voilà la suite !

merci a cybélia et a Oneechan (supi ) pour m'avoir aider a finir ce chap ! ce n'est pas le dernier mais l'avant dernier !

voilà et pour une fois je crois que vous aller adorée la fin lol

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Assis sur un banc devant les bureaux du NCIS, Tony attendait... Mais qu'attendait-il ? Peut-être de comprendre ce qui se passait dans la tête de son amant. Il soupira, il n'arrivait pas à en vouloir à son amant, tout était allé trop vite entre eux...

Après tout, avant d'engager cette relation, l'ex marine n'avait jamais envisagé d'aimer un homme. Et encore moins son subordonné.

Tony se mit à sourire :

« Qui vivra verra ! »

Il se leva et se dirigea doucement vers les bureaux. Gibbs devait déjà être rentré. Il fallait qu'il réfléchisse ensemble à leur affaire. L'ex marine avait du flair, il savait toujours quand les gens mentaient, c'était pour cette raison qu'il était le meilleur dans la profession.

Si Jethro lui affirmait que Noah cachait quelque chose il le croyait, malgré le fait que la jeune femme semblait douce, innocente et perdue.

En entrant dans le grand hall, il se mit à rire : si demain Gibbs lui disait que la terre était en fait plate, il le croirait. De la confiance aveugle à la stupidité, il n'y avait qu'un pas et l'amour aidait souvent à le franchir...

Dans le grand hall, presque vide à cette heure de la journée, quelques agents de différents services se réunissaient pour discuter, manger et se changer les idées. Le soleil entrait par les grandes baies vitrées, il faisait bon et tout semblait serein. Tony aperçu deux de ses amies assises à une table. Il allait s'approcher quand un hurlement l'arrêta.

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Abby se planta devant le bureau de son patron avec un grand sourire :

« Boss, tu vas m'adorer ! »

« Seulement si tu me dis que tu as trouvé notre meurtrier ! »

« J'ai trouvé notre meurtrier ! »

Le sourire de la jeune femme s'élargit quand son patron posa ses yeux sur elle. Tim et Kate se précipitèrent vers elle :

« Comment tu as fais ? »

Abby jeta un coup d'œil au bleu puis à son patron :

« Vas-y, on t'écoute ! »

« Tu te souviens que quand tu es rentré avec Tony de son incarcération, Ducky voulais te parler ? »

Gibbs la fixa et soupira :

« Oui enfin bref ! Ducky est venu me trouver tout à l'heure, vu qu'il n'a pas pu te parler, il m'a confié ce qu'il avait à te dire. Il a trouver une emprunte partielle sur le corps de notre dernière victime. »

Son sourire s'élargit encore :

« Pendant que vous faisiez tous des recherches sur des pistes qui n'ont menées à rien.. D'ailleurs je n'ai même pas pris la peine de faire ce que tu m'as demandé par visiophone tout à l'heure... Quoi ? Tu l'as dis toi-même, ça n'aurait rien donné de toutes façons... »

Comme la jeune femme le regardait avec une moue boudeuse, Gibbs soupira :

« La suite Abby ! »

« Hé bien donc, avec cette emprunte, j'ai cherché dans tous les fichiers de police et même bien plus. Tenez-vous bien, vous n'aller pas croire ce que je viens de découvrir... »

Gibbs se leva :

« Cette emprunte appartient à Noah Chabre ! »

Abby cessa de sourire :

« Gibbs, tu as gâché tout mon petit effet ! Et comment tu sais que c'est à elle qu'elle appartient ? Pour le savoir, j'ai du déterrer son dossier, vu que tout le monde la croyait morte... »

«Kate, appelle Tony, il devrait déjà être là ! Dis-lui qu'on fonce à l'hôpital arrêter Chabre ! »

Gibbs s'arrêta. Un homme venait d'accourir vers lui :

« Vous êtes le NCIS ? L'agent DiNozzo travaille pour vous ? »

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Les mains en l'air, Tony observait Noah Chabre en larmes en face de lui. Elle le tenait en joue :

« Noah, calmez-vous, posez cette arme... »

Comment diable avait-elle réussi à se procurer cette arme ? Elle semblait s'être échappée très vite de l'hôpital. Elle portait encore la chemise de nuit qu'il lui avait offerte, ses pieds étaient nus et ses cheveux emmêlés.

