Merci pour la lecture et les reviews !

Résumé du chapitre précédent : Après l'annonce d'attaques de mangemorts dans le Londres moldu, Harry aide Neville a se défouler pour éviter qu'il ne réprime sa colère contre Bellatrix, de peur que cela fasse des dégâts plus tard. Il a ensuite l'idée d'apprendre l'occlumencie à Neville et d'apprendre le sortilège du patronus à ses amis pendant l'été. Allant à la taverne pour donner à Anya la liste exhaustive des amis qu'il invitait sur l'île des Maraudeurs, il a la surprise d'y voir Eli qui lui annonce que le roi des vampires refuse de s'impliquer dans la guerre des sorciers, peu importe le camps, mais qu'il autorise Eli à y participer pour aider Harry si elle le souhaite. A la réunion de l'Alliance, Lady Londubat raconte les ragots des gouters qu'elle et ses amies Ladies organisent chaque semaine, Harry donne à tous un gallion enchanté par Hermione pour communiquer la date et l'heure des prochaines réunions et annonce que son amie vampire est de leur côté. Puis, avant que la réunion ne se termine, il leur parle de l'île des maraudeurs et leur demande l'autorisation d'inviter leurs enfants. Réponse à la prochaine réunion pour tous sauf Lady Londubat qui a déjà accepté.

Note de l'auteur : désolée pour la longue attente ! Ce chapitre n'est même pas aussi long que prévu et ne devait pas sortir aujourd'hui mais j'ai trop attendu. Plus d'explications en bas du chapitre.

Bonne lecture !


Chapitre 63

Lundi 24 mai 1996

Lavande et Parvati étaient apparemment toujours à la recherche de sa petite-amie secrète.

En tout cas, c'est que ce qu'Harry en avait conclu en voyant les deux filles soupirer en relisant pour la énième fois l'article de Sorcière Hebdo pour lequel elles avaient été interviewées mais qui semblait ne pas avoir eu le résultat escompté.

Elles étaient venues s'excuser le matin même de sa parution. Lavande leur avait dit qu'elle savait qu'Harry et Hermione n'étaient pas ensemble mais que la journaliste avait mal interprété ce que Parvati avait dit et que Lavande avait tenté de dissiper le malentendu mais que la journaliste n'en avait eu rien à faire.

- Skeeter nous a déjà fait le coup l'année dernière ! Je ne comprends pas que les gens puissent croire une deuxième fois au même mensonge, soupira Harry.

- J'ai entendu dire qu'on faisait un beau couple, toi et moi, répondit Hermione avant de voir du jus de citrouille. On aura peut-être le droit à ces rumeurs tous les ans, ajouta-t-ell en haussant les épaules. En tout cas, j'en connais une à qui ça ne doit pas plaire, commenta-t-elle ensuite en lançant un sourire amusé à Harry alors que ce dernier se resservait une part de tarte à la mélasse.

- Elle s'en fiche, en fait, répondit-il en un demi sourire. Elle sait que tout est faux.

- Attend une minute ! Tu sais qui c'est ? Demanda Ginny à Hermione, la rousse ayant entendu la remarque de la brune. Pourquoi moi je ne sais pas qui c'est ? Demanda-t-elle en se tournant vers Harry.

Le Gryffondor sourit.

- Le but d'un secret est qu'il doit rester secret pour la plupart des gens, répondit-il. Si je le disais à tout le monde, ce ne serait plus un secret.

- Je suis capable de garder un secret, insiste-t-elle. Regarde Ron, continua-t-elle en pointant son frère qui mangeait voracement une cuisse de poulet. Quand il avait six ans, sa peluche dragon s'est soudainement transformée en araignée. Il a cru que c'était Fred et Georges qui l'avaient fait pour l'ennuyer et maman y a cru aussi. Ils n'ont jamais su que c'était moi la fautive et que je l'avais fait pour le punir de m'avoir traitée de gros bébé.

Harry eut un sourire amusé.

- Peut-être plus tard, finit-il par répondre.

