Réponses aux reviews :
Hachikô : C'est vrai que c'est tordant… Sanzo, arrête tout de suite ! Faut pas tirer sur mes lecteurs, sinon, on va m'accuser d'homicide involontaire par perso fictif interposé ! BANG ! Ah non, ah non, me vise pas non plus !
Sanzo : j'ai besoin de me défouler…
Mimi : Noooooon ! Pas les yeux de chibi ! Traitresse, tu sais bien que je n'y résiste pas… Bon, voilà, c'est parti, tu devrais l'avoir reçu...
Lane : Ah, au départ, non, mais j'ai édité en fonction de ta review, en ajoutant quelques passages par-ci par là… Le premier est dans cet épisode même… Petit avant-goût Patience, patience, la suite vient…
Et voici…
SAIYUKI : REGARDS D'AUTREFOIS, épisode 11.
Ben voui, y a eu gourrage sur l'épisode précédent... Gômen !
Au château d'Hojo.
"Ririn, où étais-tu ?", demanda Gyokumen, perchée sur son trône bien au dessus de sa fille, la regardant, lassée par ses disparitions soudaines.
"Encore avec Kogaiji, c'est ça ?
-Oui, mère, répondit la chatte, un peu écœurée en appelant ainsi cette femme qui ne l'avait jamais aimée.
-Je t'avais dit que je ne voulais plus que tu sortes du château, Ririn.
-Mais…
-Pas de "mais". A partir de maintenant, tu seras en permanence accompagnée du docteur Nî ou du docteur Huang. Hors de question que tu quittes ces murs. Je tiens trop à toi pour te perdre…", sourit-elle en prenant un air qu'elle espérait maternel, mais qui n'était que convoitise.
Dégoûtée, Ririn quitta la salle, suivie comme son ombre par la scientifique, laissant son frère et son groupe avec la reine yokai.
"Et bien, Kogaiji ? As-tu le sûtra ?
-Non, Dame Gyokumen. Je n'ai pas pu le prendre.
-Te voilà devenu bien incapable, Kogaiji… J'espérais mieux de toi. Tu me déçois…"
Nî sortit de l'ombre des machines et parla :
"Si je peux me permettre, ma reine, j'aurais une proposition à vous faire…"
Il prit un ascenseur annexe afin d'atteindre le trône, se pencha à l'oreille de Gyokumen et chuchota quelques mots. Aussitôt, les yeux de la reine s'illuminèrent, et elle rit :
"Nî, quel génie… Kogaiji !
-Oui, Dame Gyokumen ?
-Je t'ôte la mission de t'emparer du sûtra de Sanzo."
Un peu stupéfait, il demanda."Pourquoi ?
-Jusqu'à présent, tu t'es montré pitoyable… Tu ne feras rien d'autre pour le moment, mais d'ici quelques jours, j'aurais une mission à te confier…", dit-elle en le congédiant d'un geste de la main.
"Et tâche de ne pas échouer, ou jamais je ne te rendrais Rasentsunyo.", ajouta-t-elle alors qu'il quittait la salle.
Le lendemain après-midi, le groupe quitta l'auberge restaurant, croulant sous le repas offert par les enfants
"Bon voyage, vous reviendrez, n'est-ce pas , cria Meï en agitant sa petite main, courant derrière la voiture qui démarrait.
-J'essaierais, Meï, répondit Mimi en répondant à son salut, à bientôt !"
Et la voiture disparut au coin de la rue.
"Pourquoi t'as dit qu'on reviendrais, grogna Sanzo en allumant une cigarette, tu sais parfaitement que non.
-Vous, peut-être, mais moi, j'en ai bien l'intention, dit-elle en se calant à l'arrière, le plus loin possible de la fumée.
-Alors, on retourne voir ce yokai , demanda Gokû
-Bien sûr. Tiens, dit-il, tendant un objet emballé à Mimi, on sera seuls pendant un petit moment, vaut mieux que t'aies quelque chose pour te défendre…", alors que Hakkai faisait prendre à la jeep la direction de la colline.
