Zourgnf, chapitre 6: « beau-papa »

Avertissement: relations homosexuelles et personnages de J.K Rowling La Très Grande honteusement manipulés sans vergogne selon mon bon vouloir.

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Et voilà le dernier chapitre (ce coup-ci je n'en rajouterai plus!) de Zourgnf!

Après, il ne restera plus que l'épilogue…

Je voudrai remercier tout ceux qui m'ont reviewée: MissMarieMyu, thalie-la-clochette, Bloody Betty Boop, Azazel, Malicia-moony, Kaly Nigellius, Sarabi26, Serdra, Julie, Harrie Zabbs, psyko, Floralege, Niphredill, slydawn, Ashura Shadow, Vert Emeraude, LightofMoon, yochu, cornedrue7girl, -Winks-, AngeNoir Hao, Lulu, Himitsu no fire, I-am-Lady-Voldemort, tit'cerise, Sykora, Sen-jo-Mushi, TheBlackVenus, Abella, Alexyan, Shampinette (my looove te adoro), KloOnaH, Darana, Quelqu'un (?), Polarisn7, Marry-black, Morgane d'Avalon (yo collègue!), Lovely A, Spirit. W.w, SamaraXX, lily, les adoratrices du BPJH (kézako?), juliette, Demoiselle Altanien ( participation exceptionnelle… grrr…), lilix28, ingrid. 94, douce-ange-de-la-mort, Tchu (super comme pseudo! ), lo hana ni, Miss Malibu,.

Et tout particulièrement cette chère Mayura02, qui si elle continue à m'envoyer des reviews pareilles risque bien de réussir à me faire rougir! Lol

Pardon si j'en ai oubliés ou écorchés, poussez donc un coup de gueule dans une nouvelle review!

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Lassé de faire des roulis roulas sur le sommier, je coince Draco sous moi et me penche vers lui. Je m'amuse à frôler son visage avec le mien, à souffler doucement mon haleine sur sa peau.

De son coté, il pose ses mains sur mes fesse, les fait descendre le long de mes cuisses puis les glisse sous ma chemise. Il appuie doucement sur mes abdos et remonte jusqu'à mon cou avant d'entreprendre de défaire les boutons, mais vu qu'il a les yeux fermés car je suis en train de lui suçoter le lobe de l'oreille, ses doigts dérapent et il met un bon moment avant d'y parvenir.

Son but enfin atteint, il fait glisser le tissu de mes épaules. Je me redresse, achève de l'enlever et la laisse tomber en boule au pied du lit.

Je me laisse couler sur mon…

…mon quoi?

Mon amant?

Mon petit ami?

Mon dragon semi-apprivoisé perso?

Enfin bref, je m'allonge sur lui de tout mon long en m'étirant félinement et fourre mon nez dans le creux de son cou, respirant avidement l'odeur de sa peau mêlée à un zeste d'une eau de toilette qui aurait pu à mon sens se nommer « Draco, lui, il. ».

Il se remet à me masser le dos en mordillant une mèche de mes cheveux qui a eu l'imprudence de lui tomber sur la figure.

Je me dégage de son étreinte et reptationne (nda: se déplacer en faisant des reptations) jusqu'à placer ma tête au niveau de son bas-ventre.

Je check son érection en passant le plat de ma main sur sa braguette et la confirme en exécutant de rapides frictions circulaires peu appuyées.

Draco enfonce sa tête dans son oreiller, agrippe la couette à pleines mains et soupire en ondulant légèrement des hanches.

Je retrousse légèrement sa veste de velours dont la fourrure me chatouille le nez afin de découvrir son ventre plat et blanc sur lequel je promène lentement ma langue, y dessinant tout l'alphabet.

Drac' se tortille de plus belle en me filant des petits coups de pieds impatients.

Je délace sa ceinture avec des gestes délibérément leeents et ouvre sa braguette, puis écarte le dernier barrage d'étoffe, dégageant à l'air libre son sexe qui durcit encore entre mes mains.

Je le caresse paresseusement un petit moment pendant qu'il vrombit et gémit dans son oreiller, avant de faire glisser mes lèvres le long de sa verge que je finit par prendre en bouche, m'employant à lui faire faire le plus de bruit possible.

Au bout de quelques courtes minutes, il explose de plaisir dans ma bouche.