La rousse souffla d'exaspération mais n'insista pas davantage.

- Ce n'est pas comme si on passait beaucoup de temps seuls et loin des regards tous les deux, fit remarquer Harry les sourcils froncés. Avec nos devoirs, mes entrainements de Quidditch, mes allers-et-retours en dehors du château le samedi, toi qui préfères travailler à la bibliothèque, qui doit faire tes rondes avec Ron trois soirs par semaine et les réunions de préfets, on aurait le temps de s'embrasser quand ?

Hermione rit en se levant.

- Les gens ont beaucoup d'imagination. Regarde Ron, dit à son tour la brune, on l'a fait préfet et il ne fait qu'une ronde de surveillance par semaine, me laissant toute seule à faire tout le travail et il est à moitié endormi aux réunions.

- Tu sais que je pourrais te prêter la carte pour le faciliter la tâche, dit Harry en se levant à son tour pour la rejoindre. Tu n'aurais même pas à quitter la salle commune à moins de devoir attraper un élève.

- C'est vrai que ça me soulagerait, accepta Hermione. Mais je préfère faire mes rondes, j'aime bien marcher dans le château quand les couloirs sont vides, c'est apaisant. Parfois j'ai même des conversations intéressantes avec certains tableaux, ajouta-t-elle.

Ils quittèrent la Grande Salle et sortirent dans la cour principale.

- Alors je te la prêterai pour que tu puisses la consulter pendant tes patrouilles si tu veux. Comme ça tu pourras converser plus longtemps avec les tableaux, continua-t-il avec un sourire.

- Je ne fais pas que ça, hein, insista-t-elle. C'est tout un travail de surveiller les couloirs.

- Oui, oui, je sais, la taquina-t-il en retour.


Après le double cours de métamorphose où les élèves apprirent à changer le bois en papier puis l'eau en glaçons avant de les changer en bulles, Harry et Neville avaient une période de libre.

Harry en profita donc pour apprendre les bases de l'occlumencie à son ami.

- Ça risque de prendre un peu de temps car je ne suis pas un expert, le prévint Harry.

- Ça t'as pris combien de temps ?

- Pour les bases ? Quelques jours, mais il m'a fallu plusieurs mois pour les consolider avant de passer aux différents boucliers que j'ai formé. Et Sirius connait l'occlumencie depuis l'enfance et à l'avantage que la magie de sa famille soit liée à l'occlumencie. Toi, ça te prendra beaucoup plus de temps, mais c'est normal, la rassura le jeune Potter.

- Si tu le dis, répondit Neville en fronçant les sourcils.

- Sois concentré et sois patient, lui conseilla Harry avant qu'ils ne ferment les yeux. Comme se vider l'esprit de toute pensée n'est possible que pour un nombre infime de personnes, tu vas plutôt penser à un endroit où tu te sens bien, libre et en sécurité. Dis-moi quand tu l'auras trouvé.

Harry profita du temps de réflexion du Gryffondor pour aller visiter son propre espace mental. La bibliothèque était telle qu'il l'avait laissé il y a une semaine, rangée et organisée, sauf pour la pile de parchemins chiffonnés et en boules sur une table sur le côté. Ses plus récents souvenirs devaient encore être triés et rangés au bon endroit. Il s'assit devant la table et commença à lisser les parchemins afin d'en connaitre le contenu.

- C'est bon, je crois que j'ai trouvé, entendit-il.

Harry rouvrit les yeux quelques secondes plus tard.

- Harry ? Répéta Neville.

- Cet endroit va devenir ton espace mental, lui dit le jeune Potter. C'est là que tes souvenirs, bons comme mauvais, importants, banals, drôles, tristes et autres vont se retrouver.

- Mais je ne vois rien de spécial, commenta Neville, les sourcils froncés, en ouvrant les yeux.

- Parce que, pour le moment, ce n'est qu'une image dans ta tête, lui expliqua Harry. Mais quand nous aurons terminé de consolider tes bases dans quelques semaines, tu pourras y accéder et consulter tes souvenirs très facilement. Alors, dis-moi, quel est cet endroit ?

