Réponses aux reviews :

Lane : Tu feras quoi, hein ? Lol, ne t'inquiète pas… L'écriture de la fic est bientôt finie, pas la fic en elle même (tu as encoreplein de chaps à lire veinarde, va !) Sinon, je pense lui écrire une petite sœur, j'ai déjà commencé un premier chapitre, mais je n'ai pas de réel événement conducteur, faudra attendre que je trouve… :D Je ne ferais pas d'autres fanfictions après ces deux Regards d'autrefois (qui m'auront d'ailleurs pris beaucoup de temps…), je continuerais à écrire mes propres histoires personnelles avec mes persos, mes mondes, et basta

Ahlala, Nî… C'est clair, il est trop bizarre. Rien au hasard, ce mec ne donne rien q'il ne reçoit pas quelque chose en échange... Je réserve à l'héroïne principale un traitement de choc avec ce type ! Révélations dans le chapitre… (ragnah, recompte tous les chapitres sur ses doigts en faisant défiler les pages…) CHAPITRE 17 ! Nananèreuh…

Hachikô : Mais le brutalise pas, pauvre petiot, faut pas rigoler lorsqu'il est calme…

BANG !

Merde, j'aurais dû me taire…

Deborah : contente de te retrouver parmi les lectrices, cela me fait bien plaisir…

Allez, encore un épisode pour vous plaire !

Et voici…

SAIYUKI : REGARDS D'AUTREFOIS, épisode 13…


Installés chacun autour d'un poisson grillé, vite englouti par les enfants affamés, le plus âgé prit la parole :

"Je m'appelle Araï, et je vais avoir 15 ans. Notre village était un lieu d'accueil pour les couples humains-yokais rejetés par le reste de la société… Tout le monde était bien reçu, même les couples totalement humains ou totalement yokais… Bref, nous étions bien…Les parents yokais ont un jour disparu, mais personne ne s'en est inquiété, nous avions vu que quelque chose n'allait pas. Ma mère est devenue folle juste avant que tous ne partent, et, lorsqu'elle les a suivi, elle a murmuré que c'était pour ne pas nous faire de mal… Et puis… Il y a environ 10 jours… Deux énormes bêtes sont venues, elles ont tué tous les couples… Et comme les autres parents se sont interposés, elles les ont tués aussi… Et nous, elles nous ont tous chassés dans la forêt, pour que l'on meure de faim…

-Arrête, elle n'aurait pas fait ça, pour vous tuer, y avait plus simple, grogna le bonze en allumant une cigarette.

-Nous sommes des enfants tabous, répliqua-t-il. Tout est bon pour nous faire souffrir le plus longtemps possible…"

A ces mots, Gojyo, incapable de se contenir plus longtemps, se leva, et reprit la marche vers le village :

"Où vas-tu, kappa , demanda le bonze.

-Au village. Je suis tabou, j'ai plus de 15 ans, ce truc va venir pour me tuer, je vais l'exploser…

-Minute, tu ne pense pas y aller seul ?"

Tous s'étaient levés, solidaires, et se tenaient prêts à partir. D'un regard, Gojyo les remercia. Cependant, il demanda à Mimi de rester.

"Faut veiller sur ces gamins, le temps qu'on la trouve…, sourit-il en caressant les cheveux de l'un des enfants.

-Je vois, on m'écarte…, bougonna-t-elle, un peu déçue…, bon… faites gaffe tout de même…"

Ils disparurent au coin du chemin.


"Alors ?"

Au bout d'une demi-heure de marche, ils avaient fini par arriver sur la place du village, mais rien ne se passait. Rien. Pas une apparition, pas un monstre, pas un sifflement, rien… Ah… Si :

"SALUT !"

Ririn descendit d'un dragon longue distance, sautant de joie devant le groupe, cherchant du regard son amie.

"Ben… Où est Mimi ?"

En quelques mots, elle fut mise au courant de la situation.

