Yo ici L'inspecteur J'men ^^
Pas de blabla, je vous laisse avec le chapitre du mois!
Réponses aux reviews
Amnesyas : Merci, content de relire un de tes commentaires ;)
MissBetty:
Yo MissBetty, ça fait un bail dis-donc!
Très content de te retrouver. Je suis ravie d'entendre ou plutôt de lire que l'affaire Jackson t'intrigue. Entre les sous-intrigues, l'intrigue principale et le manque de temps, c'est vrai qu'elle avance lentement mais elle est vraiment intéressante, à écrire en tout cas. Pour ce qui est du consultant déjanté, je ne dis rien mais il y a du vrai dans ce que tu dis. Mais le passé de Gintoki va tout doucement commencer à se dévoiler dans les prochains chapitres. Concernant le multiverse, les bases sont lentes à poser mais j'adore. Je suis un grand consommateur d'anime donc je m'amuse comme un fou et je suis heureux de faire découvrir quelques mangas/animes à mes lecteurs. Enfin pour ce qui est d'Elie je suis surpris qu'il te plaise déjà. Comme je l'avais expliqué à Sakka, Elie est un personnage "iceberg", dans l'idée vous étiez censé le détester d'abord et l'aimer en suite. Merci de ton commentaire et à très vite.
Sakka-Sensei :
Yo sensei! Oui, on ne peut rien te cacher détective Sakka^^. J'ai inséré des éléments de Code Geas et MHA, deux animes que j'aime beaucoup et je les ai mélangé à mon intrigue. D'ailleurs si tu as reconnu My hero Accademia cela veut dire que ton fils ou moi avons réussi à te convaincre de suivre cet perle, c'est bien. N'hésite pas à me dire ce que tu en penses. L'Other World se dévoile mais il reste encore pleins de mystères à découvrir. Pour les codes barres c'est encore plus pire que ça. L'esclavage est une idéologie qui est née quand certains hommes se sont dit qu'ils pouvaient s'emparer de la liberté d'autres en se servant d'eux comme animal. Là celui qui a imaginé ce concept considère les gens de l'Other World comme de simples outils. Madara est... Qui sait?
Lol oui merci Pain d'avoir arrêter Shoto :D Effectivement, les intentions de Pain sont Louable.
one-piece-95 :
Salut! Moi aussi je l'adore mais mon Number 1 reste et restera BAKUGO! XD Désolé, mon côté fanboy doit apprendre à se calmer. L'histoire est plus complexe qu'au début c'est certain mais l'intrigue reste assez simple, seulement il y a beaucoup de d'histoires en parallèles. Gintoki me manque aussi, il fera son retour au chapitre suivant. Toutefois, les prochains chapitres seront centrés sur lui( No spoil mais "Shogun ka yo!") , je devais donc avant cela écrire sur Sasuke qui est tout comme le consultant un personnage principal.
Bonne lecture.
Des alliances dangereuses, le monde en péril.
Chapitre 22
Sur le toit du refuge Sainte Catherine, deux personnes se faisaient face. Chacun était là pour représenter son groupe. Le premier, Pain, représentait l'Akatsuki. Le second, Todoroki Shoto, représentait les 8 Préceptes de La Mort. Ces deux hommes s'étaient réunis dans cet endroit reculé pour se mettre d'accord sur les conditions d'une future alliance.
« Pain où est votre chef ? Je ne pensais pas que j'allais avoir à faire à un sous-fifre.
- Mon chef ne se déplace en personne que pour de rares occasions, et je ne suis pas un membre lambda. Je suis Yahiko Pain, le numéro 3 de l'Akatsuki.
- Soit. Dans ce cas, je t'écoute.
- Notre chef veut changer ce monde gangrené par l'injustice. Pour cela il va chambouler l'échiquier du pouvoir. Oui, il compte s'attaquer aux 7 Royaumes. Nous aurons besoins de votre force pour mener à bien notre projet.