- La serre au manoir Londubat, répondit-il, les joues rosissant.

- C'est une excellente idée, approuva le brun. Certaines plantes pourraient représenter tes souvenirs et les autres pourraient les protéger, suggéra-t-il.

- Et toi, c'est qu'on ton espace mental ? Demanda Neville, curieux.

- Une bibliothèque, répondit Harry en grimaçant. J'avais d'abord pensé à un terrain de Quidditch mais c'était trop violent, trop mouvementé. Dans une bibliothèque, le silence, l'organisation et le rangement règnent. C'est le genre d'endroit qu'il me fallait pour ranger et protéger mes souvenirs.

- On dirait l'espace mental parfait pour Hermione, commenta Neville avec un sourire. Mais je comprends ce que tu veux dire.

- Allez, reprenons, incita Harry en fermant les yeux. On va commencer par consolider l'image que tu te fais de la serre dans ton esprit afin que ton espace mental soit assez solide pour implanter un premier bouclier sans que la serre ne s'efface.


Quelques jours plus tard, la Gazette sortit un article sur l'attaque de mangemorts qui avaient eu lieu la veille au soir dans le Grand Hall du ministère à la sortie d'une réunion du Magenmagot. Une vingtaine de mangemorts avaient attaqué quelques sorciers au hasard, tuant une dizaine d'employés et blessant une vingtaine de visiteurs. Le scribe qui avait assisté à la séance, Lord Abbot et son fils -qui devait lui succéder dans l'année- avaient été tués. Lord Malfoy et Lord Crabbe avaient été blessés et emmené à Ste Mangouste mais n'y était pas resté longtemps.

Il avait appris par Susan pendant leur cours de botanique qu'Hannah et sa mère allaient venir vivre avec elle chez son oncle Edgar. Harry pensa que c'était surement l'idée de Lady Bones. En plus, de garder sa nièce et sa meilleure amie en sécurité, elle conservait l'amitié et la loyauté de la famille Abbot envers la famille Bones.

Du coup, si Lady Bones autorisait Susan à venir les rejoindre ses amis et lui sur l'île des Maraudeurs, alors il devrait surement également inviter Hannah. La liste des invités et des personnes en qui il devait faire confiance commençait à devenir bien trop longue à son goût … Mais peut-être qu'étendre son réseau social était une bonne chose au final.

Harry soupira alors qu'il rempotait son hibiscus mordeur avec soin. Heureusement que ses gants étaient en peau de basilic : cette satanée plante lui avait déjà mordu deux fois le pouce et il n'avait rien senti grâce à la robustesse de la peau du serpent magique. Ron n'avait pas eu cette chance avec les gants en peau de dragon usée de son frère Bill et était devenu bleu à cause du venin bénin de la plante.

"Ça disparaitra tout seul dans vingt-quatre heures" l'avait rassuré le professeur Chourave lorsqu'il avait demandé à se rendre à l'infirmerie et qu'elle lui avait répondu que cela ne servirait à rien car il n'y avait pas d'antidote connu.

Ron avait donc passé deux jours avec la peau bleu. Avec ses cheveux roux, un né-moldu de deuxième année de Poufsouffle avait trouvé qu'il ressemblait au chef des schtroumpfs. Depuis tous les nés-moldus, ayant la référence, avaient commencé à le surnommé Grand Schtroumpf. Harry avait dû expliquer au rouquin l'origine du malheureux surnom –chef d'une bande de petites créatures bleues, sorties de l'imagination d'un auteur belge- et le jeune Weasley avait dû l'accepter malgré lui, ajoutant que c'était mieux que certains des surnoms donnés par Malfoy et les autres Serpentards.


- Et dix points de plus pour Gryffondor ! Hurla Lee dans le mégaphone. Alicia Spinnet et Katie Bell nous ont montré un ballet de grandes envergures et les poursuiveurs de Serdaigle n'ont rien compris à ce qu'il se passait !

