Auteur: Shina
Mail: Dessin Animé: GUNDAM WING
Genre : Scoolfic, Deathfic, OOC, Tristounnet, Résurrection, Légende, pov, on a de tout et de rien quoi
Couple:Au grand malheur de tous c'est un secret lol. Vraiment depuis le temps vous devez tous savoir.
Note de l'auteur :En italique les pensés des personnages et entre/../personnage qui pense ou parle avec sa doublure
DISCLAMER : ils ne sont pas à moi et c'est dommage
Résumer :Il faut vraiment le faire se résumé ?Non depuis le temps je crois que tout le monde le connait .Lol.
Note de l'auteur : Désolé pour cette très longue absence. Mais cette année j'ai le brevet, mon emploie du temps est très charger en plus d'être sans cesse bousculer. De plus, j'avais complètement perdu l'envie d'écrire. Elle revient petit a petit mais il me faut le temps de me remettre dans l'histoire.
Ne vous inquiété pas je n'abandonnerais pas mes fics et de nouvelles me trotte même déjà dans la tête . Les chapitres 19 et 20 sont en cours. Kisu tout le monde.
Aussi, pardon pour mes faute d'orthographe, le français et moi on est pas marié et encore moins en très bon voisinage… Bref on s'emmerde tout les deux Mais je fais des efforts
Maintenant la fic
Ils avançaient silencieusement dans les couloirs du lycée. Ils ne devaient pas être entendu et encore moins vu. Ils étaient comme cinq ombres dans la nuit, se faufilant habilement dans les petits coins sombres quand ils entendaient des pas approcher. Il passèrent devant différentes portes, empruntèrent de multiples escaliers avant d'arriver enfin à destination.
Ils se trouvaient maintenant devant une grande porte, environs deux mètres cinquante, métallique. À la droite de cette dernière ce trouvait un boîtier recouvert de touches numéroté ou écrite.
Duo s'avança et entreprit de démonter le boîtier pour accéder au fils qu'il renfermait. Une fois cette action accomplie, il s'attaqua au différent câble de couleur. Il suivit le parcourt de certain avant d'en débrancher un premier.
-« Plus d'alarme » dit-il a voix basse.
-« Cherches celui qui déclenche l'ouverture de la porte » lui intima Quatre.
Il hocha la tête et se remit au travail. Quelques secondes plus tard, un petit bruit se fit entendre et l'épaisse porte s'ouvrit d'elle-même.
-« Et voila le travaille. »
Sans prendre la peine de lui répondre, ses compagnons d'armes entrèrent dans la pièce. La, il furent stupéfait. Ce n'était pas ce a quoi ils s'attendaient, mais alors pas du tout.
-« Bordel. Qu'est ce que c'est que cette blague ? »S'exclama l'américain.
Devant eux se trouvait une immense salle remplies de MS. Il y en avait bien plus qu'il n'était prévu et imaginé. En bref, ils avaient sous estimé l'importance de cette base. Vraiment sou estimé. Peu être trop.
Ils marchèrent à travers les centaines d'armures entreposées dans la pièce. C'était inimaginable. Comment cela avait-il put passé sous leurs nez durant tant de temps ? Cette basse était sûrement l'une des plus importantes, si elle n'était pas la plus importante.
Après avoir dépassé les innombrable rangées de MS, ils firent face a un laboratoire immense. Il y avait environs 15 rangées de table surchargé de multiple tubes remplie de liquide dont les couleurs n'aspiraient guère a la confiance.
Ils avancèrent lentement, faisant attention a ne rien toucher et surtout a ne rien renverser. Sur les paillasses, se trouvait parfois des plans de MS en construction ou de bâtiments. Les pilotes étaient stupéfaits.
« Nous n'avions absolument pas prévu cela. Il ne devait pas avoir autant de MS et de bureau de recherche, déclara le chinois, mais combien sont –ils ? »
-« Une chose est sur bien plus que ce que nous avions imaginé, répondit Quatre en jetant un coup d'œil a un des plans, mais aussi bien plus spécialisé et équipé que nous le croyions. Nous nous sommes fait avoir. Il faut revoir tout le plan élaboré des le départ. »
-« Une bonne partie des élèves de ce lycée doivent être de mèche avec tout ça. Et en particulier Brayann. »
-« Qu'est ce qui te fait dire ça » interrogea le méché attirant l'attention de tout le monde.
