- Allez, toi. Au dodo !
Ron était en train de coucher le petit, qui s'était obstiné à ne pas parler. L'après-midi, pendant le temps calme imposé par Hermione ("Il est impératif pour un enfant d'avoir du repos pendant la journée... Pour régénérer son énergie !"), l'enfant dormait et ils en avaient parlés. Enfin... Hermione bouquinait un livre de psycho pendant que Harry et Ron en parlaient. Hermione leur avait dit qu'après un choc aussi terrible, il était normal qu'un enfant refuse de parler, ou même de manger, boire, et se laisse dépérir. Heureusement pour eux, l'enfant mangeait et riait même. Seulement il ne parlait pas. Ce qui posait un problème pour savoir comment il s'appelait... Ils avaient appelés les autoritées pour savoir son nom, mais ils n'avaient rien trouver dans les fichiés. Même la mère restait inconnue. Alors ils avaient dus se débrouiller et avaient décider de ne pas l'appeler du tout. Ron déshabilla le petit de ses loques et il se promit mentalement que le lendemain, il l'emmènerait acheter des vêtements avant sa séance d'entraînements au Quiddich. Effectivement, Ron jouait maintenant aux "Canons de Chudley" son équipe favorite... Mais simplement comme gardien remplaçant. Oh, bien sûr, sur les trois remplaçants, il était le meilleur, et de loin, mais il restait remplaçant, et son revenu ne leurs permettaient pas de vivre, lui et ses amis. Hermione travaillait à mi-temps dans un journal, mais ce n'était pas vraiment à mi-temps, elle n'avait écrit que cinq articles en un an et c'était toujours parce que le reporter qui aurait dut s'en charger trouvait inutile d'écrire dessus et lui avait refiler son travail. Le propriétaire du journal n'en savait rien et Hermione avait alors toucher un faible pourcentage de la vente du journal versé par le reporter feignant. Heureusement qu'il restait de l'argent à Harry, car sans celà, ils ne pourraient pas vivre. Et encore, même avec cet argent, ils vivaient serrés, dans l'attente d'un revenu. Lorsque, enfin, le garçon se glissa sous ses couvertures, Ron s'avança vers la porte, l'entrouvrit, et éteint la lumière. Tout de suite, l'enfant se releva et s'accrocha à son bras. Il faisait de petits cris, indiquant qu'il avait peur. Alors, Ron le prit dans ses bras et s'allongea dans le lit, avec lui. La lumière était toujours éteinte, mais l'enfant ne bougeait plus, regardant Ron avec ses yeux brillants dans le noir.
- Quand est-ce que tu vas te décider à nous dire comment tu t'appelles, hein ?
Sa question resta sans réponse, l'enfant commençant doucement à fermer les yeux. Alors, en cet instant, Ron ressentit la plus douce des affection pour ce petit bout de chou qui leur avait accordé sa confiance alors qu'il les connaissait à peine, pour ce petit bout de chou qui dépendait de lui. Il attendit quelques minutes, comme ça, dans le noir, sentant la respiration du garçon s'alourdir pour enfin, rester stable, au rythme du sommeil. Sentant que l'enfant était endormi, Ron se releva et sortit de la pièce pour rejoindre ses amis.
- Alors, comment va-t-il ? demanda Hermione lorsqu'il rentra dans la cuisine, lieu de tout les échanges dans cet appartement.
- Il va bien, répondit-il. Il s'est endormi.
Harry sourit, Hermione aussi. Ils s'étaient pris d'affection pour ce petit garçon qui n'avait pourtant pas parler de la journée, le regard perdu dans le vague. Ses yeux brillants les avaient émerveillés, ses cheveux d'un bond/châtain si beau leur avaient rappelés Remus, ce nez un peu allonger qui lui donnait un petit air dur qui lui allait bien leur faisait penser à Sirius et sa bouche fine, presque sans lèvres, souriaitsi bien ! Ensuite, ses oreilles ressemblaient étrangement à celles de Nevile, sans pour autant lui donner un air idiot. Il était de taille normale etmaistrès fin, comme s'il ne mangeait jamais. Il flottait dans se vêtements, qui d'ailleur ne le montraient pas sous son meilleur jour, mais il avait cet air tellement sérieux, qu'il perdait, comme ça, sans qu'on ne sache pourquoi, pour enfin vite le reprendre, quiles avaient touchés. Hermione leur apporta deux cafés et commença à boire son thé, fatiguée.