- Votre monde ne nous intéresse pas, clarifia-t-il en croisant les bras. Si nous sommes ici c'est pour nous venger de Konoha et de ce traître de Drago. Si c'est tout ce que tu as à dire, je pense qu'on peut s'arrêta là. Je me suis déplacé par respect pour « le Héro Salvateur » le grand Madara Uchiha, ainsi que par curiosité. Néanmoins puisque vous n'avez rien à nous offrir je rentre chez moi.
- Attends un peu mon enfant.
- Je ne suis pas un enfant, j'ai dix-sept ans et quand bien même je serais un gosse, n'oublie pas que tu parles au numéro deux des Préceptes de La Mort. l'avertit-il d'un ton menaçant.
- Je ne suis pas venu pour me battre avec toi, Ice Fire Boy. Cependant ne te méprends pas. Les rapports de force sont clairement en notre faveur. Si vous décidez d'agir seule et que vous venez à perturber nos plans, nous les membres de l'Akatsuki, on ne vous laissera pas agir impunément.
- Vraiment ?
- Oui, d'ailleurs, nous ne sommes pas les seuls que vous devrez craindre, ajouta-t-il. Vous seriez alors aussi les ennemies du Kiheitai de Takasugi et de bien d'autres encore.
- Kiheitai ?
Ce nom interpella Shoto , en effet il était le même qu'une célèbre milice de la période bakumatsu de l'histoire du Japon. Bien que curieux et surpris, le jeune garçon ne laissa rien paraître. Son visage restait froid.
- Exactement, tu sais maintenant dans quelle situation vous vous trouvez.
- Nous sommes les 8 Préceptes de La Mort, nous n'avons peur de rien. Nous n'avons plus rien à perdre, la haine est tout ce qu'il nous reste. Si pour exécuter notre vengeance nous devons affronter toute cette planète, alors qu'il en soit ainsi.
- Je vois, puisque le bâton ne marche pas, essayons la carotte. proposa le rouquin aux cheveux hérissés.
- Le « bâton et la carotte » ? Ai-je l'air de ressembler à un âne ?
- Si après le présent que je te donne tu n'es pas pleinement satisfait et tu penses toujours qu'une alliance avec nous n'est pas intéressante, je te laisserai partir sans aucunes représailles.
- Tu m'as l'air sûr de toi, très bien, marché conclut.
- Tu ne vas pas être déçu.
Pain sortit alors un parchemin de la poche intérieur de son manteau, sous le regard suspicieux de Shoto. Puis, le lieutenant du chef de l'organisation aux nuages rouges lui lança. L'émissaire de la mort l'ouvrit sans se faire prier. Ce parchemin contenait une liste d'une vingtaine de noms.
- Pain, que signifie tout cela ? A qui appartiennent ces noms ?
- Ce sont ceux que vous cherchez. Ce sont les responsables ou les descendants des responsables, de tout ce qui est arrivé à ton pays. Il y en a encore deux dans ce genre. Bien entendu si nous devenons partenaires, alors on partagera nos infos avec vous. Alors quand dis-tu ?
- Cela me paraît évident, j'accepte.
- Bien. fit-il ravi.
- Par contre j'ai une question.
- Pose là moi, j'y répondrai bien volontiers, partenaire-kun.
- Sur la liste que tu viens de m'offrir, il y a parmi tous ces noms quatre pseudos : Ao de la richesse, Aka le fourbe, Shiro de la connaissance et Kuro. Qui sont ces gens.
- Ce sont les Quatre piliers. Ils tiennent ce monde entre leurs mains, cette organisation est notre principale ennemie mais elle est aussi la votre.
- Soit plus claire.
- Tu penses sans doute à juste titre que la plus grande menace est ce manipulateur de Vieux Drago. En outre cet homme, en plus de diriger l'une des trois mafias les plus puissantes, a des espions planqués un peu partout ainsi que beaucoup d'alliés. Mais il n'est pas l'homme à abattre, celui que nous devons tuer est Kuro le « Dieu perfide », le chef des Quatre piliers.
