Auteur: Shina

Mail: Dessin Animé: GUNDAM WING

Genre : Scoolfic, Deathfic, OOC, Tristounnet, Résurrection, Légende, pov, on a de tout et de rien quoi

Couple:Vraiment depuis le temps vous devez tous savoir.

Note de l'auteur :En italique les pensés des personnages et entre/../personnage qui pense ou parle avec sa doublure

DISCLAMER : ils ne sont pas à moi et c'est dommage

Résumer :Il faut vraiment le faire se résumé ?Non depuis le temps je crois que tout le monde le connait. Lol.

Note de l'auteur : Je m'excuse pour le retard mais des imprévu ayant surgit cela a retardé l'avancé de l'écriture de ce chapitre. Et vu le nombre de fois ou j'ai effacer des passer pour les refaire…c'est normal aussi

Le chapitre 21 bientôt en cours. Kisu tout le monde.

Aussi, pardon pour mes faute d'orthographe, le français et moi ne sommes pas marié et encore moins en très bon voisinage… Bref on s'emmerde tout les deux Mais je fais des efforts

Maintenant, la fic.

Heero fronçait durement les sourcils. Treize ? Co-fondateur de cet établissement ? Comment était-ce possible ? Et surtout, pourquoi n'était-il pas au courant ? Les Mads ne lui avait jamais parlé de cela. Ils ne l'avaient même jamais sous entendu. Et un regard vers les autres G-boys lui fit comprendre qu'eux non plus n'étaient pas plus au courant que lui vu leur étonnement.

Encore un coup de leur ex taupe supposait-il.

Il se rapprochait des autres pilotes, souhaitant avoir leur avis sur ce qui était en train de se passer. Bien qu'il ne soit quasiment certain qu'ils pensent tous comme lui. Arrivé à coté d'eux, Quatre lui demanda :

-Tu étais au courant ?

-Hn, fit-il, je n'en savais rien. Je vous aurais informé sinon.

-La taupe ?émit Trowa les yeux rivé sur leur ennemi qui semblait regarder quelqu'un dans la foule.

« Merde » Songea t-il quand il reconnu la personne qu'il observait.

-Sans aucun doute possible, murmura le natté le plus sérieusement du monde. Quelqu'un connaît-il son identité ?

-Les profs, lâcha le nippon.

-Il faut les mettre d'ailleurs que nous les en informions. Ils doivent se débarrasser de lui.

-Moui, affirma Duo en hochant la tête, tu as raison Q-Chan. Qu'en penses tu Wufei ?...Wufei ?

L'américain chercha le chinois du regard sans le trouver.

-« Mais ou est –il passé ? » demanda t-il finalement.

-« On a du le perdre dans la foule. » émit aussi calmement que d'habitude le français, n'éveillant, ainsi, pas les soupçons.

-« Tu as sûrement raison », approuva Quatre, « nous le retrouverons certainement plus tard. »

Le japonais regardant dans la même direction que le méché fit une grimace. Il n'était peu être pas très fort dans les relations humaines, mais il n'était pas dupe. Et encore moins aveugle.

Le cœur du chinois semblait avoir cessé de battre depuis que son regard et celui de Treize s'étaient rencontrés. Si extérieurement il n'en montrait rien, intérieurement il rayonnait. Cela faisant seulement deux jours qu'il n'avait vu le duc mais il devait avouer que celui-ci lui avait manquer.

Il était comme une drogue pour lui.

Il observait minutieusement le duc. Chaque trait de son visage, ses cheveux si élégamment coiffés, sa posture parfaite, son corps… Le chinois ne pouvait s'empêcher de le trouver beau. Bien qu'il le sache déjà, il ne pouvait que refaire cette constatation chaque fois qu'il revoyait l'homme qui hantait ses nuits, ses rêves et qui donnait un sens à sa vie.

Le commandant d'Oz n'avait pas non plus quitté des yeux le jeune asiatique. Un étrange sourire flottant sur ses lèvres. Par un coup de chance, personne ne l'avait entendu murmurer le prénom de son amant. Ou du moins, c'est ce qu'il croyait.

Le duc, ne souhaitant pas attiré l'attention sur Wufei, reprit le plus naturellement du monde son discourt, ignorant qu'a coté de lui, une femme ruminait dangereusement contre l'adolescent et qu'un autre, se moquait discrètement de cette dernière.

