Voilà la suite !

anaisgt70 j'ai voulut répondre a ta review mais le mail était pas valide DSL !

merci au autre !

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Un peu perturbé, Tony se dirigea vers son bureau et se laissa tomber sur la chaise. Aussitôt Kate accourut :
« Qu'est-ce qui s'est passé ? Il t'a frappé ? »
Avec un sourire elle continua :
« Il t'a frappé hein ! Bien fait, ça m'évitera de le faire pour cette stupide blague de film porno au téléphone ! »
L'italien releva la tête, ravi de voir que son amie avait retrouvé un comportement normal avec lui :
« Oui.. Oui c'est ça il m'a frappé derrière la tête... Tu connais Gibbs, il... »
La sonnerie du téléphone l'interrompit :
« Dinozzo ! »
La voix âpre et cassée de leur suspect lui répondit au moment même ou Jethro revenait avec un café à la main :
« Salut monsieur l'agent du NCIS ! »
Il fit signe à son patron et au bleu. Aussitôt Gibbs décrocha son téléphone pour demander qu'on enregistre la conversation :
« Tiens, vous savez Sergent Chabre que nous vous avons cherché toute la mâtinée ? Ce n'est pas bien de vous être échappé, vous manquez beaucoup à vos médecins ! »
« Toute la mâtinée, vraiment ? Alors vous n'êtes pas très doué comme agent ! »
Tony s'appuya au dos de sa chaise :
« Vous croyez ? On vous a déjà attrapé une fois pourtant ! »
« Une erreur de parcours ! Vous m'avez empêché de finir mon travail, cette femme ne reposera pas en paix... »
Gibbs lui fit signe de tenir le plus longtemps possible :
« Vous vous inquiétez de savoir comment elle repose après l'avoir tué ? C'est étrange ! »
La voix de l'homme plein de colère lui répondit :
« Ces femmes avaient besoin de moi pour purifier leur âme ! »
« Je crois que vous avez passé trop de temps en mer. Les médecins ont raison, vous êtes complètement cinglé ! »
« Vous recommencez, agent Dinozzo ! J'était près à vous pardonner de m'avoir empêché de finir mon travail, mais vous recommencez... »
Tony se releva et appuya ses coudes sur le bureau :
« Dites-moi, pourquoi moi ? Je ne suis pas le seul à vous avoir arrêté... Loin de moi l'idée de me plaindre hein ! J'adore que les gens fassent une fixation sur moi ! »
L'homme se mit a rire :
« Vous m'avez trouvé dans cet entrepôt ! Vous êtes entré le premier et m'avez empêché de finir mon travail, l'âme de cette pauvre fille n'a pas pu rejoindre le paradis céleste... »
« Ah bah oui, c'est dommage ! »
Il y eut un bruit sourd comme si l'homme avait frappé le téléphone contre une table, fou de colère, la voix lui répondit :
« Ne prenez pas ça à la légère monsieur Dinozzo ! Vous regretterez bientôt cet affront. Je vous ai observé... Je vous observe... »
Tony se leva d'un bond et observa la salle tout comme ses collègues :
« Vraiment et ce que vous voyez vous plaît ? »
« J'ai vu que votre âme était pervertie aussi ! »
« Ah oui ? Ma mère serait d'accord avec vous sûrement ! »
« Cet homme, celui qui est sorti de chez vous hier matin... Il vous a mené directement à votre perte... »
L'italien blêmit d'un coup. Il inspira :
« Dites m'en plus : comment, selon vous, nos âmes sont perverties ? »
« Mais c'est simple Dinozzo ! Ces filles aimaient coucher avec des hommes, elles avaient le vice en elles ! Elles devaient être libérées ! Je n'avais jamais jusqu'à présent pensé à libérer des hommes ! Même pas des hommes de votre espèce ! »
« Bien, je trouve ça très intéressant. Je serais ravi d'en discuter avec vous... »
« Bientôt Agent Dinozzo ! »
L'homme raccrocha, violemment Tony laissa retomber le combiné sur le socle :
« Merde ! On l'a repéré ? »
Kate grimaça :
« Non, il utilise un brouilleur. On va demander a Abby de nous arranger ça ! »
Tony se frotta les yeux et reprit le combiné de téléphone. Il composa le numéro, sous l'œil de ses collègues, Gibbs le fixait :
« Marie ? C'est Tony Dinozzo. Maxence est là ? »
Kate jeta un coup d'œil a l'ancien marine, son visage restait impassible...
« Max ! Ca te dirais d'emmener tes neveux visiter le vieux port pour quelques jours... »
...
« Oui je sais que c'est à des dizaines de kilomètres justement ! »
...
« Non, tu ne veux pas savoir pourquoi je cherche à t'éloigner ! »
Le regard de Tony se posa un instant sur son patron :
« Non, rien à voir avec lui ! Ecoute, Maxence fais ce que je te dis pour une fois ! Ok ? Bien ! »
Il raccrocha et soupira :
« Allons voir ce qu'Abby peut nous dire sur ce malade ! »

