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7. Bilbin's Magical Creatures.

Quelque chose me faisait mal. Une chose m'enserrait si fortement que je cédais presque à la panique de ne plus pouvoir respirer. Mon cœur battait en une musique si vive dans ma tête, que j'aurais bien pu danser dessus sans en oublier le rythme. Mes yeux s'ouvrirent brusquement et je vis –

Du bois. De simples murs de bois enveloppés d'une tapisserie marquée par les décennies. Je sentais encore quelque chose pressé sur moi. Je baissais les yeux et aperçus un anneau humide et froid étendu sur mon ventre, et enroulé avec précaution autour de mon cou. Attendez une minute ? Un anneau humide et froid ? Je poussai un cri strident.

Puis je vis une tête de serpent dont les yeux rêveurs étaient juste fixés sur moi, comme si le fait de toujours assister à la même réaction l'ennuyait. Ses petits anneaux luisants et parsemés d'écailles ressemblaient presque à de la peau. Des motifs rouges et noirs se dessinaient sur son corps jusqu'à rencontrer le milieu de son front, où son regard couleur ambre m'observait toujours. Je le fixai, à la fois fascinée et terrorisée, tandis qu'il resserrait un peu plus son emprise et se redressait en me montrant ses crochets venimeux. Ses yeux n'étaient plus du tout rêveurs, mais animés d'une lueur d'excitation. Et pour je ne sais quelle raison, je restais immobile. Je ne parvenais pas à me lever, ni à le repousser d'un simple geste de main. Etait-ce de la peur ? Non pensai-je, plutôt de la fascination. Je regardais ses crocs se rapprocher de ma gorge et inclinai la tête, prête à succomber à sa beauté fatale. Je fermai les yeux, telle une femme attendant le baiser de son amant. Peut être cela serait-il sans douleur.

Un sifflement perçant s'éleva de nulle part, et je me demandai s'il pouvait y en avoir deux du même genre. Merveilleux, pensai-je en rouvrant les yeux. L'étreinte du serpent se desserra lentement de mon corps et je le vis aller s'enrouler au coin du lit. Puis la voix malicieuse de Tom se fit entendre, "tu sais," dit-il, "la plupart des gens s'en serait débarrassé en une seconde en criant au meurtre. Pourquoi n'as-tu rien fait ?"

Silence.

"Alors ne me répond pas," soupira t-il. Puis un sourire narquois s'afficha sur ses lèvres. Oh comme je pouvais le détester lorsqu'il souriait de la sorte. "Je me demande bien comment tu t'en serais sortie avec un serpent faisant au moins dix fois sa taille et son poids. Allez Rushton, nous devons nous rendre rapidement à la gare. Le train partira dans trois heures et je voudrais te présenter quelques amis. J'ai laissé tes vêtements au bord du lit. Et je t'attendrai dehors."

"On n'apprécie pas la vue Riddle ?" demandai-je d'une voix sarcastique en pensant qu'il ne m'avait pas entendue, alors qu'il s'en allait. Je marchai ensuite jusqu'aux habits, et caressa avec un air d'envie le doux tissu de la robe et de la cape de sorcier, tout deux d'un vert foncé qui se rapprochait de l'émeraude.

"Oh non Rushton, j'ai juste de bonnes manières," ricana t-il. Je vis ensuite la porte se refermer derrière lui. Puis en me retournant, je me retrouvai à nouveau face au serpent noir et sursautai. Mon regard resta suspendu au sien. Ses yeux luisaient d'une étrange couleur dorée et étaient parsemés de légers traits sombres.

"Magnifique," murmurai-je en levant une main sans même m'en rendre compte. Je lui caressais la tête, frissonnant sous l'effet de sa peau froide et glissante. C'était une sensation amusante. Et au lieu de tenter de me mordre, le serpent alla s'enrouler autour de mon bras. Je souris lorsqu'il sorti sa langue fourchue pour me chatouiller les doigts. Après quelques instants, j'arrêtai de le toucher et murmurai plus sérieusement, "tu vas devoir t'enlever de mon bras quelques minutes, amour. Je ne peux pas m'habiller si tu es enroulé autour de moi." Il (ou elle) ne bougea pas. "Hm, j'ai vraiment besoin que tu t'enlèves !" Toujours rien. Je soupirai.

