Bon bin voilà !
ATTENTION LEMON vous êtes prévenu ! c'est très explicite ATTENTION
vous êtes encore la ? alors lisez ! et merci pour les review !
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Tony n'en cru pas ses sens, ni ses yeux ni ses oreilles...
Il oublia bien vite d'être étonné quand les lèvres de son patron se posèrent dans son cou, à l'endroit exact ou ça le faisait frissonner. Il voulut défaire la chemise de Gibbs, poser ses lèvres sur son torse, poser ses mains sur son sexe pour le rendre dur...
Cette simple pensée lui donna chaud si chaud... Alors que Jethro explorait son corps des mains et de la langue, il sentit peu à peu son sexe se gorger de sang. Plus son érection se faisait grandissante plus la gêne l'envahissait, mais comment rester stoïque quand l'un de ses fantasmes se réalisait...
Tony bloqua sa respiration et se mordit les lèvres pour ne pas gémir. Jethro continuait son exploration : il passait d'abord son doigt puis sa langue sur chaque sillon de ses pectoraux. Résigné Tony murmura :
« Patron je suis pas sûr que tu mesures la portée de tes actes ! »
« A vrai dire, si tu parles du problème dans ton pantalon, je voudrais que tu sache que je l'ai fait exprès ! »
Tony fut si étonné qu'il oublia un instant son excitation et sa gêne :
« Tu parais perplexe Dinozzo ! »
« J'ai le droit de l'être, tu viens d'avouer que ton but était que je sois en... »
« En fait, mon but était de voir si ce qui me faisait effet te ferait aussi réagir ! »
Gibbs avait insister sur le mot réagir et avait effleuré de la main le sexe a présent tendu de son subordonné. Tony ferma les yeux, il n'osait pas croire ce qui se passait...
Il resta ainsi un instant et puis il s'aperçut que son ami ne bougeait plus, ne le touchait plus et c'était encore pire que les caresses qu'il lui avait prodiguées. Doucement, presque craintivement, il ouvrit les yeux, pour rencontrer ceux de son patron qui le fixait :
« Tu as l'air d'espérer Tony ! »
« Hé bien, je suppose que c'est ce qui arrive quand le plus improbable de ses fantasmes se réalise ! »
L'ex-marine parut un instant étonné :
« Vraiment un de tes fantasmes hein ? J'écoute raconte-moi ! »
« T'es pas cinglé ! »
Le regard noir que lui jeta son patron le fit changer d'avis, il soupira, ferma de nouveau les yeux pour quelques secondes. Il tenta d'oublier son sexe tendu contre son jean, les yeux de son patron fixés sur lui et murmura :
« A vrai dire je t'ai souvent imaginer ainsi contre moi m'embrassant avec fièvre... »
Aussitôt les lèvres de Gibbs se posèrent sur lui :
« Tes mains parcourant doucement mon corps... »
Jethro glissa ses mains sur lui, le faisant frissonner, Tony allait parler de nouveau quand la main de son patron s'attarda sur son entrejambe, les mots se coincèrent dans sa gorge...
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Le son étrange que produisit son ami à cet instant fit sourire Jethro. Malgré ses appréhensions, il appréciait le fait de mettre le jeune homme dans cet état, d'avoir ce pouvoir sur lui. Il n'avait jamais imaginé qu'il pouvait faire partie des fantasmes de Tony, c'était assez valorisant, il aimait cette idée...
Il passa a nouveau sa main sur l'entrejambe de son subordonné pour voir sa réaction, le jeune homme se mordit les lèvres cette fois :
« Dinozzo ? »
Les yeux toujours clos, il répondit à peine :
« Mmm »
« Pourquoi tu es si tendu ? »
Il ouvrit légèrement les yeux :
« Tu viens de dire que tu l'avais fait exprès ! »
Tout en laissant courir sa main sur le torse de son ami, il répondit :
« Je ne parlait pas de ça ! Mais de toi, on croirait que je te torture... »
Le jeune homme se releva un peu, approchant un peu plus leur corps l'un de l'autre :
« Je me concentre pour tenter de me contrôler ! »
Gibbs baissa les yeux sur la bosse qui déformait son pantalon :
« Ca ne marche pas ! »
Tony se mit a rire :
« Là c'est moi qui ne parle pas de ça ! »
Etonné, Gibbs attendit la suite :
« C'est assez difficile de subir des caresses exquises et de ne pas avoir le droit de les rendre ! »
« Et qui t'a dit que tu n'avais pas le droit... tu veux une autorisation ? »
« Je ne crois pas que se soit une bonne idée ! Parce qu'à ce petit jeu, on est vite entraîné dans l'action ! »
Amusé, Gibbs lui sourit :
« Quel genre d'action ? »
Le jeune homme grogna et se laissa retomber sur le canapé :
« Oh je vais devenir dingue ! Tu n'imagines pas à quel point c'est difficile de rester stoïque alors que ma seule envie est de te rendre fou... Mais je ne veux pas que tu regrettee demain ce qui pourrait se passer ! »
« Je ne regrette jamais mes actes ! »
Il hocha la tête et continua :
« A part mes 3 mariages ! »
A peine avait-il fini sa phrase que les yeux du jeune homme se mirent a briller...
