Yo ici L'inspecteur J'men ^^
Voici la suite tant attendue! Je n'ai pas vraiment de temps en ce moment, comme vous l'aurez remarqué. Je vous prépare pleins de bonnes choses mais il me faut du temps. D'ici là, on va partir sur un chapitre par mois pour cette histoire. Ce chapitre contient de l'action et un dialogue entre Jiraya et Sasuke.
Réponses aux reviews
Sakka-sensei : Yo sensei! !
Effectivement il y a pas mal de personnages de mangas différents, mais ils seront introduits petit à petit.
Ensuite Gaara et Naruto ont étés très proche à une époque, lorsque Naruto faisait parti de l'Anbu. Mais c'est assez compliqué et puis j'aime vous laissez vous faire des films ^^.
En ce qui concerne l'Other World, encore une fois, comme pour "Un prof pas si charmant", tu poses de très bonnes questions. Tu auras quelques éclaircissements au prochain chapitre.
Voici la suite mais la fin et encore plus horrible que celle précédente ;)
One-piece-95 : Yo! Oui le chapitre d'avant donne plein d'infos et Gaara sait exactement qui est Gintoki mais ignore encore les raisons de sa venue à Konoha.
Dannette-Pistache : Yo! Je poste enfin la suite :D Comme tu le présageais , ça ne sent pas bon pour Sasuke mais je te laisse découvrir tout ça ^^ Pour ce qui est de Sarada et Boruto, il va falloir attendre encore un chapitre.
pros and cons : Content de te revoir et que mes histoires continuent à te plaire ^^
sur ce, bonne lecture .
Un air coupable
Chapitre 20
L'inspecteur Uchiwa avait été emmené à la base centrale de l'Unité Spéciale du Kage aussi connue sous le nom de « Metal Box ». C'était un édifice à l'apparence peu commune : un grand bâtiment de cent mètres de long pour cent mètres de large, ne possédant qu'une seule ouverture. La seule entrée pour accéder à ce domaine était une porte blindée en acier d'une épaisseur de sept centimètres munie d'un scanner d'empreinte digitale et de chakra.
Une dizaine de ninjas surentraînés ainsi que trente caméras dotées de vision nocturne venaient compléter le système de sécurité. Ce bâtiment était une forteresse imprenable. Toutefois, sa meilleure défense était son agencement. Metal Box était en vérité une base souterraine, composée officiellement de vingt niveaux tous lourdement protégés.
Sasuke était au Level -7. Le collègue de Gintoki était silencieusement assis, ses mains minutieusement menottées à la table en face de lui. C'était une salle d'interrogatoire très inhabituelle, il y avait au moins sept mètres entre le sol et le plafond. Mais Sasuke avait l'esprit ailleurs. Cette situation ne lui plaisait guère. Il était en colère, il était inconcevable qu'un honnête citoyen, un policier remarquable comme lui, puisse être traité de la sorte.
Mais surtout il ne comprenait rien à ce qu'il se passait. Pourquoi était-il ici ? Qu'avait-il fait ? Il n'y avait personne pour répondre à ses questions. Il était seul dans cette salle vide aux murs blancs. Seul mais surveillé à en juger par la caméra placée dans un coin à sa droite, qui le fixait depuis plusieurs minutes. Plusieurs minutes ? C'est vrai, depuis combien de temps était-il ici ? Il ne pouvait le dire.
Sasuke entendit des bruits de pas, quelqu'un arrivait. Il allait enfin avoir des réponses.
« Jiraya ? »
La porte s'ouvrit, mais Sasuke déchanta, ce n'était pas la personne qu'il espérait. Non, l'homme qui rentra était celui qui accompagnait Jiraya quand ce dernier était venu pour l'arrêter quelques heures plus tôt. Sasuke ne l'avait jamais vu, mais il supposait que ce dernier était un ninja.
