L'auteur : Comme d'hab' rien à moi. Et tout et tout. Sauf le concept decette fiction.En plus, lors du passage de Drago c'est son point de vue pendant lechapitre Le prince de Sang-mêlé, du sixième livre de Harry Potter. Me fait pas de sous non plus..
Alors reprenons :
Eskarine : Fiiiiou ! Eh, bien me revoila (pour plus de détails, allez vers ma bio)
Salazar : Bah, dis donc, la sang impur, t'en a pris du temps !
Drago : Faut croire que son pauvre cerveau pouvait passuivre le mouvement
(ils ricanent)
Eskarine : Ah, c'est malin ! Eh, bah non ! Figurez vous que c'est par manque de temps et pas d'inspiration !
Drago : c'est ce qu'on dit !
Salazar : Tu parles, tu fais rien de la journée !
Eskarine : Alors : Code + Conduite + Baccalauréat + Déménagement.
Salazar : C'est pas un excuse ! Drago, va dans mon armoire de gauche et ramène une fiole bleue !
Drago : J'y vais !
Eskarine : Euh .. Salazar ... Tu sais ... Je t'ai toujours trouvé super et...
Salazar : La ferme, moldue ... Tu vas voir !
Drago : Tiens.
Salazar : Saucissonne-la et ouvre lui la bouche !
Drago (sort sa baguette) Stupéfix !
Eskarine : Argh ! Raté ! (court dans tous les sens en hurlant)
Salazar : Allez ... Drago !
Clang ! Paff ! Hiiirk ! Argh ! Plang ! Maiiiiiiiis !Splatch ! Ploug
Eskarine : Bonne lecture !
Splatch !
Drago : Stupéfix ! Je l'aiiiiiiii !
Chapitre 3 : Piège baveux
Salazar se leva prestement de son confortable fauteuil vert en cuir de dragon de Malaisie qu'il avait d'ailleurs lui-même tué. Il soupira. Impossible ! Jamais quelqu'un n'avait été plus malin que Salazar, ses roueries n'avaient pas d'égales, sa magnificence brillait plus que toutes les autres.
Pourtant il avait été roulé … et par un novice en plus ! Quelle honte ! Il ne faut surtout pas que quelqu'un l'apprenne… Salazar, lui, ne pourrait pas le supporter.
Salazar se remit sur le fauteuil, il devait y avoir une erreur arithmantique dans la formule. Jamais Salazar n'aurait été doublé. Non, c'est lui qui se méprenait sur Malfoy. C'était sans doute un crétin. Il n'aurait pas pu tromper Salazar, le blond et son intellect de véracrasse !
Salazar souffla puis se dit que Godric se serait encore esbaudi de lui s'il avait su que la paranoïa de Salazar n'avait pas faibli aux cours de siècles.
Et pourtant… Le blond n'était si stupide pour tomber dans un piège de bouse de dragon pour sang de bourbe égaré. Ils avaient passé un marché mais après tout Salazar n'était pas obligé de le respecter. Il n'avait aucune dette envers Malfoy. Il faisait ce qu'il voulait, quand il voulait et ce n'était pas un petit prétentieux de sixième année qui allait changer ça !
Salazar hocha de la tête quant à ses propres investigations, il avait raison, point ! Les yeux de Salazar étincelèrent de malice un bref instant. Maintenant, il fallait juste faire craché au blond ce qu'il avait en tête. Une potion Menqdère pourrait faire l'affaire ou sinon une Brulentraille, à voir …
S'il en voulait à son trésor ? À son grimoire noir ? À son pendentif ? Non, il a dit qu'il voulait des renseignements sur la maison de Serpentard et pour coincer les sang-de-bourbe. Une lueur de génie traversa les subtiles synapses de Salazar , Malfoy n'avait rien précisé sur les informations. La maison Serpentard pouvait s'apparenter à tout ce qui touche Salazar lui-même et tout ce que Salazar avait conçu contre les sang-de-bourbe.
Salazar était dépité… Ses propres réflexions le contredisaient.
Le grand maître Serpentard décida de se ressaisir, il n'allait pas se laisser mener par le bout du nez par un élève !
Epuisé par ses tourments sans queue ni tête, Salazar attrapa un livret de parchemins miteux « comment écraser les autres ni vu ni connu et imposer sa puissance sans foi ni loi », le parcourut désespérément, s'arrêta sur une page et retint un cri de joie.
On va découvrir votre secret, que faire ?
