Chapitre 18 : Quand le fils à papa s'émancipe.
Dans sa cellule, Roy s'impatientait. Cela faisait plus de trois heures que son crétin de gardien avait envoyé sa lettre et huit heures qu'il était enfermez-là. Le temps était bien long. A comparaissons, huit heures à côté de Riza était comme une minute alors que là, il avait l'impression d'avoir été ici pendant trois jours.
- Duc Mustang ? » Fit une voix masculine que Roy connaissait.
En entendant cette voix, Roy se leva sa paillasse et s'approcha des barreaux. Il reconnu un jeune homme héritier.
- Jean Havoc ? »
- L'unique. Que faite-vous ici ? » Fit Jean étonner de voir le plus jeune Duc d'Armestris en prison.
- Je suis victime d'une injustice. Voyez-vous, je suis sorti pour aller chercher une sage-femme. »
- Pour Lucretia ? » Demanda Havoc avec le sourire.
Entendant ce prénom, le visage de Roy se ferma. Bordel, il l'avait oublié celle-là.
- Non. »
- Alors c'était votre poney. » Déduisit Jean encore plus amusé par la situation.
- Mon poney ? »
- Oui, c'est ainsi que les rumeurs surnomment votre nouvelle amante. On raconte quelle a été régulièrement monter par les hommes comme un poney. Après chacun ses gouts et sa vie privée. »
En entendant cela, le visage de Roy se décomposa de colère. Monter comme un poney ? Sa Riza ? Sa femme ? Qui était l'imbécile qui avait lancer cette rumeur injustifié ? Sa Riza n'était pas un poney. Si, il tenait le responsable, il lui ferait gouter de ses phalanges. Voir même le provoquer dans un duel à mort, même si cela est interdit.
- Je suppose que vous voulez sortir d'ici. » Fit Jean avec le sourire.
- Effectivement, je voudrais sortir. » Répondit Roy.
Il se garda de rajouter : « et donner une putin de leçon au connard qui a rabaisser ma femme ».
- Je vais voir ce que je peux faire pour vous. » Annonça Jean en partant.
Xoxoxo
Riza entra dans le salon des invités. Elle voulait rencontrée se militaire afin de savoir ce qu'il voulait. Maes qui était droit comme un « i », regardait par la fenêtre les passants.
- Veuillez m'excuser, on m'a informée que vous cherchiez Gracia. » Annonça Riza.
Maes se retourna et observa Riza en se demandant qui elle était. Elle était trop simple pour être la femme du Duc et trop bien cultivé pour être une servante.
- Effectivement. »
- Puis-je vous demander le sujet de votre requête ? » Osa demander Riza.
Elle n'allait quand même pas laisser un militaire entré ici et annoncer à son amie que son amant était mort sur le champ de bataille ou blesser.
Xoxoxo
Assis dans le bureau de son père, Kimblee se faisait gentiment rappeler à l'ordre par le chien son père. Enfin son Secrétaire. Kimblee très intéresser, dépoussiérait son pantalon et n'écoutait absolument pas l'homme qui lui aboyait dessus comme on parle à un chien ou à un serviteur.
- Vous m'écoutez ? C'est la dernière fois que vous faite honte à votre père ! Tous vos ancêtres doivent se retourner dans leur tombent à la suite de votre comportement. Qua… »
- Blablabla. Vous utilisez trop de salive sur moi au lieu de vous attaquer au véritable problème : la disparition de mon père. Oh ! Mais c'est vrai, vous ne savez pas ou il est ! » Déclara Zolf Junior avec le sourire en regardant ses ongles.
Il avait de magnifique ongle pour un homme. D'aussi belles mains, ne pouvaient que toucher que le corps d'un Dieu : Roy Mustang. Voilà à quoi il pensait.
- Sale petit in… »
Le Secrétaire s'arrêta de parler pour poser sa main sur son cœur. Il serra ses vêtements tout en transpirant. Zolf le regarda agoniser avec le sourire. Le vieux secrétaire tomba raide mort sur le sol. Zolf s'approcha du cadavre et le secoua de la pointe de sa chaussure, parfaitement ciré.