Il pouvait déduire par sa carrure musclée et sa façon de marcher que cet inconnu avait reçu une formation ninja. Il avait de long cheveux noirs ébouriffés et des yeux marron. Sa tenue se composait d'une chemise grise sans manche, un pantalon noir, des bottes grises ainsi que d'un long foulard rouge qu'il portait autour de son cou. Enfin un long katana attaché dans son dos ainsi qu'un poignard accroché à sa taille sur une ceinture militaire bien garnie, venaient compléter sa tenue. Cependant, il y avait quelque chose de bizarre avec cet individu, il dégageait une énergie complètement différente du chakra que l'Uchiwa ressentait habituellement.
« Alors c'est toi, « le fils du traître » ? »
Le brun de la police de Konoha détestait qu'on l'appelle comme ça. Il commença par lancer un regard noir à son interlocuteur avant de se reprendre. Il devait garder son calme et ne surtout pas rentrer dans son jeu.
- Et pourrais-je savoir à qui ai-je l'horreur ?
- L'honneur tu veux dire, non ?
- Non, tu as très bien compris.
- Ha ha, rit-il. Tu es un marrant toi.
Il vint alors s'asseoir sur le rebord de la table où les mains de Sasuke étaient enchaînées, juste à sa gauche pour ne pas bloquer l'angle de vue de la caméra qui filmait toujours.
- Alors, tu ne veux toujours pas me dire qui tu es ? insista-t-il en souriant.
- Je m'appelle Stain, se présenta l'anonyme.
- Stain… Et qu'est-ce que tu me veux, Stain-kun ?
- Ne te méprends pas, changea-t-il de ton. Je ne suis pas là pour répondre à tes questions, d'ailleurs, tu n'as aucune question à poser. Ici, tu es le prisonnier et non l'enquêteur.
- « Le prisonnier » vraiment ?
- Oui, fils du traître.
- Je n'aime ni ce surnom ni le ton que tu emploies.
- C'est pourtant ce que tu es.
- Ce que je suis ? Ce que je suis, c'est un ninja d'exception qui a servi le Hokage tout comme toi. Ce que je suis, c'est un inspecteur qui a le taux d'arrestation le plus haut de tout Konoha. Tu peux me détester, mais je pense mériter d'être traité avec plus de respect, déclara-t-il en agitant ses mains liées.
- Certes, mais pour moi et pour beaucoup d'autres, tu restes surtout le rejeton de deux odieux criminels.
- Deux ?
- Oui, ta mère aussi a du sang sur les mains. Si cette gourgandine avait révélé où ce bâtard se trouvait, des centaines d'innocents seraient encore en vie. Pour moi, elle est encore pire que lui. C'est une véritable garce qui s'est fait engrosser par un démon.
- Retire ça immédiatement !
- Pardon ?
- Tu peux dire ce que tu veux de lui, mais… je ne pourrais tolérer que quiconque insulte ma mère impunément !
- Je ne retirerais rien du tout. Ta mère est une putain et j'ai hâte que le cancer en finisse avec elle, asséna-t-il.
- Très bien, alors sois prêt à en assumer les conséquences.
- Tu penses que les paroles d'un ancien ninja menotté ont de la valeur aux yeux d'un mec aussi balèze que moi. Je pourrais te tuer trois fois en une seule seconde.
- Sept.
- « Sept » ? Sept quoi ?
- Sept, c'est le nombre de fois où moi je pourrais répandre le doux liquide rougeâtre contenu dans ton crâne sur le sol, ainsi le nom Stain t'irait encore mieux.
- Tu bluffes.
- Libère-moi et tu verras.
- Omoshiroi… Je vais pouvoir me venger de la progéniture du Fantôme des Uchiha. Mais ne t'inquiète pas, je ne vais pas trop t'amocher.
Stain se leva de la table et libéra Sasuke avant de reculer d'un pas. Maintenant libre, l'inspecteur malaxa avec sa main gauche son poignet droit un peu endolori puis il se mit debout à son tour. Le brun avait deux objectifs : sortir de cette pièce et trouver Jiraya pour avoir des explications. Mais l'homme en face de lui n'avait pas l'intention de le laisser agir à sa guise. Il ne savait pas quelles étaient ses capacités, il devait agir avec prudence.
