voilà la suite ! ATTENTION sadique
j'ai dit sadique hein !
merci pour vos review normalement j'ai répondu a tout ceux que je pouvais (par send message ou mail ) si j'ai oublier quelqu'un il faut me taper derrière la tête et dire ET MOI ALORS ! la j'oublirais plus après sa !
bonne lecture
Tony avançait dans le couloir exactement comme dans le rêve qu'il avait fait, mais cette fois rien n'était froid. Tout était plein de vie : les soignants et les malades parcouraient le couloir. L'une des infirmières lui fit un sourire éclatant Kate réagit aussitôt :
« Tu es vraiment accro hein ? »
« Quoi ? »
« Cette fille vient de te sourire et tu n'as même pas essayé de la draguer ! »
Tony soupira :
« Hein ? Oh très drôle Kate ! »
Il accéléra le pas pour ne pas avoir à répondre à son amie. Arrivé devant la chambre, il salua le policier en faction et toqua. A l'intérieur une toute petite voix répondit :
« Entrez ! »
Il entra suivi de sa coéquipière :
« Bonjour Noah ! »
Elle releva la tête et se mit à lui sourire :
« Bonjour monsieur... Euh monsieur comment... »
« Je m'appelle Tony ! »
« Tony ? Pourquoi ? »
« Pourquoi je m'appelle Tony ? Euh en faitn c'est Antony, ma mère trouvait que c'était plein de charme comme moi quoi ! »
La jeune femme se mit à rire, un rire tellement enfantin pour son âge et puis elle passa ses mains sur le pansement de l'italien :
« C'est à cause de moi... Je suis désolée... »
Tony passa à son tour ses doigts dessus et grimaça légèrement
« Oh il ne faut pas, j'ai la tête dure vous savez ! D'ailleurs mon patron tape souvent dessus pour s'en assurer ! »
Elle se mit à rire de nouveau. La jeune femme se sentait en confiance, c'était le moment de passer aux choses sérieuses :
« Est-ce que je peux vous poser quelques questions ? »
Elle regarda tout autour d'elle dans la chambre :
« Oui je crois ! »
Il jeta un coup d'œil à Kate et elle sortit un calepin, pendant que Tony s'installait sur une chaise :
« En fait, j'aimerais savoir ce qui s'est passé quand vous aviez 14 ans ! »
Elle s'agita un instant, la peur dans les yeux et puis elle murmura :
« Sur le lac c'est ça ? Ils ont dit... Mon père, mes frères, ils ont dit... que je devais disparaître parce que je devenait comme ELLE. »
Elle inspira fortement tout en sanglotant :
« Papa le disait souvent, alors les frères se sont mis à le répéter ! Et puis, un jour, ils ont programmé une sortie sur un lac ! Et puis, quand on est arrivés là-bas, ils ont jeté certains de mes vêtements par dessus bord... »
Les larmes coulèrent sur ses joues :
« Ils ont rigolé en disant que je m'étais noyée ! Et que je resterai chez nous, que je ne pervertirai pas mon âme, que je resterai loin de toute tentation perverse ! »
Le regard des agents se croisa un instant :
« Vous n'êtes pas sortie de cette '' maison'' depuis ce jour là ? »
Elle soupira et essuya ses larmes :
« Si. Une fois, je suis sortie dans le jardin ! C'était bien ! Mais ils m'ont frappée quand ils l'ont découvert ! »
Tony se torturait l'esprit, la jeune femme était trop fragile pour continuer mais il devait avoir des réponses :
« Noah, que s'est-il passé avec votre frère l'autre jour ? »
Comme dans état second, elle répondit avec un sourire :
« Il ne s'est pas méfié ! Il était en colère ! J'ai attrapé l'arme et j'ai tiré ! Il bougeait plus ! Il pouvait plus me faire de mal ! »
« Et vous pouvez être sûre que ça n'arrivera plus ! »
Tony se leva :
« Ce sera tout pour aujourd'hui je pense ! Mais... »
Elle se mit à sourire :
« Vous reviendrez hein ? »
« Euh oui... ! Je pense que vous devriez vous reposer ! »
« Oui ! D'accord oui... »
Elle posa sa tête sur l'oreiller et ferma les yeux. En sortant de la chambre, les deux agents eurent une conversation avec le médecin de la jeune femme.