"Ah ? Mais… "

Un coup de feu retentit dans le lointain, puis deux, puis trois.

"ET MERDE !", hurlèrent-ils en faisant demi-tour et courant vers le campement improvisé.


Deux gigantesque reptiles cornus se dressaient devant les enfants. Leurs sifflements déclenchèrent des hurlements de panique et des mouvements de débandade, que Mimi calma d'un coup de feu.

Faisant face aux monstres, elle serrait convulsivement son arme, terrorisée par la taille et la puissance des bêtes :

"A quelle heure es-tu né ?

-Quoi ?

-A QUELLE HEURE ES-TU NE ?", cria-t-elle en tirant, visant l'un des yeux. Mais la balle ricocha sur la paupière que la bête avait refermée.

"On…onze heures trente", balbutia l'aîné.

Du coin de l'œil, Mimi regarda sa montre. Il était midi.


Elle désigna de son pistolet une ouverture dans la roche. Tous les enfants s'y précipitèrent aussitôt.

"Toi, tu viens avec moi !", dit-elle en attrapant le poignet de l'aîné. "As-tu assez de courage pour défendre ces gamins ?"

Après réponse positive, elle lui ordonna de la suivre. La grotte était ouverte, mais si tout se passait bien, les enfants hors du champ de vision des bêtes seraient épargnés. Ils commencèrent à courir le long de la pente, Mimi se retournant souvent, vidant son chargeur dans la gueule du plus rapide des monstres, qui s'arrêtait quelques secondes le temps de chasser ces quelques billes qui gênaient sa respiration, puis reprenait la traque, glissant sur le sol.

Au détour d'un virage, ils croisèrent le quatuor accompagné de Ririn :

"DEMI-TOUR, DEMI-TOUR, VIIIITE ! hurla-t-elle, en rechargeant son barillet, et faisant signe à Sanzo de faire de même et de l'aider.

"Lorsqu'ils ouvrent la gueule, il y a une sorte de point faible au fond de la gorge, dit-elle en tirant, aussitôt imitée par le bonze.

La course reprit jusqu'à la place principale, où le combat serait plus aisé. Le plus vieil enfant du village obtint un bâton, Ririn fit craquer ses articulations, Gojyo invoqua sa lance… chacun se préparait à un rude combat.


Le ciel se couvrait lentement, de gros nuages gris.

"Merde, je déteste me battre sous la pluie", grogna le bonze, alors que les serpents apparaissaient au bout de la place. L'assaut fut général, mais, lorsqu'ils se redressèrent de toute leur hauteur, tous virent leurs coques de protection, impénétrables à toutes sortes d'agressions. Plusieurs essais furent tout aussi infructueux.

C'est alors que le ciel gronda.


"LE TONNERRE !", hurlèrent Mimi et Hakkai en même temps. Voyant qu'au moins deux d'entre eux avaient compris, Hakkai mobilisa tous les membres du groupe et l'enfant pour attirer l'attention des monstres, pendant que Mimi entraînait Ririn sur le chemin : "Qu'est-ce que tu fais ?

-Il y a de l'orage ! Il va y avoir de l'orage ! Dans quelques minutes, un éclair va tomber, il FAUT qu'il frappe le serpent ! Mais il faut aussi que deux leurs queues trempent dans l'eau pour les tuer ensemble!", expliqua-t-elle, courant, suivant la queue du reptile. Interminables, elles se prolongeaient jusqu'au campement. Les extrémités, fines comme un fouet, claquaient dans l'air, agacées, effrayant les enfants par des explosions sonores. Heureusement, elles étaient suffisamment longues pour tremper dans la rivière. Quand à les faire tenir en place…

"Attrape en une ! demanda Mimi à Ririn. Aussitôt, elle s'exécuta, et retint le fouet vivant au sol, pendant que Mimi roulait une énorme pierre dans l'eau.