- Approche, tout sera fini rapidement, lui dit alors Stain le regard animé de haine.
- Puisque tu insistes, me voici.
L'Uchiwa se jeta sur son opposant et lui asséna un violent coup de genou au niveau du ventre. Ce dernier se pencha en avant en se tenant le ventre des deux mains, Sasuke en profita pour lui donner un crochet du droit puis du gauche pour finir par le frapper avec sa jambe au niveau de sa tempe droite.
Stain vint s'écraser contre le mur, mais se remit vite debout. Il lança alors plusieurs shuriken en direction de l'inspecteur qui les esquiva sans le moindre mal. Le protégé de Jiraya donna un violent coup de boule au policier qui recula un peu sonné. Il enchaina ensuite avec une série de coups de poing aux côtes du Uchiwa.
- C'est tout ce que tu sais faire, fils du traître ?
- Katon - Gōkakyū no jutsu !
- Merde !
L'inspecteur créa une immense boule de feu qui fonça à vive allure sur son adversaire, qui renversa immédiatement la table de métal présente dans la salle pour s'en servir comme bouclier.
La salle était à présent envahie par la fumée et les murs léchés par les flammes. La respiration était difficile, la visibilité réduite et pour couronner le tout, l'Uchiwa ne parvenait pas à repérer le chakra de Stain. Est-ce qu'il était mort ou cachait-il sa présence ? L'écran de fumée devant lui se dissipa et l'inspecteur put voir clairement une table renversée devant ses yeux. Persuadé que son adversaire y avait trouvé refuge, il agit en conséquence.
- Chidori eiso !
Sasuke concentra une énorme quantité de chakra raiton dans sa main droite avant de s'en servir telle une lance et de couper la table et tout ce qui était derrière en deux. Mais Stain n'était pas là. Sasuke scrutait les moindres recoins de la pièce quand il ressentit une aura meurtrière sur sa gauche. Il reçu un coup de couteau qui entailla sa joue et le fit saigner. Stain n'était pas mort.
- Ce n'est pas fini, Uchiwa Sasuke !
Le ninja au chakra « bizarre » se précipita une nouvelle fois sur sa proie pour le poignarder, mais cette fois au niveau du ventre. L'ancien de l'ANBU esquiva avant d'envoyer un rapide coup de pied ascendant qui projeta son adversaire dans les airs.
- Si c'est fini, Shishi rendan !
Il sauta et suivit Stain dans les airs en s'accordant au mouvement de son corps, comme le ferait une feuille d'arbre dansant dans les airs suivie par son ombre. Puis il envoya Stain sous lui en l'attrapant et en lui donnant une série de coups de pied de plus en plus puissants, le propulsant ainsi violemment au sol.
Stain se releva, toujours apte au combat, il était vraiment résistant. Il se saisit du poignard encore imprégné du sang de Sasuke. Soudain, il le lécha.
L'Uchiwa n'eut même pas le temps de se demander à quoi cela rimait, il commença à voir trouble et à sentir ses forces l'abandonner.
- Qu'as…Qu'est-ce que tu m'as fait ? demanda-t-il avant de s'écrouler sur le sol.
- Qui sait ? Chef, est-ce que je peux le finir ?
- Cela ne sera pas nécessaire, répondit-il en ouvrant la porte.
- Jiraya, s'étonna le frère d'Itachi.
- C'est chef Jiraya pour toi, mécréant ! le reprit le mec « balèze ».
- C'est bon Stain, tout va bien, c'est une vielle connaissance. Désactive ton pouvoir et laisse-nous seuls.
- Vous êtes sûr ?
- Oui, comme je te l'ai dit, c'est un vieil ami.
- Et s'il tente quelque chose ?
- Il n'en fera rien, mais si c'était le cas, il découvrirait pourquoi je suis encore le chef de l'Unité Spéciale du Kage, malgré mon vieil âge, rit-il.
- Tu as entendu le chef ? fit l'inspecteur amusé.
- Ferme-là toi !
