Coucou tout le monde les gens! Me revoilà ( qui a dit"ça fait longtemps" ? ) avec une songfic!
Blabla: persos pas à moi, mais à Mrs Rowling et la chanson est à Julien Clerc!J'ai légèrement modifié les paroles :normalement la chanson s'adresse à une femme, pour ceux qui ne connaisse pas, alors je l'ai transformé pour qu'elle s'adresse à un homme.
Ceci est un slash! Soft, certe, mais slash quand même. Donc relation entre deux hommes, pour l'occasion Harry Potter et Severus Snape! Ceux que ça dérange n'ont rienà faire là! Au revoir!
Je voulais dire à tout les lecteurs de LENS (laissons éclater nos sentiments) que je ne saispas quand je publierais le prochain chapitre parce que l'inspiration s'est fait la malle avec les cours. Elle reviendra peut être avant la fin juin mais c'est pas sûr!
Je dédie cette fic à tout mes lecteurs! Gros Bisous à vous!
Bonne lecture!
Beaucoup de gens ont eut du mal à accepter notre relation. Comment le Survivant pouvait-il aimer un homme ? Comment le Survivant pouvait-il aimer un Mangemort ? Severus Snape ?
Le simple fait de nous tenir la main en public nous attire les regards méprisants. Les gens se figent, font leurs messes basses et reprennent leurs habitudes mais les quelques coups d'œil qu'ils nous renvoient encore ne sont pas plaisants.
Je le sais
Sa façon d'être à moi, parfois
Vous déplait
Autour d'lui et moi le silence se fait
Mais il est
Ma préférence à moi...
Ce visage si peu expressif que l'on voit, je suis même tenté de dire, que le commun des mortels voit, est un masque. Un masque qu'il a toujours adopté pour faire face au monde. Ce masque a terrorisé plus d'un élève et a insulté plus d'une personne. Moi en premier. Je ne supportais pas de le voir aussi impassible. Puis j'ai appris à faire avec.
Oui, je sais
Cet air d'indifférence qui est
Sa défense
Vous fait souvent offense...
Ce masque n'est là que quand nous sommes entourés de gens. Mais je sais quand il ne se sent pas à sa place malgré son air figé. Il n'aime pas la foule et si il y est confronté, ses yeux balaient la pièce. Il cherche désespérément une issue à cette impression d'étouffement. Alors je m'excuse auprès de mes proches qui se soucient de lui comme d'un déchet, et nous rentrons au calme.
Mais quand il est Parmi mes amis de faïence De faïence Je sais sa défaillance...
Au début de notre relation et encore maintenant, les gens croient que je ne supporte pas ce qu'il est, ce qu'ils voient : froid, méchant, et sarcastique. Ils n'ont seulement pas compris qu'il n'est comme ça qu'avec eux. Ils voulaient tous, et ils le veulent toujours j'en suis sûr, que je le quitte. Le quitter… Ils sont fous, je l'aime, il m'aime et c'est lui que j'ai choisit.
Je le sais
On ne me croit pas fidèle à
Ce qu'il est
Et déjà vous parlez de lui à l'imparfait
Mais il est
Ma préférence à moi...
Je suis le seul à pouvoir lire ses regards. En fait, c'est peut-être une des seules choses qui peut me dire ce qu'il ressent à l'instant où je le regarde. Il ne me le dirait pas, il est bien trop fier pour ça. Et quand les gens essaient de décrypter la lueur qui anime ses magnifiques orbes sombres, l'étincelle disparaît. Je suis le seul à qui sont destiné ses regards.
Il faut le croire
Moi seul je sais quand il a froid
Ses regards
Ne regardent que moi
Je me rappelle encore comment notre relation a évolué. C'est par hasard que nous nous sommes retrouvés seuls dans le parc de Poudlard la nuit qui a suivit la défaite de Voldemort. Il recherchait de la tranquillité pour réfléchir et moi je cherchais de la tranquillité, tout simplement. Je l'ai vu allongé à l'abri d'un saule pleureur, au bord du lac, interrogeant la lune et les étoiles. Je l'ai observé pendant une bonne heure. Je ne le voyais plus comme un Mangemort depuis pas mal de temps et je me suis surpris à apprécier, à aimer, sa façon d'être. Cette noirceur entachant sa vie, cette aura sombre et mystérieuse l'entourant en permanence, cette solitude imposée dans le but de protéger les gens qu'il aimait et de ne pas souffrir plus – du moins c'est ce que je me plaisais à imaginer. Et puis, il m'a appelé ou plutôt interpellé. « Potter ! Arrêtez de me regarder bêtement ! Ou vous rejoignez vos petits camarades fêtards ou bien vous vous installez ! »
Par hasard
Il aime mon incertitude
Par hasard
J'aime sa solitude...
