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Me revoilà ! Merci à ceux qui ont laissé des commentaires, j'apprécie ! Bien sûr rien de tout ça n'est à moi, ça change pas… c'est tout à JKR !

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CHAPITRE 2

Jeu de cartes

Remus n'eut pas besoin de beaucoup de temps pour se sentir à nouveau chez lui à Grimmauld Square, et à mesure que les jours passaient il devint plus difficile pour lui de se concentrer sur le travail que Dumbledore lui avait assigné ; il aurait préféré se reposer plutôt que de remplir les nombreux tâches pour l'Ordre du Phénix.

Tous les après-midi il entraînait Harry, Ron, Hermione et Ginny de la même manière qu'il l'avait fait quand il avait été leur professeur de Défense contre les Forces du Mal en troisième année à Poudlard. Le reste du temps il essayait de discuter avec eux le plus possible. Il passait des heures à s'amuser avec Ron, Harry et Ginny, ou à parler de sujets plus importants comme leurs futurs métiers, ou alors simplement à leur montrer certaines choses qu'ils ne connaissaient pas encore, comme quelque tours de magie qui avaient des usages bien trop marrants pour n'être que de simples sorts de défense.

Avec eux, il lui semblait être chez lui à Grimmauld Square.

Il eut un rire sans joie. Chez lui. Il n'y avait pas de chez lui.

Chez lui aurait été un endroit ou il aurait été heureux. Bien sûr, il resterait à Grimmauld Square plus longtemps que d'habitude ; probablement deux semaines. Mais même deux semaines n'étaient rien. Il devrait partir, comme toujours : avant peu de nouveaux évènements se produiraient et Dumbledore lui assignerait une autre mission.

Tous les jours se ressemblaient. Ils apportaient les nouvelles, encore, d'Aurors qui étaient morts, de Moldus qui avaient été assassinés, et de sorciers qui avaient rejoins les Mangemorts. Cela le conduisait souvent à se demander pourquoi tant de haine. Ces autres vêtus de noirs étaient humains. Etaient-ils si différents ?

Probablement. Les Mangemorts faisaient couler le sang. Eux devaient laisser couler leurs larmes.

La seule chose qui valait le coup était de la voir tous les jours. Hermione.

Assis dans la pièce principale, Remus secoua la tête. Il semblait qu'il ne pouvait pas s'empêcher de penser à elle. Bizarrement, ils parlaient rarement tous les deux. C'était étrange qu'elle se comporte de manière si inhabituelle depuis peu ; elle ne lui parlait jamais à moins qu'il ne lui adresse la parole en premier et ne participait jamais aux jeux des autres quand il était présent.

Remus respira profondément quand il réalisa que ce n'était pas simplement de sa faute à elle si un malaise s'installait quand ils étaient ensemble. C'était de sa faute à lui aussi.

Il posa son livre. Cela faisait une heure qu'il lisait, mais en vérité ses pensées étaient ailleurs. Pourquoi est-ce que son cœur menaçait d'exploser dès qu'il la voyait ? Si seulement il pouvait arrêter de penser à son apparence… à son intelligence… mais il était incapable de fermer la porte qui laissait entrer dans son esprit de telles considérations.

Ses sentiments semblaient irréels, comme un rêve qui aurait pris vie. Ou plutôt comme un cauchemar qui n'en était plus vraiment un mais qui était devenu réalité.

« Tu veux jouer ? » Ron arriva abruptement vers Remus, lui montrant un jeu de Bataille Explosive qu'il avait sortit. Harry était également dans la pièce, ainsi que Ginny. Il était déjà tard dans l'après-midi ; ils s'étaient tous entraînés pendant deux heures après le déjeuner, pas grand chose d'original en fait, puis ils s'étaient dispersés pour trouver, chacun de leur côté, une activité qui les intéressait.