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Avidement, presque brutalement, Tony plaqua sans douceur sa main sur la nuque de son patron. Les deux hommes emportés par une passion dévorante, oublièrent un instant où ils se trouvaient et tombèrent lourdement du canapé sur le sol.
Le dos du jeune italien heurta violemment la moquette. Et il eut le souffle coupé, quand le coude du marine vint percuter sa cage thoracique.
Devant le ridicule de la situation, Tony se mit à rire, aussitôt suivi de son ami. C'était tellement rare d'entendre son patron rire que Tony se mit à le fixer intensément. Se méprenant sûrement sur son regard, le marine inspira profondément, soupira et dit d'une traîte :
« Je suis trop vieux pour faire ce genre d'exercices sur un canapé ! »
Dinozzo se releva et s'appuya sur son coude :
« Tu as un lit non ? Je veux dire... tu dois bien dormir de temps en temps non ? »
Sans un mot, Gibbs se releva et entraîna son ami à sa suite.
Tony se mit à sourire, quand il sentit son cœur battre un peu plus vite. Il suivit son patron jusqu'à une chambre aux couleurs sombres, au lit fait au carré...
Du moins il l'était jusqu'à ce que Gibbs le pousse dessus. L'ex marine grimpa à son tour sur le lit, il s'accroupit au-dessus de lui et plongea les yeux dans les siens :
« Je ne dors jamais ! »
« Je le savais ! C'est pour ça que tu carbures au café ! »
Doucement son patron se pencha sur ses lèvres, il tenta de reste impassible, il ne voulait pas aller trop vite, pas le brusquer...
Mais il n'en pouvait plus, il sentait qu'il allait exploser. Avec une légère crainte, il défit le reste de la chemise de son supérieur...
Est-ce qu'il allait changer d'avis ? Ou se rendre compte de ce qu'ils faisaient vraiment et repousser les deux mains qui ouvraient peu à peu les quelques boutons encore fermés. Gibbs ne le quittait pas des yeux ; son regard était brûlant de désir...
Tony frissonna quand le regard de l'ex marine se porta sur ses mains alors qu'elles parcouraient son torse encore si musclé :
« Tu es plutôt bien conservé pour ton âge ! »
Tony grimaça quand la main de Jethro s'abattit sur sa tête :
« Je peux toujours faire ça malgré mon grand âge ! »
Avec un sourire machiavélique Gibbs descendit sur son pantalon. Tout en le regardant dans les yeux, il détacha le bouton et la fermeture. Doucement, il le lui enleva.
L'italien se mordit les lèvres lorsqu'il passa sur son sexe tendu. D'un geste, Gibbs envoya le pantalon par terre et se concentra sur le boxer de son subordonné :
« J'étais sûr que tu portais des boxers ! »
« Vraiment et tu t'es souvent demandé ce que je portais sous mes vêtements ? »
« Une fois ou deux peut-être... »
Tony tira sur la ceinture de son patron :
« A mon tour de voir ce que tu portes ! »
Il le laissa faire, les mains de l'italien tremblaient légèrement, l'ex marine s'allongea un instant pour enlever son pantalon.
Il reprit ensuite sa place au dessus du jeune homme un genou entre ses jambes et l'autre contre l'extérieur de sa cuisse. Il se pencha et embrassa ses lèvres. L'italien se mit alors à parcourir le dos de son ami de ses mains, il frissonna...
Comment, malgré le fait que ce soit sa première fois avec un homme, Gibbs arrivait-il à être si calme, si passionné !
Leurs sous-vêtements rejoignirent bien vite le reste de leurs affaires.
Le jeune homme faillit rougir quand les yeux de son patron se posèrent sur son sexe fièrement dressé. Gibbs approcha sa main doucement, et comme si il n'osait pas, comme si c'était encore trop tôt, ou trop rapide, il remonta pour s'intéresser à ses tétons. Il les lécha, les mordilla jusqu'à provoquer des soupirs d'extase.
L'ex marine se releva et plongea son regard dans le sien. Tony sentit son cœur battre plus vite.