Tout d'abord, n'oubliez pas que la douleur que vous comptez engendrée devra être proportionnelle au secret. Ce ne serait pas correct de torturer sans aucune raison valable. Ensuite pour évaluer la colère qu'engage par sa présence la personne chez vous, faîtes le test page 21 (Votre degré de colère : Zen, Calme, Sur les nerfs, Furax, Bouffé par les mites ?).
Puis, attirez la victime dans un coin sombre et engager la conversation avec elle, ne faîtes rien qui pourrait éveiller ses soupçons (cf. chapitre 2 :Torturer en toute discrétion) ! Offrez lui un cocktail dans lequel vous aurez subtilement glissé une potion mortelle (référez vous à mon premier ouvrage : apprendre à faire souffrir pour les ravagés du chapeau) ou donnez lui un grand coup dans la figure (réservé au costauds). Ensuite éloignez vous discrètement et attendez que l'on trouve le corps. Si l'on vous interroge, répondez calmement : je préparai une potion de Paix pour mon hiboux anxieux.
Le tour est joué, vous avez envoyé un nouveau pensionnaire à Lucifer. Comment ? Ni vu, ni connu, bien sûr !
Salazar aimait bien ce genre de bouquin, bien que la syntaxe ne soit pas de la grande littérature et que les tests soient faits pour des midinettes de Poufsouffle. Bon, déjà, si Malfoy avait ne serait-ce qu'une idée plus malsaine que celle de Salazar, il saurait de quel chaudron est fait Serpentard. Salazar afficha un rictus méprisant, il l'attendait de pied ferme ce petit arrogant. Maintenant, il ne restait plus qu'à attendre que le blond revienne à la bergerie.
Un éclair de compréhension traversa l'esprit si tortueux de Serpentard : il était coincé dans un tableau ! Comment faire boire un poison à ce crétin de Malfoy ! Hirk ! Le jeune homme siffla de mécontentement. Comment … Mais bien sûr ! Il suffisait qu'il donne un plan de son souterrain sous le lac ! Il avait installé tellement de pièges pour cacher son trésor que si Malfoy n'esquissait ne serait-ce qu'un pas dans sa caverne … Splak ! Adieu ! Eh, bien voila ! Pourquoi le cerveau délicat de Salazar n'y avait pas pensé plus tôt ? Bon, c'était définitivement réglé ! Malfoy se tient à carreau sinon … squouik !
Après avoir réfléchi aux modalités, son plan ingénieusement conçu était enfin prêt, il ne fallait plus que patienter pour voir comment les choses allaient s'agencer.
Drago marchait calmement en direction des cachots du cours de Potions. Prêt à devoir supporter ce crétin de Slughorn et à voir la tête de Petit Pote Potter, de la belette et de la sang-de-bourbe.
Accompagné par ses inséparables gardes du corps, le prince des Serpentard réfléchissait à l'évolution de son plan. Le Maître des Ténèbres s'était à adressé à lui, il lui avait ordonné de trouver une faille dans Poudlard pour faire entrer une armée de Mangemorts.
Certes, la chose était ardue et pour encore plus de pression, Il l'avait menacé de le tuer lui et ses parents. Drago pensa soudainement que le destin s'acharnait sur lui. Le lord avait remis Lucius à Azkaban pour plus de sûreté. Il l'avait conduit dans un repaire d'Aurors et bien sûr, retour à la case départ. Evidemment, la nouvelle de la fuite de Lucius avait été étouffée par le Ministère et son réinsertion dans la sinistre prison, également.
Autrement dit, Drago était au pied du mur coincé par un gigantesque dragon.
Il s'avança dans la salle de cours, s'installa et attendit les instructions de ce crétin de prof. La plupart des tables de la pièce étaient occupées par de petits chaudrons qui gargouillaient gaiement.
Evidemment, cet imbécile de Potter n'avait ses affaires et en parfait petit toutou la belette aussi. Slughorn leur parla longtemps, les questionnant sur ce que contenant les chaudrons et la sang-de-bourbe faisait sa miss-je sais-tout comme à son habitude.
Lorsqu'il lui demanda son nom, l'impur lui répondit et Slughorn lui demanda avec surprise si elle était la parente de machin Dagworth-Granger, fondateur de la d'un bidule de Potions.
En se penchant vers Théodore Nott, Drago chuchota :
- "Comme si cette pauvre sang-de-bourbe pouvait être du même sang que quelqu'un d'extraordinaire !"