Il contenait un petit pistolet au canon luisant, à peine sorti du magasin, et plusieurs cartouches supplémentaires.
"Tu ne devrais normalement pas en avoir besoin, il est censé renouveler ses munitions seul. J'espère juste que tu sais à peu près viser…
-Je… je me débrouille… Merci beaucoup, Sanzo, dit elle en admirant la légèreté et la maniabilité de l'arme.
-Remercie moi en restant en vie", termina-t-il, fermant les yeux et aspirant une nouvelle bouffée de nicotine.
La scène aurait pu se terminer là, mais…
"Veux-tu bien laisser ce volatile tranquille, guenon dégénérée ?
-Mêle toi de tes affaires, espèce de sale kappa barbu !
-Fiche lui la paix, tu ne vois pas qu'il a peur ?
-Peur ? Peur ? Mais pas de moi, cafard, de toi et de ta grosse voix ! Alors….
-SILENCE !"
Sanzo, qui commençait à en avoir un peu par dessus la tête, s'était relevé et sortait son harisen. Mais à peine eût-il frappé une première fois…
"Woooï , hurla l'oisillon en voletant péniblement vers sa mère, une aile pendant lamentablement.
-Ah, non mais je rêve ! s'insurgea le kappa, t'as pas honte de frapper un petit truc comme ça, bonze de merde ?
-Tu devrais avoir honte, Sanzo, regarde-le ! Tu l'as blessé à l'aile , renchérit Gokû en se penchant sur l'animal et examinant le membre touché.
-Vraiment, Sanzo…, rit Hakkai en prenant un air faussement fâché, retenant mal son rire, tu me déçois beaucoup…
-Woooï", gémit le blessé, larmoyant, alors que tous les passagers arrière jetaient un regard noir au bonze, qui, voyant que l'innocence nouvelle prenait l'avantage sur son autorité habituelle, préféra ranger son arme et s'asseoir en poussant un "Tssss…" fâché.
Hakaryu ne put s'empêcher, en suivant la scène, de rire à sa manière…
"Tut, tuuuuuuut !
-Mais qu'est ce qu'il fait, là, jeep , demanda Sanzo, plus qu'énervé.
-Il se moque de toi", rit Hakkai, accompagné des autres voyageurs. Le bonze, perdant, préféra s'emmurer dans un silence crispé en l'unique présence rassurante de sa cigarette.
"Et bien… de retour ?", ricana la voix alors que la jeep s'arrêtait et disparaissait, laissant à l'orée d'un bois cinq personnes prêtes à en découdre.
"On avait oublié quelque chose…, dit Sanzo en chargeant son flingue.
-Quoi donc ?
-Te casser la figure,", compléta le bonze alors que le noir brouillard isolait déjà les membres du groupe.
Sanzo.
"Koryu, te revoici ?
-Bonsoir, maître…
-Dis moi, Koryu… Possèdes tu quelque chose ?
-Non, maître… J'ai bien retenu…", dit Sanzo en pointant le canon sur le front de son père adoptif et tirant.
"C'est bien…"
Gokû.
"Alors, as-tu donc appris…"
Sans laisser lui le temps de terminer, le Nyoïbo accomplit son œuvre, et transperça de part en part son adversaire.
"J'ai appris", répondit-il en faisant disparaître son arme…
Gojyo.
"Tu es revenu ?
-Et oui, frérot… Tu sais ce qu'on dit…
-Non…", dit l'ombre de Dokugakuji en s'effondrant, transpercée par le croissant mobile de la lance de son frère.
-Les bateau ne peuvent avancersans lest pour les contrôler…
-T'as peut-être raison…", termina-t-il dans un dernier soupir.
Hakkai.
"Gono ?
-Oui, Kanan ?
-M'aimes-tu ?
-Bien sûr…, dit-il en lui envoyant une énorme attaque de Ki
-Tant mieux…", sourit-elle en disparaissant.
Mimi.
"Dis-moi, Mimi ? Quand reviens-tu à la maison ?"