La chatte coinça temporairement l'extrémité qui se tortillait comme un ver entre deux roches, fit de même avec la seconde, et vint aider son amie.

"Aouah, t'as une épine dans ton fichu, Ririn !", se rétracta Mimi en portant son doigt sur une égratignure fraîche sur son visage.

"Désolée", s'excusa la chatte en l'aidant de toutes ses forces.

Le rocher s'abattit sur les queues, qui se tortillèrent plus frénétiquement encore, mais la pierre, trop lourde, ne pouvait être soulevée ainsi. Au loin, on apercevait la corne d'un reptile qui dépassait de la montagne. Le visage du serpent apparut alors qu'il se dressait, cherchant à voir ce qui retenait ainsi sa queue, et tous purent ainsi voir son extraordinaire longueur.

"Sors de l'eau, tout de suite !", dit Mimi en s'exécutant.

"Allez, allez, tombe…", murmurèrent-elles ensemble à l'adresse du ciel. Et leur prière fut exaucée. La foudre tomba droit sur la corne de la bête, qui agissait comme un paratonnerre, passa dans la seconde par le ruisseau et les reptiles furent grillés en un instant à peine. Hurlant de joie à la vue du long corps squameux qui tombait au loin, Mimi et Ririn allèrent chercher les enfants pour les ramener chez eux.


Bientôt, la cohorte d'enfants se retrouva sur la place principale du village, endroit qu'ils avaient quitté il y avait bien longtemps, et qu'ils croyaient ne jamais revoir…

Cependant, il était impossible de les laisser y habiter, chaque maison abritant un véritable cimetière. C'est alors que Gojyo eut une idée :

"Kishimo-jin. Elle peut venir les chercher, les emmener au village où Kotonbo est apparue, les faire adopter… Ils portent tous des grelots, ils la connaissent forcément !

-Pour une fois, kappa, les mots qui sortent de ta bouche ne sont pas des conneries", grogna le bonze.

L'idée fut acceptée, l'ancienne ogresse invoquée, et, lorsque ses pas lourds se firent entendre dans la montagne, chacun regagna son véhicule respectif.

"Salut Mimi ! C'est dommage, on a pas eu le temps de s'amuser toutes les deux !" dit Ririn en agitant la main, s'élevant sur son dragon en direction de l'ouest, espérant bien arriver pour ne pas mettre le scientifique qui l'avait aidée en situation délicate, tandis que le quatuor et sa protégée montaient dans la jeep et adressaient un dernier au revoir aux enfants.

Le moteur rugit, et, soulevant un nuage de poussière, le groupe repartit vers le soleil éblouissant.


Au château d'Hojo.

"Et voilà…", sourit le scientifique, en s'écartant de son écran. Ririn rentrait au château, ayant bien rempli sa "mission"…

Accroché à son fichu, le bricolage de Nî, contenant quelques millilitres du sang de l'étrangère, revenait, porteur de la solution au projet de résurrection du démon Gyumao. Il se leva, et, attrapant une tablette au hasard, se dirigea vers la salle du trône.


"Enfin, Ririn, vous voilà , dit-il en la voyant arriver au bout du couloir, je croyais que vous aviez oublié de rentrer…

-Désolée, docteur, sourit la chatte, essoufflée par sa course effrénée dans les couloirs.

-Arrangez vous un peu, ou votre mère ne va jamais croire que vous êtes restée au château, dit-il en désignant sa chevelure et ses vêtements. Lorsqu'elle fut prête, il la poussa gentiment devant lui, ôtant au passage le précieux appareil…


"Nî ? Tu es en retard…

-Pardonnez-moi, ma reine… Voici mon rapport, dit-il en soulevant quelques feuilles de la tablette.

-Inutile que Ririn s'ennuie avec ça. Docteur Huang, voulez-vous l'emmener dans votre laboratoire ?"

