Bonjour/bonsoir !

Tout d'abord, je voulais vous remercier de votre accueil chaleureux pour Pornstache. À l'heure où je poste ce deuxième OS, cette histoire a dépassé les 2000 hits (FF + AO3, Français + Anglais). Vous êtes des grand·e·s malades !

Trêve de bavardages ! J'avais dis que je reviendrai vite

Je ne poste même pas ce petit PWP pour la Saint-Valentin. (je déteste cette fête déso, haha)

Aujourd'hui est un jour spécial puisqu'il s'agit de l'anniversaire de notre bien aimée Lyra_Verin

Comme pour le premier OS, je continue d'écrire en écriture inclusive (féminisation des professions, alternatives de genre avec point médian, utilisation de pronoms dédiés comme "iel", etc.). Plus d'infos sur .
Et comme la dernière fois, j'ai aussi fais une version anglaise pour deux fois plus de plaisir !

J'en profite aussi pour vous annoncer que la BBTeam s'agrandit !

En plus des magnifiques Kathy_Magda et Genny237, je peux aussi compter sur les sublimes Damelith et Lyra_Verin (qui n'a pas béta son propre OS anniversaire, bien évidemment). Merci infiniment de m'accompagner dans cette aventure, vous faites un travail fantastique de relecture et de conseil *coeurcoeurcoeur*

Merci aux ami·e·s du Front Français de Libération du Smut Français pour leur soutient !
Merci à la queen JKR pour son œuvre.

Bonne lecture !

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Les draps étaient froids quand Hermione se réveilla ce matin-là, peu avant huit heures. Drago était déjà parti pour Poudlard. Le vendredi était sa journée de cours la plus remplie de la semaine, de sept heures trente du matin à dix-neuf heures, sans pause. Et, pour couronner le tout, aujourd'hui, iels ne déjeuneraient pas ensemble, car il y avait un audit du Ministère de la Magie. Un ancien mangemort — sous la contrainte d'une menace de mort contre sa personne et ses proches —, et ancien Auror — également sous la contrainte, obligé de collaborer avec le Département de Justice Magique à l'issue de son procès —, qui devient professeur de Défense Contre les Forces du Mal, doit évidemment rester sous surveillance ad vitam aeternam. Et ce, même s'il est marié à la sorcière « la plus brillante de leur génération, membre du trio d'or et Ordre de Merlin ». Ridicule.

Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas aussi bien dormi. Elle sentait les rayons du soleil réchauffer sa peau. Leur maison à Pré-au-lard était calme. Elle se sentait reposée. Une minute. Soleil ? Calme ? Reposée ? Huit heures ? Hermione se leva en trombe. Elle se précipita dans la chambre des jumeaux, Scorpius et Lyra. Vide. La maison était toujours aussi silencieuse. Elle descendit les escaliers quatre à quatre, paniquée. Quand elle arriva dans leur pièce de vie, elle réalisa qu'il y avait un thé, un œuf au plat, du bacon, quelques toasts - le tout maintenu magiquement au chaud - ainsi qu'un mot sur leur table à manger. Drago. Elle soupira de soulagement, puis sourit, touchée par l'attention. Manifestement, il s'était occupé de tout avant de partir travailler.

Elle s'installa à table pour profiter de son petit-déjeuner. Il ne fallait pas qu'elle tarde trop non plus, ses cours commençaient à neuf heures. Hermione était tout de même triste de ne pas petit-déjeuner avec son mari, surtout qu'elle ne le retrouverait que tard dans la soirée. Car ce jour était spécial. Cela faisait dix ans que leur relation avait commencé, et sept ans qu'iels étaient marié·e·s. Elle sirota son thé en lisant le mot qu'il lui avait laissé.

« Hermione,

Pansy est venue chercher les enfants. Nous les récupérerons demain, en début d'après-midi. D'ailleurs, elle était un peu trop ravie de les garder… Je pense qu'elle veut convaincre Neville de sauter le pas. Mais elle se berce d'illusions si elle pense que leurs enfants seront aussi parfaits et magnifiques que les nôtres.

Profite de ton petit-déjeuner, on se voit ce soir.

Je t'aime. »

Hermione sourit jusqu'aux oreilles. Il n'avait pas oublié leur anniversaire, et il avait tout prévu.

En reposant le mot, elle aperçut une enveloppe scellée d'un sceau en cire portant leurs armoiries. Bizarre, aurait-il oublié de l'envoyer ? Elle la saisit et la tourna pour voir le destinataire. Il n'y avait qu'un "H", finement écrit dans ce qu'elle reconnut être l'écriture de son mari. De toute évidence, il la lui avait adressé. Elle l'ouvrit.

