci, répondit-elle en réglant la somme indiquée au compteur du taxi.
- Voulez-vous que je vous aide à descendre vos bagages ? demanda-t-il.
- Heu, oui, ce ne serait pas de refus, déclara-t-elle.
Ils sortirent tout deux de la voiture, le chauffeur aidant la jeune femme à descendre tous ces bagages. Elle le remercia puis se dirigea, portant tant bien que mal toutes ces valises, vers un immeuble neuf de taille moyenne, ne comportant que quelques étages avec balcons. Le bâtiment comportait également un charmant petit parc à son arrière avec quelques balançoires et toboggans.
Elle regarda quelques instants l'édifice puis décida d'entrer au premier escalier. Elle monta par l'ascenseur, dotée de toutes ses affaires ainsi que de son chat Cyon qui commençait à miauler pour sortir.
Quand l'ascenseur s'arrêta au troisième étage, elle sortit tous ces bagages, laissant sortir Cyon de sa cage qui avait commencé sérieusement à l'agacer par son concert de miaulements. Sorti, le chat se dirigea directement vers le numéro sept de l'étage, ce qui eut pour effet de surprendre la jeune femme. Comment un chat pouvait-il savoir précisément le numéro alors qu'il n'y avait jamais mis les pieds auparavant ? Pourtant, il fallait avouer qu'avec ce chat, tout était possible.
Toujours dans un état de stupéfaction, elle s'avança à son tour vers l'appartement sept, tout ces bagages en main. Posant ses affaires sur le sol, elle sonna enfin à la demeure…
To be continued...
Notes de l'auteur
(1) La Fée Zoé est un livre que j'ai lu quand j'été petite, il a été écrit par Linda Leopold Strauss. Quand au livre Les neuf vies du magicien, il a été écrit par Diana Wynne Jones. Je sais que ce que j'écris n'est pas très cohérent car offrir un livre à une fille de cinq ans (Mary) qui vient à peine d'apprendre à lire et à écrire n'est pas du tout cohérent, mais je me suis dit comme son frère a huit ans (Théo), il pourra le lui lire... Enfin bon, j'arrête, je vais m'embrouiller toute seule avec ça mdr...
(2)Je ne sais pas vraimenten quelle annéele film "Brice de Nice" est sorti mais j'avais vraiment envie d'écrire ça, je ne sais pas pourquoi lol.
(3) Stephen King : c'était un petit clin d'oeil à mes deux grandes soeurs qui adorent lire ses livres. Il a écrit de nombreux livres comme Dreamcatcher, Coeurs perdus en Atlantide, Misery, La tempête du siècle, La ligne verte, Dead zone, etc... D'ailleurs beaucoup de ses chefs d'oeuvre ont ensuite été adaptés au cinéma. Désolée si j'ai fait une faute à son nom ;)...
Et voilà, c'était le troisième chapitre, je vais vous faire une rapide réponse à vos reviews : Ha, Ha ! Suspense pour la nouvelle colocataire, d'ailleurs j'ai fait exprès dans ce chapitre de ne pas mettre son identité, pour faire durer le suspense ;), tes suppositions ne sont pas mauvaises mais ce n'est pas encore ça ! Pour le phénix et/ou le serpent et l'animagus de Harry, il vous faudra encore un peu de patience :)...
Je vous dis à la prochaine (normalement dans un mois)... Faut que je retourne à mes valises...
Syrielle B.
