Réponses aux reviews.

Mimi : Ma Mimiiiiiii ! Huhu, contente que tu l'ais trouvée ! Et heureuse que cette fic te plaise ! Allez, profite en, je vais te torturer dans les épisodes suivants ! (huhu, je rigole, j'suis pas capable…

Hachikô : Merci, je suis contente que ce petit truc soit apprécié, ça fait chaud au cœur et donne envie de continuer !

Deborah : un grand merci pour tes compliments ! Je suis très contente que mon style d'écriture te plaise !

Voici donc la suite !

SAIYUKI : REGARDS D'AUTREFOIS


Ils se trouvaient devant l'entrée d'un tunnel qui plongeait dans les profondeurs de la roche.

"N'entrez pas !"

Le maître du temple courait derrière eux, cherchant à les rattraper.

"C'est… par…ici que… se trouve… la…cloche…", haleta-t-il en arrivant à leur hauteur.

"Pourtant notre protégée a été entraînée dans ce tunnel, et il faut que nous la retrouvions."

Le moine se plaça devant l'entrée, leur barrant le passage.

"Grâce à son sacrifice, nous vivrons… Cette bête dévore mes moines un à un, et plus elle devient forte, plus elle va les chercher loin… Je vous en prie, ne commettez pas l'irréparable…"

A ces mots, ils devinrent furieux :

"Alors c'est toi qui l'a envoyée ici, par je ne sais quelle méthode…"

Tous les regards étincelaient de fureur dans la nuit.

"I…Il y a une porte, en bas… Deux personnes peuvent la franchir seulement. Il s'agit souvent de l'un de mes moines, et de l'un de nos invités. Je dois faire ce sacrifice pour permettre la survie des autres moines du temple… Votre tour serait venu plus tard…

-J'aime pas les double-jeux…", lança Gojyo en poussant le moine et pénétrant le tunnel, suivit par ses compagnons. Ils avançaient lentement, sans lumière…

BANG !

"Aouch !", cria le singe en se massant le front.

-Alors, macaque, même pas fichu de regarder où tu vas ?", ricana le kappa.

BONG !

"Par fierté, je ne hurlerais pas comme le singe", termina-t-il en se tenant le front…

-Ce doit être la porte," murmura Hakkai, "mais on ne voit rien de ce qui est derrière…

-Vous manquez de luminosité, messieurs ? Il suffit de le demander…"

Aussitôt, des torches venues de nul part s'allumèrent, diffusant une forte lueur, les obligeant, après un voyage dans l'obscurité, à se protéger les yeux…

"Je vous attendais…"

De l'autre côté de l'accès se tenait l'antre de l'âme. La cloche, énorme, imposante, en occupait une bonne partie. On pouvait distinguer une forme mouvante et noire, juste derrière la porte. Elle prenait parfois apparence humaine, fugacement, comme un plaisir évident :

"Vous tombez bien, j'avais décidé de commencer par le gamin, et je n'ai pas encore attaqué votre protégée…Vous allez être aux premières loges…"

De l'autre côté de la pièce, on apercevait la nommée, qui tentait de mettre le plus de distance possible entre elle-même et un squelette d'enfant.

"Allez, ne chipote pas… Dans trois secondes, tu seras dans le même état, alors…"

Il se fondit dans l'air, disparut, invisible parmi les ombres. Le début de la chasse.

"Sanzo, on doit pouvoir faire quelque chose, elle ne sait pas se battre…", implora le singe.

Le bonze dégaina et tira trois fois sur la porte, espérant lui faire subir un quelconque dommage, mais les balles rebondirent sur la paroi, et manquèrent les visages de quelques millimètres.

"Maître Sanzo n'était pas censé nous indisposer pour le combat, mais nous permettre d'y accéder…, railla Gojyo.

-Encore un mot, kappa, et je t'étrangle…"


De l'autre côté, le combat avait commencé. L'ombre reprenait consistance avant de porter un coup, qu'heureusement, la plupart du temps, sa proie parvenait à éviter.