« C'est à cette heure que nous prospérons et sommes les plus puissants. »

Oh, une énigme ? Ça promettait d'être amusant. Mais la réponse était facile. Trop facile.

« Minuit », dit-elle à voix haute.

Rien. Absolument rien ne s'afficha sur le parchemin, ni sur l'enveloppe. Pas un bruit non plus. Ce n'était donc pas la bonne solution. Enfin, pas dans les termes attendus. Parce que, oui, Hermione Jean Granger-Malefoy était imbattable pour résoudre les énigmes. Alors, elle énonça l'autre nom que l'on donnait au mot « minuit ».

« L'heure de la sorcellerie ».

Le message et l'enveloppe s'illuminèrent pour se transformer en un ensemble de dentelle et de satin vert émeraude. Le directeur de la maison Serpentard ne pouvait pas faire plus cliché. Cependant, elle devait reconnaître que c'était de la belle lingerie. Son homme avait du goût. Elle lâcha un petit rire. Il voulait jouer ? Elle allait le suivre. Elle finit son petit-déjeuner, saisit les sous-vêtements et alla se préparer à affronter ses élèves.


Quand Hermione retourna dans son bureau à onze heures, après deux heures à tenter de canaliser des Serpentard et Serdaigle de quatrième année particulièrement dissipés - il faudrait d'ailleurs qu'elle en parle à Drago -, elle trouva une deuxième enveloppe. Elle ferma sa porte et isola la pièce avec un informulé. Elle s'assit confortablement devant son bureau et ouvrit la lettre.

« Elle n'a jamais quitté son poste depuis 1974. »

Cette énigme était plus compliquée. Quelle sorcière était dans l'équipe enseignante à cette date ? McGonagall et Chourave avaient toutes les deux quitté leur poste depuis : la première pour prendre la tête de l'établissement, la seconde pour une retraite bien méritée, Neville l'avait remplacée. Les professeures Vector, Sinistra et Trelawney étaient présentes depuis moins longtemps. Ce qui ne laissait plus que mesdames Bibine, Pomfresh et Pince. Elle énonça les noms des deux premières, mais la lettre comme l'enveloppe ne réagirent pas. Évidemment, elles étaient en fonction avant 1974 et non depuis 1974. Elle espérait que la dernière option serait la bonne.

« Irma Pince ». Rien.

Il ne restait qu'elle, alors Hermione essaya une variante.

« Madame Pince ? ». Niet.

Peut-être sa profession, alors.

« Bibliothécaire ». Nada.

« Raaaaaaaaah », maugréa-t-elle exaspérée.

Cette seconde énigme était plus compliquée qu'elle n'y paraissait.

« C'est une bibliothécaire, elle travaille dans une bibliothèque, je ne comp… »

L'enveloppe et le message s'illuminèrent. Bibliothèque. Ce n'était pas la personne, mais le lieu qu'il fallait trouver. Mais quel enfoiré ! C'était tellement tiré par les cheveux qu'Hermione se jura de lui apprendre à écrire une énigme correctement.

Un uniforme de Gryffondor apparut. Ce jeu était de plus en plus intéressant.


La dernière enveloppe fit son apparition sur son bureau à quinze heures trente.

« Mon autorisation est nécessaire pour y accéder. »

Puisqu'elle portait le nom Malefoy, elle pouvait aller partout où il était autorisé. Il y avait, littéralement, des centaines de possibilités, ne serait-ce que parmi leurs propriétés. Elle avait très peu de temps devant elle, et ne pourrait pas y revenir plus tard. Ses cours reprenaient dans une demi-heure, et elle avait une soirée de surveillance de retenue dès dix-sept heures, ainsi qu'une trentaine de parchemins de premières années sur l'introduction aux runes viking à corriger. Elle ne pouvait pas toutes les citer, c'était impossible et Drago le savait. C'était forcément autre chose.

Sa dernière récompense était un indice. C'était ici, à Poudlard. La salle des professeur·e·s ? Elle essaya. Aucune réaction. Son bureau du troisième étage de la tour nord ? Non plus. À moins que…

« La réserve ».

L'énigme se transforma en bijou anal. Hermione rougit et vérifia que son bureau était correctement fermé. Qu'est-ce qui lui prenait de lui offrir ça sur son lieu de travail ?! Et si un de ses collègues entrait à ce moment-là ?

Une fois sûre d'être seule, elle examina l'objet de plus près. Ce n'était pas juste un plug. C'était un petit chapelet avec trois boules de tailles différentes — la plus petite au bout, et la plus grande à la base —, une dizaine de centimètres tout au plus. Son socle était orné d'un diamant magiquement allégé — parce qu'une pierre de cette taille serait vraiment lourde sans enchantement, et comme c'était Drago, un vulgaire strass n'était pas envisageable. Cela faisait peu de temps qu'iels exploraient les plaisirs anaux, et Hermione n'était pas toujours à l'aise. Le chapelet était un bon moyen d'accéder progressivement aux joies de la sodomie.

