Disclaimer : Les personnages tirés de cette fanfic sont la création de Yôichi Takachi. Ils sont sa propriété et en aucun cas vous n'avez le droit de les utiliser à vos propres fins !
Genre : Romance, Comique
Classement : G enfin pour l'instant je pense que tout le monde peut lire
Chapitre 8 : Séquestration
Lorsque je me réveille, j'ai horriblement mal à la tête. Ma vue est trouble et je sens quelque chose qui remonte le long de ma cuisse.
J'ouvre alors grand les yeux et aperçois ce jeune homme qui doit être à peine plus âgé que moi. Sa main remonte vers mon entre jambe.
Je serre brusquement les cuisses et tente de me relever. J'essaye de crier, mais une boule de cuir est enfoncé dans ma gorge et m'empêche presque de respirer. Je me met a suffoquer et me calme pour essayer de reprendre ma respiration.
Puis je m'aperçois que mes bras sont attachés avec des menottes à la tête du lit sur lequel je repose.
Je ne comprends pas bien la situation jusqu'à ce que cet homme s'installe à califourchon sur moi.
Je me suis débattu du mieux que je pouvais, mais cela n'a eu pour effet que de le faire rire et d'augmenter son excitation.
Sa main remonte sur mon visage et me caresse les joues.
Je tremble, mais il s'en moque et continue à rire.
Soudain … Quelqu'un rentre dans la pièce et coupe mon agresseur dans son action.
Il lui adresse la parole dans une langue étrangère et aussitôt mon agresseur se retira.
J'étais sauvé, mais pour combien de temps encore …
Mais qu'est ce que je fais dans cet enfer ?
Ça fait, je ne sais combien de jours, combien d'heures que je suis ici ?
J'ai complètement perdus la notion du temps, et, pour l'instant, la seule chose qui m'occupe, c'est cette homme ….
Il se tient au dessus de moi et ses mains glissent sur mon corps.
Je tremble te je ne cesse de me demander pourquoi ça doit se passer comme ça.
Les larmes cascadent le long de mes joues tandis qu'il pose ses mains sur ma poitrine et commence à la caresser.
Un sentiment de honte m'envahit alors qu'il glisse ses mains dans mon dos.
Je ne cesse de penser que cette fois si, personne ne sera là pour empêcher mon agresseur d'assouvir son désir en moi.
Je continue à pleurer en silence, ne tentant aucun mouvement de défense car je sais que ce sera en vain.
La fermeture de ma robe glisse dans mon dos, et, soudain, un grand fracas se fait entendre en contrebas de la pièce ou nous nous trouvons.
Il se lève et se dirige vers la fenêtre. Il y jette un coup d'œil, puis saisit une arme et une paire de clés se trouvant sur la table.
Il revient vers moi et m'enlèvent les menottes qui me retenaient prisonnière.
Mais, je me trompais lourdement en croyant qu'il allait me laisser partir.
Il me tira brutalement pour me mettre debout et, il me plaqua sauvagement contre un mur.
Je le sentais contre moi et la peur m'envahit soudainement.
Je ne comprenais plus rien, et ce n'est que lorsqu'il fit glisser ma robe le long de mes épaules et qu'il commence à me dévorer le cou que je me réveille instantanément. J'essaye de le repousser, mais rien a faire, je suis à sa merci.
Il me donne alors un violent coup de hanche pour me calmer mais quelque chose craque en moi et une douleur aigue m'envahit.
J'ai envie de crier cette douleur, mais la boule en cuir m'en empêche. Si il ne m'avait pas retenue par les poignets, je me serai effondré. Il tente alors de m'ôter mes sous vêtements pour assouvir son désir, mais une voix s'exclame :
- Lâche là !
Les yeux embués par les larmes j'ai aperçu Tsubasa à l'entrée de la pièce, une arme à la main qu'il pointait sur mon agresseur.
Derrière lui se tenait Misugi et Hyuga tenant également des armes dans leurs mains.
Mon agresseur s'est alors retourné et s'est servis de moi comme un bouclier en pointant son arme sur ma tempe :
- Si vous bougez, je la butte !
Tsubasa a cillé de l'œil, mais Hyuga a pris la relève :
- L'immeuble est cerné, il ne reste que toi ! Relâche là et tout se passera bien !
- Vous me prenez pour un imbécile ! Relâcher une si belle proie ! Hors de question !
Son autre main a commencé à descendre vers mon ventre tandis qu'il continuait à parler :
- Je me demandais quand est ce que vous viendrez la chercher ! Dommage que vous ayez mis tant de temps !
J'ai vu Jun attrapé Tsubasa par le bras.
- Il s'en est passé des choses depuis, n'est ce pas ma belle !
Sa langue a glissé le long de mon cou sous les regards des trois garçons.
Je n'avais ni la force, ni le courage de lutter.
Puis j'ai entendu la voix de Jun alors que je revenais en position de bouclier :
- Sanae, quoiqu'il arrive, ne bouge pas !
J'aurais aimé lui répondre, mais j'avais cette boule dans la bouche.
Mon ravisseur c'est alors mis à reculer, sans doute envahit par le doute.
Soudain, un coup de feu à retentit et du sang à giclé autour de moi. Je n'ai plus rien senti qui me soutenait et je suis tombée par terre en même temps que mon gardien, mort.
Tsubasa c'est précipité ainsi que Jun tandis que Hyuga allait prendre le drap du lit pour le déposer sur mes épaules.
Avec beaucoup de tendresse, Tsubasa a retiré la boule qui se trouvait dans ma bouche tandis que Jun me faisait les premiers soins. Il m'a ensuite pris dans ses bras toujours en gardant le silence.
De toute façon, j'étais encore trop choquée pour parler.
Merci à tous mes lecteurs !
