Alors voilà, je sais pas si vous connaissez la dernière chanson de Tina Arena (je sais c'est de la variété, désolé) mais moi elle m'a trop fait pensé à Ishball (allez savoir pourquoi…). A l'origine, elle parle de la guerre en Irak et tout particulièrement de Bagdad qui a été assez malmenée.
Je me suis donc permis de changer Bagdad en Ishball (j'ai juste modifié les passages en gras dans les paroles) et de faire une petite songfic (ma première !) avec Alphonse ! (je t'aiiime Al !)
Aller, c'est aprtiiiiii ! Enjoy and review please !
OooO
Cela faisait maintenant deux ans qu'Alphonse Elric cherchait désespérément son frère et ses souvenirs. Ces derniers revenaient difficilement mais Edward restait hors de porté, de l'autre côté de la porte.
Il parcourait l'Est du pays à la recherche d'information et ces pas l'avaient amenés ce jour là dans un camp Ishball. Il devait y rencontrer un vieux sage qui connaissait pas mal de légendes sur la fameuse porte et serait susceptible de l'aider.
Lorsqu'il arriva sur la place centrale de la reverse, il fut frappé par la foule qui s'y entassait. A voir la taille du camp, ces gens devaient vivrent entassé comme des bêtes.
A cette pensée, le garçon frissonna, même si l'armée ne gouvernait plus ce pays, il n'en restait pas moins que les Ishballs n'était pas respectés et cela le mettait hors de lui. Après tous ce qu'avaient vécus cette population, les pertes de la guerre et tout ce qui va avec, ils méritaient bien un peu de prospérité !
Autant que lui méritait de retrouver son frère…La vie était donc si mal faite ?
Tandis qu'il s'avançait, il commença à entendre des bruits de fête, à savoir de la musique et des applaudissements. Il se fraya un passage parmi les spectateurs (moins facilement qu'Edward, n'ayant pas héritée de la même…défaillance verticale…)
Au milieu de l'attroupement, deux jeunes femmes dansaient sur un rythme oriental et une troisième vint s'y joindre, visage voilé et les yeux baisés.
La musique se fit plus douce…
J'ai vécu heureuse dans mes palais d'or noir et de pierres précieuses
Elle
commença à se mouvoir avec grâce, sa voix
résonant comme une plainte aux oreilles du jeune Elric.
Le
tigre glissait sur les pavés de cristal
Ses
yeux restaient obstinément rivés sur le sol
sablonneux
Mille
calife se bousculaient Sur mes carnets de bal
Ses mains ondulaient dans l'aire comme des serpents, entraînant avec elles un fin voile rouge sangOn m'appelait la cité pleine de grâce
Sa
voix était douce et forte à la fois
Dieu
comme le temps passe
Représentative
du passé de la plupart des gens présents
On
m'appelait capitale de lumière
La
musique fit une pose
Dieu
que tout se perd
Elle releva la tête, son regard croisant furtivement celui d'Alphonse.
Je m'appelle Ishball
Elle
commença à tournoyer
Et
je suis tombée
Projetant
de fins grain de sable autour d'elle
Sous
le feu des blindés
Elle
éclipsait totalement les deux autres danseuses
Sous
le feu des blindés
Elle s'arrêta net, laissant retomber ses voiles
Je m'appelle Ishball
Mais
ses bras continuèrent un instant leur mouvement
Princesse
défigurée
Lui
donnant de l'élan pour un dernier tour
majestueux
Shéhérazade m'a oubliée
Qu'elle
termina par terre
M'a oubliée
La tête de nouveau rivée au sol
Je
vis sur mes terres comme une pauvre mendiante sous les bulldozers
La
danseuse commença se remontée
Les esprits
me hantent
La
tête toujours baissée
Je pleure ma beauté
en ruine
Dévoilant
un bout de joue aux yeux du blondinet
Sous les pierres
encore fumantes
Un
bout de joue humide
C'est mon âme qu'on
assassine
Mais
qui disparut dans un mouvement de bras.
On m'appelait
capitale de lumière
D'un
tour de hanche, elle pivota,
Dieu que tout se
perd
Offrit
l'espace d'un silence son visage au soleil brûlant…
Je
m'appelle Ishball
Et
refit un tour sur elle-même
Et je suis tombée
Bras
tendu comme pour une prière vers le ciel
Sous le
feu des blindés
Puis
les mains sur le coeur
Sous le feu des blindés
Tournant
encore et toujours dans un nuage de poussière
Je
m'appelle Ishball
Alphonse
ne la voyait plus au milieu des tissus
Princesse
défigurée
Ils
ondulaient autour d'elle
Shéhérazade m'a
oubliée
L'entourant
de leur bras protecteurs et retombant doucement. La musique baissa
Le
conte des milles et une nuits n'intéresse plus personne
Son
visage était a présent visible, ses voiles étalés
au sol à ses pieds
Ils ont tout détruit
Ses
yeux exprimaient une douleur infinie
Ils
ont tout détruit
Qu'elle
cacha derrière ses mains toujours ondoyantes
Je
m'appelle Ishball
Cette fois
elle ne tourna pas
Et
je suis tombée
Elle se
contenta de fixer Alphonse
Sous
le feu des blindés
Se
déhanchant toujours en rythme
Sous
le feu des blindés
Et coupant
parfois de liens qui unissaient leur regard par le passage innocent
d'une main
Je
m'appelle Ishball
Elle
criait presque, sa peine sa douleur son malheur
Princesse
défigurée
Leur
malheur à tous
Shéhérazade
m'a oubliée
Et il
buvait ses mots, ses gestes, s'enivrait de ses petits sursauts de
grâce
M'a
oubliée
Elle tomba au sol, sur les voiles. Il se retint de se précipité sur elle, força ses yeux à reprendre une expression digne et sa bouche à se refermée.
« Et bien, mon jeune ami, lança une voix derrière lui, croyez vous au coup de foudre ? »
Alphonse se retourna pour faire face au vieil homme qui lui parlait, le regarda d'abord avec un air éberluer (mais peut-être était-ce toujours la danseuse qui l'éberluait…) et se reprit rapidement. Il allait peut-être pouvoir retrouver son frère…
Bon, je n'en dit pas plus ! Si vous voulez savoir comment le vieux va aider Alphonse, ben laissez moi des reviews, peut-être que je continuerait c'te fic (une série ?). En tout cas, il est possible que la fille joue un rôle important…(style ! c'est juste pour avoir des reviews ! Et alors ! je conquiert mon publique comme je veux ! Comme tu peux surtout, niark ! Gnah ! m'en fiche, elle aura un rôle la fille, c'est moi l'auteur et je t'em ! sort de ma tête !)
Hum, donc, z'en pensez quoi ?
