Voici la visite chez les Weasley : bien entendu, rien ne va se passer comme prévu !

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Message pour emily : je suis contente que tu parles de ma fic sur ton blog mais tu pourrais m'envoyer l'adresse par mail STP car fanfiction refuse de retranscrire les adresses dans les reviews. Merci.


Chaleur mortelle

Le jour suivant, je me réveillai, me sentant énormément contente de moi. Le soleil brillait, les oiseaux chantaient, et je ne pouvais m'empêcher de jubiler en repenser aux évènements de la nuit dernière. Ça avait été un triomphe important pour moi ; j'avais prouvé que je n'étais pas esclave de mes hormones, et que je pouvais, en fait, résister au séduisant Ron Weasley ; enfin… à peine résister. Je n'osais pas m'attarder sur ce détail insignifiant, car ça ne servirait qu'à saper ma confiance en moi nouvellement acquise.

Non, mieux valait penser à des choses positives ; j'étais la Maîtresse du Self-Control. J'étais une femme confiante et assurée, qui avait tenu la dragée haute au male habituellement dominant de l'arène de la Guerre des Sexes. Et, bien que je sache que Ron essaierait d'égaliser (j'étais assez confiante dans la multitude de points que j'avais marqués la nuit dernière, ainsi je reprenais mon titre légitime de "Hermione, Reine de la Guerre des Sexes"), j'étais convaincue que je pourrais repousser n'importe lequel des essais de Ron pour me détrôner.

Je me levai en souriant et je décidai de prendre une douche. Néanmoins, je fis attention à prendre ma baguette, pour jeter un sort de verrouillage. J'avais appris la leçon ! Ron devrait prendre son pied d'une autre façon.

J'ouvrai ma porte avec enthousiasme, mais je fis presque une crise cardiaque à la vision devant moi. Ron venait de sortir de la salle de bain, et se dirigeai vers sa chambre, vêtu seulement d'une serviette blanche moelleuse. L'eau goûtait sur son torse nu, créant de tentants petits chemins vers son nombril. Pourquoi ? Oh pourquoi Ron devait-il être aussi sexy ? Non ! Je devais arrêter d'avoir de telles pensées !

Un glapissement ou un couinement ou quelque chose dans le genre dut m'échapper car Ron fit volte-face en faisant tomber sa merveilleuse serviette moelleuse sur le sol. Mes yeux s'écarquillèrent, et je souhaitai de toutes mes forces ne pas regarder. Je n'étais pas esclave ce mes hormones ! Je pouvais résister à l'envie d'admirer le corps parfait de Ron. Je devais seulement me répéter ce mantra : "Maîtresse du Self-Control. Reine de la Guerre des Sexes".

Je répétai ses mots encore et encore, mais, je commençai à penser combien Ron était délicieux la nuit dernière, et combien il devait être délicieux maintenant. Soudain, et presque involontairement, mon regard voyagea vers le bas. En quelques heures, j'avais encore une vue parfaite sur un Ron nu ! A ce moment précis, j'envisageais sérieusement de lui sauter dessus pour lui faire l'amour follement, passionnément, juste là dans le couloir. Self-control, sois maudit !

Nous restâmes comme ça pendant quelques minutes, moi avec la bouche ouverte comme une idiote et Ron avec un petit sourire coquin. Quand nos yeux se rencontrèrent, je vis une lueur joueuse qui dansait dans son regard, et je sus qu'il n'allait pas me rendre la tache facile. Après tout, il avait un score à égaliser. Sous faire aucun effort pour se couvrir, Ron marcha vers moi ; je reculai involontairement et cognai contre le mur derrière moi. Il plaça ses mains de part et d'autre de ma tête, coupant court à tout espoir de fuite. Je devais vite trouver une solution à cette situation difficile.

Ron parla en premier. « Bonjour, mon cœur », commença-t-il, la voix teintée d'amusement.

« Bonjour, Ron » réussis-je à sortir. « Contente de voir ici. » Son sourire en coin s'agrandit.

Il enleva sa main droite du mur, et la posa sur ma joue, me faisant reculer brusquement. « Assez nerveuse ce matin, n'est-ce pas ? » demanda-t-il d'un air innocent. Je ne fus pas dupe une minute. « Je me demande si ça a un rapport avec ce qui s'est passé hier soir », dit-il songeur, plus pour lui que pour moi.