En colère, mais loyal, Stain obéit aux ordres de son supérieur devant un Sasuke qui affichait un sourire moqueur.
- Voilà, si vous avez besoin de moi, je serai dehors.
- Oui, va dehors, c'est le travail des chiens de rester dehors et de garder la porte pendant que les grands discutent.
- Ce n'est pas encore fini Sasuke.
Puis, Stain se retira, laissant Jiraya seul avec Sasuke comme ce dernier l'avait demandé.
- Je te prie de l'excuser pour son comportement, il ne te porte pas dans son cœur.
- Je ne le connais même pas, dit-il en s'asseyant en position du lotus.
- Mais lui te connait bien, surtout ton père en fait.
- Encore ça ! Quand est-ce que je vais pouvoir avoir la paix ?
- Certainement jamais. Les gens n'oublient pas facilement les vies que ton père a prises. Stain, par exemple, a perdu son frère dans un attentat causé par l'Akatsuki.
- J'en suis désolé, mais cela n'a rien à voir avec moi. C'est lui le coupable.
- Ha ha, s'esclaffa l'homme âgé. C'est marrant la façon si détachée avec laquelle tu parles de l'homme qui t'a donné la vie. Tu ne dis jamais « papa » ou même « père » mais « lui » ou « il ». C'est comme si tu essayais vainement de mettre une distance entre toi et lui. C'est ridicule, tu auras beau arrêter tous les criminels de ce pays si ça te chante, tu ne changeras jamais le fait que dans tes veines coule son sang. Et puis, tu disais que tu n'as rien à voir avec lui, mais cela reste encore à prouver.
- Jiraya, mais enfin de quoi est-ce que tu parles ?
- Tu n'as pas regardé les infos ?
- Je ne suis pas d'humeur à jouer.
- Non Sasuke, ce n'est pas un jeu. L'interrogatoire a déjà commencé, alors réponds-moi, ordonna-t-il le visage sévère.
- Non, mon collègue et moi, nous étions trop occupés par notre enquête.
- Hoshigaki Kisame s'est échappé de la légendaire prison de Rikers, lui annonça-t-il sans prendre de gants.
- Quoi ? Mais c'est impossible ! Je lui ai parlé pas plus tard que- Attends ne me dis pas que…As-tu perdu la tête ? Tu penses que j'ai joué un rôle dans son évasion ! s'écria-t-il furieux en se levant.
- Assis Sasuke ! Tu es soupçonné de trahison alors si j'étais toi, je ferais profil bas.
Sasuke se rassit, amer et consterné par de telles accusations.
- Jiraya, tout cela n'a aucun sens, avança-t-il. Pourquoi aurais-je fait ça ?
- Je ne peux te répondre, je n'ai jamais su te cerner.
- Mais enfin, même si nous ne sommes pas les meilleurs amis du monde tu sais que je les déteste tous les deux. Jamais je n'aiderai l'Akatsuki.
- Tu les as peut-être aidés dans ton propre intérêt ?
- Je ne te suis pas là, dit-il le regard confus.
- Je pense que ta haine pour ton père est supérieure à celle que tu voues à Kisame. Alors je me demande si tu ne l'as pas libéré dans l'espoir qu'il te conduise à lui.
- Tu penses vraiment que je serais capable de remettre en liberté l'un des assassins de Karin juste pour accomplir une vengeance ? Tu me crois si aveuglé par la haine ?
- Tu es un Uchiwa, la vengeance et la haine sont inscrites dans ton patrimoine génétique.
- Enfoiré… As-tu au moins des preuves contre moi ?
- Peu pour l'instant, mais beaucoup de soupçons. Déjà, le système de sécurité de la zone C de Rikers a failli moins d'une minute après ton départ donc les chances que tu n'es pas vue la personne qui s'est introduite illégalement là-bas pour secourir ce Nukenin sont minimes. Ensuite, il y a cet incident.
- Quel incident ?
- Un magasin de prêt-à-porter a explosé aujourd'hui faisant plusieurs morts et plusieurs blessés.