Je remonte pour lui rouler une pelle tout en lui remettant d'une main ses petites affaires bien au chaud.

Je croise les bras sur sa poitrine et pose ma tête dessus, les yeux vissés sur les siens qui sont encore un peu dans le flou.

C'que j'suis doué!

« -Dis-moi, Dray…

-Hmm?… »

Il a l'air un peu surpris de cette brusque interruption des festivités.

« -Qu'est ce qui te plaît chez moi?

-C'est quoi cette question pourrie? Tu te prends pour une gonzesse ou quoi!

(note à moi-même: le Draco partiellement frustré à tendance à s'exprimer dans un langage moins châtié)

-Accouche.

-T'es chiant, hein!

-Voui. Alors?

-Ben… Ton coté je-m'en-foutiste. Tu es toi-même, avec tes maladresses et ta franchise. Et puis tu me fait rire. Et tu n'es pas non plus à proprement parler d'une laideur à hurler! Satisfait?

-Moui… »

Il se redresse en position assise et je dégringole sur ses jambes. Je me relève en me cramponnant à ses épaules et en en profitant pour mes frotter à son pantalon fraîchement refermé au passage.

Il se laque contre moi en m'embrassant et en tripotant ma ceinture quand nous entendons un son résonner dans le hall qui nous stoppe net:

La voix de Lucius Malfoy s'élève au pied de l'escalier.

« Draco? Je fait juste un saut, j'ai oublié ma crème solaire. »

Le visage dudit Draco passe par diverses nuances de blanc, du lessivé au livide, et je le comprend: son père, digne représentant du traditionalisme sorcier et ex-mangemort, est sur le point de le trouver au pieu avec un gars à moitié à poil, le gars en question s'appelant Harry Potter, sang-de-bourbe et Survivant tenant du titre.

Merde.

Merde.

Merde.

Je vais mourir.

Draco va mourir.

On va mourir.

Il va nous trucider dans ce plumard grand luxe, il va y avoir du sang partout et de la cervelle et des plumes ont gicler sur les murs.

Je suis paralysé, j'ai l'impression qu'on m'a coulé du botox dans les muscles.

« Tu es là, fils? »

Au son des pas de son papounet sur les marches, Draco semble se réveiller comme si on lui avait piqué le derche avec une aiguille à tricoter. D'une bourrade, il tente de me balancer de l'autre coté du lit.

Peine perdue, je ne bouge pas d'un cil, comme hypnotisé par le bruits des bottes se rapprochant de plus en plus.

Il s'arque-boute en me poussant :

« Haaarryyy… » chuchote-t-il. « Je t'en prie, planque-toi derrière le lit! »

Le message finit par percer les couches primaires de mon cerveau et je me plie à sa volonté et derrière le baisodrome.

De son coté, Drac' tiraille un peu sur ses fringues de lutin, s'adosse à son oreiller et attrape le bouquin qui traînait sur sa table de nuit, Traité Analytique Des Usages Anarchiques De La Pierre De Lune Dans Les Potions.

« Je… je suis dans mes appartements, Père. »

Je ne fait qu'entendre le reste de la scène.

La porte grince et la voix de Lucius Malfoy retentit à nouveau.

« -J'ai attrapé un coup de soleil… Sais-tu ou j'ai bien pu mettre ce satané tube de crème solaire?

-N-non Père… je n'en ai pas la moindre idée…

-Oh, tiens, joli ton ensemble. Mais… voyons Draco, je t'ai déjà dit mille fois de ne pas laisser traîner tes affaires par terre! Quel âge as-tu? Regarde moi cette chemise! Mais! Mais elle n'est pas à toi! »

Merde.

La chemise.

« -Mais si voyons Père!

-Non, ce n'est pas ta taille. Il y a un nom sur l'étiquette… Où sont mes lunettes? Ah, les voilà. Alors… gargl! »

J'avais dit à Molly que ce n'était pas la peine de mettre mon nom sur mes fringues!

« Draco… »

La voix de Malfoy est lente et glaciale.

« -…y-a-t-il quelqu'un d'autre dans cette pièce?

-Non, Père.

-Me prendrais-tu pour un pigeon?

-Non, Père!

-Potter, ou que vous soyez dissimulé, JE VOUS CONSEILLE D'EN SORTIR AVANT QUE JE N'AILLE VOUS Y CHERCHER ! »

Je crois que je vais me faire pipi dessus.