Tony fut soulagé quand il quitta enfin l'hôpital. Le poids qui l'avait oppressé depuis son entrée disparut d'un coup :
« On va manger ? Tony ! On va manger ? »
« Hein ! »
« J'ai faim ! »
« Oh »
Le jeune homme regarda un instant autour de lui :
« Il y a un restaurant super à deux pas d'ici ! »
« Tu connais le coin ? »
Il s'empêcha de sourire :
« Maxence habite deux rues plus loin, alors oui je connais le coin ! »
Kate lui jeta un regard et le suivit dans la rue :
« Tu l'as prévenu ? »
« En quoi ma relation avec Jetrho le concerne-t-elle ? »
« Je parlais de la mort de Chabre ! »
« Oh »
Il inspira :
« Oui, c'est fait ! »
Ils s'installèrent à la terrasse d'un petit restaurant. Ils allaient passer au dessert quand une voix appela :
« Tony ! »
Le jeune homme se retourna et vit Max arriver, il se leva aussitôt pour serrer son ami dans ses bras. Kate les observa un instant se donner des nouvelles et puis elle toussota :
« Excusez moi ! Mais... »
« Pardon Kate ! Ce n'est pas la peine que je vous présente je pense ! »
Max se mit à rire :
« Non ! Non ! Ravi de vous revoir ! »
« Moi de même ! »
Elle se tourna légèrement vers Tony :
« Je vais vous laisser ! Je rentre au QG ! »
« Dis à Gibbs que j'arrive, tu veux ! J'en ai pas pour longtemps ! »
« Très bien... »
Elle fit une grimace mais les laissa.
¤¤¤¤¤¤¤
Jetrho s'installa à son bureau et rangea son arme. Il jeta un rapide coup d'œil à la chaise vide de son amant :
« Gibbs, on a un problème ! »
L'ex marine releva la tête et vit Abby et Ducky approcher :
« Quel problème ? »
Le médecin légiste approcha :
« On viens de me faire parvenir un corps ! Celui d'une jeune femme... »
« Et... »
Abby grimaça. L'humeur de Gibbs semblait bien trop mauvaise pour lui annoncer les quelques problèmes qui venait de survenir. Ducky en était apparemment arrivé à la même conclusion que la jeune femme, il lui jeta un regard et elle pinça les lèvres en signe de compassion :
« Le problème, Jethro, c'est que cette jeune femme a vraisemblablement été tuée par notre suspect... »
« Une autre victime ? »
« Oui ! Et cette jeune demoiselle a été tuée 3 heures après la mort de notre sergent ! »
Gibbs passa ses mains sur son visage :
« Et tu es sûr que c'est bien Chabre qui l'a tuée ? »
« Là, c'est à moi de répondre ! »
Abby s'avança, le sourire aux lèvres, pour tenter d'amadouer son patron :
« C'est le même mode opératoire que pour les autres meurtres ! Seulement j'ai remarqué quelques petites choses qui méritent d'être vérifiées et... »
La jeune gothique s'arrêta quand le regard de son patron cessa de la fixer pour se perdre derrière elle.
Kate approchait, la mine déconfite :
« Où est DiNozzo ? »
La jeune femme jeta un regard désespéré à ses coéquipiers :
« Euh… il va arriver, il avait quelque chose à faire ! »
De sa voix calme et inquiétante, l'ex marine demanda :
« Est-ce que ce quelque chose a à voir avec notre enquête ? »
Kate mit les mains dans les poches arrières de son jean :
« Euuuh... »
« Je vois ! Continue Abby ! »
« Ba j'ai fini. Je vais aller vérifier ce que je dois vérifier et puis je te fais mon rapport ! »
« Je le veux... »
« Pour hier, je sais ! »
Assis chacun à leur bureau, les deux agents du NCIS observaient leur patron.
Ca faisais une heure que Kate était rentrée sans l'agent DiNozzo et la tension était à son comble. Gibbs se leva d'un coup :
« Je descends voir où en est Abby ! »
McGee fronça les sourcils :
« Mais monsieur, elle est descendue il y a à peine une heure... »
Sous le regard impassible de son patron, le bleu s'empourpra :
« Pardon patron, vous savez ce que vous faites... Je ne... »
Gibbs ne prit même pas le temps d'écouter ce que l'agent du NCIS était en train de dire.