Ses mains tremblaient, les larmes maculaient ses joues. D'une voix qui n'avait plus rien de douce, plus rien d'enjoué, elle hurla :

« Vous m'avez trahi j'avais confiance en vous et vous n'êtes qu'un monstre. »

Gardant toujours ses mains entre lui et la jeune femme, Tony chercha des yeux un moyen de s'en sortir. Les gardes de la sécurité les entouraient tous les deux, leurs armes pointées sur la jeune femme, le hall avait été évacué. Mais l'homme que la jeune femme avait blessé était toujours étendu sur le sol. Tony tentait de voir si l'agent de la sécurité respirait toujours, quand elle hurla :

« Faites-les partir ou je tire ! Qu'ils s'en aillent ! »

Résigné, Tony obtempéra :

« Messieurs, je crois que vous feriez mieux de partir ! Emmenez votre collègue loin d'ici... »

Les hommes ne bougeaient pas. Noah perdit patience. Elle visa un pot de fleur à quelques centimètres de l'italien et tira. Le pot explosa sous l'impact :

« Faites ce que je vous dis, j'en prend la responsabilité ! »

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Sur l'écran de contrôle, Gibbs vit les hommes se retirer et emmener la victime :

« Conduisez les ambulancier à eux ! »

Un homme se leva et sortit, Kate s'approcha de l'écran, vraiment inquiète pour son ami :

« Qu'est-ce que tu fous DiNozzo ! »

Malgré la situation, Jethro gardait un calme étrange :

« Il fait le vide autour de lui, persuadé de pouvoir raisonner cette femme. »

L'ex marine se dirigea vers le fond de la salle et passa un gilet pare-balle :

« Et tu crois qu'il arrivera à la raisonner ? »

« Non, elle va le tuer ! »

« Pourquoi ? »

McGee fronçait les sourcils sans quitter l'écran des yeux :

« Parce qu'elle considérait Tony comme un homme acceptable, parce qu'elle en est tombée amoureuse, persuadée qu'il faisait, selon les critères de sa famille, un homme stable... »

Gibbs sortit son arme et vérifia que tout marchait correctement :

« Parce qu'elle s'est rendue compte, quand Tony m'a embrassé, que jamais il ne serait à elle et qu'il n'était pas un homme acceptable. »

L'homme de la sécurité ainsi que Tim avaient la bouche ouverte et fixaient hagard l'ex marine, mais il ne s'en préoccupait pas :

« Je veux que tout nos hommes se postent aux sorties du bâtiment ! Je vais y aller... »

Abby attrapa le bras de son patron :

« Je crois pas que ce soit une bonne idée, Gibbs ! »

« Elle a raison Jethro, si elle en veut à Tony, cette jeune femme doit t'en vouloir encore plus, tu ne feras que compliquer la situation... »

L'ex marine fixa le médecin légiste et soupira. Sans se retourner vers McGee, il lui dit :

« Ferme la bouche McGee et réfléchis à une solution ! »

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Tony fixait la jeune femme, son visage était déformé par la haine, ses larmes s'étaient taries mais le tremblement de ses mains était toujours là. Il fallait qu'il gagne du temps :

« Noah, j'aimerais comprendre pourquoi toute cette colère ? »

Elle fit un geste brusque avec l'arme et elle se mit à marcher de long en large. Discrètement, Tony tenta de se rapprocher d'elle. S'il tentait de la désarmer maintenant, elle le verrait approcher, il était trop loin d'elle :

« Tu sais très bien pourquoi... »

Son regard était dur et furieux :

« Je t'ai vu hein ! Je t'ai vu poser tes lèvres sur les siennes... Cet homme là... »

Tony se crispa :

« C'est vraiment une sale journée... »

« Et ce n'est pas fini, si tu crois que je vais te laisser vivre alors que tu m'as fait tant de mal, je ne... »

Des rire et les bruits d'une conversation l'empêchèrent de finir sa phrase, un groupe de jeunes femmes riait en s'approchant, inconscientes du danger...