- J'en suis une nouvelle fois désolé, mais j'ignorais cela et je ne vois toujours pas le rapport avec moi.
- Ce magasin était une couverture, le bâtiment qui a explosé était en réalité une de nos bases de surveillance et toutes les victimes à déclarer sont des agents à nous.
- Une base secrète de surveillance. Alors le projet « Mirage » est donc réel ?
- Exactement, il y a, disséminé partout dans Konoha, un million de caméras espionnes. Dans les lieux publics ou même dans les demeures de nos citoyens, nos yeux sont partout.
-Vous violez les libertés individuelles des gens !
- Oui, mais cela en fait la ville la plus sécurisée qui soit.
- Cela n'a pas empêché votre base d'être détruite, le tacla le brun.
- Moque-toi si ça t'amuse, mais elles ont rempli leur rôle. J'en viens au second élément qui t'accable. Avant que le bâtiment explose, deux criminels ont été identifiés. Il s'agit de : Obito Uchiwa, « l'insaisissable » et Deidara, « l'artiste ». Ils font tous deux partis de l'Akatsuki.
- Oui, je sais. Donc si je te suis, c'est moi qui les ai envoyé faire exploser ce bâtiment ? Pour quelle raison et quel lien j'ai avec ces deux-là ? Je ne les ai même jamais rencontrés.
- J'en viens au dernier point qui me pousse à croire que tu es coupable. Pour cela, on va parler d'Itachi.
- Itachi ? demanda son frère étonné. Qu'est-ce qu'il vient faire dans cette histoire ?
- La dernière mission de ton frère en tant que ninja, était de remettre un colis d'une importance capitale. Avant que Konoha se modernise grâce à la technologie de l'Other World tout se faisait manuellement. De l'acte de naissance du citoyen le plus insignifiant, jusqu'au document le plus secret. Le colis que ton frère a transporté contenait des informations confidentielles censées être numérisées. Identités secrètes, rapport de missions etc… Mais surtout, il y avait les positions de toutes nos bases secrètes sur tout le continent Rouge.
- Itachi n'aurait jamais fait ça ! C'est mon frère, je le connais.
- Contrairement à toi, il ne hait pas ton père, il a pu vouloir l'aider ?
- Impossible ! répondit-il sans équivoque.
- Je vois, quoi qu'il en soit il y a une taupe dans nos rangs. Soit c'est toi, soit c'est ton frère. La base qui a explosé traitait comme par hasard le secteur de Konoha centre. C'est là que tu habites, c'est là qu'Itachi travaille et c'est aussi là que se tiendra le conseil des 7 Royaumes.
- Je n'y suis pour rien et Itachi non plus.
- Qui sait ? Dans tous les cas, je peux encore te garder pendant 48h, d'ici là, j'en saurais d'avantage.
- 48h ! C'est une blague ?
- Non, pas du tout. C'est le temps minimum pour réparer notre système de vidéo surveillance. Et ça me permettra également d'amasser de nouvelles preuves contre toi. Allez, ne t'inquiète pas nous avons des lits confortables.
- Tu ne peux pas me garder aussi longtemps, c'est illégal, avança le ténébreux.
- Je te signale que tu as attaqué un de mes agents, ça en plus des soupçons qui pèsent sur toi, c'est suffisant pour te garder au chaud.
- Enfoiré, tu m'as piégé !
- Es-tu en train d'insinuer que j'ai demandé personnellement à Stain-kun d'insulter ta tendre maman pour te pousser à le frapper et me donner une raison légitime de te garder ici ? C'est absurde et improuvable. Bien, j'ai d'autres problèmes que toi sur le feu. Je te laisse avec ces charmants messieurs qui te conduiront à ton palace.
Une douzaine d'hommes armés jusqu'aux dents surgirent d'un coup dans la salle et encerclèrent l'un des membres du duo d'enquêteurs phare de Konoha, qui obtempéra bien gentiment.
- Je ne resterai pas longtemps ici. Jiraya, tu ne devrais pas sous-estimer mes collègues, tu le regretterais amèrement.
Voilà, voilà à très vite!