La prestation dura encore près d'une demis heure. Elle ne prit fin que lorsque le commandant de l' Organisation Zodical se retira, suivit de ses sbires, et entra dans l'établissement. Petit à petit, les élèves se dispersèrent et allèrent vaquer à leur diverse activité, les autres cours de la matinée ayant été annulé.

Loin de s'en plaindre, les pilotes trouvèrent la l'occasion idéale pour faire une mise au point sur l'avancé de la mission. Qui allait de mal en pire d'ailleurs. Ils s'installèrent a l'écart des autres lycées, sous l'un des multiples arbres qui ornaient le parc de l'établissement. Ils furent bientôt rejoint par Chang qui semblait, pour une raison inconnu de certain, très heureux.

Alors qu'il s'asseyait à même le sol, comme ses compagnons d'armes, il sentit le regard lourd, pensant et surtout colérique de leur leader se poser sur lui. Il lui lança alors un coup d'œil discret et interrogatif et le métis détourna les yeux. Qu'avait-il donc fait ?

Une semaine. Une semaine était passé depuis l'arrivé impromptu de Treize et sa présentation en tant que co-fondateur du lycée. Une semaine qui n'avait été ni des plus simple, ni des plus facile.

La tension entre Heero et Duo était toujours présente et un fossé recommençait même déjà à se creuser entre eux. De plus, le nippon, ayant été mit au parfum pour l'altercation entre le natté, Steeve et Brayann à la sauce des deux derniers nommés, ne cessait de se rapprocher de l'autre brun au grand damne du grand blond et du châtain.

Wufei, qu'il était déjà rare de voir en temps normal, de par son amour pour la solitude, était maintenant tout simplement injoignable. Ses compagnons d'armes ne pouvaient le voir que durant les heures de cours et, par chance et surtout en coup de vent, dans les dortoirs ou il rentrait tardivement et qu'il quittait aux aurores. A croire que quelque chose retenait son attention ailleurs.

Ou serait- se quelqu'un ?

Sans oublier la soudaine animosité qu'entretenait envers lui le deuxième asiatique du groupe, cela ne lui donnait que très moyennement envie de se joindre à eux.

L'américain, pour sa part, n'en menait pas large. Il sourirait de moins en moins, ne parlait pratiquement jamais, concurrençant fortement le français, et semblait toujours absent, ailleurs. Ses yeux étaient souvent perdus dans le vague et il semblait être habité par une infinie tristesse. Surtout quand il voyait son nippon avec Steeve il en devenait parfois malade.

Trowa et Quatre semblaient être les seuls à rester neutre dans l'espèce de pseudo conflit qui avait trouvé refuge au sein de leur groupe. Il assistait a tout, remarquait tout, ne comprenait pas certaine chose, en prévoyait d'autre, mais surtout, ne se mélangeait pas. Ils n'étaient que des spectateurs dans tout cela et, aussi bizarre que cela puisse paraître, ce rôle leurs convenait parfaitement.

Donner ouvertement raison a l'un de leur ami serrait peu être l'une des plus grande erreurs de leur vie et serait, très certainement, irréparable.

La stabilité du groupe et surtout son unité, mise à rude épreuve, étaient en péril. Jamais une aussi simple mission d'infiltration n'avait commis autant de dégâts. Pire qu'une tempête, un ouragan. Elle détruisait tout et ne laissait rien, ou presque, sur son passage. Une question hantait maintenant leur esprit :

Le groupe survivrait-il ?

Lady Une ouvrit la brutalement la porte qui donnait accès à ses appartements et la referma avec tout autant de douceur. Elle était furieuse. Cela faisait sept jours qu'ils étaient arrivés ici et sept jours que le commandant Kushrénada l'ignorait quasiment. Elle n'en pouvait plus.

Si ce dernier lui adressait plus de deux mots, s'était soi par rapport a un dossier quelconque ou pour lui dire qu'il s'absentait. S'absentait….. prenait du bon temps plutôt. En arrivant dans ce lycée, elle avait pensé que le Duc s'intéresserait un peu plus à elle et en oublierait cet adolescent sans pudeur qu'il voyait depuis déjà quelque temps. Mais il en était tout autrement.