Heureusement qu'il doit apparaître pour me frapper, sinon, je ne sais pas dans quel état je serais…

Une frappe soudaine, dans le dos, l'envoya s'écraser contre la paroi. Elle eut à peine le temps d'éviter le coup suivant.

Lire dans ses yeux pour deviner le mouvement, lire dans ses yeux… Merci, Ririn, pensa-t-elle fugitivement en esquivant un autre coup.

L'ombre, agacée par la fuite de sa proie, disparut totalement.


"Elle se débrouille. Je ne l'imaginais pas capable de s'en sortir."

Le nez collé à la paroi transparente, Gokû observait le combat, de même que Gojyo. Hakkai et Sanzo réfléchissaient plutôt au moyen d'entrer dans la salle :

"Attention derrière ! NON !"

Trop tard. L'ombre, qui avait disparu quelques minutes auparavant, s'était brusquement matérialisée et avait d'un seul coup envoyé son adversaire contre la cloche, qui résonna sourdement.

"AOUAH !

-Hakkai, Sanzo !"

Le bonze et l'ancien humain suivirent le conseil du kappa et ne surent réagir face à ce qu'ils virent. Ils hésitaient entre une furieuse envie de se moquer et celle de se réjouir.

La paroi qui constituait la porte avait réagi au son de la cloche, était devenue temporairement plus molle. Malheureusement pour lui, Gokû, trop curieux, avait appuyé la totalité de son visage sur cette membrane. Lors de l'amollissement, son nez avait traversé la fine porte. Mais maintenant, il était prisonnier d'une gaine plus solide que l'acier.

"Ha hé haaal ! Aihez-hoi !

-Te plains pas, macaque, grâce à toi, on sait comment passer ! Y a plus…"

Gros problème.

"En effet, Gojyo, comme tu le dis…", murmura Hakkai, en voyant le corps inerte, et la large trace de sang qui couvrait la paroi de la cloche," il n'y a plus qu'à faire passer le message."

Elle ne bougeait plus.


"Je vous avais dit que cela ne serait pas long… Donnez moi quelques secondes, le temps de la manger, et je m'occupe de deux d'entre vous…"

Il se retourna vers le corps étendu sur le sol, mais, curieusement, celui-ci avait disparu.


Mimi s'était dissimulée. Elle avait survécu au choc, et l'instinct de survie lui avait fait atteindre le refuge le plus proche. Dans la cloche.

Elle savait qu'il ne mettrait pas longtemps à la retrouver. Elle se tenait dans sa demeure, et qui plus est, son sang devait avoir laissé des traces.

Auparavant, elle avait réussi dans un état à demi-conscient, à observer la scène autour d'elle. Elle avait vu le nez de Gokû traverser la porte alors que celle-ci réagissait au son de la cloche. Elle se remémorait aussi le repas que le fantôme avait fait du garçonnet qui l'avait guidée jusqu'ici. Rien qu'en le dévorant jusqu'au plus petit muscle, son corps était devenu plus solide, certes pouvait-il encore devenir fumée, mais moins longtemps, moins souvent que la première traque, celle de l'enfant apeuré.

Il n'y avait donc qu'une solution. Les cloches comme celle-ci devaient avoir un battant gigantesque, et il faudrait frapper fort pour permettre à ses compagnons de passer. Puis… Il faudrait faire abstraction de son propre égoïsme et de son instinct de conservation animal pour pouvoir survivre…

Lentement, avec les plus grandes précautions, elle s'extirpa de sa cachette.


"Je la vois ! Là, près de la cloche… !"

Doucement, elle en faisait le tour.

"Qu'est-ce qu'elle cherche ?

-Un bélier, crétin. Elle a dû voir ce qui s'est passé, comprendre qu'il fallait que le son dure pour que nous puissions tous passer… Et ce n'est pas avec une petite caillasse qu'elle va faire ça…"

GOOOOOOOOOONNNNNG ! GOOOOOOOOOONNNNNG ! GOOOOOOOOOONNNNNG ! GOOOOOOOOOONNNNNG !

Quatre coups résonnèrent dans la caverne. Aussitôt, la paroi devint perméable.