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Dans la salle de contrôle, devant l'écran de surveillance, Gibbs pesta :

« Que font ces femmes ici ? J'avais demandé à ce que le bâtiment soit vidé ! D'où sortent-elles ? »

L'homme en uniforme bafouilla :

« Je ne ... je ne sais pas monsieur ... je... »

Jethro attrapa une des radios et ordonna :

« Ne bougez pas ! A toutes les unités gardez vos positions ! »

Kate fronça les sourcils :

« Qu'est-ce qu'on fait Gibbs ? »

L'homme soupira :

« On fait confiance à Tony ! »

« Est-ce qu'on peut l'aider ? »

McGee s'approcha :

« Il faudrait qu'on puisse communiquer avec lui... »

« J'espère que tu dis ça parce que tu as une idée de comment faire ! »

Tim ouvrit et referma la bouche :

« Euh... Euh... »

« J'écoute McGee ! »

« Hé bien je pense que... »

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Tony jura quand il vit les trois jeunes femmes se figer. Sans même réfléchir, il hurla :

« Noah ! »

La jeune femme se retourna vivement tout en gardant son arme braquée sur les

trois arrivantes mais lança un regard meurtrier vers l'italien :

« Vous venez de blesser un agent de la sécurité ! Vous avez braqué votre arme sur un agent du NCIS ! N'aggravez pas votre cas. En ce moment même une équipe d'intervention se prépare probablement à un assaut pour vous maîtriser. »

Elle n'eut aucune réaction, comme si rien ne pouvait l'atteindre. Tony continua comme si ça pouvait être utile :

« Arrêtez tout ça maintenant. Et vous aurez peut-être une chance de vous en sortir... »

Son regard se voila et elle se mit à rire. Profitant qu'elle ait fermé les yeux quelques secondes, Tony fit signe aux jeunes femmes de ne pas bouger. Le rire de Noah lui glaça le sang :

« S'il font ça, je fais exploser le bâtiment. Mes frères m'ont appris pas mal de trucs tu sais... »

DiNozzo tenta de voir si la jeune femme disait vrai, mais il était impossible de lire en elle. Il regretta un instant que son amant ne soit pas présent à ses cotés. Il fut surprit par la voix de Noah :

« Je fais une cible parfaite là, n'est-ce pas ? »

L'agent du NCIS jeta un coup d'œil aux grandes baies vitrées :

« Nous allons, mesdemoiselles, nous diriger vers cette porte là. »

Comme elles ne bougeaient pas, elle hurla :

« Plus vite que ça ! »

Tony leur tendit les mains et les conduisit vers la salle de conférence. La pièce était pleine de sièges marrons, avec des tablettes de même couleur, un écran tapissait le mur du fond juste au-dessus de la scène. Ils traversèrent l'allée et elle les fit s'asseoir sur les sièges de devant. Elle monta sur les tréteaux et se mit à observer la salle. Tony s'approcha d'elle, il fallait savoir si elle mentait ou non pour la bombe...

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« Il y a des caméras dans cette pièce ? »

Comme l'homme ne répondait pas, Gibbs hurla :

« Hé vous là, je vous parle, c'est quoi votre nom ? »

L'homme bafouilla :

« Joe Uzan, Monsieur ! »

« Joe, y a-t-il des caméras dans cette pièce ? »

« Oui, Monsieur ! »

Il tapa sur son clavier et la salle de conférence apparut sur le moniteur. Gibbs soupira :

« McGee, votre idée est stupide ! »

Le bleu fut visiblement vexé :

« Mais, elle a des chances de marcher vu comment ils sont placés. Abby ! »

La jeune femme détacha ses yeux de l'écran :

« Il nous faut du matériel ! »

« Bien j'en ai pas pour longtemps, j'ai tout ce qu'il faut dans mon labo. »

Gardant ses yeux fixés sur son amant, Jethro ordonna :

« Kate, prends des équipes d'intervention : qu'ils fouillent le bâtiment à la recherche d'une éventuelle bombe. »

« Tu crois que c'est du bluff ? »

« On ne peut pas prendre le risque. »

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« Noah, que voulez vous ? »

« Quoi ? Qu'est-ce que je veux ? Mais c'est très simple, je veux vous sauver, sauver votre âme... »

Tony s'empêcha de soupirer, ça devenait une obsession chez les Chabre de vouloir sauver son âme :

« Je n'en ai pas besoin Noah... Et si c'est moi que ça concerne, laissez-les partir.»