Ils ricanèrent tous les deux.
Slughorn se tourna vers Saint-Potter qui apparemment lui avait dit que Granger était la meilleure élève de leur année.
Et puis quoi encore ?
Cette limace baveuse de prof accorda vingt points à Gryffondor.
Drago était franchement dégoûté, la meilleure élève, vraiment y'en a qui ont du jus de citrouille dans le cerveau, et en plus, il lui refile vingt points, c'était franchement surréaliste !
Quelle scandale !
Ils continuèrent avec leurs chaudrons débiles puis tout à coup, Drago entendit :
- "… très étrange potion qu'on appelle Felix Felicis …"
Malfoy releva instantanément la tête.
Felix felicis ! De la chance ! Merlin qu'il en avait besoin !
Pourquoi ne pas la subtiliser à la fin de cours quand ce morse gras aurait la tête tournée.
Soudain Slughorn leur dit qu'il donnerait de la Felix Felicis à la fin du cours en échange d'une potion bien préparée … celle de la Morte Vivante. Celle-ci était compliquée.
c'est pas donné !
Drago attrapa brusquement son manuel et chercha fébrilement une page utile.
Drago trouva enfin une bonne page et entreprit de couper les racines de Valériane avec acharnement.
Il continua sa potion en espérant pouvoir gagner. Slughorn s'avança prés de son chaudron, Malfoy saisit l'occasion et lui demanda :
-"Monsieur, je crois que vous avez connu mon grand-père, Abraxas Malfoy ?"
Slughorn sans la moins intérêt lui dit vaguement que oui et qu'il était navré d'apprendre sa mort.
Non, mais c'est pas possible ! Il pourrait au moins s'intéresser un minimum. Argh ! Très bien, il se débrouillerait seul !
Alors quelle couleur pour cette misérable potion : bleue… puis violette … rose ! Voila, la sienne était encore couleur lilas. Drago s'évertua, il relisait le livre avec acharnement, puis il se dépêchait de reproduire les instructions, s'autorisait un coup d'œil à la potion de la sang-de-bourbe avec les cheveux plus ébouriffés qu'une vieille sorcière et enfin …Le temps est écoulé !
Bon, allez ! Drago gagne, gagne, gagne !
Slughorn passe devant son chaudron, sourit et continue son chemin pour s'arrêter devant celle de Granger où il hoche la tête, et il ne reste plus que Potter où cette fois-ci, il s'exclame :
-"Le vainqueur incontestable !"
Drago regarda Potter avec autant de haine dont il était capable !
L'espèce de petit ... le... c'est vraiment un ... Argh !
Drago, dépité, sortit précipitamment du cachot et se rendit à la bibliothèque pour régler d'autres problèmes comme celui d'enlever des protections à l'école pour pouvoir y transplaner. Crabbe et Goyle inéluctablement le suivirent. Il chercha quelques heures puis encore plus énervé qu'avant, il se rendit dans la grande salle pour dîner
Il s'installa en face de Pansy et à côté de Zabini.
-"Alors, Drago, je te cherchais. Où étais-tu ?", demanda Pansy en battant des cils.
-"Je travaillais, répondit-il évasivement. Est-ce que vous savez s'il existe des tableaux des Fondateurs dans Poudlard ?"
-"Pourquoi demande-tu ça ?", répliqua Zabini
-"Occupe-toi seulement d'y répondre", murmura Drago de mauvaise humeur.
-"Je ne sais pas, mon serpent, mais je peux demander ce soir aux filles de mon dortoir", minauda Pansy.
-"Non, laisse. Je m'en occuperai plus tard."
-"Je pense que le tableau dans la salle des miroirs est celui de Poufsouffle", chuchota Blaise.
-"Tu crois ? Remarque avec cet air de mijaurée aimable à faire vomir quelqu'un de sensé …", répliqua Drago, en souriant.
Ils discutèrent encore de pouvoir, de sang et de toutes ces petites choses qui rendent heureux un Serpentard.
Et Drago, après avoir lancer un ultime regard de haine à cet abruti de Potter pour passer une bonne nuit, prit le chemin de sa salle commune.
Il posa ses affaires dans son dortoir, il était de notoriété publique qu'il ne fallait jamais laisser traîner quoique ce soit dans la salle commune. Drago jeta un œil sur Salazar qui lisait tranquillement. Serpentard leva la tête vers lui et lui lança un sourire entendu. Il regarda autour de lui et remarqua que tous les Serpentard étaient occupés. Il murmura :
-"Ce soir, minuit", il se replongea dans son livre et ne daigna plus relever son noble visage envers quiconque.
