Note : attention aux âmes sensibles ! Autant le premier chapitre était gentil, autant dans celui là ça va charcuter sec ! Si vous ne voulez pas salir votre écran, passez votre chemin !

Vous êtes prévenus alors bonne lecture !

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La flamme noire

Chapitre 2 : L'ordre de la Flamme noire

-Oh Merlin !

-Bar la barbe de Dumbledore ! s'écria Edward, si c'est l'uniforme de Beauxbatons, je m'exile tout de suite en France !

James ne put qu'acquiescer, ainsi que tout les Gryffondors suffisamment proche pour l'entendre. Et, à voir la tête de tous les garçon et de quelques jeunes filles assez âgés pour connaître les choses de la vie, ils n'étaient pas les seuls à penser ainsi.

La cause de cette émotion soudaine était une jeune fille d'environ 17 ans, brune aux yeux bleux, et qui portait un vêtement que les moldus appellent mini-jupe, accompagné d'un débardeur moulant qui ne couchait rien du corps sublime de mademoiselle Demendre (ndla : image de rêve dans mon esprit. Vive l'imagination !)

Mcgonagall jeta un regard sévère sur les quelques jeunes hommes qui avaient un regard vide, une bouche grande ouverte et un filet de bave qui s'égoutait sur la table( ndla : moi exagérer ? à peine).

-Je suis ravie de voir que vous avait fait bonne impression sur vos camarades, mais à l'avenir vous éviterez ce genre de tenue. Me suis-je bien fait comprendre ?

Monsieur Welckel était un homme d'une trentaine d'année et travaillerait au ministère de la magie en tant qu'Auror. Tout le monde s'entendait à dire qu'il était plutôt doué. Il avait même arrêté certain des dernier Mangemorts encore en liberté depuis la chute de Voldemort. Malheureusement pour lui, sa formation d'Auror ne contenait pas d'immunisation aux produits moldus, et il s'en rendis compte quand, un soir alors qu'il rentrait chez lui, un morceau de coton imbibé de chloroforme vint se coller à sa bouche.

Lorsqu'il se réveilla, il était ligoté dans un coin de son salon, sa femme à coté de lui. Quatre hommes vêtus de longues robes blanches.

-Qui êtes vous ? demanda-t-il, l'esprit encore embrumer par le somnifère

-Nous sommes les purificateurs. répondit l'un des hommes avec un sourire cruel

-Nous allons nettoyer la terre de votre sale engeance ! renchérit un deuxième.

Et le premier homme donna à monsieur Welckel un coup de pied un plein visage, le renvoyant au pays des rêves.

Le sorcier fut réveillé quelques minutes plus tard par des cris déchirants. Il ouvrit les yeux et vit sa femmes, nue et couverte de sang, se faire violer.

Il hurla de rage et celui qui semblait être le chef se retourna vers lui et sourit

-On dirait que notre amis est réveillé ! lança-t-il à la cantonade.

Il s'approcha du sorcier, se pencha et murmura à son oreille

-Regarde la magicien, regarde la, car c'est la dernière fois que tu la verra en vie.

Puis il se leva, se dirigea vers la femme sanglotant, repoussa l'homme qui était toujours allongé sur elle et sortit un long couteau effilé.

La sorcière se mit à hurler et l'homme, pour la faire taire, lui trancha la langue et envoya le bout de chair sur son mari.

Puis il planta le couteau dans un sein et commença à trancher jusqu'à le détacher complètement.

Il le laça à un de ses homme qui lécha le téton et éclata d'un rie gras.

Lui aussi rit quelques secondes puis recommença son travail, en se concentrant sur l'autre sein.

Après avoir fini, il éventra la femme d'en coup sec et regarda les entrailles se répandre sur le sol

Monsieur Welckel n'avait presque plus de voix à force de hurler des insultes, de pleurer, et ses poignets étaient à vif à force d'essayer de se libérer

-Ne t'excite pas comme ça mon chou, il y en aura pour tout le monde, lui dit le chef, son couteau dégoulinant à la main.

Il fit un geste de la main et les trois autres hommes saisir le sorcier par les bras et le traînèrent dehors.

Quelques instants plus tard, monsieur Welckel se retrouva attaché entre deux voitures, les mains liées sur l'une et les pieds sur l'autre.

Les voitures se mirent en marche et commencèrent à s'éloigner doucement l'une de l'autre.

Le sorcier hurla lorsque ses jambe s'arrachèrent dans une immense gerbe de sang, et il se retrouva traîné sur le bitume , la peau de son dos s'arrachant petit à petit.

La voiture s'arrêta lorsque monsieur Welckel se retrouva réduis à l'état de deux bras et d'une tête accrochés à une masse de chaire sanguinolente.

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Voilà ! C'était bien ?

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ouhou ? y'a quelqu'un ?

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Ah non, y plus personne.

Bon ben jvais vomir dans les toilettes moi.

Excuser moi…

Je sais que ce chapitre est court mais j'ais besoin de m'arrêter un peu après le truc immonde que je viens d'écrire