Il se demanda un instant si après cette simple nuit, il serait encore capable d'enfouir au plus profond de son être tout les sentiments qui lui étreignaient si souvent le cœur...
Il soupira et pas d'extase cette fois, il allait profiter de ces instants même si le réveil serait forcément difficile.
Il quitta le regard pénétrant de son patron pour poser les yeux sur sa virilité, il sourit et murmura :
« C'est moi qui te met dans cette état ? »
« Non, c'est le souvenir d'une de mes ex femmes ! »
« Oh je suis blessé ! »
« Si tu cessais de discuter et qu'on passait aux choses sérieuses ! »
« A vos ordres patron ! »
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Le cœur battant à tout rompre, Gibbs vit Tony se pencher sur le sol pour attraper son pantalon. Le jeune homme se pencha un peu plus faisant entrer en contact leur deux érections...
Il se mordit les lèvres pour ne pas gémir, et quand enfin l'agent du NCIS eut attrapé son portefeuille et qu'il se rallongea sur le lit, Gibbs se prit à regretter ce contact brûlant.
L'italien, sortit fièrement un préservatif et un sachet de lubrifiant de la pochette de cuir :
« Tu sais comment on se sert de ça, n'est-ce pas patron ? »
Avec un sourire gourmand, il répondit :
« Il va falloir que tu m'aides, je pense ! »
Tony le regarda, étonné de cette répartie, l'ex marine se redressa pour offrir son sexe tendu aux mains sûrement expertes du jeune homme.
Celui-ci déchira lentement l'emballage et positionna le préservatif sur l'érection de son patron, doucement, tout en caressant la verge tendue, comme pour se venger des prétendues tortures qu'il lui avait infligées un peu plus tôt.
Ce fut pire encore quand il l'enduisit de lubrifiant, il se sentait prêt à exploser. Ces doigts qui le parcourait ainsi étaient un vrai délice.
Trop absorbé par l'extase, Gibbs ne sentit pas le jeune homme bouger. Il ouvrit les yeux seulement quand les lourds mollets de son futur amant vinrent se poser sur ses épaules.
Il le fixa alors dans les yeux, tout le corps de son subordonné était une invitation à la débauche, ces fesses rondes et fermes, ses cuisses musclées et son torse...
Comme s'il n'allait pas assez vite, comme s'il mourait d'impatience, Tony lécha deux de ses doigts pour les enfouir profondément en lui...
Il ferma les yeux et commença un léger va-et-vient. Le voir ainsi provoqua chez Gibbs une bouffée de chaleur intense. Il eut envie de remplacer ses doigts par les siens, de combler ce vide avec son sexe tendu.
Il prit alors la main de son amant et la remplaça. Il entra d'abord un doigt dans son intimité. Juste pour voir si ça faisait le même effet qu'avec les femmes qu'il avait connues.
Tout était plus chaud, plus étroit, plus excitant.
Cette constatation le fit frémir, il voulait plus. Doucement, craintivement, il approcha son gland rougi de l'anneau de chair. Il jeta un regard à Tony comme pour lui demander s'il était prêt. Le jeune homme, les joues rougies, les lèvres marquées de traces de dents soupira :
« Je t'en prie... maintenant... »
Il entra alors en lui, sans vraiment savoir si les gémissements que le jeune homme poussaient était d'extase ou de douleur. Il s'arrêta un instant pour lui laisser le temps de s'habituer à cette présence. Les muscles se contractèrent autour de son sexe, faisant déverser dans ses reins une vague de plaisir.
Il ne put attendre plus longtemps ; il s'enfonça un peu plus à l'intérieur de son amant. Celui ci cambra les reins pour le faire pénétrer plus profondément.
Avidement, Gibbs se mit à bouger, dans un lent va-et-vient.
Les sensations qu'il éprouvait étaient divines, des gémissements se répercutaient sur les murs de la pièce. Sans qu'il ne puisse dire s'il lui appartenaient ou si c'était ceux de Tony. Le torse en sueur, les poings serrés sur les draps, la bouche entrouverte, le jeune homme était d'une beauté indéfinissable.
Gibbs accéléra la cadence se laissant guider par ses envies. Il se mordit les lèvres quand il s'aperçut que la main de Tony allait et venait sur son propre sexe...
C'est sans doute ce qui lui fit perdre pied, il se libéra en plusieurs jets puissants. Dans un dernier cri de plaisir, il se laissa tomber sur son amant, sentant contre lui son sexe toujours tendu.
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Tony l'emprisonna de ses bras et l'embrassa dans le cou. Il avait retenu avec peine le "je t'aime" qui perlait à ses lèvres.
