A/N: L'histoire touche à sa fin, j'espère que vous avez aimé. J'avoue que mes updates étaient très espacés mais, j'ai un emploie du temps très chargé ses temps-ci… Jusqu'à la semaine prochaine je dirais. Malgré tout, j'ai eut beaucoup de plaisir à écrire cette fanfic et je pense en écrire une autre prochainement, mais en anglais (oui, j'ai l'impression d'être plus sûre de moi en anglais… étrange je sais xD). Donc, assez parler et bonne lecture!

En sortant de la salle d'interrogatoire, Mac prît son téléphone portable et téléphona à l'un de ses vieux amis de l'école de police travaillant aux Stups. Il composa le numéro rapidement et attendît que quelqu'un décroche.

"Meyer?" Une voix dur, mais amicale répondît à l'autre bout du fil.

Mac souria en entendant la voix de son collègue, cela faisait un bout de temps qu'ils ne s'étaient pas vus. "Jack, c'est Mac."

"Mac! Tient, sa fait bien longtemps, comment vas-tu?" Demanda Meyer, sa voix s'éclaircissant, son ton maintenant chaleureux.

"Eh bien, est-ce que…" Commença Mac, il leva le calepin à la hauteur de ses yeux afin de lire les noms inscrit. "Alan Ruiz te dis quelque chose?"

Un silence s'installa alors à l'autre bout du fil. Le scientifique était persuadé que son ami était surpris d'entendre se nom. "Si, nous l'avons sur surveillance. Il est à la tête du cartel le plus important de Manhattan."

"Je pense que nous avons enfin quelque chose contre lui." Répondit Mac avec un grand sourire.

"Comment as-tu…" Dit d'abord le lieutenant Meyer, mais il s'arrêta net. Pas le temps de blablater, il avait quelqu'un à arrêter. "Okay, je mis met de suite."

Alors qu'il s'apprêtait à raccrocher, Mac l'appela. "Jack, j'ai aussi plusieurs autres noms des gros bonnets du cartel. Sa ne te dirais pas de le démanteler?"

"Oh, mais avec plaisir." Le scientifique devinait le sourire de son collègue des Stups. Il pouvait entendre l'enthousiasme et la reconnaissance du policier envers lui. "Passe me voir pour me donner les noms!" Puis il raccrocha.

Pendant ce temps, Stella revint alors au laboratoire où elle chercha Danny et Lyndsay. Ne les trouvant pas, elle s'arrêta à un labo afin de demander si ils savaient où ils se trouvaient.

"Bien sûr que je sais, cela fait au moins trois heures qu'ils cuisinent un suspect sans réelle succès." Répondit un jeune scientifique plutôt amusé.

Stella hocha la tête et lança un vague 'merci' au laborantin avant de sortir. Elle se dirigea alors vers les salles d'interrogatoires et chercha les deux enquêteurs. Arrivé à la bonne salle, elle ouvrit la porte pour découvrir un Danny mécontent et une Lindsay exaspérée.

Les deux tournèrent la tête en même temps quand ils entendirent la porte s'ouvrir. Découvrant leur collègue, ils se levèrent et allèrent à sa rencontre. Stella pouvait lire sur leur visage la fatigue de ses heures d'interrogatoires.

"Désoler, mais tout se que nous avons puent en tirer, c'est qu'il vendait bien des seringues au noir." Expliqua Danny, avec une voix déçue.

Stella souria amicalement aux deux jeunes scientifiques. "Je pense que son implication dans l'affaire s'arrête là."

Lindsay et Danny froncèrent alors les sourcils. "Tu rigoles j'espère. On s'est pas farcie trois heures d'interrogatoire pour rien!" Grommela Danny, pas très content.

"Pourquoi, vous avez trouver le meurtrier?" Demanda Lindsay, ignorant le commentaire de son collègue.

Stella hocha la tête en approuvement. "Oui, c'est sûrement lui."

Elle leur fît alors un signe de la tête pour leur dire de la suivre. Tout en marchant, elle leur expliqua la situation. "Vous voyez qui est Ernst Mandes?"

"Oui, le propriétaire du magasin." Répondit Lindsay, s'étant renseigner sur l'évolution de l'affaire du côté de Stella et Mac durant une pause.

"Eh bien, il nous a donné le nom du meurtrier, Fernandez Hamilton." Commença t-elle, en leur montrant la photo d'un jeune homme, aux cheveux bruns avec un regard noir de sympathie à travers ses yeux marrons."De plus, notre homme à acheter une arme du même calibre que l'arme utilisé lors des meurtres il y a de sa deux semaines." Cette fois-ci, ils le tenaient vraiment.

"Il l'avait déclaré?" Demanda Danny, surpris. Un tueur déclarant son arme, c'était peu commun, voir inexistant.

"Moi aussi, j'était d'abord surprise, mais je pense qu'il était nouveau dans le monde de la drogue."

Pendant ce temps, Mac et Flack arrivèrent devant un immeuble décharné du Bronx. Les cris d'une dispute provenant d'un appartement à l'intérieur se faisaient entendre même jusque dans la rue. Les rideaux hideux et déchirés d'un autre appartement, volaient à leur aise dans les courants d'airs passant par la fenêtre grande ouverte. C'était comme qui dirais, un charmant bâtiment dans un quartier en pleine expansion.

Les deux policiers se dirigèrent vers la porte d'entrée, et demandèrent au concierge où se trouvait l'appartement de Fernandez Hamilton. "Il se trouve au 5ème étage, l'appartement 5B." Dit-il complètement abasourdie par la venu de la police.

