Tada, voici l'épisode 4, où il ne se passe toujours pas grand chose, mais que je trouve très sympa quand même :D
Merci pour vos reviews, à la fois sur le texte et pour le jeu, merci beaucoup !
Et voici...
SAIYUKI : REGARDS D'AUTREFOIS, SYMBIOSE, épisode 4
La nuit approchant, les premières plaintes se firent entendre :
"J'ai mal aux pieds…
-Sanzooooo ! Harayetta !
-Non mais, Saru, t'as pas le droit de dire ce que je voulais dire, d'abord…, soupira le bulgare.
-Et vous deux, vous avez pas le droit de dire que vous avez pas le droit de dire ce que j'avais envie de dire…Parce que c'est moi qui avait envie de le dire, continua l'antillaise en se tenant l'estomac.
-Attends, je te suis pas… Reprends doucement., demanda la chatte, qui avait elle aussi posé la main sur son ventre pour étouffer les grondements.
-Ils ont pas le droit de di…
-SILENCE ! hurla le bonze en distribuant les coups, alors que Hakkai, imperturbable, souriait, imité par le reste de la troupe.
Kogaiji fut reconnaissant au bonze d'avoir fait taire les plus jeunes. S'il n'avait pas levé la main… Lui-même s'en serait chargé.
"Je veux un boudin antillaaaaaiis ! grogna Lidy en se frottant le crâne.
-Et moi du bœuf, du porc, du ragoût , renchérit le singe.
-Un couscous à la Zaïde , quémanda le bulgare, alors que Ririn terminait par :
"Des pains à la viande !"
Ne pouvant se calmer, ils reprirent :
"Un couscous !
-Des sushi !
-Du boudin !
-Poulet rôti !
-Du pain à la viande !
-Ramen !
-Tajine !
-Maïs au miso !
-Boulettes de riz !
-Bœuf bourguignon !
-Calamars frits !
-Tarte au poooooommes !"
A l'annonce du dessert, tous quatre ne se sentirent plus, et hurlèrent :
"J'AI FAIM !"
Les deux leaders, excédés, accélérèrent la marche pour ne plus les entendre.
"C'est pas vrai, de vrais boulets.", murmurèrent-ils, alors que Gojyo, se sentant d'humeur taquine, venait embêter les affamés.
"Dites donc, les petits, vous voulez pas non plus qu'on vous donne la becquée ?"
Rageurs, les quatre plus jeunes se jetèrent sur lui. Submergé par le nombre, le kappa se débattit férocement, sous les regards moqueurs du reste de la bande. Son frère aîné vint après quelques minutes l'aider à se sortir de l'impasse.
"Allez, lâchez-le , Il en a assez pris, non , dit l'escrimeur en écartant l'antillaise, qui aussitôt s'en prit à lui de ses petites mains.
"Lâche moi ! Lâche moi ! Lâche moi ! Je suis pas petite, il va payer ! Lâche moi, ou tu vas t'en prendre aussi !"
Dokugakuji, étonné, se contentait de maintenir son "adversaire" à distance du plat de la main.
"Je dois vraiment me sentir concerné ?", ricana-t-il.
Aussitôt, Ririn quitta le kappa et se jeta sur l'aîné.
"OUI !"
A deux, elles parvinrent à le mettre au sol, et le bourrèrent de coups de leurs petits poings.
Vaincus, les deux frères levèrent le drapeau blanc :
"Okay, okay, on se rend !"
Les quatre amis vainqueurs se tapèrent dans la main en riant, liés dorénavant par une solide amitié. Le silence s'installa à peine…
Qu'un grondement d'estomac général vint le briser.
"Aha , ricana Lidy en désignant de son doigt tendu les deux leaders qui accéléraient encore la marche, rouges de honte et de colère, ils ont grogné aussi je les ai entendus, je les ai entendus ! Vous avez faim, avoueeeez !"
Une balle siffla à son oreille.
"Nan, on a pas faim, pas faim du tout !", cria Kogaiji en se retournant.
Son estomac clama haut et fort le contraire, sous les rires moqueurs et le rictus du bonze.
"Bon, d'accord, j'ai un peu faim., (ndla : mais alors un tout petit petit petit petit peu, hein, Ko... On t'a juste entendu jusqu'à la ville voisine...XD) avoua-t-il en souriant. Pas toi, Sanzo ?