Drago sortit de la salle commune et arpenta les couloirs en espérant trouver quelques premières années à punir. En tantque préfet,il traîna plus particulièrement vers l'étage des Gryffondor et piégea une petite fille à qui il donna trois cents lignes à copier et à lui ramener le lendemain matin à la table des Serpentard. Devant tous les condisciples effrayants de Drago, il mettrait son courage de Gryffondor à dure épreuve.
Le petit prince des Serpentardse promena et s'approcha doucement d'une statue, celle qui représentait une très belle sorcière à laquelle il murmura le mot de passe : « Vous êtes vraiment d'une beauté époustouflante qui ferait pâlir d'envie toutes les filles de ce château ». Satisfaite, elle cligna des yeux et un pan de mur s'ouvrit derrière elle.
Drago pénétra dans le sombre souterrain pour arriver à une magnifique salle miroitante. Les murs étaient quasiment tous encombrés de miroirs. La salle était configurée de manière à ce que tous les meubles se dédoublent d'un simple regard. Drago actionna un autre passage en tirant sur un chandelier. Ils avaient découvert cette salle secrète, lui et Blaise, au cours de leur troisième année. Le but des deux garçons étaient, bien sûr, de trouver un passage non gardé pour pouvoir faire enter Black pour qu'il tue Potter. Ce plan machiavéliquement merveilleux avait été élaboré par les deux Serpentard. Malheureusement, ils n'avaient pas trouvé de passage secret menant vers l'extérieur par contre maintenant, ils avaient une connaissance du château ou du moins de quelques recoins particulièrement bonne.
Drago entra dans un pièce adjacente pour se trouver devant un autre tableau.
Celui d'une femme d'environ une trentaine d'années. Elle avait de magnifiques cheveux blonds, un peu plus foncés que ceux de Drago et des yeux très bleus. Elle avait un visage fin avec une bouche pulpeuse et un nez retroussé. Ils avaient parlé un peu avec elle pour lui demander s'il y avait un autre souterrain qui conduisait à l'extérieur. Mais, elle, très loyale avait refusé de parler car Dumbledore était venu lui parler pour lui dire de ne rien révéler.
Ses seuls défauts, pensa Drago, c'est qu'elle avait l'air particulièrement honnête, d'une écoeurante gentillesse et en plus légèrement niaise.
Il s'avança vers elle et il remarqua qu'elle dormait paisiblement. Il claqua la langue puis la voyant encore endormit il se racla la gorge bruyamment.
Elle se réveilla en sursaut et poussa un petit cri. Drago recula d'un pas.
-"Pardon de t'avoir fait peur, mon petit. Tu n'es pas fatigué à l'heure qu'il est, mon trésor ?", demanda t-elle en souriant.
Elle attrapa une brosse et se peigna doucement ses longs cheveux dorés.
-"Mon petit ?"
-"Poufsouffle ? Helga Poufsouffle ?"
Salazar : Eh voila ! La sang impur est officiellement,hors d'usage !
Drago : Bien fait ! Silence. Mais qui va écrire la suite ?
Salazar : Argh ! Bon libère-la ... Pas possible !On peut jamais rien faire !
Eskarine :Hirk ! Espèce de...
Drago : Attention ou je recommence !
Eskarine: Ok ! ça va, ça va ! Bon bah ... Eh, je pense que j'ai perdu la main !
Salazar:T'as surtout perdu ton peu de synapses !
Eskarine : Pff ... Bon,p'tite review ?
Drago :En échange pour le prochain chapitre Salazar faitun strip-tease !
Salazar : QUOI !
Drago : Euh.. Bah nonalors ...(s'enfuit)
Salazar : Petit insolent ! Ce crétin va me trouver Poufsouffle et pas Gryffondor ! Regardez moi cet incapable !
Eskarine : T'aurais du demander à quelqu'un d'autre.
Salazar: C'était le seul qu'avait l'air à peu prés potable, moi j'y peux rien !
Eskarine : Une p'tite review pourconsoler Salazar ?
Salazar: J'ai pas besoin d'être consolé par une bande deMoldus-Sang-de-bourbe ! Je veux mon meilleuramiiiiiiiiiiiiii ! Sniiff!
Eskarine : Salazar ?
A la prochaine ! Merci ...
Esk.