- Le « Dieu perfide », voilà une épithète qui en jette. Et donc, qu'a-t-il fait pour représentait une telle menace à vos yeux ?
- Premièrement, il possède une armada considérable. Deuxièmement, il a la main mise sur le projet Stargate. Troisièmement, il agit sur tout le Continent Rouge. Quatrièmement, il dirige dans l'ombre Konoha. Enfin, tout comme le Vieux Drago, il possède une pléiade d'espions : dans la police, dans la mafia, dans la corporation des ninjas et même au sein du conseil des 7 Royaumes.
- Cela m'a l'air d'être une personne particulièrement dangereuse. Mais si cet homme et ses acolytes sont présents sur cette liste, ça veut dire qu'ils ont participés à la traîtrise qui a conduit à la destruction du Japon.
- Oui, mais je ne sais rien de plus, notre chef donnera sûrement un complément d'information lors de la prochaine réunion.
- Quelle réunion ?
- Au bas de cette liste il y a une adresse mail avec un mot de passe. Connecte-toi et regarde dans les brouillons. Il y aura une heure et une adresse dans un fichier intitulé « X Revenge ». Rend-toi là bas, un portable prépayé et intraçable t'y attendra. Nous vous contacterons pour vous informer de la date, du lieu et de l'heure de la réunion.
- J'en prends note. Cependant toutes ces mesures ne sont elles pas un peu disproportionnées ?
- Non, elles sont indispensables. Bon tout a été dit. Je te conseil de quitter cet endroit au plus vite. Le programme « Mirage » a été interrompu mais il ne va pas tarder à reprendre. De plus notre taupe au sein des Ninjas nous a informés que les Traqueurs ont créés un dispositif pour repérés les Chakra bizarres comme le tien.
- Ne t'en fais pas, je ne m'éterniserais pas ici. Je partirai dés que Saber me rejoindra, dans quatre jour tout au plus.
- Pourquoi attendre si longtemps ?
- Il est en mission pas loin. Ne t'en fais pas, je transmettrais un résumé de notre entretien à mon chef dés que je t'aurais quitté.
- Wakatta. Ce fût un échange très enrichissant, à plus tard, partenaire. »
Pain sauta alors du toit pour disparaître dans la pénombre.
Dans la ville de Kyoto une petite banlieue chique de Konoha Sud, alors que les douze coups de minuit venaient de sonner, Joey rentrait chez lui. L'agent de sécurité entra dans sa résidence pavillonnaire, il dépassa rapidement le long couloir de petites maisons pour accéder à la sienne. Enfin arrivé, il ouvrit la porte de son garage et y gara son véhicule.
Il descendit de sa voiture et rentra dans son nid douillet en passant par une porte qui donnait sur la cuisine. Il se dirigea ensuite vers le frigo, l'ouvrit et se servit un verre de soda.
« Marie, je suis rentré ! Tu dors déjà chérie ? »
Aucune réponse. Il s'assit alors à une table et savoura son soda. Joey était fatigué. Après le boulot, il avait accompagné Sarada et Boruto à Konoha Est. Il avait pourtant insisté pour les conduire jusqu'à Sainte Catherine, mais l'adolescente avait refusé. Une fois que la petite brune avait pris une décision, personne ne pouvait lui faire changer d'avis. Elle allait lui manquer, tout comme Boruto. L'homme était triste, il aurait aimé que ces deux bambins acceptent de venir habiter avec lui pour égayer un peu sa demeure. Mais au plus profond de son cœur, tout ce qu'il désirait c'est que les deux frères et sœurs soient heureux et en sécurité.