Comme si la malchance s'était abattue sur elle, il avait fallut, malgré tous les établissements que comportait cette ville, que ce garçon de malheur soit scolarisé dans cette école. Elle enrageait.

Elle avança furieusement vers le milieu de la pièce qui n'était autre qu'un salon, sans prendre peine d'allumer la lumière, malgré la nuit déjà bien présente et la faible luminosité. Elle arriva a côté d'une table basse et se mit à faire les cent pas.

Pas plus tard qu'il y a dix minutes, il avait vu ce « chinetoc » pendu au cou de son supérieur, l'embrassant sans aucune retenu, ou plutôt lui mangeant les lèvres. Il lui était paru comme une putain en manque, cherchant par tous les moyens à ce qu'on lui leva la jambe. Requête qui avait du lui être accordé vu comment Treize répondait volontiers aux appels sexuels du jeune homme.

Elle ne pouvait en vouloir à l'homme. Elle ne pouvait lui reprocher sa faiblesse face à tant d'acharnement, de vice. Et il fallait admettre, bien qu'elle vouait une haine sans borne envers le garçon, qu'il avait de bon atout. Il était loin d'être moche, c'était même tout à fait l'opposé, et avait un corps très avantageux. N'importe qui aurait cédé.

Elle s'arrêta subitement de marché, attrapa violemment la vase qui trônait sur la table et le projeta durement au sol. L'objet, sous la force de l'impacte, se brisa durement sur le carrelage. Sa respiration était saccadée, ses joues rougies et une grimace nerveuse avait trouvé place sur son visage.

-« Ce sale morveux ! » marmonna t-elle a voix haute.

Subitement, les ampoules s'allumèrent alors que quelqu'un applaudissait fortement tout en riant.

-« Zech », s'écria t-elle en se retournant vivement.

-« En chair et en os Une » répondit-il un sourire scotcher a la bouche.

-« Depuis quand êtes vous ici ? Et qui vous a permis de rentrer ici ? »

-« Je suis ici depuis bien avant ton arrivé. Et c'est le commandant qui m'a ordonné de venir vous voir. Comme vous n'étiez pas la et que je n'avais aucune envie d'aller vous chercher, je vous est simplement attendu. D'ailleurs, je m'en félicite. Je n'aurais voulu rater ça pour rien au monde » dit-il en faisant allusion à la scène qui venait de ce dérouler.

La femme les foudroya du regard alors que Merquise se contentait de rire ouvertement d'elle.

-« Que me voulait-il ? » demanda t-elle visiblement peu encline a se moquer d'elle-même.

-« Il voulait vous demander de finir de traiter ce dossier » déclara t-il en venant remettre le dossier en question à Lady, « Il avait à faire si j'ai bien compris. » ajouta t-il en s'éloignant,

«Et à voir son sourire et sa mine enjouée, cela devait sûrement avoir a faire avec un certain « sale morveux » de votre connaissance si je ne m'abuse. Non ? »

-« Sortez immédiatement de cette pièce Merquize. » lui ordonna t-elle sa voix charger de colère.

-« Voyons » ironisa le blond, « Admettez donc vous êtes fait voler votre cher et tendre par un adolescent d'a peine 16 ans. Cela vous évitera bien des tourments » finit-il en passant la porte en riant cyniquement.

-« Taisez vous ! Taisez-vous ! » Hurla la femme en envoyant le dossier après Zech, mais qui atterrit sur la porte déjà close, répandant les feuilles sur le sol dans un désordre absolue.

-« Et merde » lacha t-elle avec colère.

Wufei avançait avec rapidité dans les couloirs sombres et vides du lycée. Il regarda prestement sa montre. 22h 45. Le couvre feu était déjà passé depuis fort longtemps et il était encore plus en retard que d'habitude.

Il replaça derrière ses oreilles quelques mèches de ses cheveux qui lui barraient la vue. Il ne remercierait jamais assez Treize de lui avoir éclaté son élastique, le commandant le trouvant « plus séduisant les cheveux libres ». Un vent frai parcourait les allées, le faisait quelque peu frissonner.