-« J'ai surpris l'une de ses conversations cet après midi avec un autre élève, sans doute lui aussi dans le coup du planning. »
-« De quoi parlaient-ils ? » fit Heero.
-« De nouveaux recruter et d'une attaque prochaine. »Continua le châtain. « Putain. On c'est vraiment fait avoir. Notre informateur doit s'être rangé du coté d'oz et a donner de fausses information aux MAD. Je ne vois aucune autre explication. »
-« Pour une fois je suis d'accord avec Maxwell »
-« Je crois que nous le sommes tous » renchérie le blond.
Le japonais s'était avancé et semblait comme perdu dans la contemplation d'un document. L'américain s'approche a de lui et murmura.
-« Tu as trouvé quelque chose ? »
-« Hum…..Il sont en train de construire une amure mobile dix fois plus puissante que celle qui sont aligné la bas. Ils doivent avoir une horde de chercheur particulièrement doué.. ». Le nippon se tut subitement. A l'écoute du moindre bruit.
-« Qu'est ce que tu as ? »
« -Quelqu'un arrive .Il faut s'en aller. »
Aussitôt dit aussitôt fait. Les trois derniers pilotes étant les plus près de la porte purent s'enfuir sans soucis. Mais pour 01 et 02, qui était déjà plus loin, si ils essayaient d'atteindre la porte maintenant, ils se feraient, a coup sur, prendre.
Heero et Duo n'eurent d'autre choix que de se cacher dans une petite armoire, très étroite situé non loin d'eux. Il y avait, tout de même, assez de place pour qu'il ne se marche pas l'un sur les pied de l'autre. A peine avait t-il fermé les porte du meuble que deux scientifique entrèrent. Maintenant il devait s'armer de patience et attendre qu'ils s'en aillent tout en espérant que les autres ne se soit fait attraper.
Ils s'appuyèrent au deux extrémités du placard, laissant une distance entre eux. Les minutes passaient, et les deux hommes ne partaient pas. La chaleur commençait à se faire sérieusement ressentir. L'américain avait chaud et se vantait a l'aide de son T-shirt.
Le temps passait et aucun mot ne se faisait entendre. Ayant assez de ce silence pensant, Duo entama la conversation.
-« Quitte a se que l'on soit enfermer ici tout les deux, autant que se soit dans une ambiance détendu et non pesante. Tu ne crois pas ? »
Le japonais le regarda et leva les épaules.
-«Au point ou on en est. »
-« Justement, et je ne veux pas que ça reste tel. Je veux que tout redevienne comme avant. »
Le brun soupira. Lui aussi il voulait tant mais les choses n'était pas si facile.
-« Ne crois pas être le seul a vouloir cela. Moi aussi je ne souhaite que çà ».
-« Alors pourquoi ne pas essayer ?»
Un petit silence prit place.
-« Par ce que ça fait trop mal et que, malgré ton nos efforts, rien ne sera plus jamais comme avant. »
-« Pourquoi ? »
-« Par ce que ce que je ressens pour toi est bien plus que de l'amitié. Crois-tu, sincèrement, que si je ne te voyais qu'en simple ami, j'aurais réagit ainsi en te voyant embrasser ce type. »
-« Ce baiser ne signifiait rien. S'était une sorte d'adieu. »
-« Peu importe ce qu'il représentait. Au lieu de t'en vouloir ou autre, j'aurais du être heureux pour toi, car tu aurais trouver quelqu'un qui aurait su te rendre joyeux en ce temps de guerre. Et pourtant ça n'a pas été le cas. A la place, je me suis renfermé sur moi-même, et je te faisais souffrir autant que moi-même je souffrais. J'en suis désolé, Duo. Je n'ai pas su être l'ami que tu attendais. »
Des larmes coulèrent sur les joues des soldats parfaits alors qu'il parlait mais il continua :
-« Je n'ai pas su être cet ami par ce que pour moi tu représentes beaucoup plus. Beaucoup plus que tu ne l'imagine. Je t'aime Duo-kum » Le soldat avait fini cet phrase dans un souffle, si bien que le natté cru qu'il ne l'avait pas dites et qu'il avait été victime d'illusion auditive. Mais le regard que le japonais portait sur lui, lui certifia son opinion.
Il sentit son cœur battre plus fort, sa respiration devint saccadée. Une joie sans nom l'envahissait. En cet instant, il était l'homme le plus heureux du monde. Heero l'aimait.