Marie serait déçue mais elle comprendrait. L'agent de sécurité se leva, alla déposer son verre dans le l'évier et se dirigea vers l'étage pour rejoindre sa moitié qui devait certainement dormir vu cette heure tardive. Soudain, alors qu'il s'apprêtait à monter les escaliers qui le séparaient de sa belle, il remarqua que la lumière du salon était encore allumée.
« Pff, Marie a une nouvelle fois oublié d'éteindre le salon, pesta-t-il. »
Quand il entra dans la pièce, l'employé de Carrefour se figea sur place.
« Marie ! hurla-t-il désemparé. »
Marie était dénudée, maintenue sur le dos en hauteur par deux sabres enfoncés dans les paumes de ses mains. Le reste de son corps était littéralement cloué dans le mur. On pouvait clairement voir qu'elle avait été torturée. La femme était complètement méconnaissable. Son visage était tellement enflé qu'on distinguait à peine sa bouche de ses yeux. Son ventre, sa gorge, ses cuisses et sa poitrine avaient étés lacérés par des lames. Elle se vidait de sang.
Joey se précipita auprès d'elle et colla son oreille sur sa poitrine pour voir si son cœur battait toujours. Elle était en vie. Sa respiration était difficile mais elle était en vie. Il devait agir vite ou l'amour de sa vie allait mourir. Il se précipita alors sur le téléphone fixe et voulu composer le numéro des urgences mais il n'y avait étrangement plus de tonalité.
« Tadaima Joey-kun ! le surprit une voix sournoise.
- Bon sang… Mais qui êtes-vous ?
Lui faisant face, assis comme si de rien était dans un fauteuil, il y avait un homme. Joey était surpris, il ne l'avait pas entendu arriver. Cet inconnu savourait tranquillement une pomme rougeâtre qu'il dégustait avec l'aide d'un kuinai. Il portait un long manteau noir ouvert qui laissait apparaître son torse nu et musclé, munit d'une capuche rabattue sur ses yeux noirs.
- Je suis Soraya. Cela fait longtemps que je t'attendais, tu es en retard, tu étais censé finir à 17h30.
- C'est vous qui lui avez fait ça ?
- Oui.
- Pourquoi ? !
- Pour passé le temps, répondit-il tout naturellement.
- Ordure !
Joey se précipita sur cet intrus, son visage était animé par la rage. La réaction de Soraya ne se fit pas attendre, il lança son kuinai qui venu se planter dans l'œil droit de Marie. Joey s'arrêta net.
- Marie ! Enfoiré, pourquoi avoir fais ça ?
- La prochaine fois je lui trancherai la gorge, ou du moins ce qu'il en reste.
- Qu'est-ce que vous me voulez ?
- Tu as été vue avec des choses qui m'appartiennent. Dis-moi où est-ce que tu les as cachés.
- Je ne sais pas de quoi vous parlez.
- Ne me mens pas ! J'ai du demander un service à Aka mais cela m'a permis d'avoir accès aux caméras de sécurité du parking où tu travailles. Je ne le demanderais qu'une seule fois : où sont les enfants ?
- Les enfants ?
- Oui, Sarada et Boruto. Ces deux gosses m'appartiennent, ils sont à moi. Sarada est l'une des filles qui me rapportent le plus, quant à Boruto, c'est mon puissant chien de garde.
Alors c'était lui, c'était lui qu'ils fuyaient. Joey prit conscience de la réalité de sa situation. Les mots de Sarada lui revint en mémoire, ce type était cruel, il ne faisait pas le poids face lui. Sarada et Boruto ne devait en aucun cas se faire attraper par lui. Mais avait-il le choix ? S'il ne coopérait pas Marie allait mourir. Elle avait besoin d'être pris en charge dans les plus brefs délais.
- Si je vous le dit, que ferez-vous une fois que vous les aurez retrouvés ?
- Je leur ferais regretter le jour où ils sont venus au monde. Cette fois, je les dresserais de manière encore plus virulente.