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La jeune femme écouta avec attention l'enregistrement. Une fois qu'il fut terminé, elle se tourna avec un sourire vers Tony :
« Un homme hein... »
Elle sembla réfléchir alors que Dinozzo la fixait :
« Euh Ben ? Où Maxence ou alors Ricky ? »
McGee fronça les sourcil :
« Tu étais au courant ? »
« Bah oui, pas vous ? C'est pourtant pas un secret ! »
Kate frappa l'épaule de son coéquipier :
« Pourquoi elle était au courant et pas moi ? »
Gibbs s'approcha :
« Vous avez fini oui ! Abby, trouve moi tout ce que tu peux sur l'endroit d'où ce malade a appelé... »
Comme si la jeune gothique ne l'avait pas entendu, elle se mit a rire :
« Bien sûr que j'étais au courant et Ducky aussi ! »
« Abby ! Fais ce que je te demande et arrête de discuter ! Je veux ça tout de suite, c'est clair ! »
Il sortit du labo d'un pas vif :
« Qu'est-ce qui lui arrive ? Il n'aboie jamais après moi d'habitude ! »
Kate s'approcha de son amie :
« En fait, il est d'une humeur massacrante depuis qu'on a surpris Tony en pleine action avec Maxence ! »
« En pleine action, tu veux dire...? Complètement nu couvert de fluide corporel... ? »
Kate acquiesça sans un mot :
« Vraiment ! Et tu étais la McGee ? »
Tony soupira :
« Il s'est rincé l'œil. J'ai du l'inviter à sortir ! »
« Oh oh ça ouvre de nouvelles perpectives... »
L'italien les laissa à leur conversation pour suivre Jethro, sans se préoccuper de lui, Timothy demanda :
« Qu'est-ce que tu veux dire ? Bien que je ne sois pas sûr de vouloir savoir ! »
« Quoi tu n'es pas curieux ? Ca ne te dit pas une partie à trois ? »
Kate fixa la jeune femme :
« Tu plaisante ? »
« Non... »
Les portes se fermèrent, et Tony n'entendit pas la réponse de ses collègues. Il se dirigea vers la morgue là ou il était sûr de trouver son patron. La voix grave de celui-ci lui parvenait :
« J'ai besoin de savoir tout ce que tu peux me dire sur la façon dont ces femmes ont été tuées, Ducky ! »
« On dirais que tu m'en veux Jethro, quel est le problème ? »
« Rien ! Elles ont été étranglées ? »
« Pas seulement ! Allons dis-moi... »
Il entendit son patron soupirer :
« Pourquoi tu ne m'a rien dit ? »
« A quel propos ? »
« Dinozzo ! Abby dit que tu savais... »
« Savais quoi ? »
Devant la mine de Gibbs, Ducky comprit :
« Oh je vois ! Je n'avais rien à dire ce n'est pas... »
Agacé, Tony entra :
« Bon si on parlait d'autre chose, je commence vraiment a en avoir marre ! »
Ducky hocha la tête et commença son compte-rendu...
L'équipe passa le reste de la journée à tenter de trouver leur suspect.

