Ohayô! Oulala, sa fait longtemps que je n'ai rien mit en ligne...heureusement que Tsu ne vérifie as les mise a jour...

Tatsuki : DITA ! C'est quoi se bordel ? Sa fait un mois et demi que t'as rien mit ! espece de feignasse !

Dita : oups…bon ba, voila un nouveau chap. !

Disclamer : rien ne nous appartient, a part nos humble personne…

Il me semble qu'il est inutile de remettre un lexique…s'il s'avérait qu'il manque des mots, vous pouvez toujours demander la trad ! (logiquement, ils ont tous étaient noté dans les chapitre précédent !)


Chap. IV . Rapprochement, plan…et...Sake!

Dita et Gokû finirent par abandonner, le combat était encore loin d'être terminé, mais les deux aberrations étaient affamées. D'un commun accord, ils décidèrent qu'ils avaient un niveau quasi similaire et se précipitèrent dans la cuisine afin de dévaliser les merveilles succulentes créées par la demie.

Ils retrouvèrent un bonze à l'air revêche en train de tenter de lire pour la énième fois sont journal. (Sanzo : Décidément, j'aurais jamais la paix dans cette baraque.) Sans se soucier de la colère couvent chez le blond, les deux aberrations racontèrent le combat à leur jeune amie rousse, avant d'en parler ensemble, s'échangeant des conseils sur leurs techniques.

Après avoir vidées les placards et tout mis sur la table, les deux saru commencèrent leur festin, attendant impatiemment le gâteau final du tabou. Celui-ci arriva bientôt, vite découper par celle qui l'avait préparée quelques instants plus tôt. Mais la maladresse de Tatsuki ressortit et cette dernière se coupa. Hakkai accourut à elle, afin de la soigner. Tsuki devint aussi rouge qu'une tomate pendant que le youkais aux yeux verts s'occupait de son doigt.

Gojyo observa la scène sans rien dire, souriant juste quand il vit sa sœur rougir encore plus sous le regard tendre d'Hakkai. Tatsuki prétendit avoir le four à surveiller afin d'aller retrouver des couleurs plus douces dans sa cuisine.

Le tabou en profita pour s'approcher de son ami et lui murmurer des mots que seul eux deux pouvaient entendre. Seul bémol que le roux n'avait pas prévu, c'était que la jeune aberration savait lire sur les lèvres.

« - je sais que tu prendras soin d'elle. Mais fait-la pleurer ne serait-ce qu'une fois… »

- Dita, ça va ? S'enquit son frère.

- Euh, oui, tournant le regard vers son frère. Pourquoi ?

- Tu as fait une tête bizarre tout à l'heure.

- Ah, ça…je supporte mal la vue du sang, quand il coule hors combat.

Dita sortit prendre un peu l'air, sans se rendre compte qu'elle était suivit. Elle s'assit sur un banc, tout prêt d'une marre couverte de fleurs de lotus. Elle sortit son paquet de clopes et son briquet. En prit une et la tassa sur son briquet, d'un geste mécanique, l'esprit ailleurs, perdu dans ses pensées. Elle émergea cependant quand elle s'aperçu que la pierre de son briquet était morte.

- K'so

- Tu veux du feu ? Proposa le demi en s'asseyant prés d'elle.

- Volontiers.

Le tabou alluma son briquet et présenta la flamme à la jeune fille. Celle-ci put enfin tirer une première et exquise bouffé de fumée blanche.

- Merci.

- De rien.

Le demi fit de même et tous deux fumèrent en silence. Ce fut le roux qui rompit ce moment de tranquillité en premier, alors que leur cigarette était déjà à moitié consumée.

- Ca t'arrive souvent ?

- De me sentir mal à la vue du sang ?

- Oui…

- Ca dépend…lors d'un combat, cela me fait ni chaud ni froid. Seules les blessures provoquées par la personne blessée elle-même, volontairement ou accidentellement, me font cette effet. Cela me rappel trop mon enfance. Enfin, mes 100 premières années d'errance.

- Ah, je vois. J'ai crut entendre que tu t'étais battu contre Gokû.

- Oui.

- Alors ?

- Exe quo.

Dita écrasa sa clope, bientôt imité par le roux. Puis Gojyo s'approcha de son infirmière. Il plaça son bras autour de ses épaules et l'attira à lui. Dita se laissa faire, posant sa tête sur le torse musclé du tabou. Elle resta quelques instants ainsi avant de se relever et d'embrasser le kappa pervers.

La langue de la brune alla s'égarer sur les lèvres encore amer par le tabac, du jeune homme. Elle s'entrouvrirent presque immédiatement, laissant la jeune fille approfondir leur premier baiser.

Quand ils se séparèrent, ce fut pour reprendre leur souffle qui commençait à leur manquer.