Elle trépignait d'impatience. Ce soir, à minuit, dans la réserve de la bibliothèque.


Personne ne pouvait deviner ce qui se cachait sous sa cape, alors qu'Hermione arpentait les couloirs du château en pleine nuit. L'école était déserte, les rondes de surveillance étaient terminées depuis longtemps.

La bibliothèque était presque plongée dans le noir. Seule la lune éclairait la pièce. Hermione lança un Lumos, et avança jusqu'à la réserve. Elle parcourut les allées, mais Drago n'était pas là. C'était étrange qu'il soit en retard. Avait-elle mal compris le sens de ses énigmes ? Impossible. Elle prit appui contre la seule table de la réserve et attendit.

« Il ne me semble pas avoir signé d'autorisation d'accès à la réserve pour vous Miss Granger ».

Hermione leva brusquement la tête en pointant sa baguette illuminée devant elle. Drago se tenait face à elle. D'où sortait-il ? Elle n'avait entendu aucun bruit de pas, sa baguette n'était pas allumée. Qu'importe, car sa voix grave et son regard d'acier la firent frissonner d'anticipation.

« Les livres des autres allées ne contenaient pas les informations dont j'avais besoin, Professeur Malefoy », souffla-t-elle, tremblante d'excitation.

Drago s'approcha d'elle lentement, avec son célèbre sourire en coin, et s'arrêta à une cinquantaine de centimètres. Il était si proche d'elle - après une journée sans se voir -, mais c'était encore trop loin.

« Vos recherches auraient pu attendre demain. Le couvre-feu est dépassé depuis longtemps. Je vais devoir retirer des points à Gryffondor.

— Je vous en prie, Professeur… Je ne recommencerai plus, je serai sage… », supplia-t-elle.

Il avança vers elle, presque jusqu'à la toucher. Hermione pouvait sentir la chaleur émaner de son corps, ne pas l'avoir contre elle la frustrait.

« Étonnement, je ne vous crois pas. Ce n'est pas la première fois que vous enfreignez le règlement. Cette fois-ci, je vais être contraint de vous sanctionner. Immédiatement ».

Hermione soupira et se mordit la lèvre. Drago invoqua quelques bougies pour éclairer davantage la pièce, juste ce qu'il fallait pour créer une ambiance tamisée.

« Enlevez votre chemise et votre cravate », ordonna-t-il.

Elle hocha la tête, et s'exécuta en le regardant dans les yeux.

« Brave petite », dit-il quand elle eut fini.

Draco prit quelques instants pour admirer la lingerie qu'il avait choisie pour elle. Son regard était avide, et il se mordait la lèvre inférieure. Il avait l'air plus que satisfait.

« Si seulement, tu pouvais voir ce que je vois, murmura-t-il. Tu es magnifique ».

Ses yeux brillaient de tout l'amour et du désir qu'il lui portait. Elle rougit et détourna le regard. Elle le vit déjà dur à travers son pantalon, et déglutit. Elle savait ce qui l'attendait, et elle mouillait d'avance. Drago releva son menton d'une main et plaça un chaste baiser sur ses lèvres. Puis, il prit la cravate de Gryffondor et saisit délicatement les poignets d'Hermione. Il enroula le tissu autour de ces derniers pour les attacher.

« Pas trop serré ? », demanda-t-il.

Hermione secoua la tête en guise de réponse. Drago plaça un objet dans l'une de ses mains.

« À tout moment, si tu veux arrêter, lâche le grelot. Tu as compris ? »

Hermione fit un signe de la tête.

« Fais une phrase.

— J'ai compris, Professeur.

— Gentille fille. Maintenant, à genoux ».

Il avait dû lancer un sort d'amortissement et un sort chauffant, car quand ses genoux touchèrent le sol, la pierre n'était ni dure ni glacée. Il défit sa ceinture, ouvrit sa braguette et sortit son membre hors de son boxer, en gardant son pantalon.

Hermione humidifia ses lèvres et regardait son sexe tendu devant elle avec envie. Elle leva les yeux vers Drago, comme pour demander la permission de goûter à sa friandise. Il sourit. Il passa une main dans ses cheveux, et prit sa queue de son autre main pour la mettre au niveau de ses lèvres.

« Miss Granger, il est temps de vous donner une leçon ».