S'exécutant, la scientifique disparut dans la salle de Rasetsunyo, poussant devant elle une Ririn rose d'avoir volé vite…

Lorsque la porte fut bien refermée, Nî sortit son échantillon de sang, et s'approcha d'une cuve matricielle qui entourait le cadavre du Démon Gyumao.

"C'est le sang de l'étrangère ?

-Oui, Dame Gyokumen… Et voilà, dit-il en s'écartant de l'engin, la cuve est paramétrée pour l'accueillir… Résumons… Nous en avons… Quatre ?

-Cinq, Nî… Deux qui contiendront des cobayes, et les trois autres sont réservées à des particuliers…"

En entendant la phrase de la reine yokai, le scientifique Nî sourit…Des particuliers… Ririn, cuve de droite. L'étrangère, cuve du milieu. Et cuve de gauche…

"Kogaiji ? Veux-tu venir ?"


Quelques minutes plus tard, le yokai magicien se tenait au pied du trône de Gyokumen, et attendait les ordres.

"Voici ta nouvelle mission… Les escouades de yokais et les dragons longue distance ont échoué, tu feras donc leur travail. Je veux l'étrangère dans cette salle d'ici une semaine."

Kogaiji hocha la tête, ayant compris. Mais lorsqu'il sortit, Nî lui agrippa le bras.

"Dites-moi, mon prince…

-Lâche moi, serpent, siffla Kogaiji en se dégageant, une petite plaie sur son avant-bras.

-Si tel est votre souhait…"

Nî inclina son petit lapin en guise de salut, puis lui fit agiter la patte.

"Au revoir donc, mon prince…"


" Sanzo… Harayettaaaaaaa …

-Tu ne sais rien dire d'autre ?"

Un sourire malin aux lèvres, Mimi se pencha à l'oreille du singe, et murmura quelques mots. Le singe se redressa aussitôt :

"J'ai la daaaaaaaaaaaaaalle ! Ich habe Hungeeeeer ! I'm hungryyyyyy !

-C'est quoi, ça , demanda le bonze, non polyglotte…

-Ca veut dire "J'ai faim" en français, en allemand et en anglais.. ", sourit naïvement le demandeur.

Mimi et Gojyo, pliés de rire, n'arrangeaient pas l'état nerveux du bonze… Finalement, Sanzo, excédé, sortit son harisen et distribua allègrement les baffes.

"Aïeuh, mais ça fait mal !", cria Mimi, en goûtant pour la première fois.

-Non vraiment , répondit ironiquement le bonze en se rasseyant.

-Hey, bonze de merde, on frappe pas une fille, même avec une fleur…", sourit le kappa en se relevant, mais un nouveau coup d'éventail le fit replonger dans les profondeurs de l'espace séparant les sièges avant et arrière.

"Espèce de sadique !", répondit Mimi en aidant le kappa à se relever.

"Ah, nous arrivons, dit Hakkai en souriant toujours, désignant quelques bâtiments droit devant eux.

-Pas trop tôt, soupira le bonze, son énervement trahi par une veine qui battait dangereusement sur sa tempe alors que le trio de l'arrière s'excitait en voyant la ville.

-OUAIS, UNE VILLE , ON VA POUVOIR MANGER , cria Gokû, ravi de ne pas avoir, comme la veille, à digérer quelques pauvres racines…

-Ah, on va enfin pouvoir prendre un bon bain, ronronna Mimi…

-Prendre une bière !", soupira Gojyo, rêvant à l'avance du goût de l'alcool…

-On va surtout ne plus vous entendre !", dit le bonze, exaspéré par leur attitude.


C'est alors que la jeep fit un écart, et que Hakkai partit dans une violente quinte de toux, à peine arrivait-il à reprendre sa respiration.

Il freina sèchement, arrêtant Hakaryu sur le bord de la route, et, penché sur le volant, tentait vainement d'arrêter la toux qui déchirait sa gorge :

"Hakkai, ça ne va pas , demanda le singe, inquiet.

