Désolée, c'est un chapitre plus court. Mais ce n'est pas de ma faute ! j'étais obligée de couper à cet endroit ! Hein Tsuki ?

Tsuki : le numéro demandé n'est pas attribué…

Dita : Nan, elle me lâche !Elle m'abandonne ! La méchante !

Bon, je vous laisse lire le chapitre…je crois que ce sera mieux !


Chapitre V : Mission yaoiste !

Dita regarda l'heure, il était dix heures dix. Cela lui laissait dix minutes. Cinq pour se préparer, et les cinq dernières pour rejoindre le point de rendez vous où se trouvait le cobaye. Le plan allait bientôt être mit à exécution.

Tsuki entendit son horloge sonner dix heures, il était l'heure pour elle de commencer sa part du plan. Elle appela le saru ; lui proposant un goûter s'il lui rendait un petit service, en l'occurrence, détacher un cadre trop lourd pour elle. Le saru accepta, sans réfléchir. Puis vers dix heures trente, un étrange hululement de chouette retentit dans l'orphelinat. Tatsu attrapa le saru, le tirant de son copieux repas et l'emmena vers le salon. Une foi sa proximité, elle imita à son tour un oiseau quelconque puis demanda à un Gokû intrigué de décrocher le cadre d'à coté. C'est alors qu'ils surprirent une conversation plutôt étrange.

- Salut Sanzo. Je ne te dérange pas trop ?

- Si !

- Tant pis. Je voulais te parler et…

La porte laissait sciemment ouverte par la jeune fille brune, laissa voir la scène à l'aberration. Il vit alors sa sœur, en qui il avait entièrement confiance, en train d'embrasser le bonze, SON bonze, tout en s'installant à cheval sur ses cuisses. Le bonze la repoussa brutalement.(Nanie: je t'avais dit de pas l'embrasser !t'écoutes jamais rien toi ! Dita: nan, je n'écoute que moi! car je ne croit qu'en moi!mouhahahaha!)

- Qu'est ce qui te prend ?

- Rien, je voulais tenter ma chance. Mais je vois que j'avais raison. Tu es déjà prit.

Le blond se mit à rougir violement. S'en rendant parfaitement compte et se sachant démasqué, il ne chercha pas à nier.

- Comment l'as-tu su ?

- Tu as des moments d'absence. Et il t'arrive de sourire à ses moment-là. Qui est ce ?

- Cela ne te regarde pas, répliqua sanzo en tentant de se lever.

Dita le repoussa sur le fauteuil et se placer devant lui, l'air menaçante.

- Dis-le et je te fous la paix.

- Ok…c'est ton frère.(Nanie: je trouve qu'il répond vite le Sanzo ! Dita: tu ne m'as jamais vu menacante...(clin d'oeil a tsuki!))

A peine l'eut-il dit qu'il se mordit la langue, se maudissant d'avoir trop parlé. Il entendit le bruit d'une chute, ou plutôt d'un objet du type cadre que l'on lâche. Dita s'approcha discrètement de la porte et l'ouvrit en grand, dévoilant un Gokû qui avait tout entendu. Dita sortit, poussa Gokû dans le dos après lui avoir soufflé quelques conseils. Puis elle alla rejoindre son amie, levant haut la main droit où ses doigts formaient un grand « V »,puis elle lâcha un « Victory ! » retentissant.

Sanzo de son côté ne comprenait plus rien. Il avait « beugué » au moment où il avait vu que le saru avait suivit toute la conversation. Et quand, quelques minutes après il le vit s'approcher, il ne sut plus quoi faire ni quoi dire.

- ne, Sanzo, c'est vrai ? c'est vrai ce que tu viens de lui dire ?

Sanzo n'avait plus d'autre choix que de dire la vérité. Ils savaient que les deux jeunes filles n'étaient pas très loin et qu'elles avaient tout manigancé. Mais ce qu'il ne savait pas, c'est que dita avait profité du baiser échangé pour lui faire boire une sorte de poison de sa collection. Un certain sérum que lui avait fourni un brun aux yeux verts avec des lunettes rondes plutôt charmantes. (Merci ryry pour le veritaserum ! Harry : de rien… tout le plaisir était pour moi !).

- Oui, c'est vrai…je tiens à toi, Gokû. Mais pas comme un animal de compagnie comme je te l'ai toujours fait croire, ni même comme un compagnon de route. Je tiens à toi en tant qu'humain, en tant qu'être à part entière.