Tony s'impatientait, il était tard a présent, et il attendait que Kate et McGee s'en aille pour parler à Gibbs, mais ses deux collègues restaient là...
La voix de Gibbs le fit sursauter :
« Bien, il est temps de rentrer ! Dinozzo, une équipe de garde rapprochée te suit jusque chez toi et ne te quitte pas des yeux jusqu'à demain matin ! »
« Quoi ? Ah non ! Non, non, hors de question ! »
« Je ne t'ai pas demandé ton avis ! »

voiiiiiiiiiiiiiilà la suite !( hé oui dans le même chap ) ATTENTION SADIQUE !

je ne dirais rien de plus niark niark niark niark niark niark niark niark !

merci beaucoup et j'espère que sa vous plaira !

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Gibbs passa une seconde fois sa main sur le bois poli. Il soupira. Il n'arrivait à rien ce soir. Il était rare qu'il n'arrive pas à se concentrer sur la construction de son bateau. Il observa un instant son travail et enleva ses lunettes de protection. Ca ne servait a rien. Sa tête était remplie de trop de choses.
Il avait embrassé Tony !
« C'est du joli travail patron ! »
Doucement Gibbs se retourna, sur les marches en bois, Tony était assis :
« Qu'est ce que tu fais là, Dinozzo ? Et où est l'équipe de protection rapprochée ? »
« Je sais pas. Probablement chez moi à surveiller le tas d'oreiller que j'ai laissé dans mon lit ! »
Jethro le bouscula en montant les marches :
« Je peux savoir pourquoi tu t'exposes au danger ? »
Il se dirigea vers la cuisine et se servit une bière :
« Parce que j'avais besoin de réponses ! »
Gibbs se mit a rire :
« Ce n'est pas des réponses que tu es venu chercher ! »
« Pas principalement c'est vrai ! Mais en grande partie ! »
L'ancien marine porta la bouteille à ses lèvres :
« Tu es venu pour rien. Tu n'auras aucune réponse à tes questions ! »
« Pourquoi ? Parce que tu ne sais même pas toi-même ce qui t'a pris dans l'ascenseur ? »
Comme il ne répondait pas, Tony continua :
« Je connais ce sentiment ! Cette envie de faire des trucs stupides qui, sur le moment, sont géniaux et qu'on regrette forcément après ! »
Gibbs fixa son subordonné sans répondre :
« Donc, on va faire comme si il ne s'était rien passé... »
Il porta de nouveau sa bière à sa bouche :
« Ce que je te dis te passionne, c'est fou ! »
« Pourquoi on devrait faire ce que tu dis ! »
« Quoi ? »
« Tu m'a dis toi-même ce matin que tu faisais ce que tu voulais... »
« Oui moi mais pas toi ! »
« Pourquoi ? A moins que tu n'aies pas apprécié ! »
« Bien sûr que si, sois pas idiot ! »
Tony sembla ce rendre compte de ce qu'il avait dit :
« Enfin je veux dire... J'en sais rien tu m'embrouilles... Je ferais mieux de m'en aller ! »
« Tu reste ici, Dinozzo ! »

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Le jeune homme soupira, pourquoi quand lui avait demandé la même chose un peu plus tôt dans l'après-midi ça n'avait pas marché ?