Tout en écoutant les commentaires de Lee Jordan, Harry cherchait le vif tout en surveillant Cho Chang au cas où elle le verrait avant lui. Gryffondor menait 190 à 110 pour Serdaigle après presque deux heures de jeu mais il devait attraper le vif d'or avant son adversaire ou les bleu et bronze gagneraient avec 70 points d'avance. Son ventre commençait à gargouiller, le match ayant commencé à dix heures et le petit-déjeuner se faisant de plus en plus lointain. De plus, il avait déjà poursuivi trois fois le vif au coude à coude avec la Serdaigle, en vain, mais au moins elle ne l'avait pas attrapé non plus.

- Dix points pour Serdaigle ! Allez les filles, on se reprends ! Cria Lee vers les poursuiveuses de Gryffondor.

Harry entendit le professeur McGonagall rabrouer Lee pour son manque d'impartialité mais il ne fit plus attention au reste lorsqu'il aperçut une minuscule sphère devant les gradins accueillant les élèves de Serpentards qui huaient les joueurs en tenue rouge et or et supportaient les Serdaigle. Harry ne jeta même pas un coup d'œil vers Cho pour savoir si elle l'avait vu et fonça, se concentrant sur sa vitesse et restant à l'affut des sons autour de lui. Les autres joueurs le croisaient ou passaient à côté de lui sans faire attention à lui mais aucun cognard n'était dirigé vers lui.

- Davis récupère le souaffle et... Potter a vu le vif ! Attentions aux joueurs qui se trouve sur son chemin !

Harry avait presque envie de sourire en se rendant compte que le vif était juste devant ses amis de Serpentards mais il resta impassible et le regard fixé sur la balle magique. Il ne s'inquiétait pas pour Cho Chang qui, même si elle avait entendu Lee et devait avoir entrepris la chasse, elle n'avait aucune chance : Harry attrapa le vif bien avant qu'elle ne le rattrape ! Face à lui, Daphné et Tracy le regardaient, chacune avec un air différent : sa petite-amie avec les yeux écarquillés alors qu'il remontait dans le ciel en passant à seulement un mètre d'elles et la blonde en criant avant de rire aux éclats.

- Potter a attrapé le vif et fait gagner Gryffondor avec 340 points !

Atterrissant après avoir fait le tour du terrain pour fêter sa victoire, tenant le vif du bout des doigts, Harry fut submergé par ses coéquipiers qui crièrent de joie et le félicitèrent. Fred et Georges le portèrent sur leurs épaules jusqu'aux vestiaires et, même sous le jet des douches, les membres de l'équipe continuèrent de chanter leur bonheur.

A la sortie des vestiaires quinze minutes plus tard, Harry fut happé par Hermione qui le félicita, Neville juste derrière elle. Elle félicita également Ron qui rougit jusqu'aux oreilles. Plus loin, quatre élèves de Poufsouffle de deuxième année attendaient et Harry aperçut Eleanor.

- Alors, Harry, tu viens fêter ça dans la salle commune ? Demanda Fred.

- On va chercher de quoi manger et boire, ajouta Georges.

- Je vous rejoint plus tard, leur assura Harry. Je dois d'abord faire quelque chose.

Harry n'eut pas besoin de se justifier auprès de ses amis, Hermione comprenant tout de suite et Neville la suivant. Il s'approcha des jeunes élèves et Eleanor fut laissée par ses amis, qui l'attendait plus loin.

- Félicitations, lui dit-elle avec un petit sourire. C'était un super match et une belle capture !

- Merci ! Mais sans mes coéquipiers qui ont beaucoup marqués, attraper le vif n'aurait servi à pas grand-chose, tu sais, minimisa-t-il. Tu veux venir dans la salle commune fêter ça ?

- Oh, euh... merci mais je n'ai pas vraiment la tête à ça aujourd'hui. Je voulais juste te féliciter puisqu'on ne devait pas se voir avant demain matin.

Harry pencha la tête sur le côté, soudainement inquiet.

- Il s'est passé quelque chose ?