Il descendit directement dans le labo d'Abby. La jeune femme était penchée sur l'un de ses appareils, elle soupira en le voyant :
« Gibbs, je suis douée mais pas à ce point là. Je... »
Elle l'observa un instant :
« Tu n'es pas venu pour ça hein ! »
Il ne prit pas la peine de répondre :
« Qu'est-ce qui se passe ? C'est à cause de Tony, c'est ça ? »
Elle ne lui laissa pas le temps de répondre
« Vous avez engagé une relation et tu ne sais pas comment ça va finir ! Tony a toujours été volage et toi tu es un vrai désastre dans les relations
amoureuses ! »
L'ex marine fut surpris par ce discours, même s'il n'était pas étonné que la jeune femme ait deviné que leur relation avait évolué. Elle interpréta son silence, assez justement :
« Mais bon, je crois que ça pourrait marcher ! Tony te vénère carrément, assez je pense pour rester fidèle... Et puis, je crois qu'il est exactement le type qu'il te faut ! Tu devrais oublier les femmes. Après tout, tu as essayé trois fois et ça a été un fiasco à chaque fois : c'est un signe ! »
Gibbs plongea son regard dans celui de la jeune, elle était la seule à pouvoir lui parler ainsi. Elle ajouta avec un sourire ravi :
« Et si tu veux savoir ce que notre bel italien fait en ce moment même, il est en train de rompre avec Maxence ! »
Etonné, Jetrho releva la tête :
« Et je le sais parce que je l'ai appelé et qu'il me l'a dit ! »
L'homme se mit à sourire :
« Merci jeune fille ! »
Il l'embrassa sur le front et se mit à sourire. Avant de quitter la pièce, il ajouta :
« Ne lambine pas, tu veux ! »
« Bien patron ! »
Dans le couloir, il s'arrêta un instant, il aimait Abby comme il aurait aimé sa propre fille. Elle savait si bien lire en lui...
Il se mit à sourire de nouveau, il pourrait sûrement se remettre au travail maintenant.
Et puis, il pensa à Tony avec Maxence. Il ne put s'empêcher de ressentir de la jalousie. Ce n'était pas justifié puisque, d'après Abby, ils étaient en train de rompre, mais il ne pût empêcher ce sentiment d'apparaître.
Il fallait absolument qu'il mette de l'ordre dans ses idées, qu'il décide ce qu'il voulait vraiment.
Gibbs remonta, ouvrit le tiroir de son bureau et sortit son arme et ses clés de voiture :
« En route ! On va voir la dernière scène de crime ! »
Kate se leva :
« Mais, on attend pas Tony ? »
« Nous n'avons pas le temps ! »
¤¤¤¤¤¤
Tony soupira quand il trouva le bureau vide. Il s'installa en se demandant où étaient les agents du NCIS.
La conversation qu'il venait d'avoir avec Maxence, bien que calme et posée, l'avait épuisé.
Max lui avait même avoué qu'il soupçonnait depuis longtemps que Tony avait une attirance pour son patron.