-« Je te demande simplement de ne pas m'en vouloir. » fit le nippon, « car je te jure, j'ai voulu réfréner mes sentiments, mais rien n'y a fait. Ils ont continué à grandir en moi, dévastant tout sur leur passage. »
L'américain fit un sourire et s'approcha doucement et sans bruit du brun.
-« Comment pourrais-je t'en vouloir alors que tu fais de moi aujourd'hui un homme comblé ? » murmura t-il a l'oreille de son compagnon, « je t'aime moi aussi Heero ».
Sur ce, il embrassa timidement le pilote 01. Malgré, sa récente déclaration, la peur de ce faire rejeter restait présente.
Heero cru rêver quand il entendit les mots de Duo, mais comprit que c'était belle et bien la réalité quand les lèvres de celui-ci vinrent se poser sur les siennes. Il ne se fit pas prier et répondit avec plaisir au baiser. Ces lèvres qu'il avait secrètement tant désirées lui appartenaient enfin.
Ils s'embrassèrent avec passion, amour, avidité, désespoir et gourmandise. Goûtant aux lèvres de l'autre. Les mordillant, les suçant, les caressants avec les leurs. Bientôt, le baiser devint plus intense. Leur langue se joignant a la danse. Se goûtant également. Explorant et découvrant minutieusement l'autre. Apprenant a ce reconnaître et a s'aimer. Partageant ensemble une douce danse dont elles avaient toutes deux rêver en silence.
Leurs mains se mirent aussi en action. Celles de 02 allaient se nouer autour du coup de 01 alors que les siennes allaient entourer ses reins, approfondissant ainsi le baiser. Leurs corps se rencontraient enfin autrement que par inadvertance ou hasard. Elle se touchait volontairement, s'apprenant lentement, mielleusement, tendrement, soulageant enfin l'envie inassouvie qu'elles renfermaient depuis déjà des semaines. Même si une barrière fine de tissus les séparait encore.
Les gestes restaient malgré tout craintif, tout comme retenu par une chose invisible. Comme si ils avaient tout deux peur que cet instant ne soit qu'un rêve dont il se réveillerait bientôt. Comme si ils peur de regretter ensuite. Ils s'avaient leurs sentiments réciproques, mais n'arrivait pas à laisser derrière cette retenu qu'il avaient eu l'un envers l'autre derrière eux.
Ils se séparèrent à regret. Leurs souffles étaient erratiques et pourtant ils n'avaient échangés qu'un simple baiser. Leurs lèvres était rougit, faute de l'intensité de l'échange et appelaient, de cette façon, a encore être emprisonnées, caressées, embrassés.
Duo gardait inconsciemment, dans son poing fermer, un pan du T-shirt d'Heero, s'y accrochant comme si sa vie en dépendait. Mais peut-être était ce le cas. Il avait besoin d'une preuve. D'une preuve qui lui certifierait que tout cela était bien réel, qu'il n'imaginait rien.
-« Esse un rêve ? » demanda t-il du bout des lèvres, ne voulant pas briser la magie du moment.
-« Je ne crois pas. » Murmura doucement Heero, » mais si c'est le cas, je ne veux me réveiller » finit-il avant de reprendre possession de la chair rose de sa moitié.
Il avait tant souhaité que ça arrive, il ne laisserait pas cette chance d'être avec le natté passé. Même si ce n'était ni le lieu, ni le moment, il s'en fichait. Il voulait ses lèvres et les garderait. Mais en fin de compte, l'amour avait t'il vraiment une place ? Un moment ? Un lieu ?
Non, il en était convaincu. Même si tout cela était tout nouveau pour lui, il en resterait persuadé. Comment un aussi beau sentiment pourrait-il avoir de telles choses ? Ce sentiment devait rester imprévisible. Pouvant vous prendre en pleine rue aussi bien qu'à un enterrement, vous laissant patois mais avec un arrière goût de plaisir sucré sur la langue.
Le japonais savourait le goût tendre des lèvres de l'américain pour la deuxième fois, et s'avait d'hors et déjà, qu'il ne pourrait plus vivre sans. Il lui faudrait, à partir de maintenant, et jusqu'à sa mort, se petit goût sucré qui régnait sur les lèvres du natté, le goût de l'amour.