Il empoigna ses boucles, enfonça son chibre dans sa bouche et grogna de plaisir. Hermione gémit, sa bouche ne couvrait que la moitié de son pénis.

« Allons, Miss Granger, ne soyez pas timide ».

Elle commença ses va-et-vient lentement, le temps que ses mâchoires s'habituent à la largeur de son mari. Non, de son Professeur. Elle essayait de serrer davantage ses lèvres pour augmenter la pression autour de sa verge, surtout quand elle atteignait son gland, elle savait qu'il aimait ça. Sa langue était bien à plat contre son érection, pour la lubrifier correctement. Puis, elle retira complètement son sexe de sa bouche. Seul un filet de salive la reliait encore à lui.

Elle sentit la poigne de Drago se serrer dans ses cheveux, signe qu'il fallait qu'elle accélère le rythme. Ses gémissements étaient animaux, mais elle savait que ça ne suffirait pas à le faire craquer.

« Miss Granger, je sais que vous pouvez mieux faire ».

Elle inspira profondément, relaxa ses muscles, et prit son phallus plus profondément dans sa bouche.

« Je sais que vous pouvez me prendre en entier ».

Elle gémit, elle ne se sentait pas encore prête, sa mâchoire n'était pas suffisamment détendue. Elle leva les yeux vers son professeur, le suppliant de lui accorder un peu de répit pour accomplir sa tâche correctement. Il fronça les sourcils.

« Je vous ferai écrire soixante centimètres de parchemin détaillant les meilleures façons de sucer ma bite correctement si vous ne mettez pas plus de cœur à la tâche, Miss Granger ».

Elle ferma les yeux, inspira profondément et prit son chibre complètement dans sa bouche, jusque dans sa gorge. Drago ne bougea plus pendant quelques secondes, pour qu'elle prenne le temps de s'adapter à la sensation. Elle se concentrait pour résister à son réflexe nauséeux et détendre les muscles de sa gorge. Elle se sentait pleine, remplie, et elle adorait ça.

« Voilà, comme ça. Brave petite ».

Drago commença à bouger. Ses deux mains dégagèrent le visage de son élève, remontant sa chevelure en un semblant de queue de cheval. Quand ses mains atteignirent l'arrière de son crâne, il agrippa fermement ses boucles et empala Hermione jusqu'à son bas ventre. Elle manqua de s'étouffer, alors qu'il poussait un râle de plaisir. Il accéléra, allant toujours plus loin dans sa gorge. Il gémissait de plus en plus fort, à la limite du grognement, et commençait à jurer.

« Mmmmhhhh… Putain, c'est bon ! » souffla-t-il, dans un dernier à-coup, avant de rester immobile au fond de sa gorge.

Il n'avait pas encore joui, Hermione le sentait. Il n'en avait pas fini avec elle, il n'allait pas céder maintenant.

« Compte tenu de toutes vos infractions, je crains que cette simple punition ne soit pas suffisante. », ajouta-t-il de sa voix grave et profonde.

Il se retira lentement, et elle toussa sur sa queue. Hermione était à bout de souffle. Elle était trempée par sa salive, sur son menton, ses joues et ses seins. Mais aussi par sa cyprine entre ses cuisses.

« Debout. Face à l'étagère. Les mains au-dessus de la tête, appuyées sur les rayons. »

Hermione obéit. Drago se plaça derrière elle, puis enchanta la cravate pour maintenir ses bras en position. Il passa un pied entre ses jambes pour qu'elle les écarte. Ses mains remontèrent le long de ses cuisses et il leva sa jupe au-dessus de ses fesses. Il la saisit par les hanches et la tira légèrement vers lui pour qu'elle se cambre. Elle eut le temps de sentir l'air rafraîchir sa peau jusqu'à ce qu'elle ait un peu froid. Il devait la contempler, encore une fois, et se féliciter de son choix de lingerie. Elle l'entendit expirer bruyamment, à la limite du soupir. Il était clairement satisfait de ce qu'il voyait.

Il passa les doigts sous l'élastique de son sous-vêtement et le lui enleva, en mordant une de ses fesses au passage. Quelques secondes plus tard, elle sentit sa bouche s'ouvrir de force. Il l'avait bâillonnée avec sa propre culotte. Il ne l'avait pas enfoncée complètement, juste ce qu'il fallait pour créer de la tension et la laisser respirer.

« Souviens-toi du grelot », murmura-t-il à son oreille avant de déposer un tendre baiser sur son épaule.

Elle hocha légèrement la tête et serra l'objet encore plus fort dans sa main. Elle aimait beaucoup trop ce qu'elle vivait pour que tout s'arrête à cet instant. Drago saisit une fesse dans chaque main et les écarta, dévoilant le diamant à la base du chapelet anal.