Ils hochèrent alors la tête et commencèrent à monter les escaliers, trois autres policiers en uniforme à leur suite. Les escaliers montant en spirales avaient un air lugubre, n'étant seulement éclairés par quelques faibles lampes. Les tags recouvrant les murs des couloirs, et les papiers volant parsemés sur le sol, donnaient un air encore plus insalubre au lieu.

Enfin arrivé au cinquième étage, ils s'arrêtèrent devant l'appartement 5B. Se mettant des deux côtés de la porte, Flack et Mac se regardèrent. Ils dégainèrent leurs armes et attendirent. Le jeune inspecteur frappa alors à la porte. "Police de New York, ouvrez la porte!" Cria t-il d'une voix clair et forte.

Mais pas de réponse. Il frappa de nouveau mais toujours rien. Il se tourna alors vers Mac, puis vers les policiers sous ses ordres auxquels il hocha la tête pour leur dire qu'ils allaient entrer.

Prenant une grande inspiration, il défonça la porte et s'engouffra le premier dans l'appartement, suivit de près par un des policiers en uniforme puis par le lieutenant Taylor. Il se dirigea vers le salon, pendant que Mac inspectait la chambre. Flack chercha alors dans les placards et trouva Fernandez Hamilton, caché dans l'une d'entre-elles, comme un enfant qui se cachait de sa mère fâchée. Comment le voir tuer une famille entière? Et pourtant, c'était bien lui.

"Fernandez Hamilton?" Demanda alors Don, prenant les menottes de sa ceinture.

Le jeune homme acquiesça, apeuré. Flack lui passa alors les menottes et le sortit de sa cachette. N'étant vêtu que d'un simple pantalon, il lui donna une chemise qui traînait sur le divan et le laissa à l'un des policiers qui l'emmena au poste.

Mac vint rejoindre le jeune inspecteur dans le couloir, regardant tout les deux l'homme à peine sortit de l'adolescence partir accompagné par le policier.

"Qui aurait pût penser qu'un si jeune homme pouvait si mal tourner?" Commenta alors Mac, traduisant les pensés de son collègue.

Et il repartit vers l'appartement, laissant Flack regarder le trop jeune Fernandez Hamilton descendre les escaliers jusqu'à se qu'il soit hors de porté de vu du jeune inspecteur.

Revenus aux salles d'interrogations, Danny accompagné de Lindsay, entrèrent dans la salle où était assis le jeune Fernandez Hamilton. Malgré toutes les preuves qu'ils avaient, un aveu serait plus solide devant le juge c'était pourquoi ils étaient là. Fernandez regardait la pièce avec un certain recul, la peur se lisant dans les yeux. Il était clair qu'il n'aimait pas du tout cela. L'équipe doutait maintenant si c'était vraiment lui. Comment deviner qu'un homme, qui semble si innocent, si jeune et si naïve puisse faire cela?

Danny s'installa devant Fernandez, celui-ci ne le regarda même pas, continuant à regarder les murs alentours. "Alors, pourquoi as-tu tuer les Lewis?"

"On m'a dit de le faire." Répondit-il, d'une petite voix timide.

Lindsay et Danny s'entre regardèrent. Décidément, si il avait fait quelque chose, cela ne se voyait pas. Ils éprouvaient de la pitié pour lui, comme si il s'était fait endiguer par quelques membres du cartel. Mais, il ne fallait pas jouer le jeu. Il se jouait peut-être d'eux.

"Mais tu ne sais pas pourquoi on te l'a demandé?" Demanda Lindsay avec compassion. "Je suis sûre que tu en sais quelque chose."

C'est alors que Fernandez Hamilton changea radicalement d'attitude. Il savait très bien qu'il n'y avait plus rien a espéré. De toute façon, il se ferait arrêter, donc autant tout raconter. Un sourire malicieux apparu sur ses lèvres, et il regarda enfin les deux scientifiques de son regard d'un brun sombre et menaçant.

"Ces imbéciles avaient perdus les sachets qu'on leurs avaient confiés." Expliqua t-il, avec un petit rire. Le mépris s'entendait dans sa voix, devenu maintenant très grave et diabolique. "Le père est venu pleuré pour qu'on leurs donner plus de sachets à vendre et qu'il nous rapporterait plus d'argent. Mais ils avaient déjà fait assez d'erreur…"

Le jeune Fernandez Hamilton se trouvait devant l'immeuble des Lewis. L'immeuble semblait si vivant, les rires d'enfants, et les discussions sympathiques entre voisins lui donnaient un air convivial. Mais cela ne le gêna pas. Il entra donc dans le bâtiment, montant les escaliers silencieusement. S'arrêtant devant la porte des Lewis, il sortit son arme de son étui et se prépara mentalement à se qu'il allait faire.

Sentant le courage monter en lui et le désir d'en finir avec eux devenait plus ardent. Il défonça la porte et fît son boulot. Le frère dans l'entrée. Le père dans le salon. La mère dans la cuisine. Et la petite Lewis ainsi que sa sœur dans la chambre. Du travail facile pour lui.

Son sourire toujours aux lèvres, il sortit tranquillement de l'immeuble par la porte de derrière. Les gens tellement terrorisés par les coups de feux n'oseraient pas sortir dans les couloirs. Le travail était fait, il pouvait maintenant rentré chez lui, prendre un bain et dormir sur ses deux oreilles.

En entendant le récit, Lindsay et Danny furent horrifiés. Il n'avait pas le moindre remord. Dire qu'ils avaient eux de la pitié pour lui. Il cachait bien son jeu, se cachant derrière son air innocent pour amadouer toutes les personnes qu'il rencontre et faire par la suite ses manigances sans que l'on sache que c'était lui. Mais s'en était finis maintenant.

FIN