"Allez !"

Tous s'engouffrèrent.


Elle avait trouvé. Heureusement, le bélier n'était pas trop lourd, elle était parvenue à donner quatre coups. Les autres avaient dû passer. Maintenant…

Elle sortit, s'exposa juste devant la cloche, et défia le fantôme.

"Mais elle est folle !", hurla Gokû.

La paroi était visqueuse, la traversée très difficile, et déjà, le son faiblissait. Mais ils étaient presque passés.

L'ombre prit forme humaine à quelques mètres de sa proie, et se jeta sur elle dans un hurlement sauvage.


Ne pas bouger. Surtout ne pas bouger. Oublier tous ces muscles qui mourraient d'envie de se soustraire aux dents meurtrières. Pas encore… Voilà, maintenant ! Esquive. Mais pas trop. Il devait pouvoir….

"YAAAAAAAAAA!"

Manger…


Le corps devenait plus solide, moins éthéré, à chaque gorgée de sang avalée. Les quatre hommes avaient enfin réussi à passer la paroi, et, d'une attaque fulgurante, éloignèrent le fantôme de sa proie. Recroquevillée, elle pleurait, serrant convulsivement son bras à moitié dévoré.

"Vous ne pouvez pas me tuer… Je suis déjà mort…", rit le fantôme. Gojyo se jeta sur lui, poing en avant. L'adversaire, riant, voulu devenir fumée. Mais sa seule sensation fut celle d'une douleur intense à la mâchoire, et un goût oublié depuis bien longtemps. Celui de son propre sang.

"Ah ouais ?

-Tu voulais un corps ? Tu en as un, ne te plains pas… cria Gokû en frappant derechef.

-Tu refusais de partir, quitter la terre… Ton souhait s'est exaucé…, dit Hakkai, furieux, en l'envoyant à la rencontre de la paroi, par une attaque de Ki puissante.

-Assumes en donc les conséquences…", grogna Sanzo en tirant sur le corps désormais bien vivant, bien réel, et surtout, bien mortel… La balle fit mouche, et le cadavre s'effondra sur le sol.

"Hey, Kotonbo… Tu m'entends ?"

Les larmes ne pouvaient s'arrêter, la douleur était trop forte…

"Pousses toi, kappa, et laisse faire Hakkai."

Elle ne perçut rien d'autre.


Des tuyaux, une ambulance…

Merde, qu'est ce qu'elle faisait là ?

"Elle ouvre les yeux !"

Un homme se penchait sur elle :

"Mademoiselle, vous m'entendez, mademoiselle ?

-Elle s'appelle Mimi , pleura une voix connue dans l'ambulance.

-Mimi, écoutez-moi, vous m'entendez, surtout ne fermez pas les yeux, écoutez ma voix, ne fermez pas les yeux, ne vous rendormez surtout pas… NON !

-MIMI !

-Accélère, on est en train de la perdre !"

Le noir…


Lorsqu'ils remontèrent de la caverne, le brouillard s'était déjà dissipé, et pour la première fois depuis longtemps, les moines voyaient le ciel sans artifices. Reconnaissant, le maître du temple ne sut comment les remercier.

"C'est très simple, voyez-vous…, demanda Hakkai…, nous permettre de nous reposer jusqu'à guérison, cette fille et moi…

-Et changer de menu !", lança Gokû, avant de se prendre un coup de harisen magistral…

Trois jours plus tard, Hakkai était totalement remis de sa faiblesse, et Mimi venait tout juste de s'éveiller :

"Salut, Kotonbo !"

Le sourire de Gojyo faisait plaisir à voir…

"Comment te sens-tu , demanda Hakkai

-Bien… pour ce que j'ai… Je dois vous remercier de m'avoir rendu mon bras intact…On ne distingue plus rien… Merci beaucoup…

-Ce n'est rien. Cela m'a coûté… Une nuit de repos calme et tranquille…

-Ca… Ca existe avec les deux marioles ?

-Hmmm… Non. Tu as raison, ça n'existe pas, rit-il, soulagé de voir qu'elle n'allait pas si mal.