« Par Salazar, ça te va si bien… Tu es sublime, souffla-t-il avant de reprendre son rôle. Miss Granger, je crois qu'une seule sanction n'était pas suffisante ».

Sans plus attendre, il s'enfonça en elle aussi profondément qu'il pouvait. Tous deux gémirent de plaisir. Si elle aimait qu'il remplisse sa bouche, ce n'était rien comparé à ce qu'elle éprouvait quand il était dans son vagin. Plus que pleine, elle se sentait entière. Jeu ou non, ce sentiment était à chaque fois plus intense et ne faisait qu'accroître l'amour qu'elle lui portait.

Drago accéléra ses coups de reins et commença à la baiser sauvagement. Au milieu du silence de la bibliothèque, on pouvait entendre les échos de leur voix et du claquement des hanches du professeur contre les fesses de son élève. Hermione ne pouvait plus retenir ses râles de plaisir.

« Shhh… Silence, Miss Granger, on pourrait nous entendre ».

Hermione gémit plus doucement, mais ne pouvait s'arrêter alors qu'il la pilonnait.

« Miss Granger, si vous continuez ainsi, Madame Pince va vous bannir de la bibliothèque ».

L'énonciation même de cette possibilité fit raidir le corps de la sorcière.

« Ce n'est pas ce que vous voulez, n'est-ce pas ? »

Hermione secoua la tête.

« Alors, taisez-vous ».

Elle hocha la tête.

« Gentille fille ».

Elle entendit Drago saisir sa baguette et la poser sur le diamant de son bijou anal. Le chapelet se mit à vibrer, et elle reprit ses gémissements de plus belle. Drago grogna, mais elle ne savait pas si c'était de plaisir à cause de la vibration ou de mécontentement parce qu'elle lui avait désobéi. Elle obtint sa réponse quand sa main s'abattit violemment sur sa fesse.

« Miss Granger, ceci est mon dernier avertissement », gronda-t-il, alors qu'il avait cessé tout mouvement.

Hermione mordit dans sa culotte pour se retenir d'émettre le moindre son, tant cette fessée lui avait envoyé une décharge de plaisir dans tout le corps. Elle tenta de rester immobile pendant que Drago reprenait ses va-et-vient.

« C'est bien, brave petite ».

Il saisit une poignée de ses cheveux et tira sa tête en arrière alors qu'il accélérait ses à-coups. Plus vite. Plus fort. Plus profondément. Son autre main était toujours sur sa fesse, et ses doigts s'enfonçaient de plus en plus dans sa chair au fil de ses coups de reins.

Si avoir un plug augmentait les sensations de pénétration vaginale, les vibrations relevaient encore la barre du plaisir. C'était tout simplement divin. Elle savait qu'il pouvait les sentir aussi, et cette pensée seule l'excitait encore davantage. Elle sentait l'orgasme monter, son vagin commencer à palpiter autour de sa bite. Elle y était presque, mais ce n'était pas assez.

Drago, qui connaissait par cœur le corps de son épouse — élève pour la soirée —, déplaça sa main de sa fesse jusqu'à son clitoris. Il voulait qu'elle vienne en même temps que lui. Il lui suffit de quelques mouvements pour qu'Hermione jouisse avec force autour de son chibre, alors qu'il se déversait en elle.

Les deux amant·e·s étaient essoufflé·e·s. Drago arrêta les vibrations du plug, lâcha les cheveux d'Hermione et se retira. Elle resta immobile alors que son sperme s'écoulait entre ses cuisses et que Drago se rhabillait. Il lui retira la culotte de la bouche, et elle ne dit pas un mot. Il mit fin à l'enchantement qui la contraignait. Elle baissa les bras et se tourna vers lui. Il lui lança un sort qui relaxa immédiatement les muscles de ses épaules.

« Ça va ? Est-ce que tu te sens capable de continuer ? demanda-t-il, soucieux d'avoir son consentement pour la suite de ses plans.

— Si ce que je viens de subir est votre idée de la punition, Professeur, alors je risque de récidiver. Vous devenez laxiste avec l'âge. », rit Hermione, prenant un faux air de mauvaise élève.

Son regard s'assombrit et devint animal. Il la saisit par la cravate qui entourait ses poignets et l'allongea sur la table. Il plaça ses bras au-dessus de sa tête, et écarta ses jambes, avant de la saisir par le bassin et de positionner ses fesses au bord du bureau. Il releva ses jambes et posa ses pieds sur le rebord, exposant sa vulve à l'air froid de la pièce.

« Maintenant, Miss Granger, voyons si vous étiez suffisamment attentive pendant mes cours ».