Il sortie du bâtiment ou il était jusqu'alors et traversa la cours en direction des dortoirs. Il était fatigué, le duc ne lui en demandant jamais à demi mesure et lui ne pouvant rien lui refuser. Il avait voulu terminer sa nuit dans les bras de son amant mais celui-ci l'avait raisonné. Si un lycéen le voyait sortir de sa chambre, que penserait-on de lui.

« Surtout ci c'était l'un des pilotes autres que Trowa », avait pensé ensuite le chinois.

Ils s'étaient donc séparé a contre cœur mais en se faisant la promesse de se revoir le lendemain au plus tôt, comme ils le faisaient depuis quelques jours déjà. Il avançait au plus vite dans la pénombre et bientôt il eu en vu la cage d'escalier qui menait au dortoir ou était sa chambre.

Juste au pied de cette cage, appuyé contre le grillage en fer qui servait de porte au bâtiment, se trouvait une personne éclairée par la lumière du rez-de-chaussée. Surement un lycéen qui avait du mal a s'endormir ou qui était venu fumer une cigarette tranquillement dans le calme de la nuit

Wufei ne pouvait distinguer correctement l'individu, dire si c'était une fille ou un garçon. Plus il approchait et plus il pouvait sa vision de l'adolescent s'améliorait. Maintenant, et a voir ses larges épaules, il pouvait certifier que la personne en question était un jeune homme.

Mais ce ne fut que lorsqu'il arriva a hauteur de ce jeune homme qu'il le reconnu.

Heero.

Le chinois se renfrogna légèrement. Depuis peu, l'ambiance entre lui et le japonais c'était légèrement dégradé. Pas Chang qui veuille. Yuy lui avait en quelque sorte déclaré une mini-guerre, dont lui seul s'avait les raisons. Le garçon avait beau chercher le pourquoi du comment, il ne pouvait trouver de réponse au changement radical de comportement de son ami envers lui.

Ne prêtant pas attention à se pressentiment étrange qui lui tiraillait l'estomac, il ne s'arrêta pas quand il passa a coté du nippon, se contenta de lui lancer un vague salut. Mais le dernier nommé ne semblait pas l'entendre de cette façon et plaça son bras de telle manière à ce que le pilote Shenlong ne puisse passer.

Celui-ci, le regarda fronçant les sourcils. Il était fatigué alors il ne voulait surtout pas ce quereller avec l'un de ses compagnons d'armes. La, il voulait simplement ce reposer et avoir une bonne nuit de sommeil.

Il essaya alors de passer, enlevant la main de son ami de son passage mais celui-ci le retint fermement

-« Quoi ? » dit durement le garçon aux iris noirs.

-« Ou étais-tu ? » lui demanda de but en blanc son leader.

-« En quoi ça te regarde », répondit le chinois sur la défensive.

-« Réponds ! »

-« Dans le parc,..je me promenais », mentit-il.

-« Ne me prend pas pour un baka Chang. Je suis beaucoup de chose, mais pas un idiot ! »

-« Qu'est ce que j'en sais. » fit le pilote de Nataku en haussant les épaules, « Je sais ce que je suis et c'est le principal. Maintenant laisse moi passer, je n'ai aucune envie de converser toute la nuit. »

-« Pas question ! » s'écria Yuy en le retenant encore.

-« Mais tu veux quoi à la fin ? »

-« La vérité ! »

-« Mais quel autre vérité veux-tu par Nataku, Yuy ? »

-« Je veux que tu me dises ou tu étais ! » s'écria le nippon en élevant la voix.

-« Mais je viens de te le dire !» en suivant le son ami dans les hautes sonoritées.

- « C'est sans doute la ou tu était ses dernier temps aussi, n'est ce pas ? »

-« C'est possible » fit le chinois visiblement agacé.

-« Ne te moque pas de moi Chang ! » gronda dangereusement le soldat parfait, « Tu n'étais pas dans le parc, ni ce soir ni aucun autre d'ailleurs, puisque depuis la semaine dernière tu prends grand soin d'occuper pendant une bonne partie de ton temps les bras et draps de Treize Kushrénada ! »

Le concerné se senti défaillir. Il était au courant ? Mais comment, quand et surtout depuis combien de temps était-il au courant. Il avait pourtant fait attention. A moins que ce ne soit Trowa qui le lui est dit…..non. C'était impossible.

Il regardait le nippon, qui semblait fou de rage.