-Nan, pas du tout., grogna le bonze en s'éloignant, la main discrètement posée sur son ventre pour éviter un grondement intempestif :
"T'essaie de le cacher, mais t'as faim, t'as faim !", cria Gokû en s'approchant de lui, sautillant et rieur.
Enervé, le bonze hurla en sortant son éventail, banda son bras… Et, son attention s'étant détournée de son estomac, il retentit dans la clairière un grondement… Particulièrement long, insistant, et quémandeur.
Gokû, qui s'était protégé le front d'une chute du chasse-gêneur de papier, releva les yeux vers le moine, qui, rouge de honte, reprenait la marche.
Le singe n'attendit pas, et, accompagné de la majorité des membres de la troupe, explosa de rire.
"Il a un peu faim aussi…, sourit Hakkai alors que tous reprenaient la marche. Dommage, il n'y a pas de villages sur notre route aujourd'hui… On n'en croisera pas un avant demain soir…, informa-t-il en consultant la carte.
-QUOOOOOOI ?" crièrent les plus jeunes, ça veut dire qu'on ne va pas manger ce soir ?
-Il y a une grange, là-bas, sourit Yaone, peut-être y trouverons nous de quoi manger, sinon de quoi passer la nuit tranquillement…"
L'idée étant excellente, chacun se dirigea vers l'étable providentielle en discutant.
"Ça sent booooon !", crièrent Cléo, Zaïde, Lidy et Capucine en pénétrant dans la bâtisse.
-Vous trouvez , grogna Kogaiji en fronçant le nez.
-Ça sent bon la paille chaude, le foin qui sèche !", s'extasia Ririn en se jetant sur les mangeoires, suivie par Lidy et Cléopâtre.
Un meuglement monta du fond de l'immense pièce.
"Y a même des vaaaches !", crièrent Cléo et Zaïde en se précipitant vers l'endroit d'où le mugissement était issu, accompagnée par le singe et la chatte qui s'excitaient..
-Salut les jolies vaches !", sourit le bulgare en promenant sur les museaux humides des doigts flatteurs. Un langue mouillée vint répondre à ses caresses, et il rit, bientôt imité par les autres jeunes.
Toujours dans l'entrée, Sanzo, Kogaiji, Dokugakuji, et son cadet regardaient, parfois surpris, irrités, amusés… Les ébats des plus jeunes. Le bonze se tourna vers leur compagne de voyage.
"Dis moi… Tu avais dit quel âge, pour tes frères et sœurs ?"
Mimi esquissa un sourire désolé, alors que démarrait une gigantesque "campagne party"
"Pour ceux qui sont partis ?
-…
-19 pour Boby, 18 pour Lidy, 20 pour Cléo, 21 pour Zaïde…
-Mouais…, continua le prince yokai. Je pencherais pour une dizaine d'années en moins. Voir plus.
-Chsuis d'accord.", sourit Evan en s'étirant en s'affalant sur une botte de paille, épuisé.
Yaone, Mimi, Karlouchka et Capucine commencèrent à fouiller les alentours pour trouver de quoi dîner. Elles revinrent bientôt, chacune portant de quoi satisfaire tous les membres de la troupe :
"Il y a un ruisseau poissonneux pas loin, si besoin est, nous pouvons retourner pêcher, sourit Yaone en désignant ses captures, de magnifiques truites argentées.
-Voilà de quoi accompagner, annonça Mimi en déposant sur le sol une bottée de salades sauvages, imitée par sa cadette muette, qui proposa pommes et fruits.
-Et la boisson , sourit Capucine en déposant au sol un récipient rempli d'eau du torrent.
-Mesdemoiselles, vous faites des miracles, sourit Hakkai en allumant un feu, alors que Yaone vidait ses prises, aidée par la russe et l'irlandaise.
Bientôt, une délicieuse odeur de poisson grillé tira les plus jeunes de leurs jeux et attira tout le monde autour du feu. Le repas étant enfin prêt, Gokû se prépara à se jeter sur la nourriture, mais une main le retint par son oreille droite.
"AÏEUUUUUUH , cria-t-il en se démenant pour se trouver face à son tortionnaire, la blonde Karlouchka, qui le réprimandait d'un doigt tendu et accusateur. Quoi, quoi, qu'est ce que j'ai faaaaait ?"