Trois très longues heures en perspective.

Pendant quelques instants, je tentai de persuader le serpent de se retirer de mon bras. Sans résultats. Il se rapprocha plus près de mon visage, et lorsqu'il fut assez proche, s'enroula à nouveau autour de mon cou pour mieux me fixer de ses deux perles couleur ambre. "Tu sais, Riddle ne va beaucoup aimer si je ne me dépêche pas. Je n'ai même pas enlevé mon t-shirt et cela fait…" Je comptai le temps dans ma tête en essayant de me concentrer, et m'écriai, "Non d'un diable ! Trente minutes !"

J'entendis un rire derrière la porte, puis la voix stupide et arrogante de Tom se fit entendre, "Bien joué Rushton. Tu as visiblement un cerveau."

"Ha Ha !" dis-je d'un ton sarcastique, "Très amusant Riddle !" Je pouvais le deviner en train d'écouter. "Ton stupide serpent est enroulé autour de mon cou et ne veux pas s'enlever !" Je l'entendis rire encore. Et pour une fois je ne trouvais pas ça drôle du tout. Bien sûr, j'étais celle qui avait un gros serpent noir et rouge enlacé au cou, donc cela changeait tout à la situation.

Tom soupira, "es-tu habillée ?"

Exaspérée, je répondis "Bien, laisse moi réfléchir une seconde. J'ai un serpent suspendu au cou, je viens juste de passer trente minutes à essayer de l'enlever, et je n'ai pas pu faire le moindre mouvement. Qu'en penses tu Riddle ?"

La porte s'ouvrit laissant entrer un Tom vêtu d'une chemise verte et d'un pantalon noir. Je le fixai d'un air pathétique alors qu'il se rapprochait et murmurait quelque chose à l'oreille du serpent. Celui-ci émit un long sifflement assez révélateur en guise de réponse, et glissa de mon cou jusqu'au sol. Je regardai le serpent puis Tom, et à nouveau le serpent. Cette journée devenait décidément de plus en plus étrange. "Rassurée maintenant, Rushton ?" me dit-il d'un air moqueur.

"Merlin non," répondis-je sous son regard interrogateur, "tu es toujours en vie."

Avec un regard très dissuasif, il sortit de la pièce, suivi des sifflements incessants du serpent. Je soufflai, soulagée, me maudissant intérieurement pour mon franc parler, et reporta mon attention sur mes vêtements. J'enfilai robe, chaussures et cape peut être plus vite que je ne l'aurai imaginé, puis sortis à mon tour. Je vis Tom m'attendre à l'autre bout du couloir, sa cape noire flottant derrière lui avec élégance alors qu'il s'apprêtait à descendre les escaliers. Mais lorsque son regard se posa sur moi, il s'arrêta. Il me dévisagea des pieds à la tête, et je sentis aussitôt mes joues s'enflammer. "Par Salazar, Rushton." murmura t-il, "un de ces jours, tu combleras ton mari." Apparemment il semblait croire que je ne l'avais pas entendu.

Un compliment ? De la part de Tom Riddle ? Etait-ce possible ?

"Heureuse de te l'entendre dire," murmurai-je pour moi-même. Je passai ensuite devant lui sans croiser son regard de braise. J'aperçus le serpent tapi dans un coin, essayant de ne pas se faire remarquer. Je souris. "Salut amour." Il sembla prendre cela pour une invitation et ne se fit pas prier. Il glissa rapidement jusqu'à moi, et alla s'enrouler délicatement autour de mon cou, maintenant sa place favorite. Sa langue fourchue me chatouilla le creux de l'oreille et me fis rire. Puis je me retournai vers Tom, "tu peux parler aux serpents, n'est-ce pas ?" demandai-je. Il acquiesça tandis que je continuai, "a-t-il vraiment un nom ?"