Il désigna les trois jeune femme qui le regardaient, terrifiées :

« Non, elles sont mon assurance-vie. »

« Vous ne sortirez pas d'ici vivante, pas si vous continuez comme ça. Rendez-vous tant qu'il est encore temps. »

« Vous oubliez la bombe j'ai placée dans l'immeuble. »

« Pourquoi avoir posé cette bombe ? »

« Pour vous démontrer vos erreurs, je suis bien plus acceptable que cet... »

Elle eut une grimace de dégoût :

« Cet homme. »

Tony allait répondre quand une chose heurta son pied. Il baissa les yeux et releva la tête vivement.

Noah observait la pièce, probablement pour repérer les caméras, il se pencha bien vite et attrapa la petite oreillette place dans la voiture téléguidée d'Abby. Il la plaça discrètement dans son oreille.

Son cœur se mit à battre plus vite quand la voix de son amant retentit dans l'appareil :

« DiNozzo, tu es un imbécile... »

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Joe fixa l'homme penché sur l'écran de contrôle :

« C'est comme ça que Gibbs motive ses troupes, vous en faites pas ! »

Kaite sourit à Abby et Gibbs leur jeta un regard noir :

« On cherche la bombe Tony ! Tu dois la faire patienter ! »

La caméra fit un zoom sur l'agent du NCIS, il hocha la tête tout doucement :

« Nous avons la preuve que notre dernière victime a été tuée par Noah Chabre ! Ses empruntes ont été retrouvées sur le corps... »

Jethro vit son amant pâlir, il observait la jeune femme qui faisait les cent pas dans la pièce :

« Ne prends aucun risque, tu m'entends ! Elle est aussi cinglée que ses frères méfie-toi ! »

A regret, Jethro quitta l'écran des yeux pour fixer Kate :

« Cette bombe ça vient ? »

La jeune femme porta sa main au communicateur qu'elle avait à l'oreille et répondit :

« Ils ont déjà fouillé les trois dernier étages du bâtiment, il n'y a rien ! »

« Tony, si cette bombe existe, on la trouvera. On a besoin de temps, fais-la parler, tente de savoir si elle ment ! Mais ne prends pas de risque, j'ai encore énormément de chose à te dire. »

Gibbs vit son amant sourire sur le moniteur. Il sentit son cœur se serrer. Pourquoi fallait-il que tout se complique. Il passa sa main dans ses cheveux :

« On regrette de ne pas s'être lancé patron ? Tu aurais du... »

« Ferme-la Kate, tu veux ! »

Joe tiqua et Kate se mit à sourire :

« Bien patron ! »

Il avait horreur qu'on lui dise ce qu'il devait ou ce qu'il aurait du faire.

Avouer un amour qu'il n'était même pas sûr de ressentir n'était pas une bonne idée...

Gardant toujours les yeux fixés sur l'écran où son amant tentait de rassurer les trois jeunes femmes sous l'œil de leur bourreau, il tenta de réfléchir à ce qu'il ressentait.

Jamais il n'avait éprouvé autant de confusion envers ses ex-femmes, tout était clair et simple. Mais chaque fois qu'il pensait à Tony, rien n'était clair et rien n'était simple. Ce qui était sûr, c'est que l'idée même de perdre le jeune homme lui paraissait insupportable.

Il avait pris l'habitude d'avoir son amant près de lui, dans sa vie, et dans son lit…

Il s'était surpris plusieurs fois à chercher le jeune homme dès qu'il quittait son champ de vision... A lui sourire quand leurs regards se croisaient.

Peut-être, oui, était-il tombé sous le charme de son amant, lui, amoureux et d'un homme en plus.

Ses ex-femmes n'en reviendraient pas...

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Penché sur les trois jeunes femmes, Tony se releva en leur souriant :

« Tout se passera bien, vous verrez ! Nous avons un ange gardien qui veille sur nous ! »

Dans l'oreillette il entendit :

« Je n'ai vraiment rien d'un ange DiNozzo ! »

En fixant l'une des jeunes femmes, il murmura :

« Je parlais de Ducky ! »

Entendre le rire de son amant lui fit un bien fou, il se retourna vers Noah plus confiant :

« Noah ! »

La jeune femme le fixa et pointa son arme vers lui, il leva aussitôt les mains :

« Ecoutez, je veux juste discuter, d'accord ! Vous avez dit vouloir m'aider alors aidez-moi... »

Elle fronça les sourcils, comme si elle tentait de voir au plus profond de lui pour savoir s'il mentait :