« C'est un dialogue de sourd, tu ne veux pas en parler alors... »
« Il n'y a rien à dire ! »
Tony se leva et fit quelques pas :
« Rien à dire ? »
« Non ! »
Appuyé contre le bar en bois, son patron le fixait. L'Italien détacha son regard du sien pour fixer ses lèvres, il avait déjà oublier la chaleur de leur simple baiser, il aurait voulu y goûter de nouveau...
Mais la folie qui s'était emparée de son patron n'était probablement que passagère. En même temps, il n'y avait qu'une seul façon de le savoir.
Sans même s'en rendre compte, il se jeta sur les lèvres de l'ancien marine avec avidité...
Pendant une seconde, il se demanda si c'était une bonne chose, et il oublia bien vite cette question. La bouteille de Jethro se brisa sur le sol dans un bruit sourd mais les deux hommes ne semblaient pas s'en être aperçu.
Sa langue glissa entre les lèvres de son patron, pour venir caresser sa jumelle. Tony fut surpris de sentir son ami réagir à cette caresse. Il sentit une main glisser dans son dos, Jethro l'attirait à lui pour approfondir leur baiser. Jamais il n'avait connu quelqu'un de si passionné. Cette main chaude contre sa hanche enflammait ses sens...
Tony voulait plus mais n'osait pas, alors que la langue de l'ex-marine entreprenait de chercher la sienne, il ne put s'empêcher de glisser sa main sur le torse de son patron. Celui-ci retint un gémissement...
Le téléphone sonna faisant sursauter Tony. Il détacha ses lèvres de celles de Gibbs et l'observa, gêné.
Le patron décrocha le téléphone et demanda d'une voix agressive :
« Quoi ! »
Tony entendit à l'autre bout du fil un homme répondre :
« Monsieur, nous avons un problème ici ! L'agent Dinozzo a disparu ! »
Jethro soupira :
« Rentrez chez vous Sforza ! »
Il raccrocha sans un mot de plus, pour fixer son subordonné :
« Jethro, je... »
« Jethro ? »
« Gibbs... Patron... euh je... »
« Tu est pitoyable quand tu bafouilles ! »
Laissant la bouteille brisée sur le carrelage, le boss prit une autre bière dans le frigo.