Il se pencha vers sa vulve pour la lécher furtivement, goûtant ce qu'il restait de sa semence en elle. Il se releva et commença à faire traîner ses doigts autour de ses lèvres et de son clitoris toujours sensibles. Il ne la pénétrait pas et contournait son bouton de plaisir. C'était prodigieusement frustrant.

« Miss Granger, quelle est la différence entre un fantôme, un esprit frappeur et un spectre de la mort ? », l'interrogea-t-il.

Il fallait qu'elle réponde, mais ses doigts faisaient monter le désir en elle, et elle n'arrivait pas à se concentrer. Il lui sourit d'un air narquois. Elle le savait capable de la torturer pendant des heures s'il avait décidé qu'elle ne jouirait pas. Et elle se doutait qu'il ne la laisserait atteindre le septième ciel que si elle lui répondait correctement.

Elle n'était pas encore tout à fait revenue de son précédent orgasme. Son sexe encore était gonflé de plaisir. Hermione savait que ces prochaines minutes allaient lui paraître durer une éternité, et qu'il ferait tout son possible pour qu'elle ait l'impression que le temps avait été dilaté.

« Un fantôme est l'empreinte de l'âme d'un sorcier ou d'une sorcière autrefois vivaaaannnt, cria-t-elle quand il pinça subitement son clitoris. Ces esprits avaient soit peur de… Mmmmh !… de la mort, soit ils avaient un lien extraordinairement fort avec les lieux qu'ils hantent, haleta-t-elle pendant que ses doigts revenaient jouer avec son entrée.

— Mmh. C'est tout ? Je suis un peu déçu, Miss Granger. Vous en savez plus que ça », dit-il de sa voix grave.

Le ton de sa voix associé à ses gestes lui donnait envie de supplier pour qu'il enfonce ses doigts en elle. Mais elle savait qu'il n'en tiendrait pas compte. Elle poursuivit.

« Les fantômes n'ont pas d'influence physique. Ils prennent la forme de leur moi vivant, mais dans un dégradé de gris-argeeeeennnnnt, ou d'une flamme bleue.

— Continuez ».

Ses iris d'argent fixés dans les siens, Drago déplaça ses doigts doucement vers son clitoris, et l'effleura lentement. Cette pression légère, mais persistante, sur la boule de nerfs était presque plus insupportable que les à-coups fermes et sauvages qu'il lui avait donnés plus tôt.

« Ils peuvent traverser des objets solides sans aucune conséquence, mais ils… Aaah !… créent des perturbations dans l'eau, le feu et l'air. L'atmosphère qui les entoure est nettement plus froide. Enfin, les moldus ne peuvent pas devenir des fantômes, ni… Ooooh… les voir clairement.

— Très bien, Miss Granger ».

Hermione se tordait de plaisir et d'anticipation, alors que les caresses sur son clitoris semblaient devenir plus fermes et plus intenses. Elle pouvait sentir monter cette vague en elle, et son esprit était trop concentré sur son orgasme imminent pour se rappeler que son professeur n'allait probablement pas la laisser venir si facilement.

Puisqu'elle n'avait répondu qu'à une partie de la question, il retira sa main pile au moment où elle se sentit prête à culminer. Elle lâcha un cri de frustration. Il sourit à sa réaction et gifla son bouton de plaisir, avant de le caresser à nouveau. Si doucement. Si lentement.

« Qu'en est-il des esprits frappeurs ? », demanda-t-il toujours en massant son clitoris.

La tension montait à nouveau en elle, c'était si frustrant qu'une larme s'échappa du coin de son œil. Elle était loin de jouir, mais ne pouvait pas s'empêcher de gémir. Elle voulait désespérément qu'il enfonce ses deux doigts dans sa chatte. Deux ? Non, trois. Allez, quatre ! Mais pour ça, il fallait qu'elle réponde.

« Les esprits frappeurs sont des esprits indestructibles du chaooooos. À la différence des fantômes, ils peuvent manipuler leur… Mmmh !… environnement ».

Il essayait de la rendre folle et ça marchait. Toutes les tortures qu'elle avait vécues durant la guerre n'étaient rien comparées à ces quelques minutes de déni d'orgasme. Si elle ne jouissait pas bientôt, elle finirait dans l'aile psychiatrique de Sainte-Mangouste.

« Dites-m'en plus. »

Enfin, il plongeait ses doigts en elle, avec vigueur et puissance. Son pouce prit place sur son clitoris et le massait délicieusement en même temps que ses doigts accéléraient leur va-et-vient dans son vagin. Elle était si près du but... Elle serra si fort le grelot dans sa main qu'elle crut le casser. Elle tenta d'incliner son bassin pour que ses doigts la stimulent juste où elle voulait pour qu'elle puisse jouir.