La pression sur son oreille disparut, et le ballet des mains commença :
"Elle dit que tu devrais avoir honte, traduisit Capucine rapidement, qu'on ne doit pas toucher à la nourriture tant que ceux qui ont préparé le repas ne se sont pas servis, c'est malpoli pour eux. Tu as joué pendant que d'autres travaillaient pour que tu manges, alors tu attends ton tour.
-Ahlala, toujours aussi portée sur les principes, ma Karlou, rit Evan en donnant une bourrade affectueuse à sa cadette, qui lui sourit en retour.
-Mouais, bon.., grogna le singe en se massant l'oreille, alors que Ririn se moquait et que Gojyo applaudissait. Chacun s'empara de sa part, dans l'ordre voulu, et commença à déguster.
Lorsque tous furent rassasiés…
"C'est l'heuuuuure…. , commença Borislav en désignant le soleil couchant.
-Oh non, c'est pas vrai…, rumina Sanzo (ndla : va rejoindre les vaches, blondinet, j'ai mis ce verbe exprès pour ça XD), alors que la quasi totalité de l'auditoire se penchait sur la conteuse :
"Les contes renferment le savoir des ancêtres, commença-t-elle en s'installant dos au feu, profitant de sa lumière pour improviser avec son frère un théâtre d'ombres chinoises, pour celui qui sait écouter, ils sont sources d'enseignements et de leçons…"
Piqué au vif (ndla : et t'as raison de l'être, mon grand…), Sanzo poussa un "Tsssk" mécontent, prit une cigarette et sortit au dehors fumer.
A peine eût-il fait trois pas que des cris d'admiration et des applaudissements s'élevaient.
Curieux, il revint vers l'entrée de l'étable et regarda par l'entrebâillement. Une véritable pièce acrobatique se jouait entre l'antillaise et le bulgare, et sur le mur… Un paysage criant de réalité apparaissait. Deux personnages en son centre semblaient discuter ou bien admirer l'endroit… Ils étaient doués… Aucun doute là dessus. Mais ce n'étaient pas ce genre de talents qui allaient sauver le Togenkyo. Il reprit la marche et s'éloigna de la grange en maugréant.
"Ahlala, dommage que Sanzo ne soit pas resté, ça lui aurait plu , applaudit le singe.
-C'est une belle histoire, commenta Yaone en félicitant la conteuse et l'acteur, vous en connaissez beaucoup ?
-Oh, pas tant que ça, sourit l'antillaise, la plupart, je les invente sur le coup… Et Boby…
-L'improvisation, ma grande, est la clef du succès.", se vanta le bulgare en titillant la chatte qui venait lui demander de lui enseigner les ombres chinoises.
Kogaiji et Dokugakuji avaient fini par apprécier la petite piécette. Un grincement sourd retentit alors que le bonze revenait de sa balade nocturne.
"Alors, Sanzo, comment vont les fraises des bois ?", ricana le kappa en évitant l'éventail.
-Va mourir, crétin., grommela le bonze. On part tôt demain, alors si j'étais vous, j'irais dormir.
-Ouais…, rétorqua Cléopâtre en se penchant sur Ririn pour corriger la position de ses mains, manque de bol, t'es pas nous."
Gojyo et Hakkai, surpris, fermèrent les yeux en attendant la réaction du pseudo-religieux. Pourtant, rien ne vint. Ou presque. Car Sanzo avait posé sur le front de l'égyptienne le canon glacé de son pistolet, et annonçait froidement :
"Dois-je parler autrement pour être obéi ?"
Karlouchka, effrayée par l'attitude du bonze, se précipita vers sa sœur, qu'elle libéra du canon mortel. Aussitôt, elle s'adressa à sa cadette, lui reprochant son attitude. La réponse fut violente :
"JE N'AI RIEN A FAIRE DE TON AVIS, KARLOU !"
Et elle quitta l'étable, claquant autant que faire se peut la lourde porte qui en barrait l'accès. La russe se mordait les doigts sur sa bêtise, mais la main amicale de Yaone vint l'aider.
Dehors, Cléopâtre, d'humeur rebelle, se mit à saccager de pauvres buissons en hurlant. Une voix masculine s'éleva :
"Tu n'aurais pas dû."