« Bien sûr, » Remus vint vers eux immédiatement, sautant sur l'occasion de penser à autre chose. Il se leva du canapé et alla s'asseoir à la table qu'Harry avait déjà débarrassé. C'était une antiquité, une table faite d'un bois de chêne solide, et un des meubles peu nombreux qu'ils avaient gardé de l'ancienne maison des Blacks. La plupart des autres avaient été pourris, inutilisables ou simplement hideux.

Remus regarda autour de lui comme il le faisait souvent. Même si il y avait plus de trois ans qu'il était entré dans la maison pour la première fois, elle était toujours aussi lugubre qu'avant quand le soleil se couchait. La lumière envoyait des ombres fantômes sur les murs et il ne pouvait s'empêcher de se demander comment Sirius avait pu survivre dans un environnement aussi déplaisant ; parce que, d'après ce que lui, Remus, avait aperçu de ses parents, ils avaient été aussi horrible que l'endroit dans lequel ils avaient habité.

« Tenez, » Harry distribua les cartes. Remus retourna à la réalité devant lui et prit ses cartes avec délicatesse : elle pouvaient exploser n'importe quand, pas vrai ?

Le jeu devint vite très amusant, car chaque carte posée sur la table pouvait faire exploser sa voisine. Soudainement il y eut une détonation et une des cartes que Ginny tenait s'enflamma dans ses mains. Elle sursauta, choquée, et retira vivement ses mains.

« Mais c'est de la triche ! » S'exclama-t-elle avant d'apercevoir son frère. « Ron ! » Elle le frappa à l'épaule avec amusement. « Tu n'as pas le droit de mettre le feu aux cartes de quelqu'un si il les as en main ; seulement si elles ont été jouées ! »

Ron prit un air innocent, bien qu'ayant l'air très satisfait de lui-même.

« Comment t'as fait ça, d'ailleurs ? » demanda Ginny alors qu'Harry ricanait.

« Oh, » Ron sourit, « des trucs à Fred et George, » il haussa les épaules avec fierté.

Remus soupira. Il n'aurait jamais deviné à leur manière de se comporter qu'ils avaient dix-huit ans, et Ginny dix-sept.

« Pourquoi tu soupires ? » fit Harry comme si il était offusqué.

« Grandissez un peu, » répliqua Remus.

Harry et Ron levèrent les yeux au ciel.

Puis Remus sortit sa baguette. Cela faisait trop longtemps qu'il ne s'était amusé, réellement amusé, sans limites et sans retenue. Avec un rapide mouvement du poignet il mit le feu aux cartes de Ron et également d'Harry.

Celui-ci s'élança hors de sa chaise. « Ca tu vas le payer cher, » dit-il avec un sourire mauvais, sortant sa propre baguette.

« Non ! Attendez, c'est pas juste ! » dit Remus en riant quand il vit que Ron se levait aussi. « Vous êtes plus que moi ! »

« Vraiment ? »

Remus gardait le regard fixé avec attention sur leurs deux baguettes. Il pouvait probablement les désarmer tous les deux, mais il préférait ne pas prendre de risques. Même si ils étaient autorisés à utiliser la magie puisqu'ils étaient légalement adultes maintenant, il préférait ne pas jouer à trop de ces petits jeux en dehors de leur sessions d'entraînement tous les après-midi. Il savait que ça pouvait être très drôle ; mais les baguettes pouvaient s'avérer dangereuses.

« D'accord, » Harry rangea la sienne. « Mais alors tout est permis, » lui et Ron attrapèrent les bras de Remus pour le faire tomber de sa chaise. Ginny s'avança aussi et se mit avec eux ; après tout elle n'était pas réellement fâché après Ron, et puis c'était beaucoup plus marrant d'être tous contre Remus, non ? Cela devint vite une question de qui attraperait qui, et la bataille explosive fut vite oubliée.

« Aïe ! Eh, Harry, ça c'était mon bras ! » Ron gémit.

« Ginny, prend ses jambes ! » Harry parvint à se remettre sur ses genoux.

