DISCLAMER : Rien n'est à moi, bien évidemment, à part la tournure des événements car je ne pense certainement pas que Rowling ai eu l'idée de faire quelque chose d'aussi... hum... comment tourner cela ? Si peu...convenable (il a mis du temps à sortir çui-là !) Donc que disais-je ? Ah oui, tout ceci n'est pas à moi sauf à la meurtrière Rowling.

Votre mission, si vous l'acceptez toujours, est de deviner laquelle de nous trois a écrit ce chapitre, puisque, nous le rappelons, nous nous sommes mises en trois pour écrire cette fic... euh à trois !

Encore une petite chose quenous nousdevons d'énoncer, cette fic n'est pas faite pour les âmes sensibles ! Non pas qu'il y ait des scènes violentes... Enfin, vous verrez, comme dit le dictons, on ne sait pas si on n'a pas lu !

Ah oui, encore une simple petite chose, merci à bidibou (fait toujours penser à Cendrillon... la magie des Disney !) pour sa review du premier chapitre ! Et continues à apprécier le bon pain chaud croustillant ! Sans mauvaises pensées bien sûr !

Maintenant, place à la lecteure ! euh... à la lecture ! (désolée, c'est la reprise des cours qui met dans cet état là...)


A la recherche du couple perdu

Ainsi, le lendemain matin, le cœur battant la chamade et sur l'air de No Woman No Cry, Pansy, la très célèbre Pansy Parkinson (tiens, ça fait pas penser à une tout aussi célèbre maladie ?) parcourait frénétiquement la Grande Salle désespérément vide d'un regard fébrile et peu clair. En effet, elle s'était levée il n'y avait alors que 5 min, mais ne pouvant attendre de retrouver le petit copain qu'elle avait réussit à se faire la veille, elle avait sauté dans un jean taille basse faisant légèrement ressortir son petit ventre brioché et un (très ? trop ?) petit haut moulant rose fluo. (L'uniforme ? quel uniforme ?) Soudain, elle l'aperçut ! Quelle ne fut pas sa joie lorsqu'elle distingua enfin une tignasse rousse, cette même tignasse rousse qui l'avait passionnément attirée comme un aimant à ce garçon aux tâches de rousseur extravagantes… Succéda l'air de Is This Love lorsqu'elle courut à travers toute la Salle, et comme par magie, la scène se ralentit, comme pendant l'un de ces films sentimentaux où les tourtereaux se jettent dans les bras l'un de l'autre… Elle s'élança donc, mais lorsqu'elle approcha tout près de la personne, la scène, toujours au ralenti, retranscrit une sorte de borborygme ou de cris rauque quand la très célèbre Pansy aux mille ruses se rendit compte que ce n'était pas son amour qu'elle avait en face d'elle mais un de ses semblables, un de ses frères jumeaux… Houa ! Quelle horreur ! Elle se retourna précipitamment et, la scène ayant repris sa vitesse normale, elle s'affala de tout son long par terre. Une main se tendit vers elle, sauveuse. Elle l'attrapa, se releva difficilement parmi la foule d'élèves affamés et, d'un magnifique mouvement de la tête « coupobolée » genre L'Oréole-parce-que-je-le-vaut-pas, elle enleva les cheveux qui lui barraient la figure. Mais elle ne réussit qu'à s'en mettre un peu plus, sans compter la bave qui s'était malencontreusement échappée de sa bouche entrouverte.

-Laisse moi faire ma biche.

