Note: Bonjour à tous! Voila un nouveau chapitre. Un peut moi de romance et un peut plus d'action seront présent. À vous de voir si cette histoire mérite d'être continué. ah et. svp, pour tout ceux qui me lisent et me review, ne PAS me tuer... part en courrant vo mieu prévenir que guérir comme on dit.

Bonne lecture.


La seule véritée

La hantise du passé

Elle étais la, enfin. Je sentais son corps contre le mien, sa chaleur et son odeur. Cette humaine me rendais fou. La réalité se faisait distante. Il n'y avait plus que moi et elle, plus que nous 2 nous embrassant en plein milieu de nulle part. Une forte chaleur entourait nos deux corps tandis que nos lèvre se laissaient pour se retrouvé quelques secondes plus tard, le temps de reprendre notre souffle.
Mais quelque chose vint troublé tout cela. Son odeur, pas celle de Rin, la sienne, me parvint. Il était la. Peut-être même depuis un bon moment.

………………………..

Je le senti se raidir tandis que nos lèvres se séparèrent pour de bon. Que lui arrivait-il?
Il se pencha vers moi pour murmurer à mon oreille ces mots qui me glacèrent d'effroi.
- Il est la.
- Qui?
- Celui qui t'as attaqué. Maintenant reste silencieuse, ne te fait pas trop remarqué.
Il se redressa, se recula puis se détourna pour finalement stoppé son regard sur quelque chose que lui seul aurait pu voir.
- Sort de la.

………………………

Un éclat de voie m'avait attiré jusqu'à cet endroit. Je les avaient regardé. Elle se lavant, lui la surveillant. J'avait ensuite été témoin de leur disputes puis du changement soudain de comportement de Sesshoumaru.
Il me dégoûtait. Il déshonorait notre race, notre fier peuple, en s'abaissant ainsi pour une simple humaine. Si au moins il n'avait s'agit que d'un besoin corporel j'aurait pu comprendre, peu-être même faire preuve de clémence à son égard mais cet être était différent des autres. Il ne s'aurait jamais abaissé à se satisfaire d'une simple humaine uniquement parce qu'il était un homme en besoin. Non, il ne l'aurait pas fait. Il était trop fier pour le faire. Mais, pourtant, c'est lui qui s'approchât de l'humain et non le contraire, lui, pas elle.
Je le vit ensuite lui parlé, lui glissé quelque chose à l'oreille, discrètement, puis relâcher son étreinte avant de me faire face et de me dire :
- Sort de la
Alors je m'avançai hors des ténèbres qui me protégeaient jusqu'alors.

…………………….

Je le vit sortir de l'ombre des arbres. On aurait dit que des lambeaux de ténèbres s'étaient accroché à ses habits et tardaient à disparaître. C'était la une visions de pure beauté mêlé à celle d'une extrême malveillance. La clarté de la lune éclairait sa peau bleuâtre, laissant ses vêtements presque aussi sombre que la forêt, aussi sombre que le message d'une mort prochaine qu'il nous apportait.
La chaleur qui, un instant auparavant nous entourait s'était estompé et le froid mordant semblait soudain s'acharner sur moi.
Si au moins j'avait porté quelque chose.
Quoi? J'était toujours nue?
Oh non!
Et pourtant je ne pouvait me retourné pour me caché car il aurait pu m'attaqué trop facilement.

……………………….