Essayant de le retenir pour l'empêcher de se relever, Lupin attrapa une des mains d'Harry et tira si bien qu'il tomba au sol. Remus jeta un regard de côté quand il réalisa qu'il était maintenant près du canapé. Sa première idée avait été de trouver quelque chose à leur lancer, un coussin ou autre, mais ses yeux s'arrêtèrent à la place sur une personne qui se tenait debout contre le mur et les observait. Il comprit immédiatement qui c'était et se sentit stupide de ne pas l'avoir vu arriver.

Les joues d'Hermione brûlèrent quand elle devint consciente du fait qu'il la regardait aussi, et elle détourna les yeux. Elle ressentait une pointe de jalousie à la vue d'Harry, Ron et Ginny qui s'amusaient avec lui. Ron revenait pour lui tenailler les jambes, et même Ginny le chatouillait sans le moindre embarras.

Pourquoi en aurait-elle ressenti ? Il était comme un grand frère pour eux tous.

Pour eux tous, mais pas pour elle. Hermione regarda ses pieds puis se retourna. Elle avait commis une erreur quand elle avait choisie de venir dans la salle de jeux ; parce que maintenant elle ne pouvait se retenir de se demander, à nouveau, pourquoi chaque fois qu'elle le voyait c'était comme si elle était sur au bord d'un précipice, incapable de le franchir et en même temps incapable de faire demi-tour. Il n'y avait pas de solution, pas d'échappatoire, pas de possibilité de prétendre qu'elle ne ressentait rien.

Soudainement Remus eut beaucoup moins envie de rire, et son sourire disparut tel une feuille d'arbre dans un tourbillon de vent. Alors que son envie de plaisanter s'évanouissait il saisit Ron par la taille et, usant de toute sa force, le souleva. Prendre le garçon par surprise lui permit d'atteindre Harry et de le stopper avant qu'il ne se fasse coller au sol. Ginny lui lâcha le bras quand Harry et Ron le firent.

Remus s'excusa rapidement en disant qu'il devait aller parler à la mère de Ron et laissa les garçons et Ginny à un autre jeu, pour aller déambuler dans les couloirs à la recherche d'Hermione.

Même lui fut surpris de cette sortie soudaine. Qu'était-il en train de faire exactement ?

En un sens il connaissait déjà la réponse, mais il ne pouvait pas l'admettre. Elle était juste un jeune fille, rien de plus. Il ne devrait pas se sentir dérangé et attiré comme ça par elle. Il ne devrait pas être aussi embarrassé, mal à l'aise en sa présence. Il ne devrait pas se préoccuper autant d'Hermione.

Et il ne devrait pas tant penser à elle.

Pourtant il continua malgré lui à inspecter pièce après pièce, jusqu'à la trouver dans la cuisine, regardant par la fenêtre, seule, une image de beauté dans un monde qui devenait de plus en plus noir à mesure que les heures passaient. Il réalisa à quel point il était déjà tard dans l'après-midi ; bientôt ce serait l'heure du dîner, et puis la nuit serait là. Un autre jour serait passé, aurait glissé à ses côtés et hors de sa portée sans qu'il ne puisse rien y faire.

Ses pas résonnèrent de façon étrange sur le sol carrelé lorsqu'il entra dans la cuisine mais elle ne se retourna pas pour le regarder, gardant son visage caché à sa vue.

Il marcha lentement vers elle, s'arrêta quand il fut à son niveau et s'appuya contre le mur. Au lieu de fixer Hermione il l'imita et regarda par la fenêtre.

Ainsi se tinrent-ils debout tous les deux en silence, contemplant le coucher de soleil et les derniers rayons de lumière qui barraient l'horizon en s'abaissant graduellement, illuminant les toits des maisons alentour et envoyant des couleurs dorées sur les cimes des arbres.

Les secondes s'écoulèrent sans réelle signification. Ils étaient tous deux absorbés dans leur propres pensées, sachant qu'au bout d'un moment l'un deux devrait finalement briser ce moment de tranquillité en disant quelque chose.