La nommée, se sentant fléchir en entendant la voix paternelle et distinguant, ombres parmi les ombres, les silhouettes familiales.
"Mimi ?"
Elle allait craquer, et tenter de les rejoindre, lorsqu'une chaude boule de plumes, blottie contre son cou, lui redonna courage. Elle leva alors son arme, et, les larmes aux yeux, sourit :
"Je reviendrais, promis… Mais pas maintenant."
Et elle tira, cinq fois, chaque balle dissolvant une ombre.
"Alors nous t'attendrons…"
Les cinq membres du groupe se retrouvèrent, toujours dans le noir, mais au moins pouvaient-ils se voir…
"Pas mal, vous êtes doués…, dit le yokai maître de l'ombre, gagnant du temps en voyant le soleil disparaître à l'horizon…
-Merci du compliment, ricana Gojyo, mais pour le moment, c'était l'échauffement… Tu te montres, ou bien t'es trop lâche pour nous affronter ?"
Aussitôt, l'ombre devint plus noire encore, et des dizaines de yokais, tous identiques, s'exposèrent, et parlèrent en même temps.
"Me voici, Sha Gojyo… Alors… Êtes-vous prêts ?"
Un coup de feu claqua, et l'un d'entre eux s'effondra dans les ténèbres.
"Et bien… Ma foi, oui, dit Sanzo, le pistolet encore fumant dans sa main, et toi ?
-Tout à fait…
-Alors on y va, sourit Hakkai en en exterminant une rangée, alors que le combat prenait de l'ampleur.
"C'est pas possible, on en tue un, y en a deux qui reviennent , hurla Mimi en tirant au hasard, complètement isolée.
-Ben débrouille toi pour qu'ils ne restent pas assez longtemps pour te faire du mal !", répondit Gojyo, seul lui aussi, se démenant comme un beau diable pour retrouver ses compagnons.
Gokû, Hakkai et Sanzo, toujours ensembles pour le moment, dos à dos, se défendaient du mieux qu'ils le pouvaient, mais le nombre d'adversaires croissait à chaque instant…
"Gokû, Hakkai, j'ai besoin de quelques secondes !", cria-t-le bonze.
Mimi et Gojyo réussirent à se frayer un chemin jusqu'au reste du groupe, et s'associèrent à Gokû et Hakkai pour protéger Sanzo le temps d'une incantation….
"Om… Ma… Ni… Ha… Mei… Hum…
MAKAITENJÔ ! PURETE CELESTE, SOUMETS LES DEMONS !"
Le sûtra grandit, fusa, détruisit tous les yokais qui les entouraient.
"Et voilààà !", sourit Gokû, ravi, se préparant à demander à bouffer.
Mais à peine eut-il eu le temps de se prendre le coup de harisen, réponse habituelle à ce genre de demandes, que la foule de yokais réapparut, plus nombreuse, plus forte.
"Oh, vous me sous-estimiez à ce point ?"
Les pistolets se remirent à tirer, le croissant de fer voltigea, le bâton de Gokû frappa encore et encore, les boules de Ki de Hakkai, illuminant brièvement le brouillard, envoyèrent ad patres énormément d'adversaires…
"Gyah, ils sont trop nombreux !", hurla Mimi, de nouveau isolée, horrifiée par le nombre d'adversaires.
Chacun se défendait de son mieux, mais bientôt, les cris s'espacèrent, les coups se firent moins nombreux… Ils étaient submergés.
"Je vous avait dit de ne pas me sous estimer…", ricana le yokai…
Soudain, une violente lumière effaça les ténèbres repoussa l'ombre dans ses plus petits recoins, aveugla leur adversaire et décomposa ses illusoires copies…
"Maman ?"
Une petite voix bien connue désormais, retentissait dans la tête de Mimi.
"Maman ? Réveilles-toi !"
Et elle se réveilla. Bien qu'il fasse désormais nuit noire, une lueur presque aveuglante illuminait le champ de bataille. Chacun s'éveilla, se redressa, surpris par ce revirement de situation.