Eleanor ouvrit la bouche avant de secouer la tête.

- Je ne veux pas t'embêter avec ça.

- Donc il y a quelque chose.

- Ce n'est pas grave, lui assura-t-elle. Et puis les autres t'attendent.

Mais Harry s'appuya contre le mur à côté d'elle et croisa les bras.

- Pour toi, j'ai tout mon temps, déclara-t-il. Allez, dis-moi ce qui ne va pas.

Elle soupira avant de sortir une lettre de la poche de sa robe et la lui tendit.

- J'ai reçu ça ce matin et je ne sais pas quoi en penser, dit-elle avant qu'il ne se mette à la lire.

D'abord concentré mais confus, la situation devint de plus en plus claire au fur et à mesure de sa lecture. La lettre lui venait du ministère moldu, du département social, et l'informait de son transfert dans un nouvel orphelinat dès son retour du pensionnat – ce qu'était Poudlard pour les moldus. Aucune raison à son transfert n'était mentionnée et il n'était dit de son nouvel orphelinat uniquement qu'il s'appelait l'orphelinat Saint James.

Le ministère moldu n'était finalement pas plus efficace que le ministère sorcier, pensa Harry en levant les yeux au ciel.

- Ca ne te donne pas beaucoup d'informations, déclara Harry. Ce transfert te fait peur ?

- Je sais ce que je perds, pas ce que je gagne, répondit-elle en haussant les épaules.

Harry réfléchit puis prit une décision.

- Je connais cet orphelinat, lui apprit-il en lui rendant sa lettre. Je pourrais t'en parler davantage mais il faudra que tu n'en parle à personne.

- Pourquoi ? Demanda-t-elle en rangeant le courrier dans sa poche.

- Parce qu'il n'est pas encore ouvert, répondit le jeune Potter. Et qu'il doit rester secret.

- Mais quand j'y serais, il sera ouvert, non ? Chercha-t-elle à comprendre.

- Il ouvrira le même jour. Mais...tu dois quand même garder l'existence de cet orphelinat pour toi, d'accord ?

- Je promets de ne rien dire si tu me dis tout ce que tu sais dessus, négocia-t-elle.

- Je te donne les informations générales pendant qu'on marche jusqu'à la salle commune de Gryffondor et le reste le jour du départ du Poudlard Express, proposa-t-il.

- Pourquoi pas avant ? Demanda-t-elle avec une moue.

- C'est ça ou rien, insista-t-il avec un sourire en coin.

Elle essaya de l'amadouer avec une moue adorable mais le sourire d'Harry ne devint que plus grand. Il ne lâcherait rien.

- Bon d'accord, accepta-t-elle avec un soupir dramatique. Mais je vais d'abord dire à mes amis que je ne reviens pas à la salle commune avec eux. Attends-moi !


J'espère que ce chapitre vous a plu malgré qu'il soit court ;)

Explications :

J'adore cette fanfiction, je n'en ai jamais écrite de si longue. Mais entre le boulot, mes responsabilités et mes autres passions, j'ai de moins en moins de temps pour écrire. Pour le moment, j'écris surtout sur The 100. Pour éviter de vous faire attendre une éternité, je me force toutes les semaines à écrire un peu mes chapitre pour cette fanfiction mais plus je me force, moins j'ai envie de l'écrire.

Je suis toujours aussi fan du monde de Harry Potter, je lis même deux fanfictions en ce moment (une Harry/Hermione et une Harry/Daphné) mais je préfère faire une pause concernant l'écriture de cette fanfiction. Je vais arrêter d'écrire puis reprendre quand l'envie reviendra et je ne publierai que quand j'aurai trois ou quatre chapitres de prêts voire plus, histoire d'avoir de l'avance et de pouvoir recommencer à publier régulièrement.

Je ne sais pas combien de temps ça va prendre mais j'insiste : je n'abandonne pas cette fanfiction !

Sur ce, je vous souhaite de joyeuses fêtes (car je ne pense pas republier d'ici là) !

Prenez soin de vous !