Sa voix était suave, et provoquait de petites vagues de plaisir qui frappaient mon estomac. Mes yeux se fermèrent de leur propre volonté, et mon corps se pressa de lui-même contre le sien, comme s'il avait un esprit à lui. « Ça par exemple ! Nous sommes plutôt excités ce matin ! » s'exclama-t-il. Puis, il se rapprocha pour que sa bouche ne soit qu'à quelques millimètres de mon oreille. Sa langue sortit de sa bouche et lécha mon lobe. La sensation était phénoménale et mes hanches se cambrèrent contre les siennes. Un gémissement incontrôlable s'échappa de mes lèvres. Satisfait de ma réponse, Ron murmura, « Ne t'inquiète pas mon cœur. Bientôt, je te ferais crier mon nom. »

Puis, il s'en alla. « Rappelle-toi que nous sommes attendus au Terrier dans un heure », me lança-t-il par-dessus son épaule, alors qu'il ramassait sa serviette et qu'il se retira dans sa chambre, me laissant seule et frustrée dans le couloir. Merlin, aide-moi ! Enfin, je quittai le couloir.

Ça ne me prit pas longtemps pour être prête, ce qui était surprenant car les mots de Ron continuaient à retentir dans ma tête : "Bientôt, je te ferais crier mon nom." Bon Dieu ! Chaque fois que je me remémorais ses mots, une intense excitation gagnait mon corps, et peu de temps après, je mouillais d'anticipation. "Qu'est-ce qu'il va faire ?" me demandai-je, et je réalisai que j'attendais sa prochaine action en retenant mon souffle. Je choisis une robe d'été bleu clair et des sandales : j'étais prête à faire face à Ron et aux implications de ses mots.

Nous nous rencontrâmes dans le salon et je remarquai avec joie que Ron me scrutait d'un regard appréciateur. Et bien, il n'était pas mal non plus. Il était vêtu d'un baggy ocre et d'un polo à manches courtes bleu marine. Nous nous sourîmes.

« Prête ? » demanda-t-il, et j'acquiesçai. J'avançai vers l'endroit où se trouvait Ron et juste au moment où j'allais transplaner au Terrier, je sentis une main me peloter les fesses ! Avant que je puisse le réprimander, Ron transplana.

Je secouai la tête et pris la direction du Terrier. Une fois que j'eus transplané, mes sens furent immédiatement agressés. Comme d'habitude, le Terrier était un centre d'activités. Les adultes parlaient, et les enfants couraient et hurlaient. En fait, les jumeaux couraient et hurlaient, et donc encourageaient leurs neveux et nièces à les suivre joyeusement ! Un Percy mécontent les suivait de près, criant aux jumeaux de cesser leur comportement de gamin : ils finiraient pas avoir une mauvaise influence sur les enfants.

Il attrapa une fillette glapissante aux cheveux flamboyants. « Papa est un petit con ! Papa est un petit con ! » scandait-elle avec entrain. Percy jeta un regard noir aux jumeaux, qui le gratifièrent immédiatement de leur air le plus innocent.

Jusque là, personne n'avait remarqué que j'étais là. Malheureusement, ce fut Fred (ou était-ce bien George ?) qui me vit le premier. Les jumeaux m'accueillirent chaleureusement, et voulurent m'offrir un apéritif que je refusais fermement. Je ne les avais peut-être pas vus depuis un bout de temps, mais je me souvenais à quoi ressemblait une crème de canari ! « Je ne suis pas devenue subitement stupide, Fred », dis-je ne repoussant ledit verre.

Un air comiquement penaud traversa leurs visages couverts de taches de rousseur. « Ça nous blesse, Herm. Vraiment. » Il mit vivement sa main sur son cœur, montrant que je l'avais blessé. George fit pareil et me lança le même regard pathétique. Je roulai des yeux. Ces deux-là ne changeraient jamais. Soudain, deux sourire identiques se plaquèrent sur leurs visages. « Je sais ! » s'exclama l'un des jumeaux. « Allons voir Harry ! Ça fait longtemps qu'on ne l'a pas embêté ! » Ils me quittèrent heureux.

« Ne fais pas attention à eux, Hermione », dit Percy. « C'est bon de te revoir. »

« Merci Percy. Et, toi aussi ! Je vois que tu es assez occupé », dis-je en faisant référence au paquet gigotant dans ses bras.

Percy rougit. « Oui, eh bien. Tu sais. La vie… » fut tout ce qu'il dit. Je hochai la tête. Il s'éclaircit la gorge, apparemment mal à l'aise. C'était exactement l'air qu'il prenait quand le sujet du sexe venait sur le tapis.

Parler de sexe… « Où est Ron ? » demandai-je.

Percy soupira, soulagé que je change de sujet. C'était bien ce à quoi il pensait ! « Je crois qu'il est dans la cuisine avec Maman. » Je le remerciai et me dirigeai vers la cuisine.