Je l'entendis parler en fourchelang pendant un bref instant et le serpent émit cinq petits sifflements, puis un plus long pour terminer, un peu comme s'il était ravi qu'on s'intéresse à lui.

"Elle se nomme RedShadow," me dit-il, alors que j'essayai de copier les sons émis par le serpent. Tom m'observa l'air visiblement amusé par mes tentatives, lorsque le serpent siffla encore. "Elle trouve que tu t'en sort pas mal pour un premier essai. Mais il te faut encore de l'entraînement," ajouta t-il.

Je plaçai ma main sur le dos du serpent et le caressai légèrement, enchantée de l'entendre siffler en retour. Puis je suivis Tom dans les escaliers et nous nous retrouvâmes bientôt dans les rues du Chemin de Traverse.

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Il y avait plus de monde que d'habitude, et j'essayai tant bien que mal de me faufiler à travers la foule sans perdre Tom de vue. Bien que j'avais l'habitude de courir, l'avantage d'avoir autant de frères, il nous restait encore des kilomètres à faire avant d'arriver à King's Ross et je me voyais mal marcher jusque la gare dans cette tenue. Et Tom semblait penser exactement la même chose.

Il me guida ensuite dans l'Allée des Embrumes et s'arrêta devant la vitrine d'une boutique derrière laquelle des bocaux de tarentules n'attiraient vraiment pas l'œil. "Bilbin's Magical creatures" dit-il, puis entra d'un pas rapide. "On y trouve toute sorte de choses intéressantes et pas seulement des animaux. C'est ici que je l'ai acheté," me dit-il en désignant RedShadow, "une très bonne affaire."

Tout en la caressant encore, mon regard se posa sur quelque chose d'assez étrange. Cela ressemblait à un petit singe avec une queue plus grande que son corps. Je le regardai, fascinée, tandis qu'il gesticulait dans tout les sens pour s'échapper de sa cage. "Merlin !" m'écriai-je, "qu'est-ce que c'est que çà !"

Tom se retourna, sa cape tourbillonnant autour de lui et jeta un œil à la cage. "C'est un Leikia" déclara t-il comme si c'était une évidence. "Ils sont carnivores et atteignent facilement trois mètres à l'âge adulte. Je te conseille de t'en procurer un, si tu tiens à lui servir de dîner, car ils finissent par dévorer le maître qui les garde trop longtemps." Puis il s'éloigna dans l'allée, me laissant fixer le Leikia, bouche bée. "Ferme moi cette bouche Rushton, tu risques d'attirer les mouches." Le dos tourné, il ne vit pas le vil regard noir que je lui lançai.

Je fermai ma bouche et continuai à le suivre, essayant de ne pas m'arrêter à chaque créature tant il y avait de merveilles, ou plutôt devrai-je dire de bizarreries. Finalement arrivés au bout de l'allée, je décidai d'approfondir mon exploration. Tout est bon à prendre dès l'instant où ça me permet d'être loin de lui, pensai-je en prenant l'allée opposée.

J'arrivai à la fin de la rangée sans m'estropier, puis fit demi tour en scrutant les étagères d'un œil plus attentif. Une chose attira mon regard, un animal si minuscule qu'il aurait pu tenir dans le creux de ma main. Je l'observais pendant un moment avant de me rapprocher. Puis je butai contre quelque chose, me faisant presque m'étaler sur le sol. Dieu merci ce ne fut pas le cas. Car avec toute la chance que j'avais, je craignais le pire. Comme me cogner contre un pilier invisible par exemple. Ah non attendez, ça c'était déjà fait. Peu importe. Je grognai exaspérée, et contournai ce même pilier devenu maintenant très visible, puis aperçus–

Le petit monstre le plus mignon qu'il m'avait été donné de voir.