-« Tu oses en vouloir a Duo pour nous avoir cahcer sa véritable identité mais toi tu fais comme lui. ! Tu nous caches des choses ! Des choses bien pires ! »

Le garçon a la longue chevelure n'osait répondre. Qu'aurait-il pu dire ? C'était la vérité la plus pure qui lui était jeté a la figure. Il ne pouvait qu'accepter et se taire.

-« Tu ne démens pas ? » gronda son leader.

-« Non. Je ne démentirais jamais la vérité. »

L'adolescent aux cheveux en bataille serrant fermement les poings.

-« Quittes-le ! »

-« Jamais ! »

L'ex chef de clamps ne vit pas le poing de son confrère venir, mais il le sentit lourdement atterrir sur sa joue, le faisant basculer vers l'arrière et tomber sur le sol alors que son ami laissait se déverser toute sa colère.

-« Tu n'est qu'un sale traître Chang. Comment as –tu pu nous faire ça ? Comment as-tu osé ? Si tu voulais vraiment te faire baiser, il avait l'embarras du choix autour de nous ! Pourquoi a-t-il fallut que se soit lui ! Pourquoi ! »

Le pilote de Nataku se releva doucement, massant lentement sa joue meurtrie et douloureuse. Gardant la tête basse, il commença :

-« Tu as raison Heero » dit doucement Wufei, « je vous ai trahis. Mais sache que si c'était a refaire…..je le referais sans regret. Je n'ai en aucun cas honte d'aimer Treize, mais si quelque chose me désole, c'est de ne pouvoir le faire librement. »

« Tout le monde n'a pas la chance que tu as. Tout le monde n'as pas celui qu'il aime dans le même coté que lui dans cette guerre. Mais chacun a droit au bonheur, et peu importe les sacrifices on serait près a tous faire pour y accéder. Même pour quelque secondes. Et c'est mon cas Heero. »

Les lèvres du garçon tremblaient mais il parlait d'une manière claire et dégagée. En écoutant simplement çà voix, on pouvait reconnaître l'accent fier du jeune dragon du groupe. Mais en regardant ses yeux, on voyait toute la tristesse d'un homme au cœur mutilé.

« Je me dégoûte profondément moi-même. » reprit-il, « Je ne suis pas fier de vous avoir menti, tromper pour aller flirter avec notre pire ennemi. Mais je ne le regrette pas, car depuis Meiran, c'est le seul qui est réussit à me redonner l'envie de vivre pour quelqu'un. Le seul qui est vraiment sût combler le vide qu'il y avait en moi. Le seul qui est sût m'aimer sans chercher à en savoir plus sur moi. Et pour ça Heero, je ne le quitterais jamais. »

En disant cela, il avait relevé les yeux et les avait planter dans ceux du japonais. Un défi silencieux avait alors commencé.

Cette dernière phrase une l'effet d'une bombe chez Heero. Son regard lançait des éclairs alors que l'on pouvait facilement deviné qu'il maudissait intérieurement Wufei dans toutes les langues.

-« Tu ne le quitteras pas Chang ? Très bien. Mais tu quitteras ce groupe ainsi que l'opération météore. »

Le tint du chinois devint livide, ses lèvres s'entre ouvrirent alors que ses yeux s'agrandissaient. Il l'excluait. Jamais une nouvelle ne l'avait autant fait souffre depuis la destruction de sa colonie, mais comme il l'avait dit quelques secondes auparavant, il ferait n'importe quel sacrifice, pour garder l'amour qu'il avait.

-« Très bien Yuy, je quitterais l'opération Météore et rendrais par la même occasion mon gundam. Je te demande juste de me laisser finir cette mission et je partirais ensuite. Mais il faut que tu saches une chose, je ne suis et ne serais jamais un vendu ! »

Sur ce, il bouscula son futur ex leader et monta les escaliers trois à trois. Il ne tiendrait pas longtemps. Il courut dans le couloir qui menait a sa chambre et si enferma avant de ce laisser glisser au sol et d'y déverser sa peine.

C'était la chute d'un dragon.

A suivre…

Voila, le chapitre 20 est arrivé. Je pris du temps pour l'écrire, comme les autres d'ailleurs alors qu'il n'est pas si long que ça :s. Laissez moi quand même votre avis . Kisu