-MIIIMIIIII !"

La voix connue retentit sur l'esplanade, alors que les cris apeurés des moines retentissaient dans l'air ambiant. Un grand sourire barra le visage de la malade :

"Ririn !"

Elle quitta aussitôt le lit, et courut au dehors.

"Saaalut, Mimi ! Ben alors, j'ai cru que tu ne viendrais pas, trouillarde…

-Tu rigoles, je ne raterais pas ça… sensei…"

La petite chatte rit joyeusement, et se prépara au combat.

"T'es prête ?

-Plus que jamais…

-Alors…

-A l'assaut !"

Sous les yeux incrédules des moines, la leçon amicale commença.

"Et bien, et bien… Je crois qu'elle nous a caché des choses à propos de Ririn…", rit Hakkai en débouchant sur l'esplanade, s'asseyant à côté du bonze qui se reposait, tranquille, sous un arbre voisin.

"Elle se défend bien, notre petite protégée", remarqua Gojyo, qui était venu s'accouder près d'eux.

Le singe émergea d'un tas de fruits posé au sol et, une énorme pomme dans la bouche, parla :

"Chkichpache ?"

La réponse fut générale.

"Rien, Gokû, retourne manger…"


"ALLEZ ENCORE UN ASSAUT !", hurla Ririn, en retournant au sol.

"ABANDON, J'EN PEUX PLUS", cria son adversaire en tombant à genoux, la main crispée sur son bras blessé.

"Uwah, t'as fait de super progrès ! Tu t'adaptes super bien ! Refais les enchaînements, répète les attaques jusqu'à ce qu'elles viennent d'instinct.

-Répéter les esquives, les attaques, les défenses, récapitula l'élève, en essuyant la sueur qui coulait sur son front.

-Impeccable, t'as tout retenu , dit joyeusement la chatte aux yeux verts en tapant dans ses mains, je te retrouverais pour une autre leçon dans trois jours ?

-Marché conclu, senseï", termina Mimi en recevant une bise de sa professeur improvisée

Celle-ci esquissa un au revoir en direction du reste de la bande, et se mit à dévaler les escaliers, sans oublier d'emporter des fruits plein les poches.

"Pas mal, Kotonbo, tu nous avait caché tes leçons…, applaudit le kappa.

-Tu as peut-être un peu abusé pour un premier jour…" répliqua l'ancien humain, son éternel sourire aux lèvres," mais tu m'as impressionné… Bravo"

Gokû, perché dans un cerisier aux branches lourdes de fruits, se pendit par les genoux pour se retrouver près de Mimi :

"Chkichépaché ?"

"On ne parle pas la bouche pleine…", réprimanda-t-elle en riant.

Après un vain effort pour avaler sa part, Gokû consentit à reprendre une direction verticale compatible avec les lois de la gravité oesophagienne, et reposa sa question.

"Rien du tout, saru… Rien d'important.", grogna le bonze en s'étirant après une journée passée dehors."Te sens-tu bien, Kotonbo ,demanda-t-il.

-Parfaitement…

-T'as intérêt, parce que après ce que tu viens de nous présenter, je t'aurais pas cru…

-Oho, un compliment du grand maître ! Estimes-toi heureuse, Mimi…, ricana Gojyo, en évitant les balles du bonze.

Après s'être défoulé sur le kappa, la conversation reprit :

"Je disais donc…

-On peut partir, si c'est ce que tu veux dire…

-Sans regrets ? Pas de repos en plus ?

-Non. Je survivrais, t'inquiète pas…"

Retrouvant un ton plus habituel, le bonze lança :

"Départ, demain sept heures.

-Et c'est reparti vers l'ouest !", cria Gokû joyeusement.


Gojyo n'arrivait pas à trouver le sommeil. Assis sur son couchage, il fixait le lit d'en face, où reposait Mimi.

"Tu ne dors pas ?"

Hakkai s'était à demi relevé, semblant lui aussi, être fui par le sommeil.