Comme on se retrouve
- Toi! Que fait-tu ici.
- Je suis venu terminé la tâche que j'ai commencé.
- Que veut tu dire.
- Tu le sait très bien
Sa voie, à l'image de la nuit, semblait posée, froide et tout aussi sombre, tandis que dans ses mots, un léger agacement était perceptible. La mienne semblait faussement convaincue, triste, terne, sans vie.
Je savait que quelqu'un ne serait plus la pour voir le soleil se lever. Et ce quelqu'un risquait d'être moi. Il était plus jeune, plus vigoureux, et lui, il n'avait rien a protéger.
Pendant une fraction de seconde, un souvenir refit surface en moi. C'était avant la mort de mon père, du temps ou je ne connaissait rien à la vie.(allusion o film)
e, faisant face au château de la princesse qu'il avait aimé. Et ses paroles, les paroles qu'il avait prononcé ce jour la, celle qui, en se funeste jour fut les dernières que nous avons échangé, prirent un tout nouveau sens pour moi.
- Y as t-il quelque chose que tu tient à protégé?
- Quelque chose à protéger? Ce n'est pas nécessaire.
Ces mots cruels me rappelèrent la mort de celui-ci. Ces mots que j'avaient prononcé avaient encore moins de sens que ceux de mon père. Il avait raison.
Je comprenait enfin pourquoi il s'était sacrifié.
- Non.
- Tu ne peut rien contre moi.
- Tu te trompe. Ce jour la j'étais aveuglé par la rage, aujourd'hui je vois clair. Si quelqu'un doit mourir ce seras toi.
- Sache que je n'avait nullement l'intention de te tuer aujourd'hui mais puisque tu insiste tant. Ton nom, Sesshoumaru, seras une honte a jamais.
- Et le tiens, quel qu'il soit, ne seras plus jamais porté.
- Nihten, je m'appelle Nihten abrutit.
- Eh bien, Nihten, meurt !
Je l'attaquai sans lui laissé le temps de riposté. Un coup, un autre et un autre. Je frappai, évitai, feintai. Cependant je ne cessait de penser à Rin, et tentais de repousser mon assaillant toujours plus loin, si bien que nous nous enfonçâmes dans les bois, tandis que nos corps et nos lames s'entrechoquaient dans un son tantôt assourdissant de métal contre métal tantôt presque imperceptible de tissu déchiré. Pourtant, rares sont les gouttes de sang qui ont coulé, taché le sol ou même nos habits. Plus d'un arbre trouva sa fin dans notre féroce combat, plus d'un oiseau perdit des plumes, plus d'un ruisseau sa limpidité.
Nous nous battions, restant constamment en mouvement et nous éloignions de Rin. J'avait désormais la certitude qu'elle était hors d'atteinte.
Je reçut un coup de son sabre dans l'abdomen, pourtant je ne bronchai pas, mon but me gardait en vie. Son regard s'illumina durant une fraction de seconde d'une lueur de surprise.
Je ripostai violemment en lui assenant un coup qui aurait été fatal contre n'importe qui. Je plantai mes griffes dans son cou, relâchant le poison dans son sang. Pourtant, il continua un instant comme si je l'avait à peine touché.
Puis, il disparut, tourbillon de vent rouge de sang. La guerre n'était pas gagné pour autant.
Peut-être était-il parti à se recherche pour que sa mort ne soit pas veine. J'espérait bien que non mais je ne pouvait nullement en être certain et, ne désirant pas la perdre, je m'élançai vers l'endroit où j'imaginais avoir laissé Rin.
Elle étais-la, le dos contre le tronc d'un arbre, la tête entre les genoux. L'odeur de ses larmes, salée, emplissait la clairière. Mais… pourquoi?
- Rin?
Elle relevas à peine la tête, juste assez pour voir que c'était bien moi qui s'était adressé à elle.
- Rin? Qu'as tu?
Elle essuya ses larmes sur le dos de sa main. Elle sanglotait toujours mais semblait retenir des larmes.
Je m'approchai d'elle d'un pas incertain, chancelant par la cause de la nouvelle blessure que mon ennemi venait à peine de m'infliger. Je m'agenouillai près d'elle tentant de découvrir la cause de son chagrin. Bien que je ne comprenais rien au fait que les humains pleurent, je n'aimait pas la voir triste. Peut-être était-elle blessée. Peut-être que j'étais arrivé trop tard...
- Rin, regarde moi. Dit-moi. Il est venu? Il t'as blessé?
- N..n.non.
- Alors, qu'a tu?
- J'avait peur.
- Peur? Mais pourquoi?
- J'avait peur pour vous. Peur de…
- Pour moi?
- ...De ne plus vous revoir.
- Je croyait que tu savait que rien ne pouvait me faire mourir.
- Non.. ce n'est pas ce que je voulais dire. Enfin.. si, mais pas uniquement. Il avait l'air si fort..
- Et j'avait l'air faible peut-être?
- Non! Non!
- Il ne t'embêteras plus.
- Il est mort?
-Pas encore. Bientôt. Le poisson coule dans ses veines et auras tôt fait de l'abbatre.
-Mais.. et vous?
Je la vis porter son regard sur la plaie encore ensanglantée qui barrait mon torse. Je regardai à mon tour l'étendu des dégât. Ma chaire était entaillé d'un bon pouce et la blessure barrait mon corps du haut de l'épaule droite jusqu'à ma anche du côté gauche. Je risquait d'y rester si je ne guérissait pas assez vite.
Je tombai sur le sol, à moitié assommé par ma perte trop grande de sang.

………………………………………..

Il venait à peine de poser les yeux sur sa blessure que je le vis devenir blanc comme neige. J'eus à peine le temps d'apercevoir son air horrifié avant qu'il ne s'effondre. J'avait peur qu'il ne soit plus.
- Sesshoumaru!
Je me précipitai vers lui, prenant tout de même le temps d'admiré sa grande beauté, pour vérifié s'il était toujours vivant.
- Vous.. vous allez bien?
- Du.. du poison. Je ne peut plus bouger.
- Vous allez guérir? Je vous en pris, dites moi que vous allez guérir.
- Je ne voudrait pas te mentir, je ne sait pas si je le peut encore. Pas maintenant.
Je posai ma main sur sa joue d'un blanc maladif.
Une larme vint glisser le long de ma joue, tombant sur ma main et se mêlant au sang qui s'y trouvait.
- Mais… si vous mourrez.. Je n'ose pas l'y penser.
J'enfoui ma tête au creux de son épaule et passai mes bras autour de son corps. D'autres larmes joignirent la première sur le corps de mon bien-aimé maître.
Un moment passa avant que je retrouve l'usage de ma parole et je glissai, entre deux pleurs, ces mots qui veulent tout dire.
- Je ne supporterai pas de vous perdre, pas vous. J'en mourrais si vous deviez mourir. Je… je vous aime…
Mes larmes fusèrent de plus belle après cet aveu maladroit. Mais, c'était bien vrai, je n'aurait pas supporté de le perdre.