« Professeur ! Oui ! Juste là, s'il-vous-plaît ! », supplia-t-elle.

Mais Draco la retint, arrêtant de stimuler sa boule de nerfs pour la maintenir à plat sur le bureau en l'agrippant par la hanche. Puis, il retira complètement son autre main de sa fente.

« Les esprits frappeurs, Miss Granger », dit-il avec un sourire narquois.

Hermione râla d'exaspération, mais répondit. Drago reposa son pouce sur son clitoris et tourna lentement autour.

« Ils hantent un endroit spécifique à la fois, généralement ceux habités par un grand nombre d'adolescents, et… Aaah !… parfois les maisons des Moldus. Ce sont des créatures classées parmi les apparitions spirituelles non humaines et, en taaaannnnt que telles, elles sont amortelles. Les esprits frappeurs n'ont généralement paaaaas de forme physique, à de rares exceptions, comme Peeves.

— Bonne réponse, Miss Granger.

— Je vous en supplie, professeur ! Laissez-moi venir !

— Je ne crois pas, non.

— S'il-vous-plaît ! J'en ai besoin !

— Ah oui ? dit-il faussement innocent. Mais vous n'avez pas fini de répondre à la question, Miss Granger », ajouta-t-il pendant qu'il glissait lentement ses doigts en elle.

Il la pénétrait si lentement que c'en était un supplice. Elle laissa s'échapper un sanglot, alors qu'il souriait diaboliquement devant elle. Il ferait un excellent Lucifer.

« Si vous espérez pouvoir jouir, dites-moi ce que vous savez des spectres de la mort ».

Hermione gémit et le supplia encore une fois de la faire jouir sous ses doigts. Mais il jouait avec elle, accélérant puis ralentissant ses mouvements. Il stimulait sa zone G juste assez pour que l'orgasme monte. Et quand il sentait ses muscles trembler, il retirait ses doigts quelques secondes, avant de recommencer sa torture depuis le début.

« Les… Les… Les spectres de la mort sont… Mmmh… des créatures originaires d'Irlande. Ce sont des esprits malveillaaaaaannnnnts qui ont l'apparence d'une femme. Leur… Leur… Leur…

— Leur quoi, Miss Granger ? demanda-t-il en retirant sa main, attendant qu'elle poursuive sa phrase.

— Leur cri est mortel pour quiconque l'entend, comme… comme le cri… Aaah !… le cri des mandragores adultes.

Elle en voulait plus. C'était insupportable. Alors qu'il retirait sa main pour écarter ses lèvres avec ses doigts, laissant l'air frais ambiant envahir son intimité, Hermione comprit que la torture allait encore durer.

« Professeur… Je vous en supplie… Je n'en peux plus… Il faut que je jouisse !

— Mais, Miss Granger, vous ne m'avez toujours pas dit en quoi les spectres de la mort sont différents des fantômes et des esprits frappeurs.

— S'il-vous-plait… S'il-vous-plaît, Professeur… sanglotait-elle.

— Vous savez très bien que je ne peux pas, Miss Granger ».

Hermione désespérait. C'en était trop. Elle pourrait lâcher le grelot. Non. L'orgasme tant attendu lui tendait les bras. Elle pouvait le faire.

Les doigts de Drago n'étaient plus en elle, ils jouaient avec son clitoris, avec ses lèvres, avec son entrée. Mais il ne la pénétrait plus. Il déposa un doux baiser sur l'un de ses genoux et reprit.

« À quoi ressemblent les spectres de la mort, Miss Granger ? »

Hermione se mordit la lèvre. Elle connaissait la réponse, bien sûr, mais celle-ci était cachée dans un coin de sa mémoire, et le chemin qui y menait était encombré par le plaisir. Drago pressa son pouce à plat contre son clitoris et elle cria.

« J'attends, Miss Granger.

— Les spectres de la… la mort ont l'apparence d'une… d'une femme aux cheveux noirs et longs jusqu'au… jusqu'au sol, un visage… Mmh !… squelettique et la peau verte.

— C'est très bien, Miss Granger ».

Drago la récompensa en ravageant son intimité par des à-coups brutaux. Il allait toujours plus vite, loin, et fort. C'était tellement bon qu'Hermione s'en mordit la lèvre jusqu'au sang.

« Là ! Oui ! Je vais venir ! Professeur, oui ! Aaaaannnn ! »

Mais encore une fois, Drago retira sa main. Oui, demain elle aurait vraiment sa place à Sainte-Mangouste s'il continuait ainsi.