C'est dingue ça quand même: j'ai zigouillé Voldemort et j'ai une pétoche de tout les diables devant le père de mon jules.

La terreur inspirée par les beaux-parents ne connaît pas de bornes…

Pour en revenir à nos Malfoy, Draco joue la carte de la carpe et Lucius continue à tempêter:

« POTTER, MONTREZ-VOUS ! »

Et puis zut.

Après tout, je suis censé être un héros sans peur ni reproche, non? A moins que ce ne soit sans foi ni loi…

Allez, hop, let's go.

Je me relève, fait le tour du lit et tend affablement la main au vieux.

« Bonsoir, beau-papa. »

J'ai dit courageux? Je voulais dire complètement débile, mais vous aurez rectifié, bien sûr.

Je crois que Draco vient d'avoir un arrêt cardiaque, et Lucius à l'air trop furieux pour faire un geste.

« Ca farte? Belle soirée, n'est ce pas? Hou, là, là, vous avez un méga coup de soleil sur le blair. Vous avez déjà essayé la biafine? Ah ben non, chuis con, c'est moldu. Vous devriez tenter, ça marche du tonnerre. »

Pendant que je soliloque comme un paumé intégral, Lucius devient de plus en plus blanc sauf son pif qui reste écarlate. Ca lui donne comme un faux air de Bozo le clown, je trouve.

Soudain, il semble redevenir maître de son corps et commence à dégainer sa canne-baguette trop style.

Ah, je crois bien avoir omit ce léger détail. La mienne est bien au chaud dans la poche de ma veste, accrochée au porte-manteaux des Weasley…

Bon, ben je vais mourir. (nda: il se répète.)

Ravi de vous connus.

« Avada… »

Ce n'est pas un elfe de maison mais un blondinet soudainement réveillé qui me sauve la mise. Il se jette sur moi et m'entraîne dans un transplanage à l'arrachée.

Nous atterrissons en vrac dans le jardin du Terrier. Draco reste affalé sur mon ventre, à demi-mort de peur et à demi mort de rire.

« -Tu vois, hoquète-t-il, c'est ça que j'aime chez toi!

-Quoi, mon coté suicidaire? Transplaner ne m'a même pas effleuré l'esprit!

-La manière que tu as de réagir… T'es complètement cinglé!

-Oui, on me le dit souvent. On rentre demander asile ou tu me laisses attraper un rhume? Je te rappelle que ma chemise est toujours entre les mains de ton cher papa…

-On va se faire jeter.

-Par qui? Par Weasley et compagnie? … Penses-tu! Ils vont être ravis, au contraire. Il s ne vont pas nous lâcher les baskets de la soirée.

-Je crois que je préférerais encore me faire virer.

-Te plains pas, toi au moins t'as tout tes habits, même si ils sont un peu… Ou alors si tu préfères tu peux retourner faire dînette avec ton père, je suis sûr que tu lui manque déjà.

-Ben c'est partit pour un séjour exotique chez les rouquemoutes, alors.

-Ils sont pas méchants, juste un peu soûlants. Ah, juste deux trucs: essaye de rester à distance de Ron, pas impossible qu'il essaye de te tuer. Pareil pour Jamy, mais ce coup ci c'est Remus qui essayera de te mordre: l'instinct maternel, tu comprends.

-Youpee. »

Pauvre biquounet, il a pas l'air follement enthousiaste.

Je l'attrape par la taille et l'entraîne devant la porte à laquelle je toque suffisamment fort pour qu'on m'ouïsse à travers les débordements musicaux de la danse des canards.

Mon dragon me regarde et dit:

« -Toi et moi, seuls contre les imbéciles.

-Tu cites du Bernard Werber maintenant?

-Oh, ça me semblait approprié à la situation, c'est tout. »

……oOo…...

THE END

(enfin presque)

……oOo……

Eeet voilààà!

Après, il ne reste plus qu'un petit épilogue…

Mais si je vous manque trop, sachez que j'ai publié le premier chapitre d'une nouvelle fanfiction un peu plus structurée, « Hortense ». Drarry humoristique, of course.

Bisous à tout le monde, see you later. (je sors d'un cours d'english)

Ps: une petite review?

Pps: siouplaîîît!