…………………………………………..

Je ne supporterai pas de vous perdre, pas vous. J'en mourrais si vous deviez mourir.
- Je vous aime…
Elle.. m'aime? Après tout ce que..
Ce que je vit me laissa interloqué. Une aura rose venait d'envelopper nos deux corps. Une étrange magie s'opérait en ce lieu pour je ne sait qu'elle raison. Je reprenais lentement possession de mon corps endolori et de tout mes sens. Pourtant, après l'étrange phénomène ne s'arrêta pas. C'était comme si mon corps était devenu trop petit. Et cette sensation ne faisait qu'empirer au fils des secondes qui s'écoulaient. J'étais maintenant au limites de l'endurances tendis que je serrai les dents pour ne pas crié mon mal.
Je vis Rin se relever, les yeux encore trempé, et regardé l'étrange lueur qui nous entourait.
Je la vis ensuite poser les yeux sur moi, puis, je vis son visage afficher un air d'effroi que je ne compris pas.

………………………………………………

Je ne comprend pas. Que ce que ..
Je posai les yeux sur son visage mais j'eu la peur de me vie. Ses yeux alternait du doré au rouge annonçant sa transformation.
Doré, rouge, doré, rouge. Et ça n'arrêtais pas.

………………………………………………

Arg!
Je n'en pouvait plus, j'était à la limite du martyr et de l'inconscience quand je vis enfin l'aura se dissiper. Il était plus que temps.
Je repris conscience de mon corps tendis que je me relevai péniblement sur mes bras.
J'étais guéri, je n'avait plus mal et je n'étais plus paralysé.
Il manquait pourtant quelque chose mais quoi? Que s'était-il passé?

………………………….

Vous.. vous..
Je pointai du doit mon maître. Il…

…………………………..

Quoi?
- Vos.. vos bras.
- Quoi? Que ce qu'ils ont?
Je m'examinai encore plus attentivement tendis qu'elle me pointait encore de son doit.
- Vous.. vous avez deux bras.
- Rin...
Je réalisai alors qu'elle disait vrai, je n'avait pas remarquer que mon bras m'étais revenu, mais par quel miracle étais-ce arrivé?
Alors je m'assied, faisant craquer mes jointures et déliant les muscles de ce bras que j'avait perdu depuis ce qui me semblait des lustres.
J'avait enfin récupérer mes deux bras. Comme c'étais étrange.


Alors, voila les réponses au reviw, même si ya pas grand chose à répondre'.

Alyssa : merci. je susi contente que tu ait prise la peine de lire cette fic. j'espère que tu continura à la lire si elle te plait bien.

chikyuuki : ah bah, je sais c'est vrai je t'avait dit que tu le lirait avant les autres mais je t'ai pas reparler depuis le temps(environ trois semain) dsl si c'était long, mais maintenant je l'ai mis sur le net. encore désoler, et j'espère que tu l'apprécieras.

nahi : merci bon ok je devint pas originale mais c'est pas ma faute. Je suis désoler pour les troubles d'ordi que t'as eu, ski fait que toi non plus t'as pas pu m'en dire des commentaires.. ski fait ke j'ai un peut peur que vous soyez décu :Smais bon, jme lance. c'est pire que faire du bunji sans élastique. Ah. et merci pour ton "messagepour susane" sa m'as fait plaisir de lirea quel point tu me suporte et pas ceux la qui critiquent cmme sa pour rien dire.Ah et dit bonjour a ta cd en passant.

sarifa : ehe bonjour. et oui, je l'ai fait "dérapper" metton. mais la prochaine fois c'est pas pour tu suite on verras bien. j'espère que tu vas me continuer à me lire apres ce chapitre désastreu.

pour tous ceux qui se sont rendu jusqu'au bas de la page (fait exceptionnel) gènez vous pas pour me donner des idée, ou me dire se que vous pensez qui pourrait arriver. Moi sa pourrait m'aider à écrire plus vite, me motiver un peut, hey y fo m'aider moi! j'ai pas une inspiration innépuisable! mais bon,j'peut pas vous en vouloir, j'adore écrire cette fic. et désoler pour le temp que sa m'as pris avant de la posté.