Cette voix ! Quelle sublimation ! Elle leva un regard de chien mouillé vers le garçon qu'elle aimait et qui lui enlevait les cheveux de sa face de pékinois. Puis Ronald Weasley entreprit de lécher minutieusement la bave qui coulait des lèvres de la célèbre Pansy. Puis, ne vivant que d'amour et d'eau fraîche, ils s'emparèrent chacun des lèvres l'un de l'autre, ce qui donna un vrai festin de baisers langoureux. Toujours vissés l'un à l'autre, ils entreprirent de sortir de la Grande Salle, ce qui ne fut pas une mince affaire de slalomer parmi les élèves point choqués du tout de ce spectacle, sur l'air de Could You Be Loved. Et tout cela sous les regards attentifs et coquins des professeurs tranquillement assis à leur table. Il n'était pas dur de voir qu'ils repensaient avec nostalgie à leurs premiers amûûûûûrs. Qui eu cru que le professeur Mc Gonagal jetait à ce moment-là des regards lascifs au professeur Snape ? Celui-ci tentant désespérément d'y échapper mais il ne put fuir plus longtemps et c'est discrètement qu'on le vit lancer un regard furtif mais lourd de sens au professeur de Métamorphoses puis sortir, bientôt suivi de celle-ci. L'Amour est bien contagieux des fois… Et tout ça sous le nez aquilin du directeur ! Qui sait, peut-être que lui aussi… Non, il vaut mieux pas y penser.

Revenons à notre magnifique couple de l'année.

Ils avaient donc atterris dans le parc derrière un… amplis ! Euh, excusez-moi, je me trompe, derrière un buisson. Qu'est-ce qui se déroulait derrière ce buisson ? Nul ne le sait, même votre aimable narratrice qui pourtant sait plein de choses… Elle sait par exemple que l'un et l'autre ont dû légèrement se rhabiller lorsqu'ils sortirent de derrière le buisson.

-Il faut vraiment que tu restes une baguette délicieusement chaude et dorée mon chou !

-Et toi, il faut que tu deviennes absolument un four à pain pour me réchauffer ma grande bique !

-Embrasse-moi grand fou !

-Oh mon cœur !

Et ils se reprirent fougueusement les lèvres, ne pouvant se détacher l'un de l'autre. Une heure plus tard, le château entier s'inquiétant (sans vraiment s'inquiéter pourtant) de la mystérieuse disparition des deux amoureux (pourquoi s'inquiéter ?) se mit à les rechercher. On les retrouva dans l'une des serres du professeur de Botanique, et là encore nous dûmes faire appel au docteur Malfoy car ils ne pouvaient plus se détacher l'un de l'autre !

-Ciseau.

Son adjoint Londubat, le lui donna.

-Bistouri.

-Cuillère. Ah ! Mais c'est que c'est profond ces choses-là !

Des gouttes de sueur perlaient amoureusement le long de ses tempes, derrière son masque. La situation devenait critique.

-C'est maintenant où jamais !

D'un coup sec, il tira la très célèbre Pansy pendant que son collègue poussait Ronald. Miraculeusement, les deux amoureux furent séparés l'un de l'autre, et ils se réunirent à nouveau pour fondre en larmes dans les bras l'un de l'autre. Le Docteur donnait ses instructions pendant que le couple heureux l'écoutait, des perles grises coulant à flot de leurs yeux :

-Evitez d'enfoncer la langue trop profondément, vous pourriez vous étouffer. Ne vous embrassez pas quand il fait froid, vous pourriez rester coincés, la langue gelée. S'il fait trop chaud, Dieu seul sait, s'il existe, ce qui se passera, et là, je pense que je serais obligé d'intervenir dans une région anatomique légèrement plus basse que la bouche. Neuf mois plus tard…

-Oui Docteur, nous avons bien compris Docteur, répondirent à l'unisson les deux puceaux (je vous l'accorde, ils ne l'étaient plus vraiment à cette heure-là).

Les professeurs présents résolurent à contre-cœur de les séparerpour les cours qui allaient suivre. Ils formaient un si joli couple… Le chignon légèrement défait, Mc Gonagal tira Ron par le bras pendant que Snape, la chemise ressortant du pantalon, tirait doucement Pansy par la main. Le parti Gryffondor n'apprécia guère ce témoignage d'affection entre ces élèves. Des représailles étaient à venir, mais pour le moment, les jeunes gens, pleuraient toutes les larmes de leur corps pendant que les professeurs se séparaient eux aussi un peu à contre-cœur.


A présent que vous avez lu, surtout n'hésitez pas à cliquer sur ce petiot bouton bleu en bas à gauche, même si vous trouvez que cette fic est absolument grotesque, idiote, grossière ou bien sublime, indiciblement géniale et tout et tout... Laissez reposer vos yeux et faites travailler vos doigts !

Au prochain chapitre !