Je le regardais de plus près, c'était un minuscule louveteau aussi noir que la nuit elle-même. Il leva ses yeux bleus vers moi et poussa un grognement. Un long et triste grognement, ressemblant plus à la plainte de celui qui n'a pas revu le soleil ou la compassion depuis bien longtemps. Une plainte qui me fendit le cœur. Je le saisis délicatement entre mes doigts et le portai à hauteur de mon visage. Son seul motif fut de commencer à me lécher le bout du nez aussi rapidement que possible. Je ris, assez bruyamment pour attirer l'attention de Tom. J'arrivai déjà à voir son regard scruter les étagères et une touffe de cheveux sombres se déplacer. En soi, c'était assez amusant. Aucun mage noir ne scrutait les étagères d'une boutique, le sourcil relevé, à la recherche de qui que ce soit. Cette pensée me fit d'autant plus rire, que je dû m'adosser contre le pilier pour ne pas tomber avec un louveteau en train de me chatouiller le nez.

Il devait probablement se demander dans quels troubles la fille aux cheveux rouges avait encore réussi à se mettre. Puis il apparut au coin de l'allée, un air on ne peut plus sérieux sur le visage et les yeux étincelant d'une lueur amusée, tandis qu'il s'approchait du pilier. Il ne trouva pas le bébé loup aussi mignon que moi, mais ne fit aucun geste pour l'empêcher de me lécher.

Je lui lançai un regard, mes yeux grand ouvert, avec l'air de l'enfant venant de se faire prendre la main dans la boîte de cookies. "Salut Riddle" dis-je innocemment, "quoi de neuf ?" Puis je réalisai soudain que cette phrase était plus de mon temps que du sien.

La lueur d'amusement disparut, laissant la place à un regard surpris jusqu'à ce que je me reprenne. "Je veux dire, y a t il un problème ?"

Cela sembla le contenter puisqu'il acquiesça. "Pourquoi ris-tu de la sorte, Rushton?" me demanda t-il d'un ton curieux, le regard de nouveau amusé. Mais il semblait y avoir un sous entendu. Quelque chose qui ressemblait à de la suspicion. Je sentis la panique me gagner peu à peu. Savait-il ? Qu'avait-il trouvé ?

J'essayai de lui sourire puis plongeai mon regard dans les yeux arctique du minuscule louveteau. Son regard me faisait penser aux glaciers enneigés. "Il n'a pas arrêté de prendre mon nez pour une glace et je… et bien, n'est-il pas… mignon ?" Inutile de dire que le silence qui s'en suivit fut lourd de sens. J'arrivai même à trouver mon excuse pathétique.

Tom fronça dangereusement les sourcils, fixa le bébé loup puis mon nez recouvert de salive, "si tu le dis…" Avec un mouvement dans ma direction, il vint glisser sa main derrière les oreilles du louveteau et murmura, "si tu t'attires des ennuis ici Rushton, je m'assurerai de toujours te faire vérifier le coin des rues avant de les franchir."

J'avalai difficilement ma salive puis répondis avec tout le dédain possible, "Toi Riddle ? Je doute que tu puisses faire mal à une mouche." Merlin savait combien je n'en pensais mot.

Tom leva un sourcil très significatif et me fixa de son sombre regard, toujours amusé par la chose entière. "Tu en serais étonnée Rushton".

Je peux séduire," son doigt vint caresser la courbe de ma joue, jusqu'à ce que je tente de le mordre, "comme je peux torturer." Je sentis ensuite sa main me saisir brutalement le visage. Il plongea ses yeux brûlant dans les miens, et me fit frissonner d'effroi. "Ne me sous estime jamais Rushton, ou tu te retrouveras plongée dans un monde de peur et de souffrances," souffla t-il. Pendant ce qui me parut être une éternité, ses yeux prirent une teinte carmin puis revinrent lentement à la normale. Je continuai à le fixer, l'air effrayée. "Et je te croyais plus intelligente."

