Chapitre 1 : Quand le destin nous rapproche
Dans un immense manoir de Central City, le bal d'Halloween organisé par la prestigieuse famille Armstrong se déroulait sans encombre. Les invités riches et célèbres s'amusaient à danser en rythme sur les mélodies jouer par l'orchestre lyrique. Dans les cuisines, les employés faisaient tout ce qu'ils pouvaient pour ne pas gâché cette belle fête. Puis arriva le dessert et une serveuse déguiser en chat, portant des talons aiguilles se foula la cheville. Dans sa chute, elle lâcha le plat de coupe de champagne qu'elle devait emmener en salle. Par chance, une petite main des cuisines en charge de la plonge rattrapa le plateau en argent et la demoiselle.
- Ça va ? » Demanda Riza qui était l'employé de la plonge.
- Oui, merci Riza. » Répondit la jeune serveuse soulagée.
Elle allait retournée en salle quand sa cheville lui fit affreusement mal. Elle hurla de douleur, incapable de posé son pied sur le sol. Riza sortie une chaise et l'installa dessus. Elle sortit de la glace et demanda à leur supérieur de venir. L'homme arriva et regarda les deux jeunes femmes.
- Riza prenez sa place en salle. »
- Pardon, mais… » Tenta Riza gêner d'aller là-bas au milieu de ses gens d'un autre monde.
- C'est un ordre. Soit vous allez en salle, soit vous êtes virés. » Annonça clairement l'employeur.
N'ayant pas d'autre choix, Riza se plia à cet ordre. Elle échangea sa tenue avec le costume de chat servante et pénétra dans l'immense salle de bal. Son cœur battait fort suite à son stress. Elle n'aimait pas être ici dans cette pièce où tu ses hommes et ses femmes se prenaient pour des Dieux. Elle parcourut la pièce en faisant bien attention d'être invisible. Deux hommes portant des loups noirs et des costumes de la même couleur s'approchèrent et prirent deux coupes de champagnes sur le plateau. Un autre homme arriva et échangea sa coupe vide par une pleine.
- Ma jolie chatte, que dirais-tu d'aller faire un petit tour dans un recoin du jardin ? » Demanda l'homme ivre.
Il approcha sa main gantée de blanc vers le fessier de Riza et le caressa avec ardeur. Derrière son masque de chat, Riza enragea. Si, elle avait été dans une autre situation, elle l'aurait remis à sa place se pervers. Elle l'aurait frapper avec ce plateau en argent et rabaisser devant tous ses semblables. Mais, elle devait travaillée si elle voulait tout simplement survivre. Car sans argent, pas de nourriture, pas de logement et pas de chauffage. La main baladeuse de ce pervers continua a parcourir son corps. Ok, elle portait un body noir et des bas en résille, mais ce n'était pas une raison pour la comparée à une prostituée. Elle fut presque soulagée quand une femme lui fit signe de venir. Elle s'excusa auprès du pervers et marcha rapidement vers cette invitée. Elle prit la dernière coupe de champagne. N'ayant plus de coupe disponible, Riza retourna en cuisine. C'est là qu'elle vit sa collègue se faire bandé le pied par le médecin.
- C'est une entorse, je dois me reposé pour le reste de la soirée. » Expliqua la collègue de Riza.
- Courage à toi. » Fit Riza en prenant un nouveau plateau de champagne.
Elle retourna en salle quand une invitée un peu trop enivrer qui dansait lui tomba littéralement dessus. Les coupes a champagnes se brisèrent sur le sol et le précieux liquide se déversa sur la magnifique robe style empire de la jeune femme. Riza était tombée sur le sol, car l'impact lui avait tordu la cheville. Maudit talon de vingt centièmes. Celui qui avait inventé ce genre de chaussure ne devait pas aimer les femmes. Alerté par le bouquant, tous les invités regardèrent la scène. Une servante au sol et une noble debout avec sa tenue totalement salie. Certains avec amusement, d'autre exaspération et d'autre encore avec honte. Voyant tous les regards sur elle, la femme leva la main et gifla Riza au visage. Le masque de Riza tomba sur le sol. La femme hurla de toute ses forces.
- Sale petite merde comment ose-tu ? Tu sais qui je suis ? Comment as-tu osé me rabaisser ? Aujourd'hui, tu as signé ton arrêt de mort. Je vais faire en sorte que ton incompétence soit connue de tous et te faire viré. Même mieux, je vais faire en sorte que plus jamais tu ne travail pour nous. »
Tout en parlant elle attrapa des coupes de champagnes sur un autre plateau et les vida sur Riza.