Il posa sa tête sur le bureau et la releva vivement quand il entendit la voix de Gibbs :
« Kate porte ça à Abby, il faut qu'elle l'analyse ! »
Ils s'arrêtèrent tous les trois en voyant Tony :
« Tiens Tony, tu es revenu ? »
« Non le bleu, qu'est-ce qui peut te faire penser ça ? »
Sans quitter son amant des yeux, Gibbs dit :
« Kate Abby labo vite ! »
« Euh oui ! »
La jeune femme lui jeta un regard contrit en passant devant son bureau. McGee les observa un instant et jugea préférable de s'éclipser :
« Je vais aller voir si je peux aider Abby ! »
Tony se mit à sourire :
« L'ambiance est tendue ! J'ai loupé un truc ? »
Gibbs lui jeta a peine un regard :
« Oui, nous avons une nouvelle victime ! Tuée de la même manière que les autres mais plusieurs heures après la mort de Chabre. Alors je te pose une question. Où étais-tu ? »
Tony ouvrit la bouche un instant, pour demander des renseignements sur la nouvelle victime mais quand il croisa le regard de son patron il jugea préférable de répondre à la question :
« Kate et moi, on est sortis de l'hôpital, on avait soif et dans le restaurant, on a rencontré Maxence. Nous avons parlé tout le deux ! Et me voilà, je savait pas que je vous manquerais autant ! »
Gibbs s'installa à son bureau :
« Nous somme allés à l'endroit où la dernière victime, Annie Cores, a été retrouvée ! »
L'italien tenta de croiser le regard de son amant, mais il restait obstinément fixé sur un dossier :
« Et qu'est-ce que vous avez trouvé ? »
« Quelques indices ! »
Tony soupira :
« Vas-y, demande-moi ! »
Toujours en fixant son dossier, l'ex marine demanda :
« Quoi ? »
« De quoi on a parlé avec Max... »
« Qu'est-ce que tu veux que... »
« Ne me dit pas que ça ne te fait rien ! J'ai dit à Maxcence qu'à partir de maintenant, on ne se verra plus et... »
Un raclement de gorge leur fit tourner la tête au même moment, Abby se tenait là devant eux :
« J'ai quelques nouveaux éléments à vous exposer ! »
« Où sont McGee et Kate ? »
« Ce sont des planqués, ils sont restés dans mon labo en attendant que la tempête passe ! »
Gibbs se leva et Tony s'approcha :
« Vas-y, Abby on t'écoute ! »
« Alors, d'après Ducky, Annie Cores a été tuée exactement de la même manière que les autres à quelques détails près. La personne qui a commis ce meurtre était gauchère alors que le sergent Chabre était droitier ! »
Tony fronça les sourcils :
« Donc, on a affaire à deux tueurs ! Ou a un plagia ! »
« Si c'est le cas, notre nouveau tueur connaissait forcement Chabre puisque personne n'a eu les détails des meurtres ! »
L'italien soupira :
« Donc on reprend l'enquête depuis le début ! »
Il posa ses fesses sur son bureau, Gibbs restait silencieux. Il fixait l'écran où s'étalait la photo et la pièce d'identité d'Annie Cores :
« Abby, va me chercher les deux trouillards et dis-leur de remonter tout de suite ! On va interroger les amis et la famille de cette jeune dame ! Toi et Ducky, je veux que vous me trouviez tout ce que vous pourrez sur les différences entre les meurtres de Chabre et celui-là ! »
Abby hocha la tête et descendit.
Toute la journée, les agent du NCIS cherchèrent des réponses à leurs questions...
Bien sûr, Tony était très préoccupé par la réaction de Gibbs mais il n'en laissa rien paraître...
Il était tard dans la soirée. Ils travaillaient tous sur leur dossier quand la voix de Gibbs les interrompit :
« On ne trouvera rien de plus ce soir, rentrez chez vous ! »
Kate soupira de soulagement :
« Merci ! Un seul rapport de plus sur l'état psychologique de la famille Chabre et c'est moi qu'il fallait interner ! »
« On peut arranger ça, si tu veux ! »
La jeune femme soupira et se tourna vers le bureau de son coéquipier :
« Tony, quand on a une habitude suicidaire, on évite de jeter la pierre aux autres ! »
Elle lui jeta un regard appuyé et sourit :
« Bonne soirée messieurs ! »
Tony se mit à rire et McGee se leva à son tour :
« Bien bon, je vais y aller aussi ! Abby m'emmène dans une boite à la mode, le 'Chéchana' ! »
L'italien fronça les sourcils :
« Le Chéchana ? »
« Oui pourquoi ? »
« Oh ça va te plaire le bleu ! »
Méfiant, McGee les salua et prit l'ascenseur. Gibbs releva la tête un instant :
« Si je ne me trompe, c'est un club échangiste ? »
« Oui c'est exactement ça ! »
L'ex-marine se mit à sourire. Tony se leva, essuya ses mains sur son jean, s'assura qu'il n'y avait personne alentour et se lança :
« Il faut que je passe chez toi récupérer ma voiture et mes clés d'appartement ! »
Sans un mot, son amant se leva, il le regarda s'éloigner :
« Tu viens ou il faut que je te prenne par la main ? »
Déçu, l'italien le suivit. Il aurait préféré que sont amant dise une chose comme ''tu reste chez moi !'' Ou ''Pourquoi tu veux récupérer tes clés, tu n'en as pas besoin''
Dans la voiture, Tony bouda littéralement. Il savait bien que c'était une attitude puérile, mais son amant l'avait vraiment déçu...