- Est-ce que tu m'aimes, Sanzo ? demanda le saru les larmes aux yeux.

- Oui, je t'aime.

- Je t'aime, Sanzo, depuis si longtemps ! (vomir…beurk, c'est quoi ce truc plein de guimauve ?mdr)

Le saru sauta dans les bras de son amant, pleurant de joie. Les deux jeunes filles quittèrent leur poste d'observation après avoir assisté au premier et chaste baiser du nouveau couple.

La cloche sonna, synonyme que l'heure du repas était arrivé. Hakkai et Gojyo arrivèrent en premier. A peine furent-ils arrivés qu'ils s'inquiétèrent de la santé mental de leurs charmantes hôtes.

- Non mais franchement, la tête qu'il tirait ! Réussit à articuler Dita en plein fou rire.

- Faut dire que tu l'as bien eu, répondit Tatsu, dans le même état.

- Qu'est-ce qui se passe ? demanda Gojyo, inquiet pour sa chérie.

Les deux jeunes filles firent un effort surhumain pour se calmer. La jeune rousse se dévoua pour expliquer ce qui c'était passé, pendant que la brune finissait sa clope à la fenêtre.

La tabou terminait tout juste son récit que Sanzo et Gokû arrivèrent.

- Alors, vous allez bien tous les deux ? demanda un Gojyo plus qu'hilare.

Sanzo préféra le silence et son singe de petit ami la bouffe. (étonnant, non ?)

- Bon, au lieu de vous marrer bêtement, nous avions quelques chose à vous demander, commença le bonze. Il allait continuer mais fit mine de réfléchir.

- Qu'est ce qu'il y a ?demandèrent les deux jeunes filles, en cœur.

- Nous partons demain, à la première heure, annonça le bonze, implacable. Merci de votre accueil, ajouta t-il, glacial.

- Déjà ? vous allez nous…ah, heu, Bien. Je vous préparerais des bentôs et une réserve de nourriture qui se conserve, se rattrapa Tatsuki.

- Merci beaucoup, lui répondit Hakkai, tout en lui servant des ramens.

Le repas se finit dans un silence lourd et triste. Personne n'osa contredire le bonze en colère. Car même sans flingue, il savait se montrer effrayant et menaçant.

Sitôt qu'elle eut finit, la rousse se leva, suivit par Hakkai. Ils allèrent faire un tour dans le jardin, afin de passer le peu de temps qu'il leur restait ensemble. Dita et Gojyo en firent de même, préférant faire un tour dans le village désert.

Il ne resta plus que Sanzo à table, conscient de la dureté de ses paroles. Mais les moqueries du kappa l'avaient énervé. Sa réaction lui apparut alors comme égoïste et puérile. Mais il se consola en se disant que ce n'était que des gamines, incapable de se défendre. De plus ils avaient commencé le voyages sans elles, ils pourraient bien le finir sans qu'elles se joignent à eux. Il se dit qu'il avait bien fait...mais…

- Sanzo ! regarde ce que j'ai trouvé ! Gokû tendit une lettre à son amant, daté d'au moins un an.

« Gojyo, mon frère,

Tu me manques. J'aimerais que tu sois là. Encore une fois j'ai fait des cauchemars. Je les vois, tous les youkais, massacrant tous nos amis. Et n'ai pas pu les sauver. Je les ai tous laissé mourir. Cela est de ma faute. Si j'avais écouté Dita, ils seraient encore en vie ! C'est moi qui ai amené ces youkais, c'est moi qui est provoqué ce massacre…tout cela pourquoi ? Pour un morceau de pain… »

La lettre était inachevée et couverte de larmes. Les dernières lignes étaient dures à déchiffrer, l'écriture devenant hachée et quasiment illisible. Sanzo put juste savoir avec certitude que la lettre était de Tatsuki, et que celle-ci leur cachait quelque chose ; elle et sont amie Dita.

TSUZUKU

D:Alors ? quand penses-tu, chère Nanie ?

N:J'ai les larmes aux yeux…j'étais déjà déprimée, mais là c'est trop triste !snifouuuuuuuuu.J'adore ce chapitre à part le côté niais de la chose lol.Gros bisous et vite la suite, stp !bisoussssssssss

et vous? vous en avez penser koi? REVIEWSSSSS!

SEE YOU, dita.