« J'aimerais que vous m'aidiez mais je ne peux pas vous faire confiance tant qu'il y a cette bombe, tant que vous ne laissez pas partir ces jeunes femmes ! Elles sont innocentes après tout. »

Le rire froid et glacial de Noah retentit dans la salle vide :

« Ne rêvez pas Tony ! De nos jours, aucune femme n'est pure ! Mon frère me l'a assez répété. Par chance, mes frères et mon père ont su me protéger de tout ça. »

« Noah vous rendez-vous compte de ce que vous venez de dire ? Ils vous ont enfermée pendant des années ! »

« Oui, mais je suis... je suis... »

Une larme roula sur sa joue. Elle fit un geste brusque avec son arme en direction de Tony :

« Arrête ! Arrête de m'embrouiller, tu m'entends ! C'est toi qui me fais penser tout ça, tu es le mal personnifié... »

« Moi ? Ce n'est pas moi qui ait tué des gens ! »

« Vous faites pire, vous êtes pervertis, vous... »

Tony soupira, ferma les yeux un instant :

« J'ai déjà eu cette conversation avec votre frère ! »

« Il n'a pas su vous convaincre. Il a échoué mais moi je réussirai à te sauver, je t'aime vois-tu ? Moi, pas lui, lui ne t'aime pas, il n'est pas convenable... »

L'italien se mit à sourire :

« Je vous l'accorde, il est grognon, souvent impatient et peu démonstratif... Mais il m'aime, même s'il ne s'en est pas encore rendu compte. »

L'horrible rire de la jeune femme retentit de nouveau dans la pièce :

« Tu tentes de t'en convaincre... »

« Non, je le sais ! Ce n'est que de l'amour, Noah...

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Le cœur de Gibbs s'était serré à ces mots, comment Tony pouvait-il être sûr de ses sentiments pour lui ? Alors que lui-même en doutait encore :

« Ce n'est que de l'amour, Noah, qu'il soit entre homme et femme, entre deux hommes ou deux femmes, ça reste de l'amour ! »

« NON c'est faux ! »

« Vas-y doucement Tony... »

Il fut surpris d'entendre que sa voix était si rauque, à ses côtés, le bleu et Joe ne le quittaient pas du regard :

« Vous n'avez rien d'autre à faire, vous deux ! »

Ils sursautèrent et se remirent a pianoter sur le clavier de contrôle. Le regard de Kate croisa celui d'Abby et elles se mirent à sourire. Dans leur oreillette, la voix de Tony retentit encore :

« Vous ne pouvez pas nous punir pour ça... »

Avec une voix hystérique, Noah rétorqua :

« Mais si je peux ! C'est un devoir même ! »

« Très bien dans ce cas allons-y, faites ce que vous avez à faire... Mais avant, vous devez désamorcer cette bombe et libérer ces dames. »

Gibbs hurla :

« Qu'est-ce que tu fous DiNozzo ? »

« Patron, patron... »

Comme Jethro ne répondait pas et continuait de fixer l'écran, le bleu continua :

« Patron... »

« Quoi McGee ? »

« Tony, enfin je veux dire avec sa main regardez... »

Gibbs fixa l'écran, son amant ouvrait et refermait son poing par intermittence :

« C'est du morse, Monsieur... »

« Je sais McGee ! »

Kate tendit un papier et un crayon à son patron :

« L A I S S E M O I FA I R E »

Abby s'approcha :

« Oui, mais qu'est-ce qu'il tente de faire ? »

Jethro soupira :

« Il veut la faire sortir du bâtiment, pour qu'on puisse agir... »

Kate ne put retenir un léger cri :

« Il est dingue, elle va le tuer. »

Gibbs prit son arme :

« Pas si je m'occupe d'elle avant ! »

Il sortit vivement sans un mot de plus. Kate et Tim sortirent derrière leur patron. Joe fixa un instant le médecin et la gothique :

« Que va-t-il faire ? »

Ducky et Abby se regardèrent un instant en disant :

« La tuer très certainement... »

a suivre...

alors ? je vous avez dit que la fin de ce chap vous plairais mdr
bon je sais le reste du chapitre est pas génial !
je suis désoler c'est un peu tordu mais vu que je marche pas droit sa peu pas l'être

la suite dans deux semaine