Il lui faudrait aussi sentir a toute heure cette petite langue mutine qui viendrait chercher la sienne pour leurs faire danser un balai connu mais inoubliable et indémodable. Un balai rythmé par la mélodie de leur respiration. Un balai éternel et charnel.
Leur rencontre n'avait rien eu de romantique, mais leur histoire resterait mémorial.
Ils se détachèrent l'un de l'autre pour la seconde fois, leur regard se noyant l'un dans l'autre. Retenant chaque trait du visage aimé, le marquant dans leurs mémoires, à la date du jours qui annonçait la fin d'une page et le début d'un nouveau chapitre dans le livre d'une vie.
Ils restèrent enlacé, ne pouvant, en cet instant, ce passer de la chaleur que leur autre dégageait. Cette aura rassurante qui régnait autour d'eux. Dans ce placard sombre, triste et, aux apparences, froide qui représentait pour eux en ce moment un nid de douceur, un cocon de chaleur, et un antre de bonheur.
Aucun bruit ne venait déranger chanson que jouait lentement le silence, englobant les deux âmes retrouver dans leurs quêtes de tendresse. Mais ce silence voulait aussi dire autre chose. Si plus un son ne se faisait entendre au dehors de la porte cela voulait simplement dire que les scientifiques étaient partie que, par extension, il était pour eux aussi de s'en aller. Laissant leur cachette emplie de sentiment pour affronter l'air glacial environnant.
Ils s'avaient tout deux qu'il était temps de faire un retour à la réalité. Mais leur petit monde était si douillet, qu'ils n'arrivaient à s'en détacher. Ce fut Duo, rassemblant son courage et laissant a terre sa non envie, qui fit la remarque.
-« Il serait peu être plus sage que nous partions, non ? Ils peuvent revenir a tout moment et …. » Le reste de la phrase mourut. Sa gorge était encore trop sèche pour qu'ils disent plus de chose que cela.
Son regard était encore posé sur Heero et n'arrivait pas, et, surtout, ne voulait pas l'en détacher. Celui-ci après quelque seconde de silence acquiesça finalement. L'une de ses mains délaissa, a contre cœur, la taille du natté pour ouvrir la porte du placard, laissant l'air frai pénétrer a l'intérieur. Leur abri était brisé, mais leur monde existait encore.
Ils sortirent lentement de l'espace étroit entrant de nouveau dans le laboratoire vide, mais en même temps si remplit. Ils ne s'attardèrent pas et coururent en direction de la sortie. Pour des pilotes en territoire ennemis, leurs attitudes auraient pu paraître normal si, pendant leur course, leur main ne s'était pas retenue.
Ils maintirent leurs rapide avancé jusqu'au couloir menant au salle de cours, ou il marchèrent plus calmement, leur doigt, toujours prisonnier, de ceux de l'autre. Un agréable silence s'installa. Leur pas était celui de la promenade, ne se pressant, profitant de la présence de l'autre, ils en avaient tant besoin.
Soudainement, Duo se rappela la conversation qu'il avait surprit l'après midi même. Il jeta un coup d'œil a sa montre. Minuit un quart. Le rendez-vous était pour le demi. En se dépêchant un peu, il pourrait facilement y arriver a l'heure dite. Mais l'idée de quitter Heero ne lui plaisait pas. Il ne voulait pas laisser son japonais. Mais il avait besoin de savoir ce que les deux jeunes manigançaient. Il avait l'intime pré sentiment, que leur magouille avait à voir avec la raison de leurs présences à tout les cinq ici.
Timidement, et non sans peine, il stoppe son avancé. Sa main étant toujours dans celle du nippon, il sentit la résistance nouvelle et se retourna pour connaître la raison de l'arrêt du natté. Celui le regardait, tristement, et murmura au bout d'un moment :
-« J'ai une affaire urgente à régler. Rien de bien grave qui doit être éclaircit. »
Le brun le fixa, étonné. Une affaire à régler à une heure pareille ? Cela pourrait attendre demain. Urgent ou pas, et connaissant Duo, il n'en était pas à quelques heures près. Duo lui cachait quelque chose.
Sentant sans doute le mal aise de son compagnon, le jeune homme aux yeux amnétyst ajouta.
-« Si ça pouvait attendre demain, je te jure, je l'aurais reporté. Mais comme je te le disais c'est urgent. E dois y aller ».
L'asiatique hoche la tête et détourna le regard déçu, il ne passerait pas le reste de la nuit ensemble.