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Gibbs se dirigea vers le canapé et s'y installa sous l'œil inquiet de Tony :
« Bon ben je vais rentrer chez moi ! »
« Je te l'ai dis, tu restes ici ! Ou alors tu rappelles l'équipe de sécurité et tu leur demandes de venir te chercher ! »
Le jeune homme se laissa tomber sur le canapé, tout en fixant la télé (dont le son était coupé ), il soupira :
« Très bien, alors je reste... »
Il hésita un instant et puis... :
« Tu veux savoir pourquoi je suis venu ? »
Comme l'homme à ses cotés ne répondait pas, il continua :
« Pour te parler... Parce que je ne supporte pas ce que tu penses de moi... »
Jetrho voulut lui demander ce qu'il voulait dire, mais il avait peur d'interrompre les aveux qui allaient sûrement venir :
« Je ne suis pas amoureux de Max hein ! On se voit de temps en temps comme ça... »
« Je ne t'ai rien demandé ! »
Il fut soulagé d'apprendre que Maxence n'était qu'une aventure parmi tant d'autres...
Pourquoi il était soulagé, il ne voulait pas se le demander :
« En y réfléchissant bien, j'ai jamais vraiment été amoureux, que ce soit d'un mec ou d'une fille ! Tu t'es marié 3 fois toi, tu as dû aimer... »
« Ca ne te regarde pas à ce que je sache ! »
Tony, légèrement vexé, se mit a fixer l'écran. Jethro resserra sa prise sur sa bouteille. Après tout, oui il s'était marié 3 fois mais il avait divorcé 3 fois !
A ses cotés, Tony soupira bruyamment, après quelques minutes de silence pesant l'italien ne put s'empêcher de demander :
« Est-ce que tu le penses ? »
Sans même lui accorder un regard, Jethro demanda :
« Quoi ! »
« Que je suis perverti... »
Les mots de leur suspect avait du le blesser plus qu'il n'avait voulut le laisser paraître, d'une voix monocorde comme si il parlait du temps et toujours en fixant la télé, l'ex marine répondit :
« Tu veux que je te rappelle ce qui s'est passé dans la cuisine il y a 5 minutes ? » « Bah oui j'aimerais bien justement ! »
Surpris, Gibbs tourna enfin la tête pour fixer son subordonné. Celui-ci, un coude appuyé contre le dossier du canapé et le poing contre sa tête le dévisageait. Il ne put s'empêcher de remarquer à quel point les traits de son ami étaient parfaits et...
Il soupira. Depuis quand appréciait-il la beauté d'un homme :
« Pas si facile que ça hein ? »
« Quoi Dinozzo ? »
« D'accepter une attirance physique pour quelqu'un du même sexe ! »
Jethro grimaça, même si il savait que son ami avait raison, avec un soupir, il répondit en fixant de nouveau sa télé :
« Et tu as réussi comment ? »
Il sentit le canapé bouger, il vit son ami se lever pour éteindre le téléviseur :
« Hé ! »
« Quand les gens ont des discussions en général, ils se regardent dans les yeux ! »
« Je ne fais que ça ! »
« Mais bien sûr ! »
Dinozzo soupira :
« Donc la question était comment ? »
Les yeux de l'italien plongés dans les siens le firent frissonner :
« Euh je dirais difficilement au début, et puis j'ai très vite laissé tomber les remords et les scrupules ! Mais bon j'avais à peine 20 ans pas... »
Gibbs jeta un regard noir a l'italien et il ne finit pas sa phrase :
« Enfin bref ! J'ai tenté l'aventure et voilà je ne me suis plus posé de questions ! »
Cette phrase résonna dans sa tête un instant. Jethro posa sa bière doucement sur la table basse, se pencha sur son subordonné jusqu'à l'allonger sur le canapé pour saisir ses lèvres violemment, dans un baiser passionné. Le feu courait dans ses veines alors que sa langue pénétrait dans la bouche du jeune homme, il ne parvenait plus à penser, il ne voulait plus penser, surtout pas réfléchir à ce qu'il faisait.
Instinctivement sa main glissa sur le corps de l'agent du NCIS, ce simple geste avait attisé leurs sens. Avec avidité, il souleva la chemise de son patron pour accéder à son torse et le caresser avec fièvre.
En sentant contre sa peau nue, ces mains chaudes, brûlantes de désir, Gibbs ne put retenir un gémissement.
Pendant un instant, un doute s'insinua dans l'esprit de l'ex-marine : il ne pouvait pas faire une chose pareille, pas avec un homme, ce n'était pas normal, pas naturel et trop différent...
Il cessa leur baiser brusquement, il observa son ami, le tee-shirt relever sur son torse musclé, les yeux brûlant de désir, les cheveux en bataille comme si il y avait passé les mains pour se convaincre que ce qu'il vivait était vrai. Ses lèvres étaient gonflées par leur baiser, Gibbs se demanda de quoi lui avait l'air, la chemise hors de son pantalon à moitié déboutonné... Il ne pouvait pas faire ça ! Si ? Tout allait changer après ça ! Comment s'en sortir au bureau ? Et après avoir eu une relation avec un membre de son équipe, pourrait-il...
Tony ouvrit la bouche, interrompant le flot de pensées qui envahissait la tête de son patron, mais pour ne pas entendre ce que l'italien avait à lui dire, il le devança :
« Ne plus se poser de questions hein ? »
Tony fronça les sourcils :
« Ouais ! »
« Ce n'est pas vraiment mon genre ! »
« Non c'est vrai ! »
Tony grimaça et tenta de se relever mais Gibbs l'en empêcha :
« D'habitude ! »
Il le força à se rallonger et pressa de nouveau ses lèvres contre les siennes.

a suivre...

et voilà sa vous a plus ? euh calme calme les gens ! hi hi hi rire nerveux la suite viendra bientôt euh dimanche surement !
lune arrête de discuter fuiiiiiiiiiiiiiiiiiiis
vous m'aurez pas je cour trop viiiiiite mooooony l'aideeeeeeeee