Kogaiji l'avait suivie, et la regardait se défouler.
"Quoi ? Les pauvres groseilliers…, ricana-t-elle en leur assénant un dernier coup.
-Je parle de ta sœur, continua le prince en lui jetant un regard froid. Tu vis avec elle depuis ta plus tendre enfance, et moi, qui la connais depuis quelques heures, je n'ai pas besoin d'un schéma pour voir qu'elle est fragile.
-Karlou ? Fragile ? C'est la meilleure , rit l'égyptienne en se retenant à un tronc pour ne pas s'effondrer. Tu ne sais rien d'elle… Rien du tout ! Et c'est justement parce qu'elle n'est pas ce que tu crois que je me permet de lui parler ainsi… Tu ne sais rien… RIEN !", cria-t-elle, les larmes aux yeux en faisant demi-tour et s'éloignant.
-Ne va pas trop loin…", murmura le yokai en la voyant disparaître dans les bois.
Rentrant dans l'étable, il vit que la plupart avait abandonné leurs activités pour préparer une couche correcte. D'ailleurs…
"C'est pas vrai, ils dorment déjà, sourit-il en regardant Ririn et Gokû, épuisés, allongés sur un tas de foin. Quelques mètres plus loin, Borislav et Lidy les avaient déjà imités.
-Et ouais, les imbéciles heureux s'endorment toujours très vite, ricana Gojyo en recouvrant son "lit" avec une couverture rêche qu'il venait de trouver. Chacun accommoda sa couche avec les moyens du bord. Les couvertures étaient nombreuses, mais inconfortables…
"Je prends le premier tour de garde.", soupira Sanzo en voyant qu'il ne pourrait trouver le sommeil étendu sur la paille. Il sortit au dehors et commença à fumer.
Mimi étendit un large pan de tissu sur le sol :
"Oh… Et moi qui pensais qu'après tout ce temps, tu accepterais de passer la nuit avec moi, Wu-chi Ss…"
Il ne termina pas. Mimi s'était tournée vers la voix, souriant gentiment, et avait posé un doigt sur ses lèvres :
"Chhh… Ils ne savent pas…, chuchota-t-elle en s'allongeant, Merci de votre générosité, votre Altesse, murmura-t-elle en se blottissant contre lui, appréciant le moment.
-Ca fait longtemps, répondit-il à son oreille, et je ne tiens pas à rater une seule seconde de ta compagnie… Tu m'as tant manqué…"
Il l'enlaça et l'embrassa tendrement, puis les respirations se calmèrent, s'espacèrent alors qu'ils plongeaient dans le sommeil.
Tous dormaient déjà, et la seule lueur vivante était celle des braises de la cigarette de Sanzo qui luisaient dans le noir, lorsqu'un grincement contenu retentit dans la salle :
"Cléo ?", demanda le bonze en distinguant la silhouette féminine qui s'encadrait dans le rayon de lune.
-Je suis désolée, s'entendit-elle dire en s'approchant du veilleur.
-De quoi ?", grogna-t-il en lui désignant de sa cigarette le lit qu'il avait préparé pour son propre repos.
L'Egyptienne sourit, et remercia leur guide. Elle s'installa, et bientôt, sa respiration vint s'ajouter à celle des nombreux dormeurs.
Le chant d'un coq réveilla les plus matinaux. (ndla : ben oui, tant qu'à faire, autant pousser le ridicule jusqu'au bout. Allez, on y va : C'est l'heure du petit déjeuner, l'ami Ricoréééé… Le groupe : mais c'est qu'elle se fout de nous...) Lio : Moua ? Naaaaan...XD)
Kogaiji avait veillé pendant la seconde moitié de la nuit, et ce furent ses yeux fatigués qui les accueillirent.
"Ben, Ko, on dirait que t'as mal dormi…, sourit l'escrimeur.
-Non, sans blague…", bailla le prince en s'étirant.
Il fallait avouer que dormir sur la paille, lorsqu'on ne savait pas faire un lit, était… plus épuisant que reposant.
Un cri de stupeur détourna la conversation, et la plupart des visages éveillés. Lidy et Borislav venaient d'ouvrir les yeux, et d'apercevoir leur aînée dans les bras du kappa, toujours endormis.