"Tsssssss. Maudit moineau ! Sans toi, j'aurais bien réussi à les tuer tous cinq !"
Tous se tournèrent alors vers l'oisillon. Au bout d'un appendice frontal brillait doucement une petite sphère de lumière.
"Comment l'as-tu appelé ?"
La voix blanche de colère, Mimi affronta le yokai du regard.
"Je dit et je persiste : ton oisillon n'est qu'un sale moineau !", dit-il, invoquant une nouvelle fois les ténèbres. Woï, bien qu'ayant été assez puissant pour repousser la première vague d'ombre, n'était qu'un nouveau né. Tout juste parvint-il à maintenir autour de lui une sphère lumineuse de quelques mètres, englobant Gojyo, Sanzo, et Hakkai. Mais Gokû et Mimi furent pris dans les ténèbres.
"JE T'INTERDIS DE PARLER COMME CA DE LUI !
-TU VAS REGRETTER TES INSULTES !"
Leurs voix leur parvinrent cependant à travers l'obscurité. Sanzo, allumant une autre cigarette, dit :
"Ne jamais contrarier une mère qui protège son enfant…
-Ni un singe qui a faim, dit Gojyo en clignant de l'œil….
-Ou plutôt un singe un peu paternel, non ?", rit Hakkai.
Tout comme il était apparu, le brouillard sombre et dense disparut, révélant la scène.
Le yokai, terrifié, était maintenu en joue par Mimi, blanche de fureur, et Gokû, Nyoïbo pointé sur le cœur de leur adversaire, lui jetait des regards meurtriers.
"Par… pardon, eût-il le temps de murmurer, avant qu'une balle ne l'atteigne entre les deux yeux et qu'une lance ne lui transperce le cœur.
"Fallait y penser avant…, dit Sanzo, en voyant le corps se dissoudre dans l'air ambiant.
-Hey, Mimi, ça ne va pas , demanda le kappa en la voyant devenir pâle comme un linge et laisser le pistolet tomber à terre.
-Merde… J'ai… j'ai tué quelqu'un, murmura-t-elle en tombant au sol, les genoux flageolants, incapable de rester debout plus longtemps.
-Quoi , demanda Gokû qui s'était agenouillé près d'elle et la réconfortait du mieux possible, qu'est-ce qui ne va pas ?
-T'es aveugle, ouistiti, ou quoi , grogna Sanzo en ramassant le pistolet à terre et l'essuyant. Elle n'a encore jamais tué personne…
-Elle est choquée", dit Hakkai en la regardant, décelant dans ses yeux une lueur à la fois de terreur et de folie.
Hakaryu redevint jeep sur demande de son maître, et chacun s'y installa, Gojyo portant avec précautions Mimi qui semblait déconnectée avec la réalité.
"Allez, on est repartis. On va au moins de l'autre côté de la plaine, Hakkai, on se reposera demain", souffla Sanzo. Et la jeep se mit en marche.
Lorsqu'elle ouvrit les yeux, Mimi se trouva dans une pièce inconnue, allongée dans un lit moelleux. Tentant de se relever, des vertiges la prirent, et elle préféra rester couchée :
"Ca la fout mal…"
La voix de Sanzo.
"Qu…quoi ?
-Défendre son enfant, aller jusqu'à tuer quelqu'un pour ça, et finir par tomber en syncope parce qu'on l'a abattu…"
Mimi tourna la tête et parvint à apercevoir le bonze. Assis devant la fenêtre, il la regardait, bizarrement, fumant une cigarette (ndla : oui comme d'habituuuuuhuhuhuuudeuh… je sais pas si vous connaissez la chanson…).
"Je… j'avais pas le droit, dit-elle, sentant les larmes monter aux yeux, j'ai pas le droit de tuer quelqu'un…
-T'es pire que les bonzes qu'on croise, toi… Pourtant, si j'ai bien compris, tu as lu nos aventures…
-Oui…
-Tu te souviens d'un gamin appelé Yo, qui vivait dans un temple, accroché entre deux falaises ?