-Nan, saru, ça ne se voit pas qu'il est en train de s'étouffer, répondit violemment le bonze, en frappant le dos de l'ancien humain dans l'espoir de lui faire reprendre sa respiration. Peine perdue. Enfin, après de longues minutes, la quinte se calma, et Hakkai, toujours souriant, se releva :

"Je suis désolé, je crois bien que j'ai attrapé quelque chose de vilain.

-Noooon, sérieux , dit Gojyo en descendant, allez, on va pas te laisser conduire comme ça, file à l'arrière.", dit-il en souriant.

Reconnaissant, Hakkai s'installa, alors que le kappa s'asseyait au volant. Plusieurs fois, ses quintes le reprirent, à lui déchirer la gorge, et la fièvre monta en lui.

"Gojyo, quand arrive-t-on , demanda Mimi anxieusement, en voyant son voisin fermer les yeux comme après une rude épreuve, la sueur coulant sur son visage, la respiration sifflante.

-Les bâtiments sont beaucoup plus loin qu'il n'en a l'air, soupira le concerné en appuyant sur la pédale d'accélération, alors qu'Hakuryu, surpris par le brutal changement de vitesse, pyutait, indigné.


Enfin, après encore une heure de route, ils atteignirent les premières bâtisses.

"C'est pas vrai…", grogna Sanzo en regardant tout autour de lui," tout est complet…"

Malgré tout, ils parvinrent à trouver une auberge.

"De combien de chambres disposez-vous , demanda le bonze à la réceptionniste.

-Voyons… Il nous reste… Deux chambres doubles, une au premier, une au second, et une simple, au deuxième étage aussi, sourit-elle

-Vous n'avez rien d'autre , demanda Sanzo, peu emballé à l'idée de partager une chambre avec l'un de ses compagnons.

-Désolé, monsieur, mais tout est complet, et je doute que vous trouviez mieux ailleurs, dit-elle en refermant son livre de réservation, il y a bien une semaine que toutes les chambres de la ville sont réservées…

-Que se passe-t-il , demanda Gojyo, curieux et charmeur.

-Une fête, sourit la réceptionniste, sensible aux grâces du kappa, le festival des arts et combats…

-Ben tiens, on ne pouvait pas mieux tomber, ricana-t-il, un festival…"

La réceptionniste referma son livre, et afficha la pancarte "Complet" sur la porte d'entrée.

S'installant dans la salle commune, ils décidèrent de répartir les chambres…

"Je prends la simple, dit Mimi, bien peu encline à partager une chambre avec un homme…

-Non, dit Sanzo, la simple est pour Hakkai. Pas question qu'on soit tous malades demain..

-Dis donc, t'es pas un peu méchant, là , demanda-t-elle, stupéfaite par la remarque du bonze.

-On fait ça à pierre-papier-ciseaux , cria Gokû en levant son poing, les deux premiers qui perdent prendront la chambre du deuxième !"

Hakkai sourit en voyant quatre poings se lever, et Gojyo dire d'une voix sonore : "Attention, pierre, papier… CISEAUX !", alors que les mains s'abattaient…

Sanzo perdit le premier, un papier contre trois ciseaux, puis…

"Attention, pierre, papier… CISEAUX !

-Oh nooooon !", dit le perdant, et pensa fortement l'un des gagnants…

Deux pierres, un ciseau.


Shazam, tout est fini !

Nanan, juste l'épisode..

Allez, pour le 14, que je poste tout de suite...

Un examen médical hasardeux...

La réponse au mystère de l'ambulance (vous l'aviez oublié, celui-là, hein, avoueeezzzz !)...

Une déprime annoncée...

Si vous remarquez dans la fic quelque chose qui vous gène (style ça ne colle vraiment plus à l'image que vous vous faites de quelqu'un qui vient d'arriver de notre monde en Togenkyo, faites moi signe !)

Gnyah, mais pourquoi il m'efface un point d'interrogation sur deux... >