"Non, je rêve là… Lidy, je rêve , demanda le bulgare en se frottant les yeux.,
-Nan, nan, c'est pas possible… C'est sûrement une illusion…
-Ouais, c'est ça, on dort encore, et c'est qu'une hallucination.
-Le mieux, c'est de se pincer mutuellement, comme ça, on va se réveiller en même temps. Allez, un… deux…TROIS !"
Le cri de douleur qu'ils poussèrent éveilla le reste de la troupe :
"Mais ça va pas, espèce d'imbécile, pas si fort !", cria l'antillaise en portant à ses lèvres son avant-bras.
-Non mais, non mais, tu ne t'es pas sentie y aller non plus, hein ! Tu m'as pas raté !", affirma Boby en regardant une marque rouge s'étendre sur sa main.
-Mais qu'est-ce que vous vous êtes faits , s'écria leur aînée en se levant et s'approchant, observant les marques rougeâtres.
-Mimi, Mimi, commença Lidy, dis-moi, tu t'es endormie seule, hier soir ?
-Pourquoi ?
-Parce que ce matin, tu dormais avec… Gojyo., l'informa Borislav en désignant le kappa qui se redressait.
-Oui, et alors ? Je me suis endormie avec lui… Où est le problème ?
-Tu es avec… Gojyo ?", demanda curieusement l'antillaise en désignant le concerné.
-Ben… oui. Pourquoi ?"
Les deux benjamins en restèrent bouche bée, alors que Gojyo souriait devant leur tête :
"Vous devriez vous voir, vous êtes tordants.", dit-il en éclatant de rire, bientôt imité par Ririn et Gokû qui venaient de comprendre.
Après un petit déjeuner frugal, la marche reprit.
"Où va-t-on, comme ça , demanda Capucine au prince yokai.
-Dans l'extrême Nord du pays, jusqu'au château du Désert de Gobi, l'informa-t-il.
-A pied ?
-Non, en tricycle", ricana Lidy en se moquant de sa sœur, ne ratant pas l'occasion.
La troupe marcha toute la journée, et, en fin d'après-midi, arriva dans un petit village :
"Enfin, j'en pouvais plus, soupira Zaïde en s'appuyant contre un arbre, ravie de distinguer parmi les maisons une auberge.
-Moi ausssiiiiiii !", ajoutèrent de concert la chatte, l'antillaise et le singe, avant de rire ensemble.
-Ah, c'est pas vrai, je vous jure…", sourit Dokugakuji en remuant la tête, alors que Sanzo, apparemment toujours plein d'énergie, sortait son harisen…
Et voici le moment attendu (j'en sais rien, mais c'est pas grave…) Du MASTERMIND !
Retour sur le plateau.
Lio : Bonjour et bienvenue, chers joueurs, sur le plateau du Mastermind de Saiyuki. Ce soir, j'ai avec moi Maître Sanzo, qui a accepté de tirer pour moi les reviews au hasard.
Vous connaissez tous nos acteurs…
Sanzo : Retenez-moi ou je la tue…Lio : Retenez-le…Bien bien, donc, nous avons reçu…3 réponses, de la part de Lane, Hachikô et Mimi (y te manquait un couple, j'ai fait avec.). Et voici donc les résultats…
Première review: 3 bonnes réponses !
Deuxième review : 1 bonne réponse !
Troisième review : 4 bonnes réponses !
Bravo, bravo ! Mais, il y en a encore pas mal à trouver à trouver (et faut déjà trouver quels sont les bons XD)
Sanzo : Retenez moi vraiment fort…
Lio : Oulalah, il est tout rouge… Tu veux un médecin, Sanzo ?
Sanzo : Je vais la tuer…
Lio : Et voilà, c'est tout pour aujourd'hui ! Bon courage à vous pour trouver les prochains couples ! Si, à l'épisode je sais pas combien, genre 10, personne n'a encore trouvé la bonne combinaison, il y aura un petit indice (mais tout petit riquiqui…)
Sanzo : C'est bon, t'as fini ?
Lio : Oui, oui, c'est bon, envoyez le générique de fin…
Sanzo : Toi, je te conseille de prévoir une sortie de secours lorsque tu feras le chapitre FIN DE LA DEUXIEME SAISON, parce que tu vas en avoir bien besoin…
Lio : C'est noté, merci XD. Reviews ?