-« Je n'en ai pas pour longtemps, je t'assure. » ajouta le châtain en caressant le dos de la main du 01 de la sienne qui était libre, « je passerais te voir dans ta chambre quand je reviendrais. Je te promets de faire vite » finit-il doucement.
Il s'approcha de son compagnon et lui donna un doux baiser accompagner d'un sourire plein de promesse avant de s'en aller rapidement. Minuit vingt cinq. Il avait juste le temps d'arriver. Quand il fut derrière le gymnase, il découvrit que personne n'était encore arrivé. Ne perdant pas de temps, il grimpa à un arbre a proximité du lieu dit et s'installa. Il ne restait plus qu'à attendre.
Heero, lui, continua tristement sa route. Il ne voulait pas rentrer au dortoir tout de suite, le sommeil n'étant pas encore présent. Il erra donc dans les couloirs multiples du lycée, se baladant tel une ombre, sans le moindre son. Il s'arrêtait parfois pour regarder quelque chose qui attirait son attention.
Il traîna tant et si bien que ce ne fut qu'une demis heure plus tard qu'il monta les escalier qui menait au dortoir. Il espérait que Duo serait déjà la. Il montait les marches, sans se presser la fatigue n'ayant toujours pas montré le bout de son nez.
Mais plus il avançait plus il avait l'impression d'entendre des voix. Etonnant a cette heures ci, mais pas impossible. Lui aussi était bien éveillé alors qu'il n'était loin d'être une heure du matin. Il avança encore et un éclat de rire, bien que discret, arriva jusqu'à ses oreilles. Il ne lui était pas inconnu. Même, il le reconnaîtrait entre mille. Il avait entendu tant de fois ce rire. Comment ne pas le reconnaître.
Il sauta trois par trois les marches qu'il restait et arriva enfin en haut de l'escalier. Duo était déjà arrivé, il avait raison il n'avait pas été long. Mais avec qui pouvait –il bien être.
Il tourna la tête et toute joie qu'il possédait s'évanouie.
Duo, son Duo, était en train, une nouvelle fois, d'embrasser ce blond alors qu'il l'embrassait lui il y avait encore à peine 40 minutes. Il se sentait trahit. Les larmes perlaient a nouveau au coins de ses yeux. Pourquoi le châtain s'amusait-il ainsi avec lui ? Qu'avait-il fait pour mérité ça ?
Le couple, loin d'avoir remarquer sa présence, avait cesser de s'embrasser et allait maintenant entrer dans la chambre du natté quand la voix de métis les stoppa.
-« Duo….. ? » fit Heero, la gorge noué , les larmes qu'il contenait se faisait clairement ressentir dans sa voix cassé.
Les deux jeunes se retournèrent aussitôt et virent Heero. Le natté fit pris d'un hoquet de surprise et plaça sa main sur sa bouche les yeux écarquillés de stupéfaction.
« Merde » pensa t-il.
Duo avançait rapidement dans les couloirs sombres. Ils n'avaient aucune envie de s'attarder, et il avait beaucoup de choses à raconter à ses quatre autres compagnons dès ce soir. Ca ne pouvait attendre. Les informations qu'il détenait étaient capitales.
Il montait les marches mentant aux chambres des pensionnaires trois par trois. Quand il arriva au sommet, il y l'étonnement de voir Heero de dos, debout, pour ne pas dire statufié, regardant quelque chose face à lui. Doucement il appela :
-« Heero…. ? »
Le japonais se retourna brusquement, les yeux exorbités. Comment était-ce possible ? Il s'avança, tremblant vers le châtain, pointant les deux autres personnes présentes du doigt.
-« Comment est ce que ….. »Commença t-il dans une phrase qu'il ne finit jamais.
02 se pencha un peu sur le coté gauche et pu enfin voir se qui troublait son nippon.
-« Fucking shit » lâcha t-il dans un souffle.
Il se mordit la lèvre inférieure. L'adolescent aux yeux colbats le regardait toujours, cherchant, manifestement, une explication qui lui était dû. Le pilote de Deathcyth soupira avant de dire.
-« Je crois que l'heure de la vérité a sonné. »
A suivre…..
Prochaine chapitre la vérité éclate ! Niak niak niak. Plus sa va plus je ne vois pas la fin pourtant proche de cette historie. Je suis fatigué surtout, ça doit être ça ! lol.
Kisu tout le monde et prochain chapitre.
Ja ne !