Il avait connu bien des hommes et avait eu bien des relations, mais rien de si intense, rien d'aussi puissant...
Il sentit Gibbs bouger contre lui, il aurait voulut qu'il reste comme ça encore, mais déjà son amant se retirait. Il le vit enlever délicatement le préservatif et le jeter tout en murmurant :
« Vous êtes bien tendu monsieur Dinozzo ! »
D'une voix rauque, il répondit :
« A qui la faute ! »
« Je vais m'occuper de ton cas ! »
Gibbs s'allongea doucement près de lui, passa sa langue sur ses tétons tendus et pleins de sueur.
Une de ses mains parcourut son torse, puis le bas de son ventre, évitant bien le triangle de poils. Alors qu'il allait gémir de frustration, la main de son patron se posa enfin sur sa virilité. Rien que ce geste provoqua en lui de nouvelles vagues de plaisir.
Quand l'homme entama de puissant va-et-vient sur lui, il ne put s'empêcher de gémir fortement.
Cette bouche sur lui et cette main sur son sexe, tout semblait à sa place, comme si ça aurait toujours du être comme ça. Leur corps se complétaient à la perfection.
Il se libéra à son tour, déversant sur la main de son patron et sur ses draps tout son plaisir.
Avec tout l'amour qu'il ressentait alors, Tony embrassa Jethro.
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Le téléphone sonnait, l'arrachant à ce doux rêve qu'il venait de faire. En grognant, les yeux toujours clos, il décrocha :
« Dinozzo ! »
« Tony, qu'est ce que... »
Kate... il aurait du s'en douter, qui d'autre le sortirait de ses magnifiques rêves :
« Qu'est ce que tu veux, Kate ! »
Il y eut un blanc, un silence pesant et il reprit agacé :
« Quoi tu m'appelles aux aurores pour rien me dire ! »
« Et bien, j'ai une question pour toi : Qu'est ce que tu fais hors de chez ! »
La jeune femme fut secouée d'un petit rire :
« Pas chez moi ? »
En y réfléchissant bien, les draps étaient trop doux, la pièce trop lumineuse... Il ouvrit vivement les yeux au moment même où Gibbs saisissait le combiné :
« Qu'est-ce que tu veux, Kate ? »
Le patron hocha la tête :
« On arrive ! »
Le cœur de Tony manqua plusieurs battement :
« Oups ! »
« Debout, on a du boulot ! »
L'ex marine allait se lever mais il se pencha et l'embrassa avec fièvre. Il sortit ensuite du lit et l'italien pu l'observer à loisir. Il eut chaud d'un coup quand son amant surprit son regard gourmand.
La voix rauque, Gibbs soupira :
« Je vais prendre une douche, j'en ai besoin ! »
Il sortit de la pièce et Tony souleva le drap pour fixer son sexe qui commençait déjà à se tendre :
« Moi aussi j'ai besoin d'une douche ! Froide de préférence ! »
Il passa un peignoir et descendit préparer du café bien fort, il mit du temps à trouver tout ce dont il avait besoin. Tout était bien rangé, à la façon militaire, mais il fallait encore comprendre la logique « Gibbs »
Quand celui-ci descendit, il lui tendit une tasse de café noir en souriant :
« Merci ! Et...»
Il lui tendit un pot fermé :
« Et pour la route ! Je vais prendre une douche ! Il va falloir qu'on passe a mon appart que je me change ! »
C'est pas vraiment de ça que j'ai envie qu'on discute mais il n'a pas l'air disposé à parler de ce qui s'est passé cette nuit !
« Tu as besoin de quoi ? »
« Je dirais un jean et un pull ! »
« Viens ! »
« Non ! Tu as des jeans ? Alors là, je perds toutes mes illusions ! »
Gibbs lui tapa sur la tête et lui tendit les affaires.
Rien ne change !
Il lui fallut quelques minutes pour se laver et s'habiller. Dans la voiture, un silence pesant s'installa. Ils avaient tous deux envie d'en parler mais ne savaient pas vraiment comment.
Le cœur de Tony battait à tout rompre dans l'ascenseur.
Kate avait du raconter aux autres ce qu'elle savait ! Gibbs n'avait rien dit à propos de ça.
Les portes s'ouvrirent et l'italien murmura :
« Et pour Kate ce matin ? »
« Laisse couler ! »
Toute l'équipe était là à les attendre...
a suivre...
euh toute rouge c'est la première fois que j'écrit un truc comme sa d'habitude mes lemons son plus... moins... enfin bref dsl re toute rouge
j'espère que sa vous a plus ! bisous lune la suite euh dans 3 a 4 jours !
