Dans ce chapitre, vous allez découvrir une autre de mes influences : le très sexy Indiana Jones. Une des scènes vous rappellera sûrement un moment des Aventuriers de l'Arche perdue. So enjoy !
Au fait, grâce à vous mes chères revieweuses, j'ai dépassé les 300 reviews ! Merci pour votre fidélité ! Et essayons de dépasser les 400 !
Jeux
Chez moi. Je n'avais jamais été si contente d'être chez moi. C'était sûrement à cause de la journée absolument éprouvante que j'avais passée au Terrier, et je ne parlais même pas de l'assaut de taquineries auxquelles j'avais eu droit de la part des frères Weasley et d'Harry. Non. Ma satisfaction de voir cette journée arriver à son terme provenait du fait que j'avais dû regarder, presque impuissante, Ron tomber de son balai après avoir été heurté par un Cognard hors de contrôle pendant un match de Quidditch improvisé. Heureusement, il semblait s'en être sorti indemne, mais je n'étais pas entièrement convaincue. Dirigeant Ron vers sa chambre, je me repassai les évènements dans la tête.
Aussitôt que nous avions fini de manger et de faire la vaisselle (nous avions tous interdit à Molly de mettre ne serait-ce qu'un orteil dans la cuisine, comme elle nous avait bien nourris), quelques Weasley décidèrent de démarrer une partie effrénée de Quidditch. Par chance, il y avait assez de personnes présentes, ce qui voulait dire que je ne serais pas enrôlée pour être poursuiveur ou même arbitre. Non pas que je n'aimais pas regarder un bon match de Quidditch (surtout quand Ron jouait : son mignon petit cul sur son balai alimentait à merveille mes plus grands fantasmes !). C'est juste que je ne voulais pas jouer au Quidditch.
En quelques minutes, presque toute la lignée Weasley et quelques autres avaient décollé. Percy et Pénélope n'y participaient pas, car Percy discutait fougueusement avec son père des protocoles du Ministère autour de la régulation des baguettes, pendant que Pénélope s'occupait des petits-enfants Weasley avec Molly. Seules Angelina, qui était ronde comme une barrique à cause de sa grossesse avancée, et moi restâmes pour regarder le match imminent, qui opposait les Weasley et les Weasley.
En regardant en l'air, je remarquai que Ron était le gardien, ce qui n'était pas surprenant vu qu'il avait joué à ce poste pour l'équipe de Griffondor après le départ d'Olivier Dubois. Il vola en cercles pour s'échauffer avant de se positionner fermement devant les poteaux des buts que Charlie avait fait apparaître spécialement pour le jeu. Ron paraissait plutôt déterminé. Il était en fait très sexy, vraiment, et bientôt, je commençai à penser aux autres fois où je l'avais vu si déterminé. Cet après-midi dans le grenier en était un exemple excitant !
Je me secouai de ma rêverie quand je remarquai que la partie avait commencé. Les joueurs volaient à toute allure, essayant de marquer contre le camp opposé, quand Bill attrapa le Souaffle et s'échappa en direction des buts de Ron. Fermement assis sur son balai, Ron et Bill étaient prêts pour une confrontation. Je retins mon souffle et je priai pour que Ron intercepte le Souaffle. Je voulais que mon homme gagne, merde !
Bill tira et Ron le rattrapa avec aisance, ce qui me fait sauter de ma chaise, en applaudissant et en poussant des cris de victoire. Ron me regarda, le sourire jusqu'aux oreilles, lui et moi oublieux de tout. Aucun de nous ne remarqua un Cognard hargneux qui fusait dans la direction de Ron. Je ne suis pas sûre de qui le vit en premier, mais Ron se retourna vers la balle, les yeux s'écarquillant. Elle le percuta violemment directement dans le côté droit.
La force de l'impact rejeta en arrière Ron, en l'éjectant de son balai. Un hurlement s'échappa de mes lèvres, alors que je voyais l'homme que j'aimais tomber et gagner de la vitesse à mesure qu'il chutait. Heureusement et en un éclair, Harry lança son Eclair de feu en avant, réussissant à attraper Ron avant qu'il n'atteigne le sol. Il faudrait que je pense à remercier vivement Harry une fois que j'aurais recouvré mes esprits.
Harry et Ron atterrirent doucement.
« Merci, mec », dit Ron.
« Pas de problème », répondit Harry en lui donnant une tape dans le dos.