"Nan. J'ai raté le coche. C'est pas le cas de ces bienheureux… "

Les bienheureux en question étaient Gokû, qui ronflait allègrement, à moitié tombé au sol, Sanzo, dont le sommeil calme n'était dérangé par nulle pensée, et Mimi, un vague sourire sur les lèvres.

"Tu veux un thé ?

-Mouais… Merci, dit-il en perdant son regard dans les étoiles.

-A quoi penses-tu ?", demanda Hakkai en s'asseyant près de son ami, lui tendant une tasse de liquide brûlant.

"Boaf… Rien…d'important, en tout cas.

-Kotonbo ?

-C'est marrant, il a fallu que je l'appelle comme ça une fois pour que tout le monde adopte son surnom…

-Faut avouer que ça lui va parfaitement… T'as bien trouvé, Gojyo,"dit-il en avalant une grosse gorgée de liquide, se brûlant la gorge.

-Et pourtant, son vrai nom est plus facile à mémoriser.

-Oui…

-Hakkai…Te souviens-tu… Lorsque je t'ai hébergé, après ton combat contre les yokais de Hyukang-Mao…

-Oui…"

Gojyo se sentait coupable à l'idée de remonter ainsi d'anciens souvenirs douloureux à son ami, mais… Il avait besoin de conseils…

"Tu m'avais dit que tu n'avais pas eu de prémonitions concernant la mort de ta femme… Et je t'avais répondu que ce n'était pas de ta faute si elle était morte.

-Je commence à voir où tu veux en venir…

-A l'époque, je n'avais rien de précieux, continua le kappa, les yeux dans le vague, je te l'avais dit…

-Je vois, maintenant," termina Hakkai en posant une main sur l'épaule de Gojyo, le regard troublé par les souvenirs de ce temps, les bons, comme les très mauvais…

"Je… J'aimerais savoir… J'aime beaucoup Kotonbo, mais… Je ne sais pas… C'est comment, l'amour ? Je… n'en ai jamais eu réellement besoin…" (1)

Hakkai sourit en entendant l'aveu de son ami. Il se souvenait du visage pâle de Gojyo en voyant Kotonbo au sol, salement amochée, les nuits qu'il avait tenu à passer éveillé pour veiller sur son repos… Oui, il l'aimait beaucoup.

"L'amour… Toi seul peut savoir ce qu'il t'apporte, Gojyo… Il peut te rendre le plus heureux des hommes, comme le plus démuni."

L'ancien humain posa sa main sur son abdomen, sentant sous ses doigts la large cicatrice qui l'élançait au souvenir de sa femme.

"Je m'en suis bien rendu compte, va, que tu l'aimais… Mais je crois que tu as un concurrent…"

Incrédule, le kappa demanda qui pouvait donc se mesurer à lui…

"Gokû, bien sûr… Tu ne l'as pas remarqué ? Et puis… tu n'as pas pris en compte le caractère de la miss…

-Quoi ?

-Tu ne vois pas comme elle réagit avec lui ? Comme une maman avec un enfant… Et lui, pour l'enfance…

-Ouais, 4 ans d'âge mental…

-Alors c'est un adversaire sérieux… , rit Hakkai.

-Oui, chef, j'm'en souviendrais", bailla le kappa, en regardant les étoiles.


"Hihihi…

-Que faites vous, Bodhisattva Kanzeon ?

-Je m'amuse, Jiroshin…. Cette bande est très divertissante…

-Je ne pense pas que le moment soit bien choisi, Bodhisattva…

-Allons, Jiroshin… Dis-moi… Te souviens-tu de Kotonbo ?


Et voilàààà !

Comme d'habitude, bureau des réclamations en bas à gauche !

Dans le prochain épisode, flash back de quelques 500 ans... Mais qui est donc Kotonbo ?

Huhu, allez, à suivre (demain, sans doute.)

(1) Rha, mon dieu, la guimauve... Horriiiiiiiiiible ! Surtout de la part de Gojyo... Passage à éviter, donc... Maudite Saint Valentin...>

NB: la rédaction vient de dépasser les 65 pages Word, si vous voulez que j'accélère le rythme de publication, je peux, j'ai pas mal de marge d'avance )