…pendant ce temps là, dans la salle à manger…

Gokû eut vite fait d'avoir finit de manger. Il décida d'aller emprunter le livre de sa sœur afin d'apprendre à faire et à contrer les coups qu'il avait dû subir quelques instants plus tôt. (Dita : ah bon ? t'as assez de cerveau pour apprendre quelques choses ? Gokû : ba, oui, qu'est ce que tu crois ? On est jumeaux, j'au donc autant de cerveau que toi ! Dita : euh, te coules pas tout seul non plus, ça ira. (Moi un cerveau ? non, je crois pas…))

Sanzo avait quitté la salle après s'être copieusement servit en gâteau et avait rejoint sa chambre espérant y trouver la paix qu'il souhaitait afin de lire son journal.

Hakkai se retrouva alors seul avec la taboue. Il décida de l'aider à tout ranger et nettoyer, profitant de cet instant pour discuter gaiement. Jusqu'à ce que la gaki se blesse à nouveau, trop occupée à se rincer l'œil pour faire attention à ce qu'elle faisait.

Hakkai tendit sa main gauche pour que Tatsuki puisse poser sa main blessée sur la sienne. Puis il plaqua sa main droite dessus et en quelques secondes, soigna la jeune fille. Mais il ne lâcha pas pour autant sa main. Il se pencha vers elle, mais finit par se ressaisir et il allait la lâcher quand la youkais aux yeux et cheveux sang se mit sur la pointe des pieds pour l'embrasser, mi sur les lèvres, mi sur la joue. Hakkai se décida alors, embrassant la tabou.

Ils venaient tout juste de finir de dîner. Les deux amies montèrent dans leur partie de l'orphelinat, laissant les quatre voyageurs retourner dans la leur.

…Du coté des filles….

- Alors, ta journée, Tsu-chan ?

- Bien, bien, répondit elle, songeuse.

- Ca y est ?

- Comment tu as deviné ? toi aussi je parie, vu comment tu souris !

- Oui ! il ne reste plus que les deux autres : mon frère et son imbécile de Bonze !

- Ouais…

- Ca risque de s'éterniser. On s'en occupe ?

- Ca pourrait être intéressant…ok !

Les deux filles partirent à rire et s'installèrent dans leur salon privé, prête à comploter en paix. (et voila deux Bosa-chan junior ! Bosatsu : c'est pas pour rien que nous sommes amies ! mouhahahahahahaha (fois trois)!)

- Il faut trouver une solution pour les mettre ensemble. Commença dita.

Dita se lança dans ses réflexions, généralement perverses. Il fallait qu'elle trouve une idée et vite.

- Ca y est ! je sais ! s'esclaffa la gaki brune.

- Raconte ! raconte ! s'extasia Tatsu, toujours impatiente de pouvoir sonder les abysses de la perversité et de la folie de celle qu'elle considérait comme sa grande sœur.

- Ecoute bien.

Dita se pencha vers sa sœur de folie et lui chuchota son plan. Le sourire de la rousse s'agrandit au fur et à mesure que les secondes qui passaient lui dévoilaient le plan imaginé par son amie. Après quelques modifications faites rapidement, et que tout fut fin prêt, elles se séparèrent, prête à faire de beaux et yaoistes rêves.

…du côtés des mecs…

Sanzo entra dans sa chambre. A peine fut-il assis sur son lit et eut-il allumé sa clope que quelqu'un eu l'intelligence de venir le déranger. Il allait vertement réprimander le malheureux quand il s'aperçut que la personne qui venait d'entrer n'était autre qu'Hakkai. Connaissant Hakkai, il savait très bien qu'il ne viendrait pas le déranger sans raison.

- Qu'y a t-il ?

- Je me demandais quand nous allions repartir. Hakkuryu est reposé, ainsi que nous tous, et pourtant nous nous éternisons.

- Tu as raison. Mais il me semble que toi aussi tu préférerais rester ici.

- Oui, mais…

Gokû poussa la porte et fit son apparition à ce moment-là, il était suivit de Gojyo. Ils avaient entendu la conversation et se décidaient enfin à intervenir.

- Ne, Sanzo, tu crois qu'on pourrait emmener Dita et Tsuki avec nous ? Elles doivent s'ennuyer toutes seules ici !

- On ne peut pas s'embarrasser de deux filles…

- Hakkuryu pourra les transporter sans problème. Elles ne nous ralentirons pas, expliqua Hakkai.

- Mais c'est trop dangereux, on ne pourra pas les défendre, répliqua le bonze.

- Tatsuki m'a battu et Dita à fait match nul avec Gokû, je pense qu'elles savent très bien se battre.

- Sanzo, tu sais bien que ce qui nous retient ici, ce sont elles ! elles savent cuisiner, se défendre et en plus ce sont les sœurs de deux d'entre nous ! poursuivit Hakkai.

- Je crois que je n'ai pas le choix…

- Non, pas vraiment, répondit le kappa.

- Nous leurs demanderons si elles veulent nous suivre après demain soir et nous partons dans trois jours, le temps que Gojyo soit entièrement rétablit.

Ils se séparèrent bientôt, heureux d'avoir atteint leur but et persuader le bonze.