Je pus voir Ron grimacer, alors qu'il touchait avec précaution l'endroit frappé par le Cognard et, après beaucoup de supplications de ma part, je pus enfin le convaincre d'oublier le match et de retourner à la maison. Je savais fort bien que Ron avait l'intention de ressauter sur son balai infernal et de continuer à jouer, quand bien même il souffrirait de lésions internes. A la fin, je savais qu'il avait accepté de transplaner jusqu'à la maison avec moi juste pour que je la ferme, mais je m'en moquais. J'aurais fait n'importe quoi pour être sûre qu'il ne rejouerait pas et ne se fasse plus mal, même si cela signifiait de me mettre à poil devant le clan Weasley tout entier pour le convaincre de rentrer. Par chance, ça n'a pas été aussi loin.
Finalement, nous dîmes au revoir et transplanâmes du Terrier pour réapparaître dans le hall de notre appartement. Donc, je dirigeai Ron vers sa chambre et je lui ordonnai de s'asseoir sur le bord du lit. Je devais examiner ses blessures.
« Putain, Hermione. Je te l'ai dit un million de fois. Je vais bien. »
« Je le croirai quand je le verrai. Maintenant, enlève ton tee-shirt. » Il marmonna quelque chose d'incompréhensible. « Qu'est-ce que tu dis ? » demandai-je d'un air hautain. Il allait finir par me mettre en colère.
« J'ai dit qu'on dirait ma mère », répéta-t-il plus fort, une lueur d'ennui dans les yeux.
« Et bien, tu ne m'as apparemment pas confondu avec ta mère cet après-midi, n'est-ce pas ? » demandai-je, en faisant référence à notre escapade en amoureux. Sa contrariété se transforma immédiatement en désir pur, alors qu'il se rappelait les souvenirs plaisants de notre après-midi dans le grenier. La soif évidente sur son visage me causa un serrement entre les cuisses. Seigneur ! Je ne pouvais même pas passer quelques heures sans que Ron ne réussisse à m'exciter avec un simple regard. Ça commençait à devenir intéressant, cette cohabitation.
Je m'éclaircis la gorge et j'essayai de recentrer mon attention sur le problème. « Ron, tu n'as pas à agir si virilement. Nous sommes seuls, juste toi et moi. S'il te plaît, fais-moi plaisir et laisse-moi regarder. » Il hésita quelques secondes, mais enfin, il haussa les épaules et enleva avec précaution son polo.
Je fus choqué. Son côté droit était entièrement couvert d'ecchymoses, violettes et bleues. A certains endroits, les contusions semblaient presque noires. « Ron ! » murmurai-je, secouée. Ça ne ressemblait pas du tout à une petite blessure ! « T'as gagné ! Je t'emmène à Ste-Mangouste ! » annonçai-je.
Ron roula des yeux. « Nous n'irons nulle part. C'est juste un bleu. »
Je ne pouvais pas le croire. Il préférait souffrir que d'aller voir un médicomage ? « Ce n'est pas juste un bleu ! Tu pourras avoir une hémorragie interne… »
Il leva la main pour me couper. « Ecoute, tu as ton brevet de secourisme magique, n'est-ce pas ? » demanda-t-il. J'acquiesçai. « Donc, pourquoi est-ce que tu ne vérifierais pas si tout est bien à sa place et, dans le cas contraire, j'irai à l'hôpital. Est-ce assez satisfaisant pour toi, Docteur Granger ? »
Bien sûr que ce n'était pas satisfaisant ! Mais, connaissant Ron, c'était la meilleure offre que je pouvais avoir. « Bien. Allonge-toi ».
Il fila vers le milieu du lit et s'allongea sur le dos, levant son bras au-dessus de sa tête, pour me donner un meilleur accès à la zone contusionnée. « Interluceo », marmonnai-je en secouant ma baguette au-dessus de la blessure. Une image, comme celles aux rayons X des Moldus, apparut devant moi.
« Bon, je ne vois pas d'os cassés », l'informai-je, bien que je savais qu'il aurait pu le dire lui-même. Comme il était un sorcier militaire, Ron connaissait les premiers soins et diagnostics magiques. « Et, il semble ne pas y avoir de saignements. Tu vas bien ; c'est juste un bleu. » Je regardai Ron qui me lança un sourire suffisant.
« Tu vois ? Je te l'avais dit. »
Il essaya ensuite de s'asseoir, mais je le repoussai sur le lit. « Pas si vite, monsieur. Je vais te soigner maintenant. » Ron commença par protester, disant que les sorciers de son travail voudraient voir sa fameuse blessure de Quidditch. Pourtant, quand il vit mon regard déterminé et blasé, il accepta d'être soigné. « Medicus condunto », prononçai-je distinctement en me penchant sur le corps de Ron et en donnant des coups de baguette.
