Note :Je vous avait promis un nouveau chapitre avant la fin de la semaine? ah bah le voici! J'ai ADORÉ écrire ce chapitre mais dites le moi si je m'écarte trop de la vrai personalitée des personnages.Et ya pas que des points possitif quand on écrit.

Une amie(nah nah nahi je te pointe pas du doit) m'as fait remarqué un détail.
Parfois Rin tutoie Sesshoumaru et d'autre fois elle le vouvoye. Kan Rin le tutoie c'est qu'elle est vraiment fru, lorsqu'elle le vouvoie c'est qu'elle ne l'est pas.
Normalement Rin devrait vouvoyer Sesshoumaru-sama parce qu'il est plus important, plus fort qu'elle donc, elle lui doit le respect. Mais Sesshoumaru lui tutoie en permanence Rin parce qu'il ne lui doit pas le respect.


La seule véritée

Un tout nouveau jour

Je suis assis le dos contre un arbre, comme à l'habitude, mais un détail diffère. J'ai posé la tête de Rin sur mes jambes, une compresse d'eau froide sur son front. Bien que les plaies à son coup guérissent plutôt vite pour celle d'une humaine, je m'inquiète de son état. La fièvre l'as prise et dans son délire je l'entends dire et redire mon nom et, moi, je reste la, ne pouvant rien faire pour l'aidé.
Un sentiment d'impuissance m'importune. Je ne connaissais plus la signification de ce mot avant aujourd'hui.
Il s'est passé deux jour et deux nuits depuis le terrible incident. Deux jours complets pendant lesquels j'ai du veillé sur Rin tout en revivant la catastrophe causée par ma stupidité.

« flash back »

- Qui est-tu.
- Que veut-tu savoir? Mon nom? Il ne te dira rien. Sache toute fois que je suis ton cousin, cela devra te suffire.
- Que me veut-tu.
- Je ne te veux rien. Je veux seulement que l'honneur de notre famille soit sauvé.
- Alors tu devrais commencé par sauvé ta peau et ne pas mettre ton nez ou il ne faut pas.
- Entendu
Je reçut un coup de sabre en plein dans le ventre. Un autre coup, celui-ci visant mon poignet, me fis perdre l'emprise que j'avais sur sa gorge.
Il porta un autre coup à l'aide de son sabre, celui-la à la nuque, que j'esquivai de justesse. Un filet de sang écarlate coula le long de ma joue tandis que je tentai de riposté, en vain.
Un tourbillon de vent s'enfuyait du lieu, me laissant là, pantois.
Puis, je réalisai que Rin étais toujours inconsciente et me dirigeai vers elle dans l'intention de la soigné.
Je la portai jusqu'a la rivière la plus près.
Je l'arrosai d'eau pour la débarrassé du sang et de la suie parsemant ses habits. Puis, je me dirigeai vers cet endroit, pas trop loin du ruisseau. La déposai sur moi, et la regardé.

« fin du flash back »

Ce qui me fis sortir de mes pensées? Elle, elle qui venait finalement de se réveillé.