Une fois là-bas, je vis Ginny qui aidait sa mère avec la salade, pendant que Molly tapait sur les doigts de Ron qui essayait de piquer un bout de pudding. Je gloussai. A ce bruit, ils se retournèrent tous les trois. « Hermione ! » s'exclama Molly avant de m'étreindre étroitement. Par-dessus son épaule, je pouvais voir Ron ricaner devant cette situation. « Laisse-moi te regarder ! » dit-elle en relâchant sa prise. Elle me tint à bout de bras et me parcourut du regard. « Par Merlin, tu es devenue une belle jeune fille ! »

« J'ai toujours pensé qu'elle était belle », lança Ron, me faisant rougir.

Molly sourit affectueusement. « C'est bon de te revoir, ma chérie », murmura-t-elle avant de retourner à sa cuisine. Sifflotant joyeusement, Molly préparait plat après plat, grâce à la magie culinaire. Au point où en étaient les choses, Molly aurait bientôt un festin à nous servir.

Ron et moi nous retirâmes à l'arrière-plan, où nous fumes accueillis par le reste des Weasley (même Bill et Charlie avaient emmené leur famille !). Nous discutâmes et nous rappelâmes nos années à Poudlard. Aussi de nos travails et de ce que nous avions fait ces dernières années, et bientôt il fut temps de passer à table.

« Oh chérie », dit Arthur Weasley. « Nous aurions besoin de quelques petites chaises en plus pour les enfants », ajouta-t-il, en faisant référence à la table miniature. Il semblait que les enfants étaient engagés dans une lutte féroce pour les chaises, ce qui laisserait inévitablement les perdants sans siège.

« Je vais les chercher », offris-je, heureuse de finalement rendre service. Vous ne savez pas combien de fois Molly m'a chassé de la cuisine en disant que j'étais une "invitée".

« Ne t'inquiète pas ma chérie », répondit Arthur. « Je vais en faire apparaître quelques-unes en plus. »

« C'est bon. Je suis restée assise toute la matinée. Un peu d'exercice ne me fera pas de mal », insistai-je. Je voulais aussi me cacher un peu car je voyais Fred et George conspirer dans un coin. Je voulais sûrement pas être la victime d'une autre de leurs farces.

« Alors d'accord. Je pense que tu peux trouver des chaises supplémentaires dans le grenier. »

Pendant notre dernière année à Poudlard, les parents de Ron avaient finalement expulsé la Goule qui vivait dans le grenier, ce dont je serais éternellement reconnaissante. J'avais eu une rencontre quelque peu déplaisante avec l'ignoble créature pendant les vacances de Noël de ma sixième année, le résultat étant que j'avais été couverte de furoncles violets pendant deux semaines entières. Pour tout dire, j'avais confondu ma baguette avec une des baguettes ensorcelées que les jumeaux avaient répandu un peu partout. Ce n'était pas beau à voir.

Quoiqu'il en soit, je voyageai vers le grenier libéré de la Goule, et je manquai de défaillir quand je vis combien de choses étaient empilées dedans ! Je ne trouverais jamais des chaises miniatures dans tout ça ! « Je pensais que tu pourrais avoir besoin d'aide », me murmura une voix à l'oreille, provoquant une secousse électrique qui me traversa tout le corps. Sans me retourner, je savais exactement qui était derrière moi. Ron.

« Merci », dis-je, alors que je commençais à enlever des objets de la montagne de meubles qui était devant moi. Je continuai quelques minutes avant de remarquer que Ron n'avait pas levé le petit doigt. « Et bien ? Tu vas rester planter là ? » demandai-je, quelque peu impatiente.

« Non », fut tout ce qu'il dit avant de s'approcher.

Ce devait être à cause du regard qu'il me lança, car je me sentis soudain excitée. Une fois ma position atteinte, Ron glissa son bras autour de ma taille et me plaqua brutalement contre lui. Je pouvais sentir son érection contre ma hanche et, ma respiration s'accéléra à une telle vitesse que je pensais que mon cœur allait jaillir de ma poitrine.

Nos regards se verrouillèrent et je vis que les yeux de Ron s'étaient assombris considérablement, un signe qu'il était extrêmement excité. Bienvenue au club ! Sans un mot, Ron écrasa ses lèvres sur les miennes et nous sombrâmes soudain dans la passion. Dans un accès de sauvagerie, ses mains commencèrent à parcourir mon corps, me faisant gémir dans sa bouche.

Mes lèvres se retirèrent, et Ron grogna de frustration, seulement jusqu'à ce que ma bouche se colle à la peau sensible de sa nuque. Je suçai avec acharnement, sachant que Ron devrait expliquer ce suçon plus tard. Je le relâchai, et laissai ma langue errer le long de sa gorge pour passer de l'autre côté, où j'entrepris de nouveau mon marquage.

Pendant que ma bouche était occupée, mes mains aussi. Je tirai sur son polo avec fièvre et je le retirai de son pantalon. Sentant l'urgence, je tirai dessus d'un coup sec, le fit passer au-dessus de sa tête, débarrassant ainsi son torse de toute obstruction, laissant le champ libre à mes mains.