- Regardez-moi cette merde… Elle sera plus douée pour le trottoir que pour servir. Qui veux l'essayer maintenant ? » La rabaissa encore une fois la femme.
Elle allait une nouvelle fois l'humilier Riza quand un homme arriva. Il jeta sa veste noire sur le visage de Riza et se tourna vers la femme ivre en serrant le poing de rage.
- Que crois-tu faire Roy ? » Hurla la femme de rage.
- Je suis en train de mettre fin à ton humiliation publique June. » Répondit calmement Roy.
June regarda autour d'elle et se rendit compte que tout le monde la regardait et semblait d'accord avec l'action de Roy. Furieuse, elle frappa ses talons au sol et quitta la pièce. Roy se retourna pour aider Riza quand il se rendit compte qu'elle était partie. Il la repéra en direction des cuisines. Il voulu la suivre mais un bras amical se posa sur ses épaules.
- Bien joué, mon ami… Tu l'as bien remise à sa place la June. » S'amusa l'ami de Roy.
- Désoler, Alistair mais je dois y aller. » Répondit Roy en se détachant de son ami pour retrouver Riza.
Il fit a peine dix pas qu'un autre invité le coinça pour lui parler. Il répondit poliment à son allié des affaires et traça sa route. Il fut une nouvelle fois interpeller par un autre homme d'affaire.
Xoxoxo
Cette fête d'Halloween était ennuyeuse, voilà à quoi pensait Mandy Raven. Aucun des hommes présents à cette fête et qui l'avait invité à danser, ne l'intéressait. Le seul homme qui l'intéressait, c'était lui, le Duc Roy Mustang. Il avait tout pour lui, le charme, l'intelligence et l'argent. Il était le cinquième plus fortunés d'Armestris. Le parti idéal pour une fille comme elle.
- Arrête donc de rêver, jamais il ne t'invitera à danser. » Commenta Zolf.J Kimblee.
- Il le fera quand il se rendra compte quelle femme merveilleuse, je suis. » Rétorqua Mandy en sirotant son champagne.
- Il n'y a que deux choses qui intéresse Roy Mustang : les femmes d'âges mûres et les affaires. De ce que je sais de toi, tu n'es pas d'âges mûres et tu n'as rien à lui proposé professionnellement parlant. » Rétorqua Zolf.J avec le sourire.
Mandy allait le remettre à sa place en giflant quand un vacarme attira leur attention. Ils regardèrent dans la direction et virent une employée se faire humilier par June Klemin. La petite fille d'un Général d'Armestris.
- Pauvre d'elle, June va la dévorée. » Commenta Zolf.J amusé par la situation.
- Au moins, ça mettra de l'ambiance dans cette soirée de merde. » Rétorqua Mandy avec le sourire.
Devant cette répartie, Zolf.J se mit à sourire et explosa de rire. Il s'installa confortablement et observa la scène. June allait achever la pauvre servante quand Roy Mustang arriva. Tel un chevalier ou le Prince Charmant, il retira sa veste et cacha le visage de la serveuse avec. Puis, il se tourna vers June en la fusillant du regard. Il prit la défense de la demoiselle en remettant June à sa place. La serveuse en profita pour disparaitre. Quand la scène fut terminée, Roy Mustang chercha du regard la serveuse.
- Oh ! Il semblerait qu'il ait une troisième chose qui intéresse Roy Mustang. » Fit Zolf. J avec le sourire.
De rage, Mandy serra la coupe de champagne. Cette serveuse allait lui payer cher. Comment avait-elle osé toucher ce qui lui appartenait de droit ?
xoxoxo
Encore sous l'effet de la surprise, Riza retourna en cuisine. Elle savait qu'il y a une chance qu'il soit dans cette pièce mais pas qu'il intervienne. Lui qui était en partie responsable de la situation. Le connaissant très bien et sachant qu'il allait venir la chercher ici, elle décida de quitté son poste. Son supérieur arriva pour lui faire la leçon quand elle lui cracha sa démission en plein visage en même temps que la veste de Roy Mustang, avant de quitter à jamais le manoir Armstrong. Peu importe ce qu'elle portait à cet instant, elle ne devait pas rester. C'est donc, vêtu de sa tenue ultra sexy quelle rentra chez elle à pied. Elle avait à peine fait deux cents mètres qu'un talon se cassa. Encore plus agacé par ce coup du destin, elle retira les chaussures et les jeta dans la rue en hurlant de rage. La situation ne pouvait pas être pire. Alors qu'elle se disait cela, il se mit à neigée. Sa vie ne pouvait pas être plus horrible que maintenant.
À suivre...
Voilà, le premier chapitre. J espère qu il vous a plu. A très vite pour le chapitre 2