« C'est beau, n'est-ce pas ? » Remus dit doucement après plusieurs minutes. Elle était belle aussi.

Tellement belle.

Maintenant les derniers rayons de soleil palissaient, disparaissant comme si ils n'avaient jamais existé, et elle en réagissait toujours pas. Etait-elle si absorbée par le crépuscule qu'elle en se souciait pas de sa présence ? Ou souffrait-elle, totalement ignorante du monde alentour et incapable de le regarder ? Dirait-elle quelque chose à la fin ou devait-il la laisser tranquille ?

Alors qu'il hésitait à partir elle eut un petit hochement de tête, à peine perceptible, si petit qu'il pensa pendant un instant que c'était une illusion.

« Hermione… » Remus vint un peu plus près, bien que gardant une distance raisonnable entre eux. « Est-ce que je peux t'aider ? Est-ce que… est-ce que quelque chose ne va pas ? »

Il la vit se raidir. Et puis d'un seul coup elle se retourna avec un air mortifié. Elle n'osa pas le regarder ; il ne méritait pas cela. Il était juste venu pour l'aider, elle le savait, et maintenant elle agissait de manière décalée et idiote. A quel jeu jouait-elle ?

Quelque part elle savait exactement ce qu'elle voulait. Oui, il pouvait l'aider ; peut-être qu'il pouvait la prendre dans ses bras et…

Elle ferma les yeux.

Non. Il valait mieux qu'il sorte, n'est-ce pas ? Ce serait la bonne chose à faire.

Mais… pourquoi la limite entre bien et mal était-elle soudain si trouble et indistincte ?

Remus la regarda fixement pendant un long moment, puis il commença à tendre une main. Simplement pour la mettre sur son épaule, pour la rassurer… pour lui dire qu'elle n'était pas seule, qu'il serait toujours là pour elle si elle avait besoin de quoi que ce soit. Mais il s'arrêta à mi-chemin, retirant son bras rapidement et le laissant tomber à ses côtés, se sentant faible et incapable d'aider.

Hermione ne le regarda pas. Elle chercha désespérément quelque chose à dire. Peut-être était-il inquiet parce qu'il ne comprenait pas pourquoi elle l'avait regardé pendant qu'il s'amusait ? Ou peut-être qu'il avait sentit depuis qu'il était revenu que quelque chose chez elle n'allait pas ?

Il devait avoir remarqué qu'il y avait quelque chose de bizarre dans son comportement. Elle riait rarement avec Ron, Harry et Ginny ces jours-ci. En vérité, elle le faisait, mais quand il n'était pas la. Parce qu'en sa présence, elle ne pouvait pas.

Elle se souvint du moment quand il leur avait annoncé qu'ils resteraient plus longtemps que d'habitude à Grimmauld Square. La nouvelle l'avait rendue étrangement heureuse, bien que cette réaction hors de proportion l'ait étonnée. Harry avait semblé vraiment enchanté, Ron heureux et Ginny avait eut un sourire de délectation, mais ce n'était rien comparé à ce qu'elle avait ressenti.

« Tout va bien, » déclara-t-elle, faisant semblant d'être surprise mais échouant complètement.

Elle savait qu'elle devait prendre un air convaincant, alors elle pris son courage à deux mains et le regarda. Il portait un pullover blanc serré, en tout cas assez pour révéler ses bras musclés. Ses yeux s'attardèrent sur lui, mais elle se reprit vite et reporta son regard sur ses chaussures de peur que ses yeux ne la trahisse, souhaitant que ces émotions sur lesquelles elle n'avait aucun contrôle arrêtent de la poursuivre.

"Ecoute, je…" Remus commença d'un ton bas en la voyant qui commençait à rougir. Il n'arrivait pas à trouver les mots ; il savait qu'elle l'avait observé et c'était frustrant de savoir qu'elle pouvait le juger ainsi. D'un autre côté… pourquoi se sentait-il si content tout d'un coup ? Etait-ce simplement parce que c'était lui qu'elle avait regardé ? Parce que, au fond, il voulait tant recevoir son attention ?