« DiNozzo, tu compte dormir là ? »
Tony releva la tête pour s'apercevoir qu'il était arrivé. Il descendit de la voiture et attendit que son patron ouvre la porte. Il observa la pièce à la recherche de ses affaires :
« Installe-toi ! »
« Non je vais... »
« Assis DiNozzo ! »
Tony soupira et s'installa en pensant que Gibbs allait chercher ses affaires. Il se prit la tête entre les mains en ce demandant s'il aurait un jour de nouveau la chance de partager le même lit que son amant.
Il crut rêver quand une main se glissa dans ses cheveux :
« Je vais refaire ton pansement ! »
Machinalement, Tony plongea son regard dans les yeux de son amant et passa sa main sur le petit carré blanc à son front :
« Oh ! »
« Quoi oh ? Tu préfères le faire toi même ? Parce que jouer les infirmières, c'est pas mon truc... »
Tony s'empêcha de sourire quand l'image de son patron avec une blouse blanche lui traversa l'esprit :
« Non ! Non vas-y, je t'en prie ! »
Il décolla doucement le pansement et nettoya la plaie. Il remit un pansement plus petit et puis croisa le regard de son amant :
« Quoi ? »
« Non rien ! »
« Tony ! »
Le jeune homme soupira, il s'approcha de son amant et l'embrassa avec passion. Il s'arracha à ses lèvres et soupira :
« Je ferais mieux de rentrer ! »
Il se leva et son patron fit de même :
« Où est-ce que j'ai mis mes clés ? »
Il se mit à chercher :
« Tony ! »
Il ne voulait pas se retourner :
« Tony ! »
Il s'arrêta mais ne se retourna toujours pas :
« Reste ! »
Cette fois, il se retourna vivement, mais ne dit rien :
« Ne m'oblige pas à le redemander ! »
« Ce n'est pas la peine ! »
Tony s'avança doucement, le sourire aux lèvres.
Il attrapa la veste de son patron et le fit basculer sur le canapé, avant même que l'homme n'ait pu dire un mot, il fondit sur ses lèvres et l'embrassa passionnément.
Il retrouva avec une joie immense les sensations qu'il avait connues il n'y a pas si
longtemps. Le gémissement que laissa échapper Gibbs remit le feu à ses sens.
Cette fois, il n'eut pas la patience d'attendre...
Il enleva la veste et débouta la chemise de son amant d'une main, l'autre était
occupée à caresser l'entrejambe de l'ex-marine...
Une fois le torse de son amant dégagé, il se mit à embrasser et lécher chaque parcelle de sa peau nue. Il captura ses tétons tendus entre ses dents. Doucement, il glissa sa main à travers le pantalon et le boxer de son patron, empoigna la virilité de l'homme et celui-ci se mit à gémir.
Tony releva alors la tête et croisa le regard de son amant, sans même s'en rendre compte, il susurra dans sa langue maternelle :
« Tesoro. Mi fai impazzire…1 »
Au moment même où son amant allait ouvrir la bouche pour probablement demander une traduction, l'italien resserra sa main sur son sexe à présent tendu. Il hésita un instant et embrassa le fin duvet de poils qui descendait vers son intimité...
Jethro frissonna, il dut juger que la situation avait assez duré. Il attrapa le menton de son amant et l'embrassa avec fièvre avant de le déshabiller à son tour...
1"Chéri tu me fais devenir fou" en italien dans le texte merci a Cybèle pour m'avoir très gentilement traduit les mots que je voulais caaaaaaaaaalin !
ne me taper pas hein ! euh ok alors en plus comme je suis pas la jusqu'au mercredi 10 il va falloir attendre la suite (si j'ai le temps de l'écrire )
pourquoi vous faite cette tête la ? gentil les gens gentil !