- Magnifique… Trois minutes. Ce vendeur de Xing ne ce n'était pas trompé quand il m'a vendu ce poison. Adieu Vieux connard, merci d'avoir été mon cobaye. » Annonça Kimblee en sortant du bureau de son père.
C'est en passant la porte qu'il vit un majordome. Il le regarda et annonça :
- Vous pouvez appelé un médecin pour qu'il constate une mort. Je crois que j'ai tué votre supérieur. »
Entendant ses mots, le majordome se précipita dans la pièce. Kimblee attendit dans le couloir et regarda son reflet dans le miroir. Il s'effondra en pleure et annonça :
- J'ai tué quelqu'un ! Mon Dieu qu'ai-je fais ? »
Il s'arrêta brutalement de pleurer comme une madeleine pour se mettre à sourire. Il s'observa dans le miroir. Il leva son pouce, son index et majeur pour imité un pistolet.
- Bang. On a réussi alors arrête de pleurer. »
- Mais… papa va » Larmoya une nouvelle Kimblee.
- Oh ! Ferme-là. Tu voulais Roy Mustang ? Maintenant, à part un détail, il n'y a plus rien pour vous séparer. » Reprit le premier visage de Kimblee.
- Mais, c'était… » Pleura encore une fois Zolf.
- Maintenant concentre-toi sur l'avenir et non sur les fantômes. Tu as encore le détail à régler. » Reprit encore une fois le premier visage de Kimblee.
- Tu as raison. » Fit le second visage de Kimblee en s'arrêtant de pleurer.
C'est là que Kimblee remarqua une servante qui l'observait. A l'expression sur son visage, il pouvait lire la panique. Zolf prit une expression enfantine sur le visage et fit :
- Chat ! Je suis le chat et toi la souris. Tu as jusqu'à dix avant que je te tue. »
La servante était tellement terrorisée qu'elle ne savait pas quoi faire. Le décompte se passa très vite. Kimblee s'approcha d'elle et lui montra ses doigts en pistolet. En reprenant son premier visage.
- Pitié, Mons… » Supplia la servante en se mettant à genoux.
- Bang ! T'es morte. » S'amusa Kimblee en reprenant son visage enfantin.
Puis, il partit en laissant là agenouiller dans le couloir la servante en chantant une souri verte.
Xoxoxo
Il n'était pas loin de quinze heures quand Roy rentra enfin chez lui. En le voyant débarqué sans chaussures, les vêtements tous froissé et sentant mauvais, Ian le regard inquiet. Comprenant par cette réaction, que sa lettre n'était pas arrivée, Roy se promis de sanctionné ce gardien. Le Majordome allait ouvrir la bouche quand Roy annonça :
- Pas de question, je veux seulement un bain et un bon repas chaud. »
- Bien, Monsieur. »
Roy monta l'escalier et s'arrêta en haut pour ajouter :
- Et dite à Riza qui est dans le salon qu'elle arrête de s'inquiéter. Je suis rentré. »
Ian choqué observa son employeur. Comment savait-il ou se trouvait son épouse alors qu'il n'avait pas été de la matinée à la maison ? Serait-il relié par un lien magique à son épouse ? Puis, il se ressaisit et partit ce transformé en prince charmant.
Xoxoxo
Dans un commissariat, Scar essayait de convaincre son supérieur d'émettre un mandat d'arrêt sur le Duc Mustang quand un officier entra dans le bureau.
- Voici la raison de mon refus. » Annonça le supérieur de Scar en demandant à l'officier de parler.
- Le Duc Mustang a été arrêter cette nuit vers quatre heures du matin. Il était en prison quand le meurtre de la Comtesse a eu lieu. »
Scar se mit à réfléchir. Il regarda son supérieur et annonça :
- J'étais tellement aveuglé ma haine envers les Mustang, que je n'ai pas vu la différence de meurtres. La servante a été éventré alors que la Comtesse a été défenestré. Nous avons donc deux meurtriers. Donc l'un en série car la servante est la troisième femme éventrée. »
Xoxoxo
A SUIVRE...
xoxoxo
Salut ! Ca faisait longtemps. Merci à LénaFma et Hawkeye pour leur reviews. Merci également à vous d'avoir lu ce chapitre à très vite. Miaou