Remus essaya encore de parler. « Je veux juste… »

Mais il y eut un cri dans une pièce pas très loin ; immédiatement suivit d'un bruit comme si quelqu'un avait fait tomber du verre qui s'était brisé par terre en mille morceaux.

« Reste ici, » Remus murmura rapidement à Hermione. Il jeta un dernier regard au crépuscule et partit avec précipitation dans la direction du bruit, cherchant la source du vacarme.

Hermione resta seule, toujours à côté de la fenêtre. Quoi qu'il soit en train de se passer ne la sortit pas immédiatement de sa léthargie. Elle se tourna de nouveau pour voir le ciel qui s'assombrissait toujours.

« C'est vraiment beau, » se chuchota-t-elle à elle-même quand il fut sortit.

Pendant ce temps Remus courut dans le salon. Dès qu'il entra il réalisa que quelque chose n'allait pas. Molly tenait un morceau de parchemin dans la main, très pale et semblant très secouée par une nouvelle. Un vase cassé gisait au sol, les fleurs éparpillées.

« Reparo, » Remus dit par réflexe en pointant sa baguette par terre. Les fleurs revinrent se placer d'elles-mêmes dans le vase qui s'était réparé… comme par magie. Il le saisit de manière mécanique et le reposa sur la table.

Molly, toujours immobile, ouvrit la bouche pour répondre mais la referma quand elle aperçut les garçons.

« Ron, Harry, » dit Remus brutalement mais distinctement. « Dehors. »

Harry prit un air meurtri. Remus aurait voulut être moins dur, mais d'un autre côté il y avait évidemment quelque chose de grave en train de se passer et il n'avait pas le temps de leur expliquer que c'était sûrement une urgence secrète concernant l'Ordre du Phénix.

Dès que la porte se referma Molly lui tendit avec fièvre le parchemin qu'elle tenait et Remus le lut en silence.

Severus Rogue blessé ; que quelqu'un se rende immédiatement à St Mungo's pour le protéger.

Le message court était signé Albus Dumbledore.

Il y eut un silence, le temps pour Remus de comprendre ce qu'il avait devant les yeux. Il ne lui fallut pas longtemps pour prendre un décision : Arthur était sorti, et Molly était la seule personne dans la maison en dehors de lui qui pouvait agir. Il ne voulait pas qu'elle soit exposée au danger. Donc ça ne laissait que lui.

« J'y vais, » dit-il rapidement. « Reste avec les enfants… »

Il ne finit pas car chaque seconde était précieuse. Les Mangemorts n'essayaient pas simplement de tuer leurs ennemis quand personne ne regardait ; ils arrivaient aussi à ne jamais laisser de témoins de leurs actes. Ce qui signifiait qu'ils ne se souciaient pas du fait qu'ils soient au Chemin de Traverse, à Pré-au-Lard ou à St Mungo's pour finire leur proies. Rogue était en danger même sur un lit d'hôpital, et bien qu'il déteste l'homme Remus ne pouvait pas ne pas y aller.

Il disparut dans un tourbillon de flammes.

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Bon ça sera tout pour le chapitre 2, mais le 3 arrive bientôt !

Lupini-filiae : « mémorable » ! C'est vachement sympa , merci !

Elfie : la relation HG/RL en choque certains alors je préfère prévenir dès le début, c'est tout. Merci pour les commentaires !

Harana : oui la traduction c'est pas forcément facile, surtout que j'ai l'habitude d'écrire seulement en anglais. Sinon… Les sentiments sont importants alors vaut mieux y aller doucement.

Click la Magnifique : bien vu pour la traduction… va falloir que j'y remédie ! « Ginny questionna » est la traduction mot à mot de « ginny questioned », c'est vrai que ça fait anglais. Je vais essayer de me débarrasser de cette manie, promis !

a+ (et n'oubliez pas les reviews svp !)

Space333