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Je tentais d'ouvrir les yeux tandis que le brouillard et les ombres encombrant ma pensée se faisait plus distant.
La première chose que je vis fut son doux visage penché vers moi. Je réalisai ensuite que j'avais la tête sur ses jambes. Puis, je me souviens de la veille. Il m'avait attaqué. Comment avait-il pu?
Je levai la tête tandis qu'une compresse d'eau froide glissait de mon front pour rejoindre le sol.
J'essayai de me redressé pour mettre le plus d'espace entre lui et moi mais mon étourdissement me forçat à ralentir mon allure.
- Calme-toi Rin.
- Non! C'est toi.. Pourquoi?! Pourquoi as-tu tenté de me tué?
- Rin, ce n'étais pas moi. Comprend-tu?
- Mais.. Non! C'étais vous! J'en suis certaine!
J'avais réussit à me relevé, les jambes lourdes, et amorçai un pas en direction de mon ancien village.
- Rin. Regarde-moi.
- Ne m'ordonne plus jamais de faire quoi que ce soit!
Je l'entendis se levé et s'avancé vers moi d'un pas lent.
- Rin, ce n'est pas moi qui t'ai attaqué. S'il te plait, écoute.
Sa main se referma sur mon bras et je fus obligé de me tourné face à lui.
- Je ne suis pas aveugle.
- Ce qui ne t'as pas plus fait remarqué qu'il t'avait attaqué avec un bras que je n'ai plus depuis longtemps.
Je levai la tête pour l'examiner. Son habit, habituellement immaculé n'étais plus que haillons tâchés de sang. Même son armure était ruinée. C'étais sur et certain, il avait combattu. Mais pour ou contre moi?
- Si ce n'étais pas vous, qui étais-ce?
- Un cousin. Même moi je ne connaissais son existence avant qu'il tente de te tué.
- Pardonnez-moi de l'avoir pris pour vous mais…
- Ce n'est rien. Je crois pouvoir comprendre.
Je me suis effondrée sur le sol. Épuisée, je n'étais plus capable de tenir sur mes deux jambes.
- Allez, viens. Tu as besoin de repos.
Il s'assit contre un arbre et me fis signe d'approché de lui.
Je m'installai donc contre le tronc d'un arbre suffisamment près de lui, sans pour autant l'être trop. Puis, fermai les yeux..
Me concentrant sur ma propre respiration, je tentai d'y voir plus clair dans mes pensées mais ce répit ne fut que d'une courte durée.
- Rin
Je sursautai au son de sa voie.
- Oui?
- Quelle est cette question que tu te force à ne pas formulé?
- Vous ne tenez pas à la connaître.
- Dit toujours. Je pourrai juger par moi-même.
- Je me demandais… pourquoi gardez-vous votre armure? Dans l'état dans laque elle est, elle n'a plus guère d'utilité. Non? De plus j'ai l'impression qu'elle vous empêche de guérir d'une blessure cachée à mon regard.
- Je ne peux la défaire.
Je ne dis plus rien, silencieuse je réfléchissais sur la nuit que j'imaginais n'être qu'hier tandis que ces paroles franchirent mes lèvres sans que je ne l'aie souhaité.
- Je pourrais vous aider à la retiré… si vous voulez bien entendu.
Son regard se posa sur moi, vulgaire humaine, et je regrettai déjà les mots que j'avais prononcé.
- Je crains que ce ne soit guère une bonne idée. Sans mon armure je crains d'être à moitié nu. Seul mon armure retient les pièces du tissu ensemble.
- Si tel est votre choix je le respecterai...
Un autre pénible silence s'imposa.
Le sang me monta au visage tandis que j'imaginai mon maître sans son armure et sans ces haillons qui recouvraient maintenant partiellement sa peau.
- Approche.
- Pourquoi?
- Tu as raison, cette armure est plus qu'encombrante.
- Mais.. Vous avez dit que..
Je délaissai ma place pour m'agenouiller à ses côtés.
La tête basse, pour ne pas voir ce que je faisais, je dénouai sa cuirasse et l'en débarrassai. Puis, la laissant à ses côtés, je me relevai dans l'intention d'allé reprendre ma place.
- Que crois-tu faire?
- Je vais me reposer, comme vous me l'avez recommandé.
- Pourquoi ne reste-tu pas ici? As-tu à ce point peur de moi?
- Non. C'est que, vu votre état et le mien je ferais mieux d'être plus loin.
- Reste, de plus tu seras mieux protégé que si je ne te vois pas. Non?
- Oui…
Je retournai près de lui, m'assise, et fermai les yeux. Je ne voulais pas, je ne DEVAIS pas le regarder. Mais.. C'étais si difficile que j'eus du mal à y résisté bien longtemps. Et c'est, en pensant ainsi, que me yeux se sont rouvert pour se poser sur le corps de mon maître.
Il était si beau, même blessé. Il semblait presque…gentil.
Perdu dans sa contemplation, je ne le vis pas poser ses yeux sur moi, un air interrogateur sur son visage.
- Qu'y as t-il?
- Quoi? Oh.. Rien.
- …
- C'est juste que vous êtes si… beau.
Cette fois, je rougis furieusement. Je baissai la tête tandis que son regard se faisait de plus en plus pesant. Je me sentais petite, toute petite, insignifiante même. J'avais osé dire une telle chose à mon maître.
MON maître, pas celui d'un autre. Le mien.
Et maintenant je rougissais, m'exaspérant moi-même de mon comportement si enfantin.
Pourtant il n'y avait aucune honte à lui dire ce que je pensais, D'autant plus que plusieurs centaines d'autres auraient sûrement été prêtes à m'appuyé. C'étais un simple fait, il était beau. Extrêmement beau. Sûrement que plus d'un homme en serait jaloux s'ils n'étaient pas aussi préoccupé par le fait que ce soit un démon. D'ailleurs, pourquoi n'ais-je pas, contrairement à ces autres humains, la peur de ces être étonnamment puissant?
Ais-je à se point confiance en mon maître? N'aurais-je pas peur de savoir ma vie entre ses mains? Non, je ne crois pas. Mais.. Pourquoi?
Un frisson me parcourut l'échine. Le froid mêlé à la chaleur du corps si près de moi me rendait folle et ma propre fièvre ne faisait qu'empirer les choses.
- Rin.
- Oui?
- Viens ici.
- Où?
- Près de moi.
- Mais je suis déjà près de vous.
- Alors viens plus près.Tu as froid.
- Mon seigneur se trompe, ce n'est pas le froid qui me fait frissonner. Votre proximité en est en grande partie la cause bien que je suppose que je fais aussi de la fièvre.
- …
Un long silence s'en suivit. J'avais encore le rouge aux joues quand il c'est rapproché de moi, m'as pris de son seul bras et m'a installé en travers de ses jambes.
J'en fus surprise.
J'étais désormais collé contre le torse nu et blessé de cet homme que j'avais toujours aimé. Comme j'étais bien ! Et tandis que le sommeil et ma température entachait ma pensée, je l'entendis me glissé à l'oreille, avec une voie douce que je ne lui connaissais pas :
- J'espère que tu es confortable. Tu sais, je me suis fait du souci pour toi.
Et le sommeil m'emporta, tendis que je me blottissais encore un peut plus près de sa présence si réconfortante.


Note : Sa vous as plu? Moi je suis fière de moi! J'ai tenu ma promesse et disons que c'est pas si mal sorti... Même si c'est que du dialogue.

Vu que je vous ai pas vraiment laissé beaucoup de temp pour me reviewer je n'ai à répondre qu'a nahi.. même si je lui ai déja répondue personnellement.

Il y as deux choses qui peuvent vous avoir poussé à lire cette histoire jusqu'a la fin, l'avoir aimé ou vouloir savoir si, plus loin, s'étais plus intéressant.J'espère que vous aurez aimé.

Alors merci de m'avoir lu et à la prochaine. ah! et j'allais oublié se frappe le fron un piti review svp.