J'essayai de respirer normalement, et repoussai sa main de mon visage d'un seul geste. "Les apparences sont trompeuses Riddle. Suis ton propre conseil et ne me sous estime pas non plus." Le louveteau émit un faible gémissement entre nous et je le regardai, contente de pouvoir poser mes yeux ailleurs que sur Tom. Ma haine pour lui avait pris une ampleur démesurée. Tom Marvolo Riddle était définitivement un être odieux, si ce n'est le diable en personne. Et je crains fort que quelque chose puisse un jour en changer.

J'entendis ses pas s'éloigner, puis plaçai une main sur ma joue. Je fus parcourue d'un frisson. C'était comme si son doigt avait laissé une trace de feu à l'endroit où il s'était posé. Je te déteste Tom Marvolo Riddle, je te hais de toute mon âme.

Le louveteau gémit encore, me sortant de la vague d'émotion qui m'avait submergé. Je caressai sa fourrure pendant un moment, et remarquai aussi la disparition de RedShadow du haut de mon épaule. Elle se cachait probablement dans un recoin de la boutique. "Je souhaiterai tant que tu sois un petit chat," dis-je tristement en fixant le louveteau, "pour que je puisse t'emmener avec moi à Poudlard." Il se redressa juste sur ses pattes et prenant appui sur ma poitrine, il recommença à me chatouiller le nez d'un air enthousiaste. Je souris puis lui déposai un baiser sur le front.

"Tu es comme moi, n'est-ce pas ?" lui dis-je d'un air doux. "Totalement perdu. Ont-ils tué ton père et ta mère ? Ils ont presque réussi avec mon père, mais n'auront plus de soucis à se faire. Il est partit maintenant, comme ma mère et mes frères. J'en avais six tu sais." Je parlais au bébé loup comme s'il s'agissait d'une personne. "Il y avait Bill, avec ses piercings extravagants et ses cheveux longs. Ma mère s'obstinait à vouloir les lui couper, et c'était juste si elle ne le poursuivait pas les ciseaux en mains. Mais Bill ne l'écoutait jamais. Puis vint Charlie. Il était Dragontamers et l'un des plus doué. Il revenait souvent avec quelques brûlures, pas grand-chose mais assez pour rendre ma mère folle d'inquiétude. Et puis Percy. Le Mr Parfait. Si parfait sur tout, que personne ne lui faisait aucun reproche. Il y avait aussi les jumeaux, Fred et Georges. Ils se mettaient toujours dans des situations incroyables et il semble que j'ai moi-même hérité de leur don. En cours, personne ne pouvait rivaliser avec eux lorsqu'il s'agissait de farces et attrapes. De vrais rois. Et enfin Ron, âgé d'un an de plus que moi et toujours collé à Harry. Il a la phobie des araignées. Ensembles, ils ont accomplis des choses encore jamais vues à Poudlard. Ils m'ont sauvé la vie une fois. Enfin, c'était Harry mais Ron était aussi présent. Mes frères avaient tous les yeux bleus et les cheveux roux, à mon image."

Je soupirai, pensant au souci que je devais leur causer en ce moment. C'est vrai, ce n'est pas tous les jours qu'une jeune fille s'évapore dans la nature sans laisser de trace, se retrouve projetée dans le passé et rencontre le futur Lord Voldemort, maître de l'enfer.

J'entendis un raclement de gorge non loin de moi. "C'était assez distrayant d'écouter tes problèmes, mais je pense que tu devrais maintenant t'enlever de ce pilier." Je me redressai et me retournai si rapidement que le petit louveteau sursauta dans mes bras. Puis mes yeux se posèrent sur quelqu'un.

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TBC...


Merci à Eleonore dem, Tinn -Tamm, Eskarine et mamzell-la-fée (je ne saurai te dire pour les posts, j'écris et traduis lorsque le temps me le laisse et que l'inspiration suit!) pour leur reviews!