- On dirait qu'on s'est attachés, hein ? murmura Harry.
Tous sourire, attendris, en repensant chacuns à une image du gamin. Ron, à celle qu'il avait eut en le voyant s'endormir. Hermione, elle, était celle du matin, lorsqu'elle avait danser avec lui. Harry, ce fut celle où, pendant le temps calme, il avait sucer son pouce tout en regardant par la fenêtre.
- Oui, on s'est attachés... Mais ça ne veut pas dire qu'on va l'adopter, Harry. dit Hermione.
Harry ne releva pas et continua à tourner sa cuillère dans sa tasse.
- J'ai décidé d'aller lui acheter des vêtements, demain, avant l'entraînement. Et puis, je l'emmènerait, ça l'occuperas ! dit Ron après un petit silence.
- Et tu vas le laisser seul sur les gradins ? dit ironiquement Hermione.
- Harry n'a cas venir ! Il n'a rien à faire et il vient souvent me voir jouer. Il pourra s'occuper du petit tout en apprenant de nouvelle méthodes !
Ron fit un clin d'oeil à Harry qui bougona "J'ai pas besoin de tes entraînements pour apprendre des feintes, maudit Weasley", mais finalement il accepta d'y aller.
¤¤¤¤¤¤¤¤¤
Thomas avait toujours envi de s'écrier : Whawou ! Tout autour de lui était immense. Les magasins, les gens, les sacs des gens, et surtout, les chiens. Il adorait les animaux, et tout les chiens qu'il voyait passer étaient énormes. Certains avaient l'air genti, d'autres l'airméchants, mais tous étaient gigantesques. Il faisait le tour des boutiques, en tenant la main de l'homme aux cheveux noirs et qui savait le consoler, dont le nom, lui avait-il dit en se présentant hier au matin, était Harry. Le jeune homme roux et au sourire gentil, Ron, n'était pas très loin et regardait dans les vitrines des habits. La jeune femme aux cheveux en bataille et qui sentait bon, Hermione, était restée à la maison et lui avait promis qu'il aurait un gateau au chocolat quand il rentrerait. Il avait eut envie de lui dire merci, mais ce n'était pas sortit. Plus rien ne sortait de sa bouche depuis que sa maman dormait... Alors il lui avait sauter au cou et lui avait fait un bisou. Harry le fit entrer dans une boutique avec pleins de vêtements très beaux et il se sentit déplacer dans cet endroit, avec ses habits tout craqués et plein de taches toute noires. Les femmes qui travaillaient ici poussèrent des cris de surprises en le voyant.
- Oh mon dieu ! Mais dans quel état il est ! Laura, viens vite, je vais avoir besoin de ton aide ! dit l'une des femmes en s'approchant de lui et le prenant par l'autre main.
Il tourna son petit regard qui ne comprenait pasvers Harry, qui lui sourit et lui lâcha la main. Il s'accroupit près de lui et le prit par les épaules.
- Hey, bonhomme. Ces dames sont très gentilles. Elles vont te montrer plein de vêtements, te les mettres et après, on va te les achetés, Ron et moi. Okay ?
Thomas le regarda dans les yeux longuement et vit qu'il ne lui mentait pas. Alors, il suivit tranquillement la dame qui fut très gentille. Elle lui montra des vêtements avec plein de couleures, d'autres qui en avaient un peu moin, mais ils les aimaient tous. Ron et Harry, amusés par son regard émerveillé, l'encouragèrent à en choisir et c'est avec des tonnes de paquets qu'ils ressortirent du magasin et se dirigèrent vers une toute petite ruelle. Cette fois-ci, c'était la main de Ron qu'il tenait, et il n'eut pas peur, même lorsque Ron lui lâcha la main pour sortir un bout de bois de sa pocheet lorsqu'iltoucha avec le bout de bois quatres pierres du mur. Le roux se tourna vers le petit garçon et lui repris sa main.