Et contre toute attente, je me suis allongé à ses côtés. Il était aussi surpris que moi, je crois. Puis il s'est fait à ma présence, cette nuit là. Il s'est fait à ma présence cette vie-là. Nous avons discuté jusqu'à pas d'heure. Au bout d'un certain moment, un silence apaisant s'était installé. Quand la pluie s'est mise à tomber, j'ai soupiré. Un soupir de pur soulagement. C'était comme si la pluie lavait mes fautes. Et Severus a ressentit la même chose que moi.
Il faut le croire
Moi seul je sais quand il a froid
Ses regards
Ne regardent que moi
La pluie a fini par traverser mes vêtements. J'ai frissonné, c'est peut être ça qui a fait avancer notre relation. Il l'a vu. Et, avant même que je m'en rende compte, j'étais dans ses bras. Quand j'ai compris, je me suis crispé. Je ne savais pas quelle attitude adopter. Je ne savais pas la nature de mes sentiments pour lui, à cet instant là. Je ne le détestait plus. Mais je ne pense pas que je l'aimais encore. J'éprouvais un profond respect et une grande affection pour cet homme seul depuis tellement longtemps.
Par hasard
Il aime mon incertitude
Par hasard
J'aime sa solitude...
Dans son étreinte, je suis devenu incertain. Il l'a sûrement sentit parce qu'il a enfouit sa tête dans mon cou et a murmuré à mon oreille « La pluie, c'est les larmes de ceux qui sont morts. Elle efface nos fautes, ils nous les pardonnent. On nous a permis de tout reconstruire. Recommençons. Ensemble. » Je me suis détendu dans ses bras et j'ai posé ma tête sur son torse. Il m'a serré. Fort. J'ai fait pareil. Nous ne nous sommes pas embrassés cette soirée-là. Mais nous avons dormis ensemble. Notre relation a commencé en douceur. Nous avons appris à nous connaître mieux. Pendant près de deux mois, nous ne sommes pas allés plus loin que le french kiss. Puis, une nuit, de baisers en baisers, nous avons fait l'amour pour la première fois. Ma première aussi, pour l'occasion.
Je le sais
Sa façon d'être à moi, parfois
Vous déplaît
Autour d'lui et moi le silence se fait
Mais il est
Il est ma chance à moi
Ma préférence à moi
Ma préférence à moi...
Depuis, on ne s'est jamais plus quitté. Ca nous ai arrivé de s'envoyé des assiettes, comme dans les mauvais films guimauves, mais tout a, toujours, été réparé grâce à notre compréhension mutuelle.
En ce moment même, j'ai les yeux fixés sur lui, nu et allongé parmis les draps bleus nuit. Sa peau blanche rougeoyant légèrement à la lueur des bougies. Ma main posée sur son torse, le caressant légèrement.
Plongé dans mes pensées, je ne l'ai pas vu se réveiller et ce n'est que lorsqu'il m'attire dans ses bras que je le remarque. Je pose ma tête là où était ma main quelques secondes auparavant et il passe ses doigts dans les cheveux à la base de ma nuque.
« A quoi penses-tu ? » me demande-t-il, doucement.
« Je repensais à notre histoire. Comment est-ce qu'on en est arrivé là. Et je me dis que je t'aime trop pour songer ne serait-ce qu'un jour te quitter. »
Je relève un peu ma tête et mon regard s'accroche au sien. J'y vois la même chose qu'il doit lire dans mon regard. Et il me le dit, de la même manière qu'il m'a dit ce qui nous a permis de tout recommencer « Nous avons eut la possibilité de pouvoir repartir à zéro. Et nous avons chacun saisis notre chance. »
Je tends le cou et je l'embrasse passionnément.
Il est vraiment ma chance.
Et voilà! Un gentil tout mignon OS plein de guimauve!
Review?
Merci tout plein et à la prochaine!