Joey était en plein dilemme, il ne voulait pas qu'il arrive malheur à Sarada et Boruto mais il se devait de tout faire pour sauver celle avec qui il partageait sa vie depuis trente ans. Honteux, le regard perdu au sol, il se résout à faire un choix.
- Je vais vous dire où ils sont, mais à une condition. Promettez-moi que vous ne lancerez plus rien sur Marie.
- Je le promets sur la vie de mon fils. proclama-t-il solennellement la main sur le cœur. Toi et ta femme resterez ensemble pour toujours.
- Ils sont en route pour le refuge Sainte Catherine, avoua-t-il peu fier.
- Merci bien.
Maintenant en possession de l'info qu'il désirait, il sortit une arme à feu qu'il cachait dans son dos. Soraya abattu alors la pauvre Marie d'une balle en pleine tête.
- Marie ! Pourquoi ? Pourquoi ! Pourquoi avez-vous fait cela ? Vous m'aviez promis ! Promis sur la vie de votre fils !
- Je n'ai pas fils. lui sourit-il.
Soraya tira ensuite huit balles dans le ventre de Joey qui s'écroula au sol.
- Sarada…Boruto… Je suis désolé. s'excusa-t-il en pleur avec ses dernières forces. Je suis vraiment désolé.
Alors que Joey perdait peu à peu connaissance, Soraya s'approcha de lui, s'abaissa à son niveau et lui trancha la gorge d'un coup sec.
- Tu vois Joey-kun, je n'ai pas menti. Ta femme et toi resterez ensemble, à jamais réunis dans la mort.
Alors que Soraya se relevait, recouvert du sang de Joey, son téléphone sonna.
- Bonsoir Soraya, le salua une voix âgée et hautaine.
- Drago-jiji ! dit-il avec enthousiasme.
- As-tu trouvé où sont ces bambins, fils ?
- Oui, grâce à Aka, j'ai pu les suivre jusqu'à un petit supermarché.
- Le projet « Mirage » ?
- Oui.
- Ce dispositif est très utile.
- En effet. J'ai interrogé un agent de sécurité qui m'a gentiment dit qu'ils étaient en route pour Sainte Catherine, je vais m'y rendre dés demain.
- Non, mets-toi en route immédiatement.
- Il est bientôt une heure du matin jiji, il n'y a pas d'urgence.
- Soraya, tu ne semble pas savoir à quel point ces deux enfants sont importants pour moi.
- Quoi, même Sarada ?
- Surtout Sarada.
- Boruto est un Uzumaki ainsi qu'un soldat hors-normes mais en ce qui concerne Sarada… Je veux dire elle est très mignonne c'est vrai mais sans plus mis à part comme marchandise elle n'a pas d'utilité.
- Détrompes-toi, le sang des Uchiwa coule en elle. De plus, j'ai découvert récemment que c'était le dernier membre féminin de ce clan encore capable de donner la vie. Les Quatre Piliers avaient l'intention de m'en donner pour plusieurs centaines de millions de Ryos. Mais il a fallu que tu la laisse s'enfuir.
- Wow, c'est une sacrée somme ! Je suis désolé jiji, je te promets de la ramener au plus vite. Je pars tout de suite, mais je n'arriverai pas là bas avant sept heures du matin.
- Ce n'est pas grave, tu y seras certainement avant eux, après tout ils ne sont pas véhiculés et n'ont pas d'argent. Au fait, cet agent, l'as-tu tué ?
- Bien sur que non, je le jure sure la tête de mon chien.
- Soraya, tu n'as pas de chien.
- Ah oui, c'est vraie. rit-il.
- Il faut toujours que tu dézingues tous ceux que tu croises. J'espère que tu as été prudent ?
- Toujours.
- Bref, appelle-moi quand tu y seras.
- Hum, au revoir jiji.
Soraya raccrocha et sorti de cette maison, laissant derrière lui les cadavres de Joey et de sa femme.