- Je vais t'emmener dans un endroit qui sera bizarre pour toi. Mais il faut que tu me promettes que tu n'en parleras à personne. Juste à moi, Harry et Hermione. Okay ?
Le petit garçon hocha la tête et prit son air de malice. Il ouvrit la bouche, mais aucun son n'en sortit. Alors il la referma et baissa la tête, déçu et honteux de ne pas pouvoir le dire.Ron le regarda quelques instants, essayant de l'encourager àparler,avant de passer le portail qui l'ammena aux vestiaires du stade de Quidditch, suivit de Harry.
- WEASLEY ! TU ES EN RETARd ! cria quelqu'un derrière la porte qui ammenait au couloir.
- JE SAIS ! répondit Ron, en se tournant ver Harry. Bon, j'y vais, sinon, je me fais déchiqueter. Tu connais le chemin !
Il partit, mit la main sur la poingnée mais se retourna en regardant le petit garçon. Il lui fit un clin d'oeil pour, enfin, s'en aller pour de bon. Ne tenant plus aucune mains, Thomas rejoignit les siennes et commença à se les triturées, comme à chaque fois qu'il était un peu tendu. Après tout, il était dans un endroit qu'il ne connaissait pas, avec des personnes qu'il ne connaissait presque pas ! Mais lorsque Harry le souleva de terre et lui fit faire le tour d'un stade de...quouiditche, et qu'il rencontra plein de personnes qui lui donnèrent plein de bonbons bizarres, il oublia toute ses inquiétudes car comment en avoir alors que tout le monde autour de vous vous chouchoute ? Même si ces personnes étaient toutes habillées bizarrement et qu'elles semblaient toutes avoir des bâtons.
¤¤¤¤¤¤¤¤
Thomas était extrêment déboussolé. Il pouvait accepter les bonbons bizarres (et extrêmements bons), les robes noires ou violettes ou vertes, même pour les hommes, et les noms bizarres comme quouiditche, mais il ne pouvait absolument pas comprendre comment Ron et certaines personnes qui avaient été si gentilles avec lui tout à l'heure faisait pour voler sur des balais. Sa maman lui racontait des histoires de sorciers qui avaient des balais volants, il connaissait aussi l'histoire d'Aladdin qui avait un tapis volant ! Mais il pensait que ce n'était que dans les histoires ! Alors que là, il voyait des personnes volants sur des balais et se passer une grosse balle toute dure et d'autres encores, qui avaient des petites battes, et d'autres qui semblaient chercher quelque chose... Et au milieu de tout ça, reconnaissable entre tous, Ron, qui lui faisait parfois des petits coucous de la main et qui essayait d'attraper la grosse balle dure avant qu'elle n'entre dans des anneaux... Malgrès les visages calmes autour de lui, regardant comme si ce n'était pas spectaculaire, il savait que ce n'était pas normal.Harry, à côté de lui, le regardait, amusé, mais quelques filles devant eux l'avaient abordé et il ne faisait plus attention à lui... Alors, comme il mourrait d'envi de voir les fils qui étaient sûrement accrochés quelque part dans le ciel pour retenir les balais, Thomas sauta au bas de son banc et s'avança vers la porte qui était ouverte et menait au toit du stade, sans que Harry ne le voit.
Merci à Rebecca-Black (J'adooore Marylin Monroe. Même si c'est un classique !), nees (Je suis contente que tu aimes ma fic ), Hasuki77 (bon bah comme d'hab' ! Gros bisous et soigne bien ta dent !), Alistouche ( Faut pas exagérer, j'écris pas aussi bien et je le tourne pas tellement en bonheur ! Si ? lol) et Virg05 (Je suis contente que tu ne sois pas dégoutée. Tout à coup, j'avais eu l'impression d'être allée trop loin alors que j'avais enlever des tonnes de trucs... En tout cas, j'espère que tu vas continuer à me lire !)
MissBotter