-…
-Lui aussi disait que nul n'avait le droit de tuer… Et pourtant… Il faut bien se défendre…Sinon, c'est toi qui meurs…", dit-il en portant la cigarette à ses lèvres.
"Je… Je pouvais pas… Je vais être emprisonnée…"
Haussant un sourcil devant l'affirmation un peu dénuée de sens, Sanzo ajouta :
"Non, un yokai en veut à ta vie, tu as le droit de te défendre…
-Non… Non, je n'ai pas le droit de tuer… Je… je n'étais pas en état de légitime défense, il était au sol, il a demandé…
-Pardon ? Tu allais l'épargner parce qu'il t'avais demandé pardon ? C'est facile, de dire pardon après… Et puis c'est quoi, tout tes trucs ? La légitime défense… Faut que t'attendes qu'il te pose le couteau sur le cou pour tirer ? Et un adversaire au sol, c'est traître…", répondit-il en écrasant sa cigarette au dehors.
"Bon sang, je vais pas te faire une leçon de droits et de devoirs, dit-il en se retournant, un regard énigmatique tourné vers elle, si différents mondes existent vraiment, comme tu le dis, et que tu passes de l'un à l'autre, tu dois t'adapter, bon sang, réveilles toi ! Ici, la loi qui prévaut, c'est une question. Elle dit : "Est-ce que je veux vivre ?" Si tu veux vraiment, alors tu dois tout faire pour. Si tu veux mourir, te gènes pas, dis-le, la prochaine fois, on te laissera faire…"
Mimi, à présent adossée contre le montant de son lit, pleurait doucement. Le sermon du moine avait beau être fait calmement, sans élever la voix, la vérité qui sortait de sa bouche mettait en lumière la faiblesse de toute sa vie, sa propre lâcheté, ce que les autres considéraient comme de la gentillesse n'était en fait qu'impuissance et indignité, manque de fierté… Afin de satisfaire d'autres, elle avait écarté son propre ego, laissé sa place dans le monde, abandonné la bataille, baissé l'échine, elle s'était cachée dans l'ombre, derrière les autres, tout juste bonne à prendre les restes…
"Tu vaux plus que ça, tout de même…", dit le bonze, comme s'il avait parcouru ses pensées, et, devant son regard interrogateur, ajouta : "Il suffit de lire dans tes pleurs pour comprendre que tu as été faible et effacée toute ta vie…"
D'un geste rageur, elle chassa les larmes de son visage, quitta son lit, et regarda le bonze en face :
"Apprends-moi.
-Quoi , demanda-t-il, un peu surpris par sa réaction.
-A vivre… Être quelqu'un."
Sanzo sourit devant sa nouvelle attitude, s'assit, l'invita à faire de même, et commença à parler.
Lorsqu'ils descendirent à la salle commune de l'auberge, ils trouvèrent (ndla : bizarrement…), Gokû en train de s'empiffrer, Gojyo et Hakkai en train de jouer aux fléchettes.
"Ca alors, tu t'es réveillée ?", demanda Gojyo, rassuré devant le teint un peu plus vivant de Kotonbo.
Elle s'assit à la table du singe en opinant du chef, et demanda quelque chose à manger. Bientôt, affamée, elle dévora quasiment à la même vitesse que Gokû (ndla : ce qui, en temps normal, relève de l'exploit, j'appelle le Guisness Book…) une assiette bien remplie de viande et de légumes.
"T'es prête ?", demanda Sanzo lorsqu'elle eût terminé. Sur réponse positive, il lui tendit son revolver.
"Alors on y va."
Et voilaaaa…
Je ne poste pas 2 épisodes d'affilée, peut-être vendredi (car je n'ai pas le web chez moi, je suis obligée d'utiliser la salle info de la fac…)
Pour l'épisode 12… Vous attendront…
Un entraînement Sanzoïesque…
Une effroyable erreur…
Un village massacré…
Reviews, please, et à bientôt !