Dita lisait depuis prés d'une heure. Elle allait éteindre la lumière et se coucher quand elle entendit frapper à sa porte. Elle lâcha un entrer inattentif pensant voir entrer 'tsuki, plongée dans les dernières lignes de sa lecture.

- Salut, je peux entrer ?

- J'viens de le dire, ENTRER ! répéta Dita, excédé qu'on lui fasse répéter deux fois la même chose à une heure aussi tardive.

Il fallut quelques instants pour réaliser que ce n'était pas son amie. Elle leva alors la tête, ferma son livre et tourna le regard vers le nouveau venu.

- oh, Gojyo. Je pensais que c'était ta sœur.

- Désolé.

- Non, c'est à moi d'être désolée, même si je ne le suis pas. J'avais oublié notre petit rendez vous.

Dita se leva, passant devant les bougies allumées, qui dispensaient l'unique lueur qui éclairait la pièce. Cette lueur plus vive car plus proche dévoila ses jambes, que sa petite nuisette dévoilait outrageusement. Contrairement à l'attente du kappa, elle le contourna et se dirigea vers un petit meuble. Elle en tira une bouteille de saké et deux verres et les installa sur la table basse qui occupait le centre de la chambre. Puis elle invita le jeune homme à s'asseoir sur l'un des deux pouf, avant de prendre place à son tour sur celui en face. Elle déboucha la bouteille, toujours dans le silence le plus religieux et servit généreusement les deux petits verres à saké. Elle prit le sien, attendit que le roux en fit de même puis trinqua avant de goûter avec un claquement de langue le liquide sucré. Après en avoir apprécié le goût, elle bu cul sec son verre. Gojyo ne se fit pas prier pour en faire autant. C'est seulement après leur premier verre que la discussion s'engagea.

Verre après verre, la discussion suivait son cour et le temps filais. Deux heures seulement après, au passage entre les deux jours, la troisième bouteille était finit depuis longtemps. Il continuèrent, jusqu'aux environs de deux heures, moment où la discussion commença à prendre une pente périlleuse pour le jeune homme. Quelques temps plus tard à peine, ce dernier choisit de s'endormir, soûlé par le saké. Dita dû finir seule, son livre dans une main, le verre dans l'autre.

Les premières lueurs du matin étaient apparues depuis quelques temps déjà, quand dita s'arrêta de lire, son livre étant finit. Elle soupira en constatant qu'elle venait de finir sa réserve de saké. Elle attrapa un sac, y jeta les cadavres de bouteille et alla les jeter. Puis elle s'habilla un peu plus chaudement dans une robe de chambre en soie, laissant le roux pour mort au centre de sa chambre.

- Ohaio Tsuki !

- Salut, ta ! Bien dormi ?

- Je n'ai pas dormi. J'ai bu toute la nuit. D'ailleurs j'ai finit mon stock, va falloir que je me réapprovisionne.

- Déjà.. tu l'avais refait il y a à peine une semaine.

- Que veux-tu, j'étais pas seule.

- Gojyo ?

- Haï.

Dita mangea en compagnie de sa « sœur » puis alla se laver, passant prés du cadavre sans pour autant s'en soucier. Elle sortit uniquement vêtu de sa grande serviette mauve, nouée autour de sa poitrine.

- oh, réveillé ?

- faut croire, marmonna Gojyo.

- Retourne toi, s'il te plait, que je puisse m'habiller. Je te filerais un truc contre la gueule de bois après.

- Thank you.

Gojyo se retourna, sans tenter de tricher, par respect pour celle qu'il commençait à beaucoup aimer.

- Tu es plus forte que moi !

- Question alcool ?

- Oui…

- Je veux, oui ! J'ai dû continuer seule jusqu'au matin.

- Et t'as dormi quand ?

- J'ai pas dormi, répondit tout naturellement la youkais en passant les bras autour du cou du tabou afin de lui donner un verre plein d'un liquide étrange. Avale ça !

Gojyo avala ce que lui présentait la jeune fille. L'effet fut quasi instantané. Son mal de tête avait enfin disparu. Il embrassa l'aberration pour la remercier. Puis il se leva et alla déjeuner. Avant de franchir la porte, il se retourna vers son amie.

- Et il te faut quoi pour être bourrée ?

- J'en sais rien, j'ai jamais réussit à l'être. Boire plus vite peut être ?

Il ne fut pas vraiment surpris et alla rejoindre sa sœur à la cuisine.

TSUZUKU…


Prochain chapitre…Dita et Tsu entre en action…Mouhahahahahahahahahaha

Nanie : Super chapitre!mdr, je me suis bien amusée ! espèce de soularde va ! non mais ! pas bien tout ça !moi la vodka me suffisait amplement ! vite bourrée et bien malade le lendemain ! mdr. Allez je veux la suite ! Gros bisous

Merci d'avoir lu…et surtout n'oubliez pas…REVIEWSSS !

See you,

Tatsuki and Dita.