« Vous vous êtes très bien débrouillée jusqu'à présent. Une dernière question, comment se débarrasse-t-on d'un spectre de la mort ? »

Elle n'eut pas le temps de réfléchir à une réponse qu'il avait relancé les vibrations de son plug anal. Elle était tellement concentrée sur ses doigts qu'elle l'avait presque oublié. La vague de l'orgasme montait alors qu'elle devait répondre. Il arrêterait encore tout si elle ne répondait pas. Il avait dit que c'était la dernière question. Elle prit une grande inspiration, elle pouvait y arriver.

« Avec… Avec… Avec une potion de rire, bredouilla-t-elle.

— C'est-à-dire ?

— Il faut… les… les… aaaaaasperger avec.

— Excellent, Miss Granger. Vous avez été brillante. Maintenant, jouissez pour moi. Montrez-moi à quel point vous êtes sage ».

Ses doigts allaient loin, au fond de son vagin, dans un va-et-vient frénétique. Son pouce pressait fortement et tournait constamment autour de son clitoris. Les vibrations du chapelet anal décuplaient les sensations. C'en était presque surnaturel. Elle y était presque. Elle était soulagée. Elle allait pouvoir venir.

Là. Enfin. Ça y est.

Cet orgasme fut si foudroyant et intense que son corps entier se crispa. Sa bouche était grande ouverte, mais aucun son n'en sortit. Elle ne pouvait rien sentir, voir, entendre ou ressentir d'autre que le plaisir aveuglant qui la parcourait. À cet instant, plus rien n'existait, plus rien n'avait d'importance.


Quand elle redescendit de son orgasme, Drago les amena chez eux en transplanant (un des rares privilégiés à pouvoir le faire depuis Poudlard). Il retira délicatement son plug, puis soigna sa lèvre ensanglantée, ses poignets rougis par les liens et sa fesse marquée de l'empreinte de ses doigts et de ses dents. Elle ne voulait pas prendre de douche car elle ne tenait plus sur ses jambes. Alors Drago la lava soigneusement avec un gant, en la massant au passage. Après ce soin, elle ne voulait qu'une chose, se reposer dans ses bras, sentir sa peau contre la sienne et écouter les battements de son cœur la bercer. Drago savait parfaitement quoi faire.

Il ne prit pas la peine de les rhabiller et les installa au sol dans leur salon, devant un feu de cheminée, dans une étreinte tendre et chaleureuse, sous un plaid. Ses mains caressaient son dos, ses bras ou ses cuisses avec la douceur d'une plume. Il l'embrassait dans le cou, sur les épaules, sur le visage et la tête. Et entre chaque baiser, il lui disait qu'il l'aimait, qu'elle était magnifique, sublime et incroyable, et combien il était heureux d'être avec elle. Elle fit comprendre à Drago qu'elle était complètement redescendue sur Terre, avec lui, en lui rendant son baiser.

« Ça va ? », s'enquit-il.

Elle hocha la tête en souriant, heureuse, et l'embrassa en guise de réponse. Il lui tendit un verre d'eau et des morceaux de pomme qu'il avait coupés pour elle.

« Tu es complètement dingue d'avoir organisé tout ça. Et si quelqu'un, un portrait ou un fantôme nous avait surpris ? demanda-t-elle entre deux quartiers de fruits.

— C'est un jour spécial. Je ne pouvais pas simplement t'emmener dîner dans un restaurant et te faire l'amour dans notre lit. Je connais ton fantasme secret de sexe dans la réserve. Alors, il fallait bien qu'on essaye au moins une fois dans notre vie ! Et en ce qui concerne la discrétion, je te rappelle qu'en tant que professeur de Défense Contre les Forces du Mal, je suis responsable des barrières magiques et de la sécurité de ce château. Alors tu penses bien que j'ai fait en sorte que rien ni personne ne nous dérange.

— C'est vrai…

— J'ai une idée. Que dirais-tu que l'on prenne un bain bien chaud en mangeant de la glace ?

— Ça serait parfait », répondit-elle avant de l'embrasser langoureusement.

FIN

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(1) : Alors c'est un peu bizarre en français, je m'en excuse. La réponse a plus de sens dans ma version anglaise. « Witching hour » se traduit normalement par « l'heure du crime ». Mais mon énigme n'aurait eu aucun sens si je n'avais pas fait de traduction littérale…

Je sais pas vous, mais moi aussi, je veux me faire punir par le Professeur Malefoy ...

Encore bon anniversaire ma chère Lyra_Verin *coeurcoeurcoeur*

On se retrouve dans le courant du mois prochain pour la publication de ma traduction !

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En attendant, n'oubliez pas de manger vos cinq fruits et légumes par jour (surtout des aubergines et de pêches)

Et à bientôt !