Cela prit quelques minutes, mais heureusement, la contusion disparut, laissant place à un peau parfaite. Une peau parfaite sur un abdomen dur et musclé. Un abdomen dur et musclé très sexy. Mon regard se promena sur son corps, et je remarquai que son abdomen n'était pas la seule chose à être dur. Une soudaine vague de chaleur m'envahit : c'était comme si quelqu'un avait augmenté la température trop fort. Je me demandai distraitement si Ron serait prêt pour d'autres ébats.
Relevant la tête, je notai le sourire espiègle plaqué sur le visage de Ron. A en juger par tout ce que j'avais sous les yeux, Ron était sans aucun doute prêt pour un autre coup ! « Tu sais », commença-t-il. « Je pense que tu as oublié un endroit. Ça fait toujours mal », dit-il avec une moue exagérée.
A quoi jouait-il ? Quoique ce soit, ça avait un effet merveilleux sur mon bas-ventre. Que faire alors ? Je pourrais rentrer dans son jeu. « Dis au docteur Granger où tu as mal », le cajolai-je.
Essayant de ne pas faire un sourire trop évident (je pense qu'il était heureux que je veuille jouer aussi), Ron pointa un endroit sur son torse. Il n'y avait apparemment rien, mais ce n'était pas le but du jeu, n'est-ce pas ? Je m'assis au bord du lit, directement à côté de Ron et j'indiquai du doigt la même zone que lui. « Ici ? » demandai-je doucement. Il hocha la tête. « Tu veux que le docteur Granger embrasse le bobo ? »
A cette phrase, il acquiesça frénétiquement et je dus réprimer un gloussement. Maintenant, qui était celui qui était pressé ? Lentement, je tendis la tête vers l'endroit choisi et je posai légèrement les lèvres sur sa peau. Ensuite, j'écartai les lèvres et je sortis ma langue pour le lécher. Il se crispa à ce soudain contact, et je souris contre lui. Levant la tête, je demandai, « Ça va mieux ? »
« Beaucoup mieux. Mais », commença-t-il. « Je crois que la douleur s'est déplacée ici », ajouta-t-il en me dirigeant plus bas sur son estomac.
Je gloussai. « Je vois. » Je répétai le même processus qu'avant, mais je m'attardai plus longuement, gagnant un grognement de la part de Ron. « Et maintenant ? »
« Je suis désolé Docteur, mais ça s'est encore déplacé. En fait, ça fait très mal », répliqua-t-il, et il montra le renflement très proéminent de son pantalon. Avant que je ne puisse dire un autre mot, il déboutonna son pantalon et libéra sa magnifique érection.
J'essayai de ne pas sourire de manière trop jubilatoire. Je jouais le rôle d'une personne pragmatique et détachée quand même. « Humm », dis-je gravement. « M. Weasley, vous semblez souffrir d'une 'grossus erectus'. Je pense que ça requière des mesures draconiennes.»
« Faites tout ce qui est nécessaire, docteur. »
Je rampai vers le bout du lit et j'examinai son membre durci pendant quelques minutes torturantes. Si Ron voulait jouer, il devait encore attendre. Je pouvais entendre sa respiration s'accélérer. Je posai une main confiante autour de lui et Ron eut un sursaut. Je gloussai. « C'est pire que je ne le pensais. Je vais devoir faire de la stimulation orale. » Je l'entendis grogner à mes mots.
Je le pris directement dans ma bouche, l'enfouissant entièrement. Ron gémit sourdement. Suçant bruyamment, je bougeai pour le relâcher, laissant seulement son gland entre mes lèvres. Ma langue tournoyait autour du bout hyper-sensible avant que je ne l'engloutisse encore. Je continuai cette activité un peu de temps avant de changer de tactique et de commencer à le lécher comme un cône glacé, en prêtant une attention particulière au début de son pénis et à ses boules soyeuses.
Peu de temps après, Ron allait et venait frénétiquement contre moi, ses doigts emmêlés dans mes cheveux. « Oh Seigneur. Hermione ! Tu ferais mieux d'arrêter », m'avertit-il, de manière peu convaincante. J'étais contente qu'il essaie de m'avertir, mais je savais ce qu'il voulait. C'est pourquoi je renforçai la pression de chaque succion et que je l'aimai plus fort. Bientôt, Ron poussa des cris incontrôlés alors que je sentais le liquide chaud et gluant frapper le fond de ma bouche. J'avalai la substance salée et je le léchai pour le nettoyer.
Une fois qu'il eut regagné son souffle, je rampai vers lui. « Je pense que la procédure est un succès, M. Weasley », dis-je d'un ton malicieux.
Waouh ! Elle a pas fait semblant de le soigner, n'est-ce pas ! Le chapitre 14 (déjà !) sera peut-être en retard à cause des vacances. Reviews please.