En attendant, Ron n'était pas désœuvré. Il m'agrippa les fesses en me soulevant et me posa sur une commode à proximité. Il écarta mes jambes, avança entre mes cuisses et pressa son érection sur mon sexe. Nous poussâmes tous deux un cri. Empoignant le haut de ma robe, Ron me la passa par-dessus la tête. Ses yeux s'écarquillèrent quand il réalisa que je ne portais pas de soutien-gorge.

Un sourire malicieux étira les coins de ses lèvres avant qu'il ne prenne mon mamelon gauche dans sa bouche. Cette sensation était époustouflante. Sa langue tournoyait, ses dents pinçaient et mordillaient, ses lèvres suçaient. Je m'arquai contre lui, poussant mon sein plus profondément dans sa bouche, pendant qu'il caressait l'autre avec sa main libre. Ses soins furent presque suffisants pour me conduire au septième ciel.

Sentant mon impatience, Ron recula assez longtemps pour se débarrasser de son pantalon et de son boxer. Une fois ses vêtements jetés, il fixa son attention sur moi. Avec une lenteur torturante, il enleva ma culotte en dentelle, et embrassa mes boucles mouillées. J'avançai mes hanches vers lui. Je voulais être libérée. J'avais besoin d'être libérée.

« Ron, s'il te plaît », soupirai-je à bout de souffle, et Ron répondit à mon invitation. Il enfonça sa langue profondément en moi, me faisant hurler. Sa bouche était le paradis sur terre. Il m'aima doucement, me faisant en vouloir plus. Je criai son nom, et juste quand j'étais sur le point de perdre le contrôle, il recula.

Avant que le déception m'envahisse, il plongea en moi. « Oh, mon dieu ! Ron ! » Il avait raison ; il m'avait fait crier son nom. Un sourire coquin rampa sur ses lèvres. Il commença à bouger lentement. Pourtant, ce qui avait débuté comme quelque chose de gentil, devint vite frénétique. Nous le voulions tous les deux. Ses va et viens devinrent plus violents, plus rapides et bientôt, j'étais prête à basculer dans l'extase.

Les yeux fermés, j'appréciais son contact. « Ouvre les yeux, Hermione. Je veux te regarder quand tu jouis », murmura-t-il d'une voix rauque. La pensée de Ron me regardant dans les yeux quand j'atteindrais l'apogée servit à alimenter encore mon désir.

J'ouvris mes paupières avec obéissance, et je me plongeai directement dans les yeux bleus attentifs de Ron. Une fine couche de sueur recouvrait son visage. Il descendit sa main experte entre nos deux corps joints et trouva mon clitoris. Il le caressa lentement, et avec encore un coup, je jouis. Mon corps trembla violemment, des ondes de plaisir me traversant toute entière.

Ron attendit que j'ai repris mon souffle avant de recommencer à m'aimer. Il ne fallut pas longtemps avant que l'extase n'envahisse son être, ses soudaines contractions provoquant une deuxième explosion chez moi. Nous restâmes accrochés quelques minutes, tous deux essayant de reprendre notre respiration.

« Je ne sais pas ce qui leur prend autant de temps, Molly. Je vais voir où ils en sont ». Nous entendîmes le père de Ron dire ces phrases alors que nous percevions le bruit de ses pas dans les escaliers.

Nos yeux s'écarquillèrent. Arthur venait par là ! Et nous étions tous les deux nus !

« Merde ! Merde ! Merde ! » scandai-je, en poussant Ron. En y pensant, nous devions avoir l'air ridicule, sautillant dans le grenier, essayant désespérément de trouver nos vêtements respectifs avant que le père de Ron ne nous trouve.

Enfin, nous réussîmes à nous rendre présentables, et nous fîmes semblants d'être occupés quand Arthur ouvrit la porte. « Qu'est-ce qui vous retient ? », demanda Arthur. Si il avait un vague idée de ce qui s'était passé ici il y a quelques minutes, il n'en laissa rien paraître.

« Nous n'arrivons pas à trouver ces sacrées chaises », répondit Ron.

Arthur haussa les épaules. « C'est pas grave. Je vais les faire apparaître comme je l'avais prévu », dit-il. Il mit sa main sur la poignée de la porte, mais se retourna avant de partir. « Ron, ton polo est à l'envers », ajouta-t-il d'un ton neutre, pourtant on pouvait voir une petite étincelle dans ses yeux. J'avais la forte impression qu'il savait exactement ce que nous venions de faire.


Hermione et Ron, les deux obsédés ou comment se faire griller par Papa ! Qu'